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Critiques de Deborah Levy (194)
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Hot Milk

Deux Anglaises, une fille et sa mère malade, l'été en Méditerranée. Et la Gorgone qui trouble les esprits? L'écrivaine britannique signe un roman formidable d'ambiguïté et d'humour.
Lien : https://www.lemonde.fr/livre..
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La Position de la cuillère et autres bonheurs..

Les critiques qui précèdent la mienne sont très réussies.

J'y vais tout de même de mon petit mot - pas une critique - sur mon premier Deborah Levy, très appréciée, surtout d'un copain libraire.

J'ai d'abord suivi l'ordre numéroté des pages, puis j'ai picoré, au gré des humeurs divagantes d'une auteure déroutante, elle n'en a cure, je crois.

Je préfère lorsqu'elle parle de sa vie, avec entrain et ironie, recul toujours. J'ai été fort ému lorsque la fille cause avec sa mère, assise sur une parcelle de son lit.

"Pousse-toi un peu". Elle fait avec peine, mais elle le fait. Ce ne sont parfois que deux centimètres, mais qui, pour Deborah, "sont vastes comme un ciel plein d'étoiles".

Rien que pour ça, je ne regrette rien; bingo également pour ses saillies poétiques ou drôles.

Sinon, je me suis souvent senti perdu, désorienté par les tours de pensée, voltigeant au gré de l'imagination arborescente d'une plume réfractaire à la ligne droite.

Cette fantaisie permanente, doublée d'une érudition singulière, me donne néanmoins envie de tâter de sa trilogie autobiographique.

J'ignore encore si je vais fréquenter longtemps cette femme espiègle, mais je souhaite mieux la connaître. En outre, le format, la texture du livre et la typographie du texte me plaisent beaucoup. Ces éléments formels renforcent mon désir de cheminer un temps avec une femme de lettres au caractère bien trempé dans l'encre chatoyante d'une existence transcendée.













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Hot Milk

La découverte de l’œuvre romancée de l’autrice américaine se poursuit en France avec « Hot Milk », paru ce 10 mai 2024, roman brûlant tout en symboles où se déchirent les liens entre une jeune femme et sa génitrice.
Lien : https://www.ouest-france.fr/..
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Hot Milk

Un huis clos gothique entre une mère et sa fille, sur fond de soleil en Espagne. Un beau roman écrit en 2016, avant sa trilogie autobiographique.
Lien : https://www.lesinrocks.com/l..
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Hot Milk

Le roman de la dramaturge britannique, qui sera bientôt adapté au cinéma, laisse un goût de sel sur la peau.
Lien : https://www.lefigaro.fr/livr..
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Ce que je ne veux pas savoir

Je ne suis pas toujours l'ordre et j'avais d'abord lu le deuxième volet de la trilogie de Déborah Levy, Le coût de la vie, avant celui-ci. J'avais gardé un joli souvenir de la découverte de cette auteure et n'avais pas oublié ni son style, ni son ton, ni sa manière d'évoquer les sujets.

Ici il est question de son enfance en Afrique du Sud et comment l'apartheid est apparu à ses yeux d'enfant, avec les mots d'enfant et ce qu'elle en comprenait tout en incluant les images associées à cela,

Dans un premier temps j'ai été surprise par sa manière d'amener son sujet, un séjour à Majorque puis peu à peu la magie à opérer et je ne l'ai pas lâché.

Un récit pour évoquer le pourquoi de l'identité, du travail d'écrivaine, des lieux qui vous construisent et des rencontres significatives comme points de repère.

C'est court et cela se veut un style brut mais finalement beaucoup plus profond qu'il n'y paraît.

Je pense relire Le coût des choses pour suivre la chronologie et après avoir découvert l'enfance je vais la retrouver femme et peut-être être mieux comprendre les traces laissées par son passé (et sans le connaître j'avais déjà beaucoup aimé son deuxième opus).
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La Position de la cuillère et autres bonheurs..



Un peu déçue par ce dernier opus que j’étais impatiente de découvrir après la lecture de la trilogie qui m’avait enthousiasmée. Certes, on retrouve le ton impertinent de Deborah Lévy et le regard caustique qu’elle pose sur le monde qui l’entoure, mais j’ai eu du mal à entrer dans ce recueil de textes. Elle évoque son univers culturel, à travers des auteurs, des photographes et des peintres, mais je me suis sentie mise à l’écart, sans doute parce que je ne connaissais pas la plupart des artistes dont elle parle et que ses descriptions, si précises soient-elles, ne suffisent pas - je pense aux tableaux de Paula Rego dont je suis allée chercher quelques toiles sur Internet. Il eut été intéressant que ces reproductions soient intégrées au livre de façon à faciliter la compréhension. Il reste que quelques chapitres m’ont intéressée et que j’ai noté quelques citations, mais j’ai l’impression que ce recueil est avant tout une publication opportuniste après le succès rencontré en France par la trilogie. À noter que la traductrice n’est pas Céline Leroy (celle de la trilogie) mais qu’il s’agit de Nathalie Azoulai.
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Ce que je ne veux pas savoir

