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Citations de Clare Mackintosh (267)


Nous pleurons ensemble, le même petit garçon dans deux cœurs, de part et d'autre de l'océan.
page 318
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Pourtant, lorsqu'on se tient à un carrefour, on ne peut voir que les premiers mètres des chemins qui nous mèneront à différentes destinations. Tout ce que l'on peut faire, c'est en choisir un et avancer en espérant que quelqu'un marche à nos côtés.
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Ça commence par un petit mot dans une boîte aux lettres, puis il y en aura d'autres et encore un à la dernière page...Encore un thriller psychologique captivant, intriguant avec de nombreux rebondissements qui peuvent amener le lecteur à douter. L'auteur nous tient en haleine jusqu'au bout, jusqu'à la dernière ligne. J'ai beaucoup aimé le personnage principal d'Anna jeune maman sensible que l'on pourrait croire faible...Anna qui en moins d'un an a perdu ses deux parent... Suicide ? Anna en doute, on lui met le doute...Anna pourrait passer à autre chose et tenter de se reconstruire. Elle aurait tout pour être heureuse : une maison, de l'argent, un compagnon attentionné, un bébé. Elle est, par ailleurs, très entourée. Qu'est-ce qui la pousse à faire part de ses doutes à la police et lancer ainsi la machine infernale ?. Le roman est divisé en trois parties. J'ai beaucoup aimé, outre le récit, les passages où des tiers reviennent sur le passé. C'était comme si on lisait des pages d'un journal intime. Un thriller où l'on s'attache aux personnages comme le couple Murray : lui policier à la retraite mais qui continue d'apporter ses services, elle dépressive. Enfin, l'auteur aborde des points intéressants comme l'alcoolisme, les conventions sociales et familiales, la dépression, les apparences. Tout autant de points qui peuvent conduire à un suicide...ou un meurtre ? Au lecteur de le découvrir.
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Symptômes. Processus. Pathologie.
Nous nommons ainsi des phénomènes qui nous échappent parce que nous avons peur de ce qu'ils pourraient signifier. De ce qu'ils pourraient nous faire.
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Le silence tombe sur le prétoire et le juge me fixe froidement. J’éprouve l’envie absurde de lui dire que je ne suis pas comme les accusés qu’il a l’habitude de voir défiler dans son tribunal. Que j’ai grandi dans une maison comme la sienne et que je suis allée à l’université ; que j’ai organisé des dîners chez moi ; que j’ai eu des amis. Que j’étais autrefois sûre de moi et extravertie. Que je n’avais jamais enfreint la loi jusqu’à l’année dernière et que ce fut une terrible erreur. Mais son regard est indifférent et je sais qu’il se moque de savoir qui je suis ou combien de dîners j’ai organisés.
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A l'époque où Ray s'était engagé dans la police, tout semblait très simple. Arrêter les criminels et protéger les braves gens. Aider les victimes d'attaques au couteau et d'agressions, de viols et de dégradations, et participer à la construction d'un monde meilleur. Mais le faisait-il vraiment ? Il était enfermé dans son bureau de huit heures du matin à huit heures du soir, ne sortant sur une affaire que lorsque la paperasse pouvait attendre, obligé de se plier aux exigences de la direction même quand cela allait à l'encontre de ses principes. p.95
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La direction veut des résultats rapides,... c'est tout ce qui les intéresse... Si une affaire n'est pas résolue en quelques semaines - quelques jours dans l'idéal -, elle n'est plus prioritaire et elle est remplacée par une autre. p.67
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La douleur que j'éprouve est si physique qu'il semble impossible que je sois encore en vie ; impossible que mon cœur continue de battre alors qu'il est en lambeaux. J'aimerais graver une image de lui dans mon esprit, mais tout ce que je vois quand je ferme les yeux, c'est son corps sans vie dans mes bras. Je l'ai laissé tomber et je ne me le pardonnerai jamais. p.61
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Ils croient avoir gagné la partie [masquer] maintenant que Melissa est morte. [/masquer] Ils croient que c'est fini.
