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Critiques de Dennis Calero (16)
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Casino Royale (BD)

Quelle gageure ! pari risqué que celui-ci mais pari gagné.



Je me suis plongée avec beaucoup de plaisir dans cet album. le scénariste , Van Jensen , propose un découpage aussi précis qu'intelligible. J'ai même compris les règles du Baccara c'est vous dire. le personnage de Bond est bien cerné , sa façon d'observer le monde et les gens autour de lui, sa réactivité au danger, sa prise de risque.

Bien sur l'artisan sur lequel tout repose est Dennis Calero dont la réputation n'est plus à faire. Il sait créer une atmosphère oppressante, les expressions visuelles et corporelles de Bond nous sont visuellement accessibles. Beau travail. Les couleurs signées Chris O'Halloran viennent parfaire le résultat.



j'ai lu le roman titre il y a de nombreuses années, si j'en avais oublié les rebondissements, je gardais en mémoire l'atmosphère créee par Ian Fleming. Je suis ravie tout y est .

Et si je me replongeais dans la série , À SUIVRE ...



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Casino Royale (BD)

Première surprise, la France est au cœur de cette première aventure de James Bond. Cette heureuse découverte n’est que la première d’une longue liste. Celle-ci exige d'ailleurs, d’être appréciée à sa juste valeur. Pour cela, il faudra prendre une distance totale par rapport aux films éponymes (et oui, il y en a eu plusieurs), de les oublier complètement (surtout le dernier et tous ceux avec Daniel Craig tant qu'à faire).



Il ne s'agit pas là d'un effort tant le cadre est différent. Nous plongeons ici dans l'après Seconde Guerre Mondiale et au début d’un nouveau conflit. L'ennemi n'est pas tant l'Union soviétique, que le Chiffre qui se trouve lui même en délicatesse avec le SMERSH (un organe contre subversif qui semble tentaculaire et bien mystérieux offrant d’intéressantes perspectives pour les romans à venir). La structure de l’ouvrage est particulière car l'intrigue ne tient pas une place bien importante. Elle est pourtant traitée de manière magistrale et sans temps mort, portée par un style absolument remarquable. L'ouvrage est court et se lit très rapidement, bien trop, hélas. Les révélations faites par une première lecture ou par les films ôtent toutefois l'effet de surprise de plusieurs rebondissements. Ceux-ci sont toutefois originaux et ne peuvent que choquer le lecteur non averti !



S'il faut retenir une chose (parmi les nombreuses découvertes) et lire cet ouvrage c'est pour... James Bond ! Le protagoniste est au centre de l'intrigue et l'auteur nous dévoile une personnalité assez complexe. A certains moments, l'on s'interroge tout naturellement : dans quelle mesure le passé de Ian Fleming a-t-il inspiré le personnage au célèbre matricule ? Le non mois célèbre agent secret semble entièrement dévoué à sa mission, agrémenté par quelques amitiés viriles et une romance quelque peu... particulière. La complexité est d'autant plus intéressante qu'elle tranche avec ce que l'on a pu voir ailleurs et évolue au fil des pages.



Un style percutant, une intrigue originale, des personnages attachants, quelques aspects psychologiques étonnants, des surprises en nombre demeurent les ingrédients qui fondent la réussite de Casino Royale qui prend donc la place d’une référence incontournable.
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Casino Royale (BD)

En fin d’année 2006, la nouvelle adaptation cinématographique de Casino Royale allait apporter un vent de nouveauté (pour le meilleur pour les uns, pour le pire, pour les adeptes de la première heure) qui allait durablement marquer les aventures de James Bond.



Près de onze ans plus tard, les éditions Dynamite (pour la version originale) allaient tenter le pari d’oser une adaptation en bande dessinée… Le pari est d’autant plus risqué que l’adaptation ne porte pas sur l’adaptation en film mais sur le texte original. Car si vous l’ignoriez, oui l’adaptation cinématographique n’est pas vraiment respectueuse du texte puisqu’elle celle visait à donner une nouvelle jeunesse à l’agent 007 (tout en profitant d’une question de droits).



Ici, il n’est pas question de tenter le pari de la jasonbournisation cinématographique, mais bien de coller au texte. La démarche est d’autant plus audacieuse… qu’elle est réussie. Nous avons ici affaire à une adaptation qui respecte l’esprit mais aussi le texte, le style, bref tout le chef d’œuvre de Ian Fleming.



Bien plus réussie que le film, voici une adaptation qui pourra ouvrir les yeux de certains fans qui s’extasient sur la réussite du film de 2006, tout en ayant jamais lu le roman (les mêmes qui ignorent généralement qu’il ne s’agit pas de la seule adaptation).



