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Citations de Denis Bajram (65)


Les combats entre les pro-Matt Fork et les anti-Matt Fork ont fait des milliers de blessés graves à Los Angeles aussi.
Beaucoup resteront handicapés jusqu’à leur prochaine résurrection et n’hésitent pas à se suicider tout de suite.
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Peu font la guerre mais tous ont des blessures.
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La mort est la seule guerre que l'être ne peut gagner car la vie en est le combat.
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Pire : ces données biométriques sont devenues nos seules cartes d’identité, de crédit, de soins médicaux... oui les C.I.C. ont réussi à supprimer l’argent liquide, on paye avec nos empreintes.
Sans argent liquide, pas d’économie souterraine, pas de marché noir, pas de clandestinité... pas de récolte.
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« La Fédération regroupa tous les états de la Terre, ainsi que les nouvelles colonies de Terre 2 (la Lune) et Terre 3 (Mars).
On y associa aussi les stations orbitales Alpha (la Terre), Béta, Gamma (Terre 2), Delta et Epsilon (Terre 3)... 3 terres et 5 stations, c’est de là que vint le drapeau à 3 étoiles et 5 bandes de la Fédération. »
- c’était surtout une déclinaison de celui des USA, aurait dû préciser le crétin politique qui a écrit ces lignes...
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C’est comme dans le cas de l’ancienne dissuasion nucléaire... à part qu’un seul camp possède la bombe...
...et qu’il n’y a qu’un seul camp !
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C’était comme un Pearl Harbor à l’envers : au lieu de détruire la flotte militaire, les CIC avaient détruit tout le reste !
Et la flotte ne savait plus que faire.
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New York !
Capitale de la Terre !
New York, coeur de la Fédération des Terres Unies !
New York, reine de la météo de merde !
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Tu te souviens de ce fameux Noël, on avait mis une photo du Président nu comme un ver sur son propre site !
Avec en légende « seulement deux boules pour le sapin de la Maison Blanche » Ah Ah Ah...
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Vous imaginez les avantages qu’il y a à avoir un laser qui n’est plus limité par la vitesse de la lumière :
Ce serait l’arme absolue car instantanée !
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Dire que plus personne ne se marie devant un prêtre... mais que tout le monde veut encore avoir un curé pour bénir sa dépouille...
Avons-nous tous si peur de mourir pour que les funérailles soient le seul rite religieux immuable ?
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Et vous avez sans doute fait cette découverte en lisant les pages scientifiques du journal de Mickey !
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Alors écoutez donc cette petite histoire.
La Bible raconte que l'humanité tenta après le Déluge, de construire une tour assez haute pour toucher le ciel.
Babel était son nom.
Dieu, craignant sans doute qu'on vienne lui salir ses parquets célestes, se demanda s'il allait devoir de nouveau détruire les hommes.
Mais, flûte alors, il avait promis à Noé, après le Déluge, qu'il ne tenterait plus jamais de génocider l'humanité.
Quand on est Dieu, ce qui est pratique, c'est qu'on a un super QI... et Dieu trouva la solution.
D'un geste il démultiplia le langage des hommes.
Ne pouvant plus se comprendre les uns les autres, ils abandonnèrent le chantier de la tour et se dispersèrent à la surface de la Terre.
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— Eh bien, il y en a du monde devant Santa Monica. Ça doit être un mariage, non?
— Oui, c'est celui de Mario Delgado, je crois.
— Paulo Delgado ? Le fils du défunt Tonto ?
— Oui, c'est ça. C'est celui qu'ils surnomment tous "Mario".
— Aah oui. Mais pourquoi "Mario" ? Ça change pas beaucoup de Paulo, ça, Mario.
— Il paraît qu'il ressemble au personnage d'un vieux classique du jeu vidéo: "Super Mario", un plombier, je crois.
— Un jeu de plombier ? Qu'est-ce qu'ils n'inventeront pas ?
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Bravo pour "l'intelligence du cœur", ma pauvre Williamson. Un peu de vraie intelligence vous aurait évité de paver l'enfer de vos bonnes intentions.
"L’intelligence du cœur" ? Et pourquoi pas la sagesse de la rate pendant qu'on y est ?
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— Troisièmement, et c’est ce qu’il y a de plus étrange, le lieutenant n’est resté pour nous que quatre minutes dans le vortex… Pourtant il a eu le temps d’y changer de vaisseau et de vêtements. Son voyage effectif a donc manifestement été plus long… A sa barbe naissante, on peut l’estimer à deux ou trois jours, s’il ne s’est pas rasé là-bas… Ce qui nous fait un différentiel entre l’écoulement du temps dans le mur et à l’extérieur d’au minimum 10000 !
— Euh… en clair, colonel ?
— En clair, ce mur est apparu il y a deux bonnes semaines. Si le temps s’y écoule 10000 fois plus vite qu’ici, ceux qui s’y trouvent peuvent y avoir déjà passé quatre siècles.
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(Mario): Héros de merde !
(Balti): De merde, vraiment ? Je croyais que c'était toi, le lâche qui fait sous lui à chaque mission !
(Milorad et Amina): Ha ! Ha ! Ha !
(Amina): T'es pas un peu dur avec lui, tout de même, Balti ?
(Balti): Non. Un homme n'est dur qu'avec une femme...
(Amina): Crétin !
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Denis Bajram
ALBUM OU LIVRE ? BD OU ROMAN GRAPHIQUE ?