Ils se trompent.
Ça ne fait que commencer.
[...]
Et bien sûr, je t'ai, toi.
Toi, et des milliers d'autres femmes qui font la même chose tous les jours.
Je te vois, mais toi, tu ne me vois pas.
Jusqu'à ce que j'en décide autrement.
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J’ai cessé de consulter le jour où je me suis rendu compte que j’aurais beau parler tout mon soûl, je ne ferais pas revenir mes parents. On en arrive à un point où la douleur que l’on ressent est simplement de la tristesse. C’est un sentiment dont on ne guérit pas.
C’est compliqué, le chagrin. Il est fluctuant et possède tant de facettes qu’essayer de le décortiquer me donne la migraine.
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La routine est réconfortante, familière, rassurante.
La routine te tranquillise.
La routine te perdra.
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Je peux lire n'importe quoi du moment que l'intrigue tient la route.
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- Ca ne te ressemble pas du tout, maman? C'est une vieille peau avec des racines, dit Justin.

Un compliment doit sûrement se cacher dans sa remarque, mais où ?
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- C'est un homme, Jenna, ce sont des créatures simples. Parle-lui. Parle-lui comme tu viens de le faire avec moi. Dis-lui que tu avais peur. Il comprendra que tu regrettes ce que tu as fait.
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Mes pas sont pls légers à présent et je comprend que c'est parceque je cours vers quelque chose. Je ne fuis rien
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Je regarde tour à tour mon compagnon et ma fille, tel un lapin aveuglé par les phares d'une voiture, ne sachant de quel côté de la route me réfugier.
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« Et jette un coup d’œil en bas de la page où sont regroupées les publicités pour le téléphone rose.
« Femme mariée recherche plan sexe discret. Contacte ANGEL par SMS au 69998 pour photos ».
Ce sont les tarifs exorbitants des SMS qui me font tiquer plus que le service proposé. Qui suis-je pour juger des mœurs des autres ? Je m’apprête à tourner la page, résignée à lire le compte-rendu du match de foot d’hier soir, quand l’annonce au-dessous de celle d’Angel attire mon attention.
L’espace d’un instant, je me dis que doit avoir la vue fatiguée : je cligne fort des paupières sans que cela change quoi que ce soit.
Je suis si absorbée par ce que j’ai sous les yeux que je ne remarque pas que le train redémarre. Il repart brusquement et, projetée de côté, je tends la main par réflexe, touchant la cuisse de mon voisin.
- Excusez-moi !
- Ce n’est rien, pas de souci.
Il m’adresse un sourire et je me force à lui rendre, même si mon cœur bat la chamade et que je ne peux pas détacher les yeux de l’annonce. Elle comporte les mêmes mises en garde à propos des tarifs d’appel que les autres encarts publicitaires et, en haut, se détache un numéro en 0809 et une adresse Internet : www.trouvel-amesoeur.com. Mais c’est la photo qui m’interpelle. Cadrée tout près d’un visage féminin, elle permet pourtant de voir distinctement des cheveux blonds et de deviner un haut noir à bretelles. Plus âgée que les autres femmes qui étalent leurs charmes sur la page, il est difficile de lui donner un âge précis tant la photo est médiocre.
Mais il se trouve que je connais son âge. Je sais qu’elle a quarante ans.
Parce que c’est une photo de moi. »
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La vie est une loterie.
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Je rêve de pouvoir me rendre à mon travail à pied , même si c'est un voeu pieux : les seuls emplois dignes d'être acceptés se trouvent en zone une alors que les seuls loyers accessibles sont en zone quatre .
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– Je ne supporte pas l'idée que le conducteur court toujours en pensant qu'il s'en est tiré. Et je ne
supporte pas l'idée que la mère de Jacob soit partie de Bristol en pensant qu'on ne faisait pas tout pour retrouver le responsable.
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