Donc ici clairement nous retournons à la guerre froide. Non James Bond ne joue pas au poker mais au baccara. Et le Chiffre n’est pas un méchant qui joue avec l’argent des terroristes mais juste un traitre en puissance qui est en fin de course. Oui James Bond n’est pas le type glamour, mais bien un type qui échappe (sans le vouloir) à la mort, parce que les agents chargés de le liquider sont… nuls ! Vous pensiez qu’il allait lâcher un truc du genre « oups, le quartier est plutôt explosif », ah ben non, il est juste humain. Donc non, il ne faudra pas s’attendre à des « y a l’autre qui me gratte, vous voulez bien… », mais à quelque chose de bien différent.



Malgré l’audace du pari, les auteurs n’y vont pas de main morte : oui Bond est misogyne et ses meilleurs amis aussi (forcément). Oui le surnom de sa chère et tendre est bien « la garce »… Oui à l’époque ça clopait dans tous les sens… et quand à la consommation d’alcool et bien oui ça aussi c’était bien avant nos campagnes de sensibilisation. La différence est particulièrement palpable dans les séquences en voiture. Avis aux amateurs !



Autrement dit, il faudra accepter de faire un sacré bond dans le passé pour apprécier ce roman graphique particulièrement long. Malgré la réussite de l’ensemble deux choses piquent aux yeux. La première est assez anecdotique : la psychologie des personnages (pas forcément le point fort de l’œuvre originale) est ici réduite à sa plus simple expression, notamment pour le protagoniste.



Le deuxième bémol concerne les dessins. Le trait est assez imprécis au point qu’il est parfois difficile de reconnaitre les personnages. Même Bond donne l’impression de changer parfois de tête. Les personnages secondaires (Vesper et Mathis) ne sont pas à leur avantage. Tout cela peut s’expliquer (notamment pour les séquences au casino enfumé), reste le prix à payer pour la mise en couleurs (qui ne coule pas forcément de source pour un volume de cet ampleur) mais reste dommageable. La première de couverture n’est pas révélatrice du reste de l’œuvre et cela est bien regrettable, car fausse la première approche.



En tout cas, l’œuvre est respectueuse du texte, quitte à faire des choix particulièrement bien vus : citations de Fleming et petit aperçu de la logique bondienne. Le chapîtrage offre une découpe intéressante, jamais linéaire, dynamique permettant d’arriver facilement au bout de ces 160 pages bien denses.



Sans être exempt de quelques déceptions, cette adaptation de Casino Royale est une franche réussite qui mériterait d’être mise en toutes les mains (surtout de certains laudateurs du film de 2006). Il ne reste plus qu’à espérer qu’elle en entraînera bien d’autres…
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Marvel Noir, tome 2 : X-Men, Qui a tué Jean G..

• X-Men Noir, Tome 1

• Fred Van Lente (Scénario) & Dennis Calero (Dessin)

• Panini Comics



Récemment je me suis lancé dans la lecture de tous les tomes de la série Marvel Noir. Me voila désormais sur les récits consacrés au X-Men, et si je suis un grand fan des aventures des mutants de Marvel en général, je dois avouer que pour ces X-Men Noir, la qualité n'est pas vraiment au rendez-vous...



S'il y a des choses intéressantes, notamment dans le fait que les mutants n'ont pas de pouvoirs (enfin ça dépend desquels en fait), les personnages sont tout de même bien écrit en respectant les caractéristiques de chacun.



Il y a aussi des choses beaucoup moins intéressantes, comme... bah comme l'histoire... s'il y a quelques révélations intéressante, dans l'ensemble, il faut avouer que c'est relativement mauvais.
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Marvel Noir, tome 2 : X-Men, Qui a tué Jean G..

Un récit bien ficelé qui tient le coup dans le style "on prend des personnages connus au caractère bien codé pour leur supprimer leur super pouvoirs et leur costumes-pygama colorés standard et on les plonge dans un monde vraiment noir noir où ils portent des complets sombres comme le fond de l'histoire". Même le retournement final parfaitement dans le ton du roman noir est tout à fait en accord avec la trame des aventures habituelles des X-Men.

J'ai pris un plaisir certain à lire la bande dessinée mais j'ai peu accroché au texte qui suit où il est question d'ubermench et d'eugénisme; arrêté après trois paragraphes qui ne sentaient pas trop bons vu l'actualité de la semaine.
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Marvel Noir, tome 7 : X-Men, La marque de Caïn

• X-Men Noir, Tome 2

• Fred van Lente (Scénario) & Dennis Calero (Dessin)

• Panini Comics



M'étant lancé dans la lecture de TOUS les récits Marvel Noir, je continue de TOUS les lire, malgré la qualité globale qui n'est pas terrible.

