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Citations de Claude Boujon (47)


Sa sixième rencontre fut un tracteur.
Il était grand, il était beau, il sentait bon le moteur chaud.
Mais il resta sourd comme un pot à ses avances.
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"Hé là, hé là, qu'essaies-tu de faire", dit le hibou qui vivait là, "tu veux partager mon chez moi ? Je te préviens : je dors le jour et sors la nuit. C'est invivable pour qui n'a pas ces habitudes."
Verdurette n'insista pas et alla voir plus loin.
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Il tirait la langue aux oiseaux.
Il tirait la langue aux poissons.
Il se tirait la langue.
C'était extrêmement lassant, je l’avoue.
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"Hé, là-haut ! Tu peux me dire depuis quand les lapins montent aux arbres ?"
"Depuis aussi longtemps que les lapins fument", répondit vertement Jeannot qui n'aimait pas du tout la mauvaise habitude de son parent.
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"Que manges-tu ?" demande-t-il au renard.
"Je mange du lapin", répond le renard.
"Au secours !" crie Monsieur Lapin.
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"Attendez ce n'est pas fini", gronda le renard en plongeant sa patte dans le terrier. "Je vais bien en attraper un au hasard" ajouta t il.
"Marron ou gris, les lapins ont le même goût."
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On a parfois besoin d'un plus gros que soi.
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Dans le quart de la moitié d'une seconde, ils surent qu'ils étaient perdus. Nul espoirs n'était permis. Impossible de fuir ou de se cacher. Aucun objet pour se défendre. Il n'y avait que le livre.
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Un jour, Ernest trouva un livre et l'emporta chez lui. A peine ouvert, il fût très intéressé.
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Elle avait tout ce qu'il fallait pour s'occuper de sa chevelure.
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"D'accord, d'accord, Monsieur Brun, mais attrape mon savon, tu pourras te laver avec. Tu sens mauvais."
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Il ramassa le fruit d'où surgit un asticot.
"Bonjour Monsieur le carnassier",
dit le vermiceau gigoteur, "tu n'oserais quand même pas me boulotter ?
Je n'en vaux pas la peine.
Je ne remplirais pas une dent creuse."
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"Te voilà libre", lui dit un vieux lapin plein de sagesse. "Il faut maintenant que tu commences ta vraie vie. Va rejoindre les tiens au lieu de jouer à nous faire peur".
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Il commençait dès le matin. Au réveil, je sautais sur son lit pour le câliner et , toc, ça y était.
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Les jours passaient, nous attendions. Pour montrer que nous ne lui en voulions pas, de temps en temps, quand il tirait la langue, nous la tirions aussi. Quel spectacle!
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Tu y vois de travers mais tu as un fameux coup de dents.
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Le soir, au bord de la mare, il y avait comme de l'inquiétude dans l'air.
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A force d'en baver, le crapaud en eut assez.
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Tout à coup un tremblement de terre les secoua comme feuille au vent et les réveilla en sursaut.
Le plus audacieux alla jusqu'à l'entrée pour voir d'où venait cette secousse.
"Coucou", lui fit un éléphant qui le regardait gentiment.
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Le temps passait. Ton père grandit, rencontra ta mère et tu vins au monde.
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