Je ne sais pas s’il existe des « âges d’or » véritables car je ne suis pas historien, et peut-être que chacun d’entre nous transporte son propre âge d’or à l’intérieur de lui… En tout cas j’ai l’impression d’avoir vécu quelque chose d’unique et de précieux.
La chose qui traque le peuple des Elfes n’est pas de ce monde. C’est pour cela qu’on ne peut pas la tuer. Elle évolue dans un univers différent du nôtre. Nous ne percevons que son aura de malfaisance et les images de peur qu’elle suscite.
– A quoi songez vous ? demanda le Forestier, qui essayait de suivre le rythme sans marcher sur les pieds de sa cavalière.
– Oh ! A rien de particulier… A tout ce qui nous est arrivé, en fait. C’est curieux ; ces quelques jours passés en votre compagnie me paraissent avoir duré des années.
– Ne me faites pas croire que vous vous êtes ennuyée.
Elle pouffa :
– Oh non, sûrement pas !
- Le gars qui a envoyé le SOS... Il n'a pas parlé d'une maladie ou de quelque chose dans le genre ?
« Pendant que tu bayes aux corneilles, le gouvernement complote ! […] Les ânes ! Ils croyaient encore que l'attentat du World Trade Center était une ''simple'' attaque terroriste. Virgil leur avait pourtant montré les images au ralenti : des petites charges explosives se déclenchaient juste avant l'effondrement des tours jumelles, c'était flagrant ! […] Malgré cette avalanche de preuves, les contribuables américains continuaient à gober la version officielle, sans chercher à voir plus loin que le bout de leur nez ! » p.32-33
« Mel Hondo n'était pas comme les autres. Mel le comprenait. Il était rédacteur en chef d'un webzine appelé Conspiracy Theory. » p.37-38
« [Bannister] discernait clairement dans ce vieux cartoon une dimension métaphysique : rien de moins qu'une métaphore de l'existence humaine ! […] Pauvre coyote. Il était voué à un éternel recommencement. » p.87
« En ce temps-là, il ignorait que ses parents lui mentaient sur ses origines. Il ignorait à quel point le monde était faux, bidon, pourri... » p.288
Quand il tombait amoureux de l'une de ses idées, le dramaturge avait l'impression que sa perception du monde gagnait en acuité : les couleurs étaient rehaussées, les sons ambiants amplifiés. La vie devenait plus électrique, plus intense.
Comme un toxicomane, il revenait toujours s'abreuver à son inspiration, cette féconde source qui coulait en lui depuis son plus jeune âge.
Enfermer les détenus, oui. Les priver de liberté, une fois qu'ils ont été condamnés, bien sûr. Mais les priver de liberté, et de rien d'autre.
Le passage qui m’a plus c’est quand il vont mettre des affiche contre Hitler partout dans la ville et il se sépare et il sont plu que seul dans la ville et il on peu de se faire prendre car il s’iront directement en prison il transporte une bombe se qui provoque du suspense et on a peur pour eux aussi
"Et mon cœur s'est arrêté de battre ''avec Miguelito ,l'homme qui peut lire dans vos pensées!"
Miguelito ,sur la photo ,c'était Mickael. Un Mickael de quarante ans.
"Mais alors ...?"
Dussander prit le tract et en lut des extraits au hasard: (...)
Comme toujours, le texte se terminait par la citation d'un écrivain ou d'un penseur. Cette fois c'était Aristote qui concluait:
"Le tyran désire faire de la guerre un état permanent."
Dussander se racla la gorge et dit d'un ton sombre:
- Il y a là-dedans de quoi passer plusieurs fois devant le peloton d'exécution. Même un chat à neuf vies n'y survivrait pas.
Je m'étais toujours demandé comment la résistance allemande s'était organisée. Je sais maintenant...