Me voila donc sur le deuxième volume consacré aux X-Men. Et si le premier tome n'était pas terrible, ce deuxième tome arrive à faire l'exploit de nous proposer pire.



En effet, dans le premier tome, quelques petits trucs étaient à sauver, mais dans ce second volume, il n'y a rien... j'aime pas dire ça pour une oeuvre, mais... comme disait Jean Pierre Koff, .

Ce second volume arrive même à faire remonter le tome 1 dans mon estime, pas parce qu'il est bon, mais parce que ce tome 2 est tellement mauvais que le tome 1 parait au final pas si mal...



Je citerais donc un grand philosophe "Fuyez pauvres fous".
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Marvel Noir, tome 2 : X-Men, Qui a tué Jean G..

• « Marvel Noir, tome 2: X-Men, Qui a tué Jean Grey ? » de Fred van Lente et Dennis Calero, publié chez Panini France.



• J'ai commencer cette lecture à la suite du défi lecture de BD de Babelio de Mars, cherchant un comics avec un titre commençant par la lettre X (le véritable titre sur la couverture étant « X-Men Noir : Qui a tué Jean Grey ? »), dans le but d'étendre ma "culture" BD.



• Je continu mon excursion dans l'univers des X-Men, cette fois-ci avec une histoire à part. Cette histoire reprend une partie des personnages de bases de l'univers X-Men, parmi les plus connus, et les mets dans un cadre totalement différents.. celui des années 30.



• L'histoire se passe donc dans les années 30 avec un scénario reprenant le style du polar noir, un classique du genre, mais attention.. car soit on apprécie ce style, soit on n'accroche pas du tout et la lecture s'en trouvera très difficile pour une bonne partie des lecteurs.. Personnellement, je dois avouer avoir été perdu dans l'enquête à certains moments..



• J'ai beaucoup de mal à me prononcer sur l'oeuvre, tant elle m'a laisser perplexe par moments, n'arrivant pas à comprendre où voulait en venir l'histoire, même si je pense avoir au final tout compris. Mais tous ces évènements valaient-ils la peine de se torturer les méninges ? Je ne pense pas malheureusement..



• Pourtant tout était réuni pour que le comics me plaise, j'aime le polar noir, j'aime l'ambiance des années 30, période qui me fascinais lors de mes lectures et de mes visionnages traitant cette époque. Les dessins sont également au top, avec ce côté très sombre, noir étant la couleur dominante de ce comics, avec des couleurs fortes utilisées pour certains personnages ainsi que dans les scènes clés, appuyant grandement les dessins. Pleins de subtilités et de détails dans la typographie, les vêtements, le langage employé.. tout transpire les années 30 !



• le scénario lui, est bien trop confus. On se perd dans les détails inutiles, avec une intrigue composée de plusieurs petites intrigues qu'il faut suivre bien attentivement sous peine de devoir retourner plusieurs fois consulter les pages précédentes.. le but de certains personnages ainsi que leur comportement sont également très confus, c'est vraiment dommage car j'avais vraiment envie de comprendre, de passer un bon moment et de retrouver ces doux souvenirs de polars haletants, plein de suspense et de noirceur.. C'est très noir, mais le final, bien qu'en parti intéressant, ne m'a pas emballé dans sa totalité.



• Les personnages sont plutôt nombreux, et offres de l'action brute régulièrement dans l'histoire. Bien qu'ils n'ai pas ici leurs pouvoirs mutants, leur capacités sont tout de même dépeintes par leur façon de combattre, d'agir.. C'est fait plutôt intelligemment est c'est l'un des bons points de ce comics ! Toujours pour les personnages, l'une des choses qui m'a plus confus dans l'histoire c'est le héro qui se fait appeler L'Ange, que j'ai forcément voulu référé à Angel, comme un bon nombre de fan de l'univers des mutants j'imagine.. sauf que non, ce personnage est un très vieux personnage Marvel des années 30 (là le choix était judicieux !), qui n'a rien avoir avec les X-Men.. dommage que son surnom soit L'Ange (moins bon choix pour le coup).



• Les X-Men sont ici considérés par la société comme des sociopathes.. Un point de vue assez étrange mais qui s'explique dans les chapitres suivants.. même si l'histoire est très confuse.



• Je profite de mes connaissances de l'univers X-Men pour vous faire profiter d'une liste des personnages vus, ou mentionnés dans ce récit, ainsi qu'une bonne partie des références. Je ne suis pas infaillible, mais j'ose espérer que certains d'entre vous découvriront l'une de ces références ! Sous balise spoiler pour ne pas déranger ceux qui voudrait les découvrir par eux-même..