Un môssieur, tout fier d’avoir écrit un roman, a tenté de défendre sur le mur Facebook d’un ami que les bandes dessinées étaient des “albums” et pas du tout des “livres”. On a beau lui avoir opposé arguments et figures d’autorité, rien n’y a fait. Les BD portent un ISBN (International Serial Book Number) comme tout livre vendu en librairie ? Le Centre National du Livre soutient les BD, parce que ce sont des livres comme les autres ? Non, non, non, il n’en démordait pas, les BD ne peuvent pas être des livres. Heureusement que le ridicule ne tue pas, les réseaux sociaux ressembleraient au Père Lachaise.

Plus intéressant est de voir les confusions de vocabulaire apparues à cette occasion. À commencer par ce mot d’album.

L’album, c’est ce qui permet de rassembler, de collectionner, de compiler des petites choses, des morceaux choisis. Album de timbres, album musical 33 tours etc. (Éthymologie : http://www.cnrtl.fr/etymologie/album/substantif )

Dans le cas de l’album de BD, le terme s’est imposé parce que c’était un livre qui rassemblait les pages ou les épisodes parus initialement dans un journal. Ce terme est donc intimement lié à la prépublication en presse.

C’est les auteurs et éditeurs “indépendants” des années 90 qui ont popularisé le remplacement du terme “album” par celui de “livre”. La quête d’une reconnaissance culturelle pour la Bande Dessinée en était le moteur, mais les plus cultivés d’entre eux avaient bien conscience d’avoir rompu avec la presse jeunesse, et affirmaient donc à juste titre ne plus faire d’album de BD. Le mot livre l’a finalement très largement emporté dans la profession et la crispation s’est déplacée dans l’opposition des formats “48CC” (48 pages cartonné couleur, l’ex “album”) et “roman graphique” (l’ex “livre”).

On a assisté aux mêmes crispations sur le terme “BD” (et son cousin dégénéré “bédé”) qui après avoir remplacé “bandes dessinées” (qui lui même avait remplacé “illustrés”), est devenu ringard pour les indés. BD renvoyait à une production considérée comme trop commerciale et/ou populaire. Des néologismes comme “narration graphique” ont finalement cédé la place à un retour à “Bande Dessinée”, mais au singulier et avec les majuscules d’un Art majeur.

Il y a eu aussi un amusant turn-over de vocabulaire pour désigner la bande dessinée qui se veut non-commerciale. De “alternative”, “fanzine”, “graphzine” dans les années 80, elle est devenue “indépendante” voire “indé” dans les années 90, puis le néologisme journalistique “nouvelle BD” a un temps remplacé le tout dans les années 2000, avant que l’expression “roman graphique” ne finisse par l’emporter. Ce “roman graphique” est devenu un mot valise désignant à la fois un format, le livre épais, un genre, mais tellement ouvert que nul ne saurait le définir, bref tout ce qui n’est pas supposé “commercial” où “mainstream”… même si certains romans graphiques sont depuis longtemps des best-sellers.

Aujourd’hui, “BD”, “bédé” et même “Bande Dessinée” semblent toujours imprononçables sans mépris par beaucoup trop de commentateurs. En général, ce sont les mêmes qui auront un usage aussi flou que ridicule du mot “roman graphique”. On retrouve là l’opposition snobarde du môssieur cité en début de texte, qui refusait à la Bande Dessinée le mot de “livre”, elle n’était que des “albums”.

J’avoue être passé par ces revendications et cette quête de reconnaissance culturelle. J’ai cherché dans les années 90, avec d’autres, le terme idéal. J’avais proposé “illustration séquentielle”. Illustration, car chaque “case” est en effet une image illustrant un sens, y compris par sa part textuelle. Séquentielle parce que c’est l’enchaînement de ces Illustrations qui fait la Bande Dessinée. Bon, “illustration séquentielle” est encore plus long que “bande dessinée” et se battre pour ne remplacer à la fin “BD” que par “I.S.” n’était pas des plus motivants.

Aujourd’hui, je parle de “livres” pour mes albums, je mets des majuscules à Bande Dessinée dès que c’est de notre 9e Art que je parle. Mais, ces derniers temps, j’ai une vraie envie de redire “BD”, d’assumer les origines crottées, populaires et grand public de la narration graphique. Nous avons obtenu une partie de la reconnaissance culturelle que nous réclamions pour la Bande Dessinée dans les années 90, mais à l’arrivée, cela se paye d’une gentrification, d’un embourgeoisement de notre public, alors que les auteurs, eux, s’ils sont de plus en plus formés et cultivés, s’appauvrissent. C’est un vaste sujet sur lequel il faudra que je revienne plus sérieusement.

Source : FaceBook.
Cette longue explication de Denis Bajram sur les différences (assez totalement artificielles et artificieuses) entre "Album", "Bande(s)-Dessinée(s)", BD, "Roman Graphique", Livre, etc m'a semblé suffisamment écrite et complète pour figurer parmi les citations de cet auteur, bien que non issu d'un de ses ouvrages.
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Avec tous ses soldats de pacotille, tu m'étonnes que le pays n'ait plus vraiment gagné une guerre depuis 45.
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Le Pentagone en a profité pour me faire équiper avec de quoi mater tous les dégénérés qui voudraient m'empêcher de remplir ma mission.
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