Christophe Hondelatte

« Histoires criminelles » présente vingt-quatre affaires qui ont défrayé la chronique du XIXème siècle à nos jours. Certaines sont connues (Gaston Dominici, Charles Manson, Thierry Paulin) ou ont été traitées par l’émission « Faites entrer l’accusé » (Louis Poirson, Bérenger Brouns), d’autres non. Un chapitre est consacré au triple assassinat du château d’Escoire popularisé par Philippe Janeada dans son roman « La Serpe ». Certaines affaires ont été sélectionnées pour leur importance historique. Marcel Redurau, un tueur âgé de quinze ans, est ainsi le premier prévenu à avoir sa photo à la une des quotidiens en 1913 grâce aux progrès conjugués de la presse et de l’imprimerie. Pour l’assassinat du procureur Fualdès en 1817, pour la première fois dans l’histoire judiciaire, l’opinion mondiale se passionne pour une histoire française, la presse étrangère relate les rebondissements de l’enquête et le déroulement du procès. Les affaires sont dévoilées en une dizaine de pages dans un style journalistique . Je me suis parfois surpris à lire des passages avec la voix et les intonations de Christophe Hondelatte. J’apprécie beaucoup le travail de ce journaliste aujourd’hui disponible sur internet (‘’Faites entrer l’accusé’’ a désormais une chaîne sur Youtube où l’on peut visionner de nombreux épisodes, les podcast de « Hondelatte raconte » sont accessibles sur de nombreux supports. ) C’était un véritable plaisir de lire ce recueil qui a nourri ma fascination pour les faits divers. « Histoires criminelles » est dans la lignée des dossiers de Pierre Bellemare que je dévorais adolescent, un recueil de récits fascinants et glaçants....





En partenariat avec les éditions JC Lattès via Netgalley.

Histoires criminelles de Christophe Hondelatte nous offre une plongée totale dans le monde des faits-divers criminel français. Monde totalement inconnu pour moi, j’ai beaucoup appris de ma lecture. Avec des chapitres d’une dizaine de pages chacun, Christophe Hondelatte nous relate avec un talent de conteur indéniable, une vingtaine de faits divers assez glaçants en effet. Le tout se lit vraiment bien et il est facile de le conseiller pour l’été pour les curieux du genre. N’en étant pas une à la base, j’ai beaucoup aimé découvrir ces faits-divers et ai été surprise par le traitement de ses crimes par la justice et surtout par le milieu des psychologues … On a encore beaucoup de travail !



Histoires criminelles saura ravir un large public en proposant un panel conséquent de faits divers servis par une écriture vraiment fluide et didactique. Merci à Babelio et les éditions J’ai lu pour l’envoi de cet ouvrage et pour m’avoir sortie de ma zone de confort !

Envie d’une lecture surprenante dans laquelle vous ne savez pas où vous mettez les pieds ?

Passez votre chemin car oui le titre ne laisse planer aucun suspens sur le sujet traité.

Ce livre documentaire relate 25 faits-divers du XIXe siècle à nos jours élucidés ou non. Les histoires sont courtes et percutantes.

Je vous l’accorde ce n’est pas une verve unique que l’on vient chercher dans ce type de lecture mais tout de même le style laisse à désirer.

J’aurais aimé que Christophe Hondelatte ramène cette petite touche qui fait que son ouvrage reste en mémoire plus de 24 heures.

Un bon moment tout de même pour découvrir ou redécouvrir des histoires criminelles fascinantes.

Ce livre retrace l'affaire du petit Grégory Villemin, cet enfant de 4 ans retrouvé mort dans les eaux froides de la Vologne le 16 octobre 1984. On découvre à quel point la justice a bâclé cette affaire, à quel point la presse a influencé l'opinion publique et a voulu faire de Christine Villemin, la mère de Grégory, une "coupable idéale".

