Citations de Christophe Blain (169)
Vous voulez ma mort ou quoi ?! Il marche pas ce Stabilo. Martine ! Expliquez-moi quelque chose : pourquoi vous m'achetez des Stabilo qui ne marchent pas, regardez, il peluche. Il y a une crise au Liban, une crise au Lousdem qui risque de virer à la guerre mondiale... Qu'est-ce que vous voulez que je fasse avec un Stabilo pourri ?!
Le dessin n'est pas un travail. C'est une forme de prière.
Savez-vous que les marins d'autrefois croyaient qu'après avoir passé l'Equateur vers le sud, le climat s'échauffait jusqu'à faire bouillir les océans.
Tu dois voir ça de près. Si on en réchappe, tu t'en souviendras bien pour le peindre.
Il ne faut pas annuler le moldave, ca fait 7 fois qu’on l’annule.
Ne jamais laisser filer mémère quand on l’a ferrée avec une odeur de bouffe.
Vous voulez me rendre dingue ou quoi ? Alors vous, vous me gâtez. Vous travaillez pour le FBI ? Vous êtes une arme de destruction massive à vous tout seul, vous ! Mais vous les avez vues où, vos neuf places ? On peut même pas se gratter le nez. D'ailleurs, on peut même pas chier dans votre Falcon. Il y a tout le temps des turbulences. Même en y mettant les mains, vous pouvez pas viser. Vous vous cramponnez au lavabo pour fourmis. Je suis pas champion d'escalade, moi ! J'ai pas fait le Pic du Midi.
Putain, le russe ! C'est pas un marrant, le russe. Je pensais le garder pour la fin, le russe. A chaque fois que je lui serre la main, je me prends un coup de jus. Même au téléphone, il faut des gants en plastique et des protège-oreilles.
C'est une négociation avec les Etats-Unis sur la paix et la guerre.. pas une crise de l'anchois dans le golfe de Gascogne.
-Un télégramme immédiat de New York, M. le ministre. Le projet de résolution américain.
-Grmh. Merci, mon vieux. Avec vous, on est sûr d'être informé en temps réel de ce qui s'est passé la veille.
Marquet ? Depuis quand il s'occupe des sujets sérieux ? Est-ce que je m'occupe de la taille des bébés poissons dans les zones de pêches européennes ?! Eh bien, que Marquet entre. On est dans un moulin, ici. Il a pas des copains qui veulent venir, tant qu'on y est ? J'aurais dû proposer à ma grand-mère de venir prendre le thé avec nous. Ça lui aurait fait une sortie.
-Mad'moissel', vous êtes francese ?
-Argentine. Française aussi.
-Ah si ! Vous me rassurez. Je reconnais les femmes françaises. Ma allora, vous avez choisi quelle dellegazione ? Per favore, mad'moissel'.
-Conardo !
Aaah ! Une bonne chose de faite, ce conseil des ministres. Tiens, voilà des projets de loi. Tu liras ça tranquillement. Ou tu files ça à Cahut. C'est un paquet de merde. Sinon, rien à signaler, comme d'habitude.
-On m'a demandé de réduire à l'essence. J'ai réduit à l'essence.
-La prochaine fois, Stéphane, il faudrait même réduire à la quintessence de l'essence.
-Ça va pas du tout, ce discours ! C'est du salmigondis de technocrate ! Je vais me ridiculiser. Quel métier de con ! Je ne veux pas faire un discours de farfadet à la Hamburgershroumf...
-Brandenburger Tor.
-Oui. C'est tout de même là que Kennedy a dit : "Ich bist eim berliner."
-"Ich bin ein berliner."
-Voilà.
-Arthur, vous m'accompagnez à Genève !
-On est déjà nombreux dans la délégation, M. le ministre.
-Nombreux pour roter et péter, mis pas nombreux pour travailler, Cahut.
Vous me foutez dans des affaires de cornecul, Cahut ! J'suis pas là pour faire le marchand de canons.
Tu comprends facilement qu'à cette vitesse de réduction d'émissions, ça passe par une limitation des activités, donc des richesses, accompagnée d'un risque de déstabilisation sociale.
La vitesse à laquelle il faut réformer le système n'est pas compatible avec le maintien d'une liberté individuelle accompagnée du niveau de vie auquel on est habitués aujourd'hui.
- Je vis comme bon me semble. Je fais ce qui me plait, je suis le vent.
- Vous êtes rentière.