Deborah Levy quitte l'Angleterre pour s'envoler direction Palma de Majorque. Elle se rend dans les montagnes, ou, au cœur de la nature, loin des touristes et de la foule, se trouve un petit hôtel familial modeste dans lequel on est bien accueilli. L'endroit est calme et tranquille. On peut s'y poser pour réfléchir, se reposer et s'y ressourcer. Là, dans cette île des Baléares, l'autrice revient sur sa vie et nous raconte son histoire.



Prix Femina étranger 2020, “Ce que je ne veux pas savoir” est un livre autobiographique de Deborah Levy, écrivaine, dramaturge et poétesse britannique. Dans ce roman, premier tome d'une trilogie, elle parle de l'Angleterre, mais surtout de l'Afrique du Sud, pays où elle est née, et où elle a passé les premières années de sa vie, avant l'exil en Grande-Bretagne.



Elle parle alors de son enfance sur les terres du soleil, ses souvenirs en évoquant l'apartheid, l'arrestation de son père, membre de l'ANC, à son exil en Angleterre.



En quelques pages, on parcourt les années 1960, en Afrique, dans un pays touché par le racisme, et les années 1970, sur le continent européen, avec une adolescente qui s'interroge sur sa situation.



À travers ses mots, elle en vient à expliquer comment la littérature, puis l'écriture sont naturellement venus à elle.



En évoquant George Sand, Marguerite Duras, ou encore Virginia Woolf, elle décrit la jeune fille qui commence à rédiger quelques textes sur des serviettes en papier, avant de prendre la machine à écrire et de se lancer dans la rédaction de pièces, de nouvelles puis de fictions.



Entre les terres d'Afrique, d'Angleterre et d'Espagne, c'est tout le chemin que Deborah Levy a parcouru jusqu'à l'écriture qui nous est raconté dans un style très délicat. J'ai beaucoup aimé lire cette autrice que je découvre grâce à ce texte.


Lien : https://labibliothequedemarj..
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Le Coût de la vie

J'ai lu un tiers du livre pour l'instant et suis contente que cela se passe mieux qu'avec le premier livre que j'ai lu de D. Levy 'la position de la cuillère'.

Quoique... toujours - mais en moins grave - cette manie de vous jeter des citations à la figure. Ce n'est pas que je n'aime pas les citations, mais là c'est encore trop. Cela donne comme impression : voyez tout ce que je sais.



... la suite quand j'aurai fini

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La Position de la cuillère et autres bonheurs..

Beaucoup de culture dans ce livre qui cite moultes écrivains et artistes. Ma culture est bien plus modeste, ce qui ne m'a jamais empêchée d'aimer et d'apprécier ce genre de livres.

Mais là ?

Cela commençait bien avec la lettre à sa mère, qui m'a vraiment touchée. Cela commençait fort.

Puis la poursuite a été agréable avec les cinq nouvelles suivantes.

C'est après que cela c'est dégradé. Je n'y ai trouvé aucun intérêt. Ce n'était plus de la culture mais de l'incompréhensible.

La 4e de couverture dit :

"Deborah Levy nous livre au fil de ces textes réjouissants, rassemblés ici pour la toute première fois, un véritable traité de l'indiscipline et une plongée revigorante dans l'intimité loufoque et érudite d'une écrivaine majeure."

Désolée mais je n'ai vu en rien un traité de l'indiscipline et pas plus une plongée revigorante. Seuls deux mots sont exacts à mes yeux : loufoque et érudite.

Enfin, le thème annoncé de la seconde partie du titre "et autres bonheurs impertinents" m'a vraiment échappé.
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Etat des lieux

Recommandé par ma libraire, en achetant ce livre je ne connaissais rien de Deborah Levy dont je n'avais pas entendu parler et dont je n'avais rien lu. J'avais certes été séduit par la collection de poche, superbe, dans laquelle était édité le livre, et un peu intrigué aussi par les chapitres portant des noms de villes Londres, Paris Mumbai…

Je découvre ainsi au hasard d'un tome d'une œuvre autobiographique prise par la fin (bref un peu n'importe quoi, mais finalement je n'ai pas vraiment regretté cette approche illogique…) une femme libre et attachante, excentrique et drôle, profonde et dont la voix singulière et chaleureuse m'a d'emblée séduit.

Abordant la soixantaine avec inquiétude et simplicité Deborah Levy voit ses enfants partir, déménage, s'installe à Paris, écrit, lit dans les cafés, prend le temps de vivre en somme.

J'ai été vraiment séduit par les qualités d'écriture de ce livre qui n'est jamais banal ou convenu, et qui va, à mon sens, toujours dans une voie plus originale que celle où elle semble nous entrainer. Bref, j'ai beaucoup aimé et j'ai relevé des tas de phrases dont je dois maintenant vérifier qu'elles n'ont pas déjà été sélectionnées !

Un mot sur la collection et le travail de l'éditeur : c'est magnifique. Tout est magnifique, la typographie, la mise en page, la couverture rouge avec cette belle photo (je parle de l'édition de poche). Les éditions du sous-sol auront désormais toute mon attention !

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Le Coût de la vie

Deborah Levy offre, par cette sublime autobiographie, le privilège de partager une petite part de sa vie. C'est un accès presque total à l'intimité de l'autrice.



La beauté de l'autobiographie réside dans la dimension intimiste de l'écriture, celle-ci peint les sentiments avec une telle clarté que même des sensations inconnues semblent familières.



Deborah Levy peint la solitude, la douleur et la vie. Le coût de la vie comporte également une dimension réflexive, méta-littéraire. L'autrice revient sur le fait même d'écrire, le coût de l'écriture, le coût de l'auteur qui se met à nu avec l'autobiographie.
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Etat des lieux

Etat des lieux: vide. Passée totalement à côté ce ce récit. Pourtant, il avait tout pour me séduire: offert par une amie dont je partage souvent les coups de cœur livresques, Londres en arrière-plan , une belle traduction. Et puis, rien, néant, vide total. Une impertinence discrète, un féminisme de bon aloi, des jugements (oh pardon, un gros mot, on ne juge pas, c'est vilain) sous couvert de bienveillance, une maman parfaite (eh oui, elle offre même une brosse à cheveux à sa fille, rendez-vous compte) qui accepte (il faut bien) l'envol de ses filles. Tout bien comme il faut, souriant, un rien trop lisse peut-être.

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Etat des lieux

Dans ce récit Déborah Lévy (autrice et narratrice) fait l’état des lieux de sa vie :

de femme de 60 ans divorcée, d’autrice reconnue mais sans le sous, de cette période de la vie où les enfants quittent « le nid maternel »

« Comme dit Bachelard, un nid est une structure fragile qui, néanmoins est censée évoquer la stabilité. » page 116

De la place des femmes dans la société très patriarcale « j’ai l’impression que l’espace domestique est genré et qu’un espace où vivre est plus fluide. Je n’aurais plus envie de m’asseoir à une table avec des couples hétérosexuels et de sentir que les femmes ne faisaient qu’emprunter l’espace qu’elles occupaient. Quand ça arrive, l’homme devient le propriétaire et la femme la locataire. » page 115

Des relations avec les autres, des choix de ses amis.

Elle fait le plan de sa propriété foncièrement imaginaire et des choses auxquelles elle tient et qui sont d’une grande valeur sentimentale.



En la lisant on trouve la force de rebondir car nombreuses de ces phrases et références sonnent justes.



Conseil de la mère de Jane Birkin : « Quand tu auras tout perdu… mets des sous vêtements en soie et lis Proust »
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La Position de la cuillère et autres bonheurs..

Encore une fois, je ne suis pas déçu par ce livre de Déborah Levy, entre nouvelles, et mini essais, certains passages sont fascinants. Sa pensée est précise, métaphorique parfois, mais toujours fine et juste. J'ai une admiration totale pour ce qu'elle écrit.
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La Position de la cuillère et autres bonheurs..

Je ne sais pas quoi penser de ce livre. Le résumé c'était : "Un recueil de textes dans lesquels l'écrivaine anglaise se confie sur les artistes qui l'ont inspirée depuis sa jeunesse, de Colette à Lee Miller, en passant par Simone de Beauvoir". Je me dis wahou, je ne connais pas Deborah Levy, mais découvrir une autrice qui parle d'autrices, c'est toujours cool, surtout si moi même j'en découvre plein.

Je ne dirais pas que le résumé est mensonger, parce qu'en effet, il y a QUELQUES articles dans le lot qui parlent d'autrices. Parce-que c'est bien ça, un recueil de textes, articles, etc... Mais bon. Ca parle aussi de sa mère mourante, de son voisin de palier, d'une cuillère à gâteaux, de divorce, et de 1000 trucs insignifiants (de "bonheurs impertinents"). Certains textes sortent un peu du lot, comme un abécédaire un peu fun et bien trouvé mais globalement... Je mentirais si je disais que j'ai tout lu. J'avoue que j'ai passé certains textes un peu vite, parce-que mouerf.
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Ce que je ne veux pas savoir

Dans le premier volet de sa trilogie autobiographique, Deborah Levy s'exile à Majorque afin de réfléchir sur sa vie et faire le point. Elle revient sur son enfance en Afrique du Sud en plein Apartheid et sur l'emprisonnement de son père, activiste pour la défense des droits civiques des Noirs. Elle aborde ensuite son arrivée et son intégration en Angleterre, qui deviendra son pays d'adoption.