On découvre aussi les liens forts qui unissent Jean-Marie et Christine Villemin, qui au cours de toutes ces années, se sont toujours soutenu et ne demandent qu'une seule chose : la vérité.



Ce livre est paru en 2005 et depuis des événements se sont déroulés comme le suicide du juge Lambert, qui a instruit cette affaire à ses débuts. Mais en 2019, on ne sait toujours pas qui a commis cet odieux crime.



Je conseille ce livre à ceux qui ne connaissent pas vraiment l'histoire de Grégory Villemin et qui veulent connaitre les grands événements de cette affaire. Pour ceux qui la connaissent déjà bien, ce livre ne vous apprendra pas grand chose de plus.

J'aime ce genre de livre, qui relate des faits divers avec pour toile de fond, le meurtre. J'aime beaucoup Christophe Hondelatte, qui est un excellent conteur, et qui nous raconte ces histoires avec passion.

Sur l'ensemble de ces histoires, je n'en connaissais qu'une, les autres ont toutes étaient des découvertes pour moi, elles nous montrent une fois encore que la folie humaine existe, et qu'elle reste malgré tout toujours aussi surprenante.

Ces histoires sont courtes, elles sont suffisamment détaillées pour mettre le lecteur dans le bain direct, sans qu'il y est des longueurs ou des descriptifs inutiles, j'ai vraiment beaucoup apprécié ce livre et si un tome 2 existe, je n'hésiterais pas une seconde avant de le lire.

Il s’agit d’un florilège d’histoires criminelles du XIXème siècle à nos jours. Le style est désagréable, racoleur, ponctué de points d’exclamation et de termes à connotation sensationnelle : « incroyable ! », « Inouï ! ». J’ai eu l’impression que l’auteur avait imprimé son prompteur. Je suis très déçue, n’est pas conteur qui veut, on est très loin des histoires racontées par Pierre Bellemare.

N’ayant pas de télévision et ne m’y intéressant pas le moins du monde, je n’ai jamais vu l’émission Faites entrer l’accusé, même si j’en ai bien sûr entendu parler. J’abordais ainsi sans préjugé le livre de Christophe Hondelatte, dont le titre et la présentation m’avaient fortement attirée. Je n’ai pas été déçue par l’ouvrage de ce journaliste, qui m’a rappelé les histoires contées par Pierre Bellemare il y a fort longtemps.



Nous retrouvons ici vingt cinq histoires de crimes, qui s’étendent du dix-neuvième siècle à nos jours, elle font un peu plus de dix pages chacune et ne sont pas présentées dans l’ordre chronologique, ce qui est d’ailleurs un peu dommage. Tous les crimes se sont passés en France, sauf celui de Charles Manson et de ses disciples (USA), je ne connaissais que l’un ou l’autre de ces faits divers qui ont défrayé la chronique ces dernières années (Affaire Viguier où la femme d’un professeur de droit a disparu, mais il a été acquitté faute de preuves et celle du père qui droguait les adversaires de ses enfants au tennis), donc c’était pour moi de nouvelles anecdotes.



L’écriture est très fluide et très agréable à lire dans le style journalistique, les histoires se succèdent rapidement. Ce qui est dommage, c’est que l’on est noyé sous la masse d’information et que ces récits ne resteront pas longtemps en mémoire.



L’évolution historique est très intéressante. Les accusés du dix-neuvième siècle n’avaient pas beaucoup de chance de faire reconnaître leur innocence, les investigations scientifiques n’existaient pas ou à peine et on jugeait sur les apparences. Le sommet de ce genre est atteint dans le récit de l’auberge rouge où des innocents sont condamnés à mort et exécutés pour de nombreux crimes qu’il n’ont pas commis, l’enquête étant basée uniquement sur des ragots dus à la jalousie, sans l’ombre d’un seul début de preuve, un voisin vient même témoigner à la place d’un mort. Plusieurs histoires ne sont pas résolues faute de preuves et aujourd’hui dans ce cas, le doute bénéficie à l’accusé, comme dans l’affaire Viguier.



