Il s’agit du tome 1 de la saga Monstres, Force et Liberté.
Karen, une jeune étudiante belge, reçoit des menaces. Les prenant à la légère, elle décide de les ignorer, pensant à une blague. Mais, lorsque quelques jours plus tard, son bourreau met une de ses menaces à exécution, Karen se met à douter… Quel est ce psychopathe qui s’amuse à la torturer ? Qui s’en prend à sa famille ? Et surtout qui est bien renseigné sur les frasques de sa famille ?
La jeune femme décide d’en parler à ses amies pour trouver de l’aide. Mais elles se retrouvent finalement toutes à devoir réaliser des « missions » pour éviter que ce fameux bourreau révèle leurs secrets bien enfouis.
Dans ce premier tome, Clélia pose les bases de son histoire.
On découvre les personnages, leur passé et les liens qui les unissent.
J’ai trouvé très intéressant le fait qu’elle nous propose dès le début un flash-back retraçant l’histoire de certains personnages. Cela nous permet par moments de comprendre leurs agissements.
La psychologie est au coeur de ce roman.
Nous sommes plongés en plein coeur de la Belgique, à Louvain-La-Neuve. Les expressions et tournures de phrases propres aux belges m’ont totalement immergée dans ce pays.
J’y ai même appris des nouveaux mots ! 😉
Quant à l’intrigue, elle est présente dès le milieu du roman. Les rebondissements rythment le récit et nous incitent à tourner les pages.
Les personnages sont très bien décrits, et chacun a sa particularité. Bien évidemment, la vengeance de ces personnages prend une part importante dans ce roman. Elle nous montre une des définitions que le mot monstre peut revêtir.
Le livre se termine déjà et me tient toujours en haleine.
Vivement la lecture du tome 2 (et des suivants) pour découvrir la suite de cette intrigue !
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