Ce texte court est très pertinent et s'appuie sur ses lectures personnelles et son expérience pour nous donner sa version du féminisme. Nous suivons son cheminement psychologique et ses anecdotes et souvenirs, petites pépites du passé, s'inscrivent dans l'histoire et revêtent plus de profondeur qu'il n'y paraît.



Elle aborde finalement des thèmes universels tels que la place des femmes, la maternité, la dépression et la création littéraire.



Un texte touchant, humble et tout en pudeur que j'ai lu avec beaucoup de plaisir. Sans réel scénario, on reste malgré tout suspendu.es aux mots de Deborah Levy, qui nous parle avec son coeur et vise le nôtre. Je pense que chaque femme pourra s'y retrouver et y piocher de-ci de-là quelques pistes de réflexion.



Une belle découverte, j'ai hâte de me procurer la suite et de m'y plonger !
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Le Coût de la vie

C'est drôle, parfois, les hasards de la vie. Quand j'ai lu "Ce qu'il reste de nous" (Sara Torres), il y avait une citation de ce roman autobiographique de Deborah Levy en introduction. Sachant que je venais de l'emprunter à la médiathèque et qu'il était le prochain sur ma liste ! Après avoir lu "Le coût de la vie", je comprends totalement pourquoi Sara Torres s'est retrouvée dans ces mots.



Je n'avais jamais lu cette autrice, et son style m'a un peu déconcertée au départ. J'avais l'impression qu'elle écrivait parfois de manière ampoulée (et je garde en partie cette impression en tournant la dernière page). Mais les thématiques abordées, comme le divorce d'une femme pour retrouver sa liberté, ou la mort de sa mère et le deuil qui suit, ne pouvaient que me parler.



Deborah Levy a indubitablement le sens de la formule. J'ai pris en photo plusieurs pages, j'ai relu des phrases, j'aurais aimé les garder avec moi plus longtemps. Il y a à la fois beaucoup de tristesse, de perte, dans ce qu'elle écrit, mais aussi beaucoup de joie et d'espoir dans cette nouvelle vie.



Résultat, j'ai dévoré en deux jours ce coût de la vie. Je ne savais pas qu'il faisait partie d'une trilogie, et j'ai sûrement démarré dans le mauvais sens, mais peu importe ! Très envie d'aller à Londres maintenant, c'est malin.
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Le Coût de la vie

La trilogie autobiographique de Deborah Levy est un vrai régal ! J’en suis au deuxième opus (après celui intitulé « Ce que je ne veux pas savoir » à la couverture bleue). Dans « Le coût de la vie », elle évoque la difficile phase de reconstruction qui succède au divorce. La cinquantaine passée, elle se sépare en effet de son mari, aménage un nouvel appartement dans le nord de Londres, découvre, en compagnie de ses deux filles, la vie de mère célibataire. Tout cela n’est pas facile surtout quand son travail consiste à écrire pour vivre. Elle a la chance de se voir offrir par des amis un cabanon au fond d’un jardin. C’est là qu’elle va pouvoir trouver le calme et l’énergie nécessaire à la poursuite de son oeuvre. Le style de Deborah Levy est un enchantement. C’est drôle, fin, astucieux. Elle mêle sans cesse passé et présent, cite de nombreux auteurs et autrices comme Marguerite Duras, Albert Camus, Doris Lessing, Emily Dickinson, Simone de Beauvoir, James Baldwin… Elle capte quelque chose de l’ère du temps entre gravité et légèreté.
Lien : http://inthemoodfor.home.blog
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Ce que je ne veux pas savoir

Roman autobiographique de Déborah Lévy sur son enfance, la maternité et la féminité.

L’autrice revient sur ses souvenirs d’enfance passés en Afrique du Sud où elle fut marquée par l’apartheid, l’emprisonnement pendant 5 ans de son père (militant ANC), les oiseaux qu’ont enferment dans des cages, et la place des femmes.

« Les femmes doivent parler haut puisque personne ne les écoute de toute façon » page 69

Dans la première partie Déborah Lévy donne sa définition de la « Mère » en convoquant des textes de Marguerite Duras (La vie matérielle) et Virginia Wolf.

C’est un livre sur les souvenirs d’une petite fille qui n’arrivait pas à se faire entendre car elle parlait tout bas et à qui l’écriture à donner « du coffre »



Magnifique !!!
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