Je pense qu'il s'agit d'un des ouvrages les plus connus de l'ensemble de la population française. Nous en avons tous lu au moins des extraits dans nos livres de lecture en école primaire.
La fameuse comtesse que l'on sait née Rostopchine a vécu au 19ème siècle, et mariée à un personnage fortuné, a passé une partie de sa vie à faire des enfants, une autre à les élever et à écrire des romans pour le moins moralisateurs (a partir de cinquante ans).
Dans ses livres, la comtesse s'appuiera beaucoup sur sa vie, son expérience de petite fille, (Son prénom est tout simplement Sophie) pour donner des pricipes pédagogiques.
Bien sur il faut remettre cela tout dans son contexte (19 ème siècle) et l'apprécier à la lumière de la société de l'époque, (Sévices corporels ! Entre autres) mais l'auteur, sous d'autres prétextes, nous dépeint son époque à la façon d'un sociologue. (Rapport Bourgeoisie / Peuple / Domesticité. - Usage du camphre, des saignées, des cataplasmes, toutes choses un peu dépassées) On connait tous certains passages ( Le fer à friser par exemple). Beaucoup d'enfants ont versé une petite larme devant les malheurs vécus par cette chipie de Sophie.
Eh bien il est plaisant, conscient de tout cela de relire quelques passages et de s'amuser de nos souvenirs de jeunesse, comme des volontés d'éducation de la comtesse;
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Sophie est une petite fille de 4 ans curieuse, gourmande et pleine de vie. Avide de découvertes, elle est malheureusement souvent livrée à elle-même ou aux bons soins de son cousin à peine plus âgé. Quand elle finit immanquablement par faire une bêtise, sa mère l’humilie, la prive de nourriture et la bat sans ménagement. Quant à son père, il passe la plupart de son temps loin de la maison. Pas étonnant qu’elle se venge sur les animaux et zigouille tour à tour des poissons, une abeille, un écureuil, un chat, un oiseau, un âne et une tortue.
Je l’ai relu sans déplaisir malgré le côté cruel et moralisateur. Cela tient sans doute quand même en grande partie à la nostalgie car franchement, c’est loin d’être mignon et attendrissant comme je m’en souvenais. Que font la DDASS et la SPA?
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Ah Sophie !
Notre petite Sophie et ses bêtises toujours plus exaspérantes les unes que les autres. Toujours dans l'attente de nouvelles bêtises, nous te regardons évoluer et échouer. Pleurer dans les jupes de ta maman qui autrefois tentait vainement de réparer tes bêtises et qui aujourd'hui se contente de s'énerver.
On te voit être une vraie peste avec ces gentilles personnes, maltraiter de pauvres animaux. Mais on te voit aussi être de bons conseils et frustrée au possible ; déçue de toi-même. On se dit :"Quelle affreuse, cette Sophie !" puis on se dit :"Oh pauvre petite Sophie!".
Tu fais naître en nous les pires et les meilleures émotions ; tu nous fais rire mais on ne veut surtout pas avoir affaire à toi.
Sophie dont j'ai vu les films et qui m'a horrifiée...Ah Sophie !
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Relire la Comtesse de Ségur trente ans plus tard a le goût délicieux des quatre heures chaleureux, des vacances avec les cousines, tout ces petits plaisirs de l'enfance trop vite disparus.
Ça dégouline d'amour, les petites filles modèles s'embrassent et s'étreignent dès que possible. La morale, même si un peu rigide parfois, inculque aux jeunes lecteurs les bons sentiments et la charité.
Ce que j'apprécie particulièrement est cette belle syntaxe châtiée, travaillée, qu'il devient si rare de trouver dans les romans adultes, quasi inexistante dans les œuvres à destination de la jeunesse.
Ma libraire m'a appris que dû à la « complexité » ( oui, tout est relatif ) du vocabulaire utilisé, ces romans étaient conseillés pour des lecteurs à partir de 13 ans. Mais à cet âge là, ils vont les trouver bien niaises nos chères petites filles et continuer à leur préférer Tiktok et autres abîmes intellectuels.
Lecture donc en demi-teinte car j'ai aimé me remémorer mes premières années de lectrice mais il faut reconnaître que ce n'est plus adapté à ce nouveau millénaire.
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Je suis très embêtée parce qu'il y a le mythe du livre d'enfance "Les malheurs de Sophie" avec une petite fille transgressive à une époque où ça ne se faisait pas (et que l'on a envie de soutenir) et le texte que j'ai relu et que je n'ai pas aimé.
C'est assez affligeant mais on pourrait le prendre pour un témoignage de ce qu'était l'éducation des petites filles riches il y a plus d'un siècle et demi.
En fait, la Comtesse de Ségur nous propose une succession d'anecdotes plutôt qu'une histoire. Mais ce qui est surtout très décevant c'est la morale culpabilisante, toujours la même.
Sophie a 4 ans et "elle aurait dû être corrigée" pour ses bêtises mais elle n'est jamais punie, sa souffrance est celle que lui fait subir son coeur en avouant ce qu'elle a fait. Être coupable de ne pas être sage, voilà comment dresser les petites vipères... car c'est mal d'être en colère, de désobéir, d'être curieuse...
Mais quand madame de Réan perd sa fille dans la forêt parce que Sophie s'est arrêtée pour ramasser des fraises, on a envie de lui dire qu'elle ferait mieux de lui donner la main si c'est dangereux plutôt que de vouloir la punir parce qu'elle a désobéi. Et bien sur sa mère lui dit "Et toi, ma pauvre Sophie, quelle différence entre toi et ton cousin ! Vois comme tu te laisses aller à tes colères et comme tu es ingrate envers cet excellent Paul, qui te pardonne toujours, qui oublie toujours tes injustices, et qui, aujourd'hui encore, a été si généreux pour toi". Avec de tels propos je ne suis pas certaine qu'elle fasse moins de bêtises. Heureusement il y a eu Françoise Dolto depuis.
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Un classique des livres pour enfants! Je me souviens que petite, j'adorais suivre les aventures de Sophie et de son cousin Paul. J’ai lu ce livre des dizaines de fois…
Des histoires mignonnes pour les jeunes lecteurs emmêlées d'émotions quant à la vie de Sophie. Son très fort caractère et ses idées de bêtises donnent beaucoup de plaisir à la lecture.
Un livre à découvrir à tout âge !
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Un classique lu, comme pour beaucoup d'entre nous, durant l'enfance. J'ai eu la chance de le lire dans une éditions ancienne et illustrée, ce qui a accentué le plaisir de parcourir ces histoires légères et légèrement désuètes, mais toujours aussi agréables..
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Que de bons souvenirs,ça me rajeunit pas.J'avais relu Les malheurs de Sophie il y a quelques années et j'avais pris autant de plaisir dans cette lecture que lorsque j'étais une petit fille,la magie et l'émerveillement sont restés intacts.
Bien que turbulente je n'ai jamais pu m'empêcher de la trouver mignonne cette petit Sophie.Même si elle accumule les bêtises elle m'a toujours paru attachante,sans compter que dans les petites filles modèles l'on apprendra qu'elle a largement payé ses bourdes la pauvre petite.
Un livre incontournable de la bibliothèque rose,à relire ou à faire découvrir à ses enfants.
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Je préfère "Les Vacances", à cause des splendides "rebondissements" ("Oh mon Dieu! Mais ce clochard est donc le mari de Françoise, rescapé de ce terrible naufrage! Mais alors peut être que... Mr de Rosbourg...?"), mais "Les Petites Filles Modèles" reste absolument culte...
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C'est avec douceur qu'on se laisse bercer par ce joli roman d'éducation et de conversion! Pauvre Blaise, quel curieux personnage!!! Qui c'est ce Pauvre Blaise, ce petit garçon qui se distingue comme une âme prête à endurer toute forme d'épreuves, de martyrs ou d'injustice avec beaucoup d'intégrité, sans faillir un seul instant dans son honnêteté! Eh bien, c'est le fils de concierge, ou fils de portier comme dit la comtesse de Trénilly, la nouvelle maitresse du château. La famille Trénilly , nouvellement arrivée, elle fait parler d'elle par l'atmosphère de méchanceté et de crainte qu'elle instaure autour du château. Commençant par Jules, le fils qui ternit l'image de Blaise en lui attribuant toutes ses bévues au cours de leur amusement. Et monsieur le comte, le père qui n'entend que son fils, prêt à punir quiconque le frustrerait. Et la comtesse, cette maitresse de maison qui ne pense qu'à couver ses enfants, même dans leurs bêtises...Seule Helene, la fille qui se pare d'un manteau de justicière...
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Selon l'angle que l'on prend pour analyser le général Dourakine, on aura Fasltaff ou Barbe-Bleue. Truculence et plaisir de vivre d'un côté. Vindicte et mauvaise foi de l'autre. On passe de Rabelais à Raspoutine... de la bonne chère à la cruauté brute en 2 lignes...
Imposant, tonitruant, fort en gueule et en amitié, revanchard, jouisseur, le Général Dourakine est un sacré personnage. Il aime autant qu'il déteste. Et quand il aime, c'est inconditionnellement. Et quand il déteste, c'est tout pareil.