• Un comics m'ayant déçu.. Je retenterai une lecture un jour, histoire de savoir si je l'ai lu au mauvais moment..
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Marvel Noir, tome 2 : X-Men, Qui a tué Jean G..

Je me suis bien fait chi** avec ce tome ! Le problème ? Il est super mal écrit ! Je m'avance peut-être mais il me semble bien que c'est le premier comics où je n'ai pas tout saisi en dehors des grandes lignes.



J'ai eu du mal non seulement à suivre l'intrigue à cause de l'agencement des scènes et de la manière abrupte dont elles s'achèvent ; mais aussi à cause des protagonistes qui sont restés un peu flous pour moi.

Le récit en lui-même ne m'a pas du tout donné envie de m'attarder. J'ai lu sans tout comprendre et je n'en suis pas plus affecté que ça.



"Les sentinelles" par Bolivar Trask, qui fait suite au comics est passable. Surement qu'ils ont voulu donné un style années 30 à ce "roman" fictif pour l'inclure dans cet univers des Marvel Noir. Personnellement, je n'ai pas accroché. C'est limite ridicule.



Si j'ai bien aimé le premier Spider-Man Noir, ce n'est absolument pas le cas de la première aventure des X-Men. Une déception totale !
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Marvel Noir, tome 7 : X-Men, La marque de Caïn

L'unique raison de cette lecture tient au fait que j'ai emprunté ce tome en même temps que le précédent à la médiathèque. Je l'ai donc lu sans réel espoir de constater une amélioration par rapport à "Qui a tué Jean Grey ?".



Suite directe de l'opus susmentionné, l'intrigue est légèrement plus compréhensible mais tout aussi risible. Pour commencer les dessinateurs ont pris le "Noir" de cet collection au pied de la lettre pour nous refourguer des planches plus sombres les unes que les autres. Ensuite, l'histoire n'a aucun intérêt et se perd dans des rebondissements à deux balles du genre "Ah ah ! J'ai fait semblant de succomber à votre lavage de cerveau ! Je ne suis pas devenu l'esprit diabolique de mon frère jumeau décédé ! Ah ah je vous ai eu !" Une seule pensée m'est venue à l'esprit : "Pauvre tâche !".



Oui je suis méchant parce que c'est quand même se fou*** de la gueule du lecteur que de proposer ce genre de retournement de situation. A un moment donné soit le scénariste a écrit ça vite fait dans le métro entre deux stations pour payer ses factures, soit il ne mérite pas son titre de scénariste.



Pour finir, j'ai un peu mieux compris pourquoi je n'avais pas accroché dès le premier volume : tous les personnages sont antipathiques. Pas un pour rattraper l'autre. Pas un qui nous accroche. Ils pourraient tous mourir durant leur aventure qu'on ne verserait pas une larme, qu'on n'aurait pas un instant un regret ou autre. C'est vide d'émotion...



Bref, je déconseille vivement cette lecture ! SURTOUT ne l'acheter pas !!!
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28 Jours plus tard : Le contrecoup

Cette BD résume en quatre chapitre les événements précédent le film du même nom en décrivant ce qui se passe avant, pendant et après l'infection zombie.

Là où le bas blesse, c'est que justement ce sont des résumés. Rien n'est approfondis, ni les personnages, ni l'histoire. Tout va trop vite, et pour finir cette BD qui est sensée nous expliquer les faits, nous embrouille plus qu'autre chose.

De plus, les dessins ne sont pas vraiment à mon goût, à la fois trop réaliste et en même temps flou et sombre (je sais c'est bizarre dit comme ça).
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Casino Royale (BD)

Comme bon nombre de lecteurs de ce livre, je suis avant tout une amatrice de la saga cinématographique qui nous a habitué à beaucoup d'action. En lisant ce premier tome je m'attendais à beaucoup plus d'aventure, de détails et de panache et je regrette de n'y trouver qu'un peu tension.

L'écriture est, au contraire, très appliquée et chaque détail nous confère une vue réaliste de ce qui nous entoure, mais je trouve que l'accent aurait pu être mis un peu plus sur la psychologie des personnages car, qu'est ce que l'espionnage si ce n'est un jeu psychologique pour une quête d'informations?
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Casino Royale (BD)

Né en 1908 dans une famille écossaise fortunée, Ian Fleming est passé par l'establishment britannique (le collège d'Eton - comme Bond - puis Sandhurst), avant de se destiner à une cariere militaire. Il est recruté par le service de renseignement de la Royal Navy pendant la guerre. En 1941 , avec l'amiral Godfrey qui lui inspirera le personnage de M, il participe à une mission qui jette les bases de l'OSS, ancêtre de la CIA. Il est décrit comme "fