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Quai d'Orsay, Chroniques diploma... tome 1 sur 2
EAN : 9782205061321
96 pages
Dargaud (16/04/2010)
3.99/5   824 notes
Résumé :
Le jeune Arthur Vlaminck est embauché en tant que chargé du "langage" par le ministre des Affaires étrangères Alexandre Taillard de Worms. En clair, il doit écrire les discours du ministre ! Mais encore faut-il se faire une place entre le directeur du cabinet et les conseillers qui gravitent dans un Quai d'Orsay où le stress, l'ambition et les coups fourrés ne sont pas rares... Inspiré de l'expérience d'Abel Lanzac qui fut conseiller dans un ministère, cet album res... >Voir plus
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3,99

sur 824 notes
Arthur Vlaminck est un jeune conseiller fraîchement chargé des langages du ministre des affaires étrangères, Alexandre Taillard de Worms. Une expérience riche où Arthur va apprendre, en autre, à jongler avec le chef de cabinet et les conseillers d'un ministre survolté.

Worms (très grand, très carré d'épaules, cultivé et sportif) donne l'impression d'avoir une vue d'ensemble et secoue son entourage qui tente de le satisfaire tout en s'autorisant, à l'occasion, des moments récréatifs. Devant le chef on courbe l'échine, mais on plaisante, se moque et batifole dans son dos. On le comprend rapidement, Quai d'Orsay met en scène Dominique de Villepin, ministre des affaires étrangères de 2002 à 2005.

Une réalisation très bien vue et drôle. Très bien vue puisque son auteur n'est autre qu'Antonin Baudry (alias Abel Lanzac) une des plumes de Dominique de Villepin de 2002 à 2004. Drôle grâce aux dessins énergiques de Christophe Blain qui brocardent les gesticulations des protagonistes. Surtout celles d'un ministre un peu détestable qui n'épargne personne mais qui, avec le président de l'époque, a refusé de suivre les Américains sur le sentier de la guerre en Irak.
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Sous le pseudonyme de Abel Lanzac se cache un jeune normalien qui fut la plume de Dominique de Villepin avant d'être bombardé conseiller culturel à Madrid puis à New York. Il décrit avec beaucoup d'humour l'entrée d'Arthur Vlaminck, jeune thésard et « intello précaire », au cabinet du nouveau ministre des affaires étrangères, l'ébouriffant Alexandre Taillard de Worms.

La grande réussite de cet album, remarquablement mis en image par Christophe Blain, est la justesse avec laquelle est décrite la vie de cabinet (le parallèle avec la série américaine West Wing - À la maison blanche s'impose). On y voit des hommes et des femmes « comme les autres » avec leurs qualités et leurs défauts, leurs grandeurs de vue et leurs petitesses, essayer tant bien que mal de faire leur « boulot » dans un climat de stress permanent.

De cette galerie de personnages émerge le directeur de cabinet - on aura reconnu Pierre Vimont indéboulonnable DirCab de 2002 à 2007 - dont l'exquise componction fait utilement contrepoids à la fougue désordonnée du ministre. Dominique de Villepin alias Alexandre Taillard de Worms est présenté comme une « force qui va », toujours entre deux avions et entre deux idées géniales, qui puise son inspiration dans Les fragments d'Héraclite. La scène où il convie à déjeuner une Prix Nobel de littérature sans lui laisser placer un mot est particulièrement réussie.

Pour autant, la caricature opère comme le Chichi des Guignols de l'Info en 1995 : on ne peut s'empêcher - comme l'auteur l'a probablement été lui même - d'être subjugué par le souffle qui habite ce ministre si brillant, aussi grandiloquent soit-il.
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Que dire de plus au sujet de cette bande dessinée déjà adaptée d'un roman et elle-même adaptée au cinéma ? Tout le monde (ou presque) sait déjà qu'il s'agit d'un album de grande qualité, qu'il faut avoir lu.

La réputation du scénario n'est pas usurpée bien au contraire. le découpage a de quoi dérouter les adeptes de bandes dessinées. le séquençage en chapitres semble être ici une innovation qui est pleinement adaptée au récit. Il est vrai qu'une histoire d'un seul tenant, ou une succession de gags plus ou moins longs auraient desservi l'ensemble. Il fallait oser et le pari paye. La longueur étonne également, autre signe de grande qualité. Autant être averti, lorsqu'un lecteur va mettre le nez dans ce premier tome de Quai d'Orsay, le lecteur va en avoir pour un petit moment... qui va toutefois passer à une grande vitesse.
Les dessins ont de quoi freiner à première vue. Si l'on s'arrête à Alexandre Taillard de Worms, le style a de quoi dérouter, certaines planches tout droit sorties d'un cauchemar futuriste ne sont peut-être pas du goût de tout le monde, il est vrai. Mais lorsque le lecteur consent un petit effort, il se retrouve propulsé dans un univers presque qu'impressionniste. Si la qualité ne saute pas forcément aux yeux, elle se développe au fil des pages, rendant les relectures d'autant plus nécessaires.
L'humour développé ici est de haute volée. Là aussi il fallait oser et une nouvelle fois les auteurs remportent le jackpot. le nombre de jeux de mots, règlements de comptes verbaux et autres délectations syntaxiques ne peuvent se compter.
L'histoire en en elle-même se laisse lire agréablement et réserve de nombreuses surprises par rapport au film. Il faudra toutefois se replacer dans un contexte pour savourer pleinement l'ensemble.
Les personnages sont attachants et permettent de faire passer en douceur des thèmes d'importance : surmenage, narcissisme, comportements compulsifs (dans leur grande variété)…

Assurément une référence à posséder dans une bibliothèque !
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C'était un vendredi après-midi. J'étais confortablement assis dans un auditoire de Louvain-La-Neuve et je suivais un cours intitulé Stratégie et sécurité internationale. C'était un cours vraiment sympa, le genre de ceux qu'un étudiant de relations internationales s'attend à suivre lorsqu'il s'inscrit en 1ère mais qu'il attend deux ou trois ans avant de réellement toucher. le thème du cours était la « prise de décision ». Qu'est-ce que c'est ? Il s'agit grosso modo de l'analyse des décisions prises par des dirigeants. Ca a l'air tout bête comme ça mais, en fait, pas du tout.

En ce qui me concerne, j'ai déjà du mal à prendre une décision bénigne, mais imaginons un peu le bordel que ça doit être quand il s'agit de gérer la politique étrangère d'un pays. Une guerre éclate dans une ancienne colonie, paf, que faire ? La presse s'emballe, le parlement réclame des comptes, les ressortissants du pays sur place sont menacés : il faut s'activer, et dans l'urgence s'il vous plaît, pas question de se lancer dans une longue et vaste analyse de la question. La décision d'intervenir ou pas, et de quelle manière, doit se prendre dans un intervalle de temps très court. Evidemment, un ministre dispose d'un cabinet, bourré de conseillers qui, eux-mêmes, ont leurs avis et ambitions personnelles. Les leaders, eux-mêmes, ne sont pas tous identiques, il y en a de plusieurs styles (certains sont plus impulsifs ou réfléchis que d'autres). Bref, on nous racontait tout ça quand tout à coup le prof de stratégie nous conseille une BD. Là, comme ça, sans prévenir.

« Vous connaissez Quai d'Orsay ? C'est une BD, c'est très bon » qu'il nous sort ainsi.

Silence mortel. Je ne sais pas si c'est par ignorance ou par surprise, mais personne n'a réagi (en ce qui me concerne, c'était les deux). Ca l'a un peu décontenancé, le prof. Alors il a juste dit que si on voulait en savoir plus sur le foutoir que c'est de prendre des décisions, ou tout simplement de gérer la politique étrangère d'un pays, cette BD valait de l'or. J'ai donc noté, religieusement.

Les deux auteurs de ces Chroniques diplomatiques sont le dessinateur Christophe Blain et le scénariste Abel Lanzac. Ce dernier utilise un pseudonyme, et pour cause : il a travaillé dans le cabinet de Dominique de Villepin du temps où il était ministre des Affaires étrangères, quand Jacques Chirac était président (ça paraît loin, hein ?). C'est de cela que Quai d'Orsay s'inspire. Nous suivons Arthur Vlaminck, chargé de la communication au sein du cabinet d'Alexandre Taillard de Vorms, une caricature évidente de Dominique de Villepin. Arthur ne va pas tarder à constater que le ministre est un personnage particulier : constamment en mouvement, idéaliste, emporté, impatient, ayant une haute opinion de sa fonction et, pour tout dire, carrément difficile à suivre. Heureusement, son directeur de cabinet, d'un calme olympien, est là pour calmer le jeu et traduire les desiderata du ministre.

Ce qui m'a frappé, c'est l'absence totale de vulgarité du propos. Contrairement à de nombreuses BD de type politique, Quai d'Orsay évite les blagues faciles et vaseuses. On se rapprocherait plutôt d'un travail journalistique à caractère humoristique : il s'agit pour les auteurs de montrer le fonctionnement d'un cabinet de ministre dans son travail quotidien mais aussi confronté à des crises internationales soudaines. de Villepin n'est ni épargné ni adulé, son personnage est à la fois agaçant et impressionnant, c'est tout simplement un être humain atypique qui nous est décrit là, en dehors de toute considération politique. Abel Lanzac ne manque pas non plus d'évoquer les répercussions de ce métier sur la vie personnelle des conseillers, les coups bas entre ces derniers, mais aussi la pratique de la diplomatie au plus haut niveau.

Quant au dessin, il est adapté au propos et contribue énormément à faire de Taillard de Vorms ce personnage à la fois insaisissable et omniprésent. le but, là, n'est pas de faire dans le dessin réaliste et ce parti pris ajoute au côté rafraichissant de l'ouvrage. J'ajouterais même que cela contribue à le rendre plus accessible, sans que cela ne soit péjoratif pour un sou. Quai d'Orsay est bel et bien, au final, une BD drôle, intelligente et pleine de bonnes idées. Mon prof de stratégie avait raison : c'est très bon.
Lien : http://nonivuniconnu.be/?p=1..
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Blain au dessin, Lanzac à l'investigation… Ancien conseiller du Quai d'Orsay, ce dernier nous fait profiter de son expérience au sein de ces grands bureaux en mettant en scène un personnage dont la ressemblance avec Dominique de Villepin n'est absolument pas fortuite :dentsblanches :

Chaque chronique est introduite par une citation d'Héraclite censée représenter le goût du ministre pour tous les bons mots des grands maîtres à penser dont il semble friand :

« Je me suis cherché moi-même. »
« A l'âme appartient le discours qui s'accroît lui-même. »
« Présents, ils sont absents. »
« En se transformant, il reste au repos. »
« Fatigue c'est : peiner aux mêmes tâches et par elles commencer. »
« La sagesse : dire le vrai et agir selon la nature. »
« Errants dans la nuit : mages, bacchants, bacchantes, initiés. »


Citant à tort et à travers Mao Zedong, Marlier, Erasme, Montesquieu, Schumann, Jaurès… la représentation de de Villepin nous apparaît finalement comme un homme creux qui n'a de pensées personnelles que celles que d'autres ont déjà eues avant lui.
Toujours expert pour repousser les priorités à plus tard, oubliant les problèmes au Moyen-Orient pour assister à un repas avec le prix Nobel de littérature Molly Hutchinson (qu'il ne passera pas sans ses petites fiches de rappel), l'image qu'on se fait de lui n'est pas forcément des plus reluisantes mais amuse par les parallèles que l'on peut faire avec l'actuelle gouvernance du pays
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critiques presse (4)
ActuaBD
22 septembre 2021
Un récit très bien raconté par Tristan Roulot qui avait déjà tâté de la géopolitique dans son thriller financier Hedge Fund et qui s’appuie, pour cette histoire, sur les archives déclassifiées du Quai d’Orsay avec une remarquable réussite. Une passionnante nouvelle série que l’on suivra avec intérêt.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
BullesEtOnomatopees
27 décembre 2012
L’alias Abel Lanzac au scénario fait un travail formidable de mémoire/réécriture/invention, et Christophe Blain déroule comme à son habitude son talent.
Lire la critique sur le site : BullesEtOnomatopees
Bibliobs
16 juillet 2012
Ce livre est profond, et drôle aussi
Lire la critique sur le site : Bibliobs
Actualitte
02 décembre 2011
Avec ce second tome, Christophe Blain (dessin) et Abel Lanzac (scénario) ont réussi le pari de réaliser une suite au moins aussi piquante que le tome 1. Le scénario est d'autant plus prenant qu'il s'inspire de l'expérience bien réelle d'Abel Lanzac, haut fonctionnaire, longtemps immergé dans l'entourage de Dominique de Villepin alors à la tête du Quai d'Orsay.
Lire la critique sur le site : Actualitte
Citations et extraits (42) Voir plus Ajouter une citation
- M. le Président, il faut éteindre l'incendie avant que ça ne devienne un feu de forêt. (Alexandre Taillard de Worms)
- C'est du Héraclite, Alexandre ? Je me suis laissé dire que vous étiez un spécialiste. (Le Président)
- Oui, en effet. Ça me détend entre deux chasses à l'ours. (Alexandre Taillard de Worms)
-AHAHAHAHA... (Le Président)
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Quand tu fais un coup de pute à quelqu'un, c'est pas que tu lui veux du mal. C'est comme une caresse. S'il est bon, il va te faire un coup de pute aussi, après. C'est une relation amoureuse. Je te le dis : tu y prendras goût.
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J'ai toujours pas eu le temps de pisser depuis ce matin.
Heureusement que personne n'a pris la peine de me donner un verre de flotte non plus.
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Regardez par exemple ce livre. Vous voyez tout de suite qu’il est nul. Y a rien qu’est stabilossé. Alors que ça, là, j’ai tout stabilossé. Ca, c’est un bon livre.
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Un bon discours, c'est un discours dont on se souvient.
C'est comme "Tintin".
Vous avez lu "Tintin" ? Vous vous en souvenez ?
Pourquoi vous vous en souvenez à votre avis ?
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Videos de Christophe Blain (45) Voir plusAjouter une vidéo
Vidéo de Christophe Blain
Chaque mois, un grand nom de la littérature française contemporaine est invité par la BnF, le Centre national du livre et France Culture à parler de sa pratique de l'écriture. L'auteur Jean-Claude Mourlevat est à l'honneur de cette nouvelle séance.
Cette vidéo ne sera accessible que durant la durée de la conférence.
Né en 1964, Emmanuel Guibert fréquente les Arts Déco de Paris. En 1994, il fait deux rencontres importantes ; celle d'Alan Ingram Cope, un ancien soldat de la Seconde Guerre mondiale, retraité sur l'île de Ré, et celle de David B, qui l'introduit dans un cercle de jeunes auteurs cherchant à renouveler les pratiques de la bande dessinée. Il rejoint un atelier collectif que fréquentent Joann Sfar, Christophe Blain, Emile Bravo, Marjane Satrapi et bien d'autres, où il travaille pendant cinq ans. Sa collaboration avec la maison d'édition l'Association marque une évolution vers un style épuré au service des récits vécus de son ami Alan Cope. Dans cette série biographique, toujours en cours, on trouve La guerre d'Alan (3 volumes), L'enfance d'Alan et Martha & Alan. Il poursuit dans cette veine avec le Photographe (chez Dupuis), d'après des entretiens avec Didier Lefèvre, reporter-photographe en Afghanistan dans les années 1980. Cette trilogie, traduite en 20 langues, vaut à ses auteurs (Guibert-Lefèvre-Lemercier) des récompenses dans le monde entier. Puis il crée plusieurs séries ou albums uniques, notamment Sardine de l'espace (14 volumes) et Les Olives noires (3 volumes). Avec Marc Boutavant, autre camarade rencontré à l'atelier, il lance la série Ariol, chez Bayard, qui totalise à ce jour 20 volumes traduits en de nombreuses langues. Il crée également des chansons en partenariat avec le guitariste Dominique Cravic. Son intérêt pour la musique de jazz lui fait élaborer, avec le graphiste et producteur Philippe Ghielmetti, toutes les pochettes du label Vision Fugitive. En 2007, il est lauréat de la Villa Kujoyama. de cette récompense naîtra l'album Japonais en 2008, recueils de peintures, dessins et nouvelles. Avec un collectif d'amis auteurs, il visite des grottes préhistoriques ornées en France. de cette expérience naissent le volume collectif Rupestres chez Futuropolis et la réalisation de fresques pariétales dans une grotte du Parc Régional des Causses du Quercy. En 2017, il est lauréat du prix René Goscinny pour l'ensemble de son oeuvre de scénariste au festival d'Angoulême. Il mène depuis quinze ans une activité discontinue mais fidèle de visiteur hospitalier et a rejoint Christine Géricot à l'association Sur un lit de couleurs, qu'il vice-préside. Cette association installe et supervise des ateliers d'arts plastiques animés par des enseignants dans les hôpitaux en France. Emmanuel Guibert a reçu le Grand Prix de la ville d'Angoulême lors du Festival international de la bande dessinée en 2020.
Animés par des producteurs et productrices de France Culture, les entretiens du cycle « En lisant, en écrivant » sont réalisés en public à la BnF, puis diffusés dans la grille d'été de France Culture et disponibles en podcast. Genèse des oeuvres, sources d'inspiration, aléas de la vie quotidienne d'un auteur ou d'une autrice, édition et réception des textes – autant de sujets que ces rencontres permettent d'aborder, au plus près de la création littéraire.
Rencontre animée par Arnaud Laporte, producteur chez France Culture
En savoir plus sur les Master classes : https://www.bnf.fr/fr/agenda/masterclasses-en-lisant-en-ecrivant
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