Un des multiples épisodes de ce court roman va propulser le Général Dourakine face à une nièce qui n'en veut qu'à sa fortune, à ses posessions russes, dont elle voudrait l'usage hic et nunc. le plan machiavélique dressé par l'aristocrate russe est sans faille et sans pitié. Mais par ailleurs, il recueillera un ami polonais, enfermé au goulag sur de fausses présomptions de sécession.
Osons dire tout de suite que c'est terriblement suranné, ampoulé et que cela manque d'équilibre. L'idée même de présenter cela comme si c'était une pièce de théâtre en mettant d'abord le nom de la personne qui parle, ce n'est pas idéal. Ensuite, ce n'est au final qu'une succession de saynètes, sans trop de rapport, avec le voyage vers la Russie, l'entrée en scène de la nièce avide, l'arrivée du Prince polonais, le départ vers la France.
Moment de grâce, en ce qui me concerne: le long monologue du Prince sur ses conditions d'arrestation et de détention. le propos est grave. La Comtesse de Ségur se fait politique. de quoi éduquer sa petite-fille à qui cet ouvrage est destiné. Par contre, la toute fin du récit où Dourakine fait preuve d'autoritarisme et marie Natasha, 18 ans, au Prince, 28 ans... cela m'a laissé assez sceptique, pour ne pas dire davantage. OK, la morale est sauve car ils s'aiment sans oser se l'avouer... mais c'est assez poussé. Un récit qui témoigne d'une époque, d'une façon de voir les choses dans une noblesse un peu déconnectée du réel, ou paternaliste (c'est selon, suivant l'angle de vue adopté)... Ce n'est clairement pas #MeToo... Chacun jugera.
Et un coup de griffe sur la religion au passage, lorsqu'elle se mêle de politique. Je terminerai avec la dédicace de la Comtesse en introduction de l'ouvrage que j'ai lu (sur le Projet Gutenberg):
"A ma petite-fille Jeanne de Pitray,
Ma chère petite Jeanne, je t'offre mon dixième ouvrage, parce que tu es ma dixième petite-fille, ce qui ne veut pas dire que tu n'aies que la dixième place dans mon coeur. Vous y êtes tous au premier rang, par la raison que vous êtes tous de bons et aimables enfants. Tes frères Jacques et Paul m'ont servi de modèles dans l'Auberge de l'Ange-gardien, pour Jacques et Paul Dérigny. Leur position est différente, mais leurs qualités sont les mêmes. Quand tu seras plus grande, tu me serviras peut-être de modèle à ton tour, pour un nouveau livre, où tu trouveras une bonne et aimable petite Jeanne."
Cette dédicace est très belle. Elle indique, d'une certaine manière, à quel niveau il faut considérer ce livre. Comme un passage de témoin, comme une envie de laisser à ses petits-enfants une trace, un chemin à suivre.
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J'ai lu ce livre plusieurs fois en étant enfant. Et j'en ai encore de doux souvenirs. Les pâtes d'amande, la poupée, les cheveux, les ronces, le cousin Paul. Cette vie, bien que pleine de malheurs, faisait rêver. Ca se complique malheureusement par la suite pour cette pauvre Sophie :/
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Indéniablement, les « Mémoires d'un âne » est mon livre préféré dans les romans de la Comtesse de Ségur. Lu, relu et encore lu, je ne me lassais pas enfant des aventures de l'âne Cadichon et c'est avec ce personnage que j'ai vraiment découvert le plaisir de lire.
Cadichon, dit « âne savant », nous raconte ses mémoires et sa vie auprès des hommes. Maltraité ou câliné, il a connu de nombreux maîtres plus ou moins bons avec lui. D'un caractère vif et malicieux, le petit âne a parfois un peu trop de morgue, ce qui lui joue des tours. Hé oui, il ne suffit pas d'être savant pour vivre heureux, encore faut-il avoir du coeur et faire preuve de bonté. C'est en tous les cas cette morale que la Comtesse de Segur tente de faire passer à son jeune lectorat, tout en décrivant au passage les travers des hommes. Sa narration fait bien sûr mouche, on tremble et on rit avec le petit âne tout en le trouvant parfois un peu trop caractériel (c'est un âne tout de même !). Et au final, on rêve d'avoir un âne Cadichon chez soi – c'était mon cas en tous cas !
Un des principaux livres de mon enfance.
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De nouveau, la Comtesse de Ségur, avec sa sensibilité habituelle, nous offre des montagnes russes émotionnelles avec les aventures et mésaventures de ce pauvre âne Cadichon, qui en voit des vertes et des pas mûres avant de gagner la reconnaissance et la place qui lui est due. Après la pluie vient le beau temps... Tout est bien qui finit bien !
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Les malheurs de Sophie, Les petites filles modèles, Les vacances… Avec tous ces livres j’ai l’impression de me replonger en enfance et de redécouvrir les plaisirs de la lecture !! C’est vrai qu’aujourd’hui, les valeurs prêchées et défendues par l’auteur semblent complètement désuètes et ringardes surtout qu’elles ont une forte connotation religieuse, ce qui n’a rien d’étonnant ou de choquant quand on regarde la date à laquelle ont été écrites ces oeuvres. Mais finalement la Comtesse de Ségur a su créer des personnages aux personnalités et aux caractères intemporels qui font sourire et qui émeuvent toujours autant. Et puis ce petit côté rétro, c’est bien ce qui fait le charme de ces livres, n’en déplaise à certains et aux aberrations que l’on trouve parfois au rayon jeunesse de nos librairies !!
S’il n’y a pas vraiment d’intrigue dans le sens où on l’entend aujourd’hui, l’histoire est remarquablement bien écrite et le quotidien et les mésaventures de nos petits héros sont toujours aussi attendrissantes et nostalgiques.
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Camille et Madeleine sont deux petites filles modèles : gentilles, jolies, polies. Une vie bien rangée dans la campagne. Mais voilà que Marguerite arrive, rescapée d’un terrible accident. Et puis, voilà encore Sophie, petite voisine maltraitée par une méchante belle-mère. Un plaisir pour nous de la retrouver, même si son histoire n’est pas des plus tendres. Les quatre petites vivront bien des aventures, et, chaque fois, en tireront une leçon… C’est peut-être ce côté très moralisateur qui m’a dérangé dans ma lecture. Tantôt, il faut apprendre à faire preuve de charité, tantôt ne pas mentir, tantôt ne pas désobéir aux adultes… Bref, autant de morales que de chapitres. Il faut de même relativiser et replacer le bouquin dans le contexte… il y a un moment déjà que cette œuvre est parue. Elle sciait fort probablement très bien à l’époque, mais un brin démodé aujourd’hui…. Sur la forme, bien-sûr, et non sur le fond… Parce que ce n’est pas bien de voler, de mentir, de ne pas porter assistance. Une lecture qui nous ramène en enfance, mais qui ne transcende pas des masses.
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Suite des Malheurs de Sophie, Les Petites filles modèles s'attardent sur les deux amies de Sophie : Camille et Madeleine De Fleurville.
Comme le titre le laisse entendre, Camille et Madeleine sont parfaites: gentilles, sages, obéissantes, pieuses (très important pour l'époque) et généreuses.
La Comtesse de Ségur s'attache à démontrer que l'éducation et le rôle des parents jouent un grand rôle dans le comportement des enfants. Quand ses filles font des bêtises(oui, ça arrive quand même de temps en temps), Mme De Fleurville préfère les punir intelligemment en leur expliquant les raisons et en les faisant réfléchir sur leurs actions et comportement, plutôt que de les battre ou les humilier comme la mère et la belle-mère de Sophie. C'est également une mère très présente et impliquée dans l'éducation de ses filles, ce qui était plutôt révolutionnaire pour le XIXe siècle.
Dans ce roman, nous faisons aussi la connaissance de Marguerite De Rosbourg, fillette au caractère bien affirmé qui devient rapidement amie avec Camille et Madeleine. Et nous retrouvons Sophie, dont les malheurs semblent ne pas se finir et qui a toute notre pitié. Certaines scènes sont particulièrement difficiles et dramatiques et on sent que l'auteure y a dépeint une partie de son vécu.
J'aime beaucoup ce roman qui sent bon l'enfance et le temps passé malgré les passages durs qui peuvent effrayer les plus jeunes lecteurs. Malgré le fait qu'elles soient parfaites, on se prend vite d'affection pour Camille et Madeleine et on aimerait être leur amie.
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Voilà plus de trente ans que je n'avais pas ouvert un roman de la Comtesse de Ségur. Et j'ai pris beaucoup de plaisir avec cette relecture; me rendant compte que je me souvenais encore de certaines péripéties malgré les années.
Les petites filles modèles, c'est presque un manuel d'instruction à l'attention des enfants leur indiquant comment être de bonnes personnes en leur inculquant la bienveillance. Et pourquoi pas aussi une petite leçon aux parents parfois bien autoritaires (c'était surtout vrai au 19e siècle) qui pensent régler chaque difficulté à coup de fouets et de claques.
La plume de la Comtesse reste très moderne car si on fait fi du contenu, il ne serait pas aisé de détecter l'époque de rédaction. Je me souviens avoir bien aimé, enfant, lire ces romans et je me demande comment les appréhenderaient les petites filles du 21e siècle. Parce que oui, bien entendu, certaines situations sont vraiment surannées, mais quand on pense que les héroïnes ont moins de 10 ans, j'ai le sentiment que les niveaux de maturité en ont pris un coup...
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