A travers les récits de ce livre, on voit la justice évoluer sur deux siècles et c’est très intéressant. On découvre aussi quelques premières, une affaire où l’assassin a sa photo dans les journaux (1913), une autre qui a passionné toute l’Europe dans les années 1820, la manipulation de la justice par les politiques et deux récits concernant des bagnards qui ont pu échapper à l’enfer guyannais. Ce livre est très agréable à lire et intéressant, c’est dommage toutefois que le lecteur soit noyé sous une masse d’informations dont il ne retiendra que quelques grandes lignes.



Un grand merci aux Editions JC Lattès et à Netgalley pour ce partenariat très apprécié.
Lien : https://patpolar48361071.wor..

Amateurs de polars, nous nous plongeons souvent dans quelque roman sanglant pour nous faire peur et nous torturer les méninges... mais nous n’avons pas besoin de fiction ! Dans cet ouvrage, Christophe Hondelatte dissèque vingt-cinq affaires criminelles à travers l’Histoire. Sur le ton de la confidence, il nous fait découvrir en détail des meurtres aux motivations bien différentes mais tous aussi glaçants. En ressortent certains noms connus comme le très médiatisé Charles Manson, ou encore les multiples assassinats de vieilles dames qui ont fait trembler la capitale à la fin des années 1980. L’histoire qui m’a le plus marquée est celle de Nicolas Cocaign, « le cannibale de Rouen » (l’un des rares cas de cannibalisme recensé en France), qui a littéralement cuisiné son compagnon de cellule aux petits oignons... Dans la lignée des recueils de Pierre Bellemare, ces « Histoires criminelles » ont de quoi vous donner quelques sueurs froides !

Christophe Hondelatte est un conteur hors-pair qui ne s'en laisse pas conter!

Il met en scène chacune des histoires criminelles -basées sur des faits réels- nous faisant partager son point de vue après une analyse personnelle avant de passer à la suivante. Chacune est originale ,certaines sont célèbres , certaines ont été résolues avec plus ou moins de rigueur ,d'autres demeurent mystérieuses .On s'interroge parfois sur le bienfondé d'une justice qui a pu être aléatoire.

Je connaissais l'auteur par le biais de ses interventions radiophoniques , j'ai reconnu son savoir-faire dans ce recueil. A travers sa lecture on suit une forme d'évolution de la société (le quotidien des gens ,la Justice ,l'Eglise ).On constate aussi que l'inventivité des criminels est sans bornes.

Merci à Babelio qui m'a permis de lire ce roman.

Deuxième livre de Christophe Hondelatte que je lis, et c'est toujours le même plaisir.

Dans ce livre, Christophe Hondelatte nous raconte un peu plus de 20 histoires criminelles qui ont toutes été jugées.

Certaines de ces histoires sont très connues comme celle de l'athlète Oskar Pistorius ou encore celle du cannibale de Rotenburg, mais les redécouvrir nous permet de se remémorer l'horreur dont l'être humain est capable d'affliger à son prochain. D'autres beaucoup moins connues, car souvent plus anciennes, à une époque où les médias étaient beaucoup moins virulents, nous conforte dans le fait que les gens sont capables de cruauté extrême bien au delà de notre propre tolérance.

La folie n'est malheureusement pas toujours présente dans ces récits, c'est justement ce qui donne le caractère encore plus horrible à ces histoires.

Christophe Hondelatte a une façon très agréable de nous raconter ces histoires, on a quelques fois le sentiment qu'il nous prend à témoin. Je ne suis malheureusement pas assez souvent en voiture en début d'après midi, car c'est également un réel plaisir de l'écouter.

Émilie Tanay, 9 ans, est heureuse de passer le week-end dans la famille Tocqueville, elle est très amie avec l'un des fils. La maman d'Émilie confie aux Tocqueville les médicaments de la petite qui a une bronchite. Les Tocqueville donnent alors la Josacine à Émilie. Plus tard, dans la soirée de ce 11 juin 1994, Émilie va mourrir.

C'est de là que va commencer l'histoire de la Josacine empoisonnée. Comment cette enfant en bonne santé a pu mourrir d'un coup ? On découvre que la Josacine ingérée par Émilie contient du cyanure. Qui a pu tuer la petite Émilie ? Tout mène vers Jean-Marc Deperrois, un notable, qui se dit innocent...



Je ne connaissais que très peu l'histoire de la Josacine (elle s'est déroulée l'année de ma naissance) et en lisant ce livre, j'ai étais frappée par cette affaire. Car on peut dire qu'elle est rocambolesque. La petite Émilie se retrouve empoisonnée alors qu'elle n'était pas visée.

Des parallèles sont très souvent fait avec l'affaire Grégory : le meurtre d'un enfant, des lettres de corbeaux, des parents accusés et menacés... Tout comme pour Grégory, Émilie a vite été oubliée dans cette histoire : une fois de plus la presse lance des rumeurs et influe grandement sur l'opinion publique. Les parents Tanay, complètement anéantis sont en plus de cela, insultés et rejetés de tous. Au contraire, Jean-Marc Deperrois est défendu par tous et personne ne veut croire à son implication dans la mort d'Émilie. Il sera pourtant condamné à 20 ans de prison, il en sortira en 2006. Depuis, il affirme toujours son innocence.



Ce livre est très intéressant et très détaillé pour ceux qui souhaitent connaître l'affaire.

Un bon moment de lecture



Avec ce livre, Hondelatte fait ce qu'il fait de mieux: nous raconter des histoires qui nous glacent le sang. Au cours de ma lecture, c'est comme si j'entendais sa voix me racontant lui même ces faits divers.

L'écriture est fluide, les recherches poussées, les chapitres ni trop long ni trop court.

On peut aussi souligner l'originalité des cas exposés dans cet ouvrage : peu ont déjà été relaté.

Au fil des chapitres, on ne cesse de s'interroger sur l'âme humaine, sur la cruauté et la barbarie de certains de notre espèce, on dépasse ici la curiosité morbide pour être dans l'interrogation permanente.



Un bon livre pour tout ceux qui s'intéresse au sujet.

Le style très journalistique de Hondelatte est très bon,et permet au lecteur une compréhension immédiate et complète de l'affaire...j'ai pris un grand plaisir à lire ce livre qui m'a fait un peu sortir des classiques littéraires...bref,une récréation très appréciable

D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé les livres, films, séries ou encore émissions traitant d’histoires criminelles. Comme beaucoup, je pense, c’est Pierre Bellemare qui a fait mon éducation sur le sujet et qui m’a donné le goût de ce genre. J’ai ensuite étoffé ma culture des enquêtes criminelles, qu’elles soient réelles ou fictives, par la lecture d’auteurs tels que Jean-Christophe Grangé, Patricia Cornwell et j’en passe car la liste est assez longue. Alors après avoir lu l’avis de Mutinelle sur cet ouvrage, j’ai décidé de me le procurer et de renouer avec l’enquêtrice qui sommeille en moi.



Le récit se présente sous la forme de vingt-quatre nouvelles, une par chapitre, d’une durée de lecture approximative de 5 à 10 minutes chacune. Cela peut vous paraître un peu court mais la narration de Christophe Hondelatte est efficace, fluide et détaillée, ce qui permet de rentrer directement dans le vif du sujet. Beaucoup de faits m’étaient inconnus et c’est tant mieux car j’ai vraiment pris plaisir à les découvrir. Le moins que l’on puisse dire, c’est que chacun des affaires traitées dans cet ouvrage suscite son lot d’émotions. J’ai été tour à tour consternée et emplie d’effroi, mais également parfois profondément en colère et révoltée (notamment sur les affaires restées encore aujourd’hui sans résolution), mais néanmoins captivée de bout en bout. L’une d’elles m’a particulièrement fait froid dans le dos et laissé un petit goût étrange dans la bouche, au point de m’être sentie obligée d’en parler avec monsieur après-coup pour exorciser tout ça. Outre l’atrocité du crime décrit, ce sont les raisons du passage à l’acte qui m’ont laissé pantoise. Je crois que c’est la première fois qu’une histoire me plonge à ce point dans un tel malaise et pourtant, je crois avoir regardé, écouté et lu pas mal de chose sur le sujet.



Pour lire l'intégralité de mon avis, je vous invite à vous rendre sur le site ---> https://www.fwiw.fr/livres-comics-mangas/histoires-criminelles/
Lien : https://www.fwiw.fr/livres-c..

Le casse du siècle, ou l'homme qui n'a jamais été pris; cavalcade avec interviews, argent à flots, conquêtes, admiration unanime de celui qui a su ridiculiser les banques, la police et les juges.

A quoi bon bien se tenir dans la vie? Tous les gens les plus irréprochables et honnêtes du monde n'ont pas eu le quart de ces chances.

Je ne connaissais que de nom cette affaire mais pas les tenants et aboutissants. C'était l'occasion de comprendre mieux ce qu'il en était entre la disparition et la sortie du livre. Je sais qu'il y a eu des rebondissements en presque 20 ans depuis.

C'était intéressant et bien documenté pour comprendre cette affaire. Parfois, il y a des redondances et on insiste souvent sur les mêmes points d'où ma note.

Que dire à part que lorsqu on lit ce documentaire, on a l impression de voir l émission. On y découvre une Simone Weber menteuse, cupide, manipulatrice, d une jalousie maladive et qui supporte pas qu on la quitte. Malgré l absence du cadavre et les nombreuses preuves à charge contre elle, elle continue de nier jusqu au bout et même lors de son procès, elle ne dira rien. Très bon livre,.

J'ai beaucoup aimé découvrir certains faits divers, m'en remémorer d'autres

C'est très bien écrit, très documenté, facile à lire

Une fois commencé on ne le lâche plus même si on connaît certains histoires, comme je ne suis pas trop télé j'ai vaguement suivi à l'époque certaines de ces histoires criminelles

L'auteur donne envie d'en savoir plus et de se documenter de son côté

C'est juste dommage qu'il n'y ait pas les photos des protagonistes, sinon c'est vraiment très intéressant et donne envie de lire d'autres ouvrages du même style

Je ne connais que ce médicament, qui m'a toujours était prescrit car sans pénicilline. Son histoire, j'étais trop jeune et je l'a découvre dans ce livre.

Je m'attends à tout, sauf à ça. Je m'attends au fait que le lot de josacine est eu un empoisonnement, pas que quelqu'un l'ait empoisonné volontairement. C'est terrible... Empoisonner ce qui peut soigner pour tuer...

Une petite fille va en subir les conséquences. Et le plus affreux encore: sa mort va être oublié au profit de l'accusé.

Dans cette ouvrage on découvre la honte. On reproche à la police de ne pas faire son travail, mais quand elle le fait, on le reproche aussi. Toujours cette fameuse France qui surgit: théorie du complot, corbeau, dénonciation...on reprend les mêmes et on recommence... C'est affligeant.

Une enquête et un procès terrible. Une famille dévastée, une nouvelle vie brisée. Un monde qui fait peur, où on ne veut pas la justice, juste le droit d'avoir raison... Même quand on a tord.

Un livre bien écrit, entraînant, qui montre la réalité, sans prendre partie.

Bon livre, je suis une puriste dans les bios de criminels alors j'ai repérer une petite erreur dans l'histoire de Bonnie & Clyde. (C'est un peu dommage pour un journaliste spécialisé).

Ça reste un bon bouquin de fait divers pour les amateurs.

Le style de Hondelatte est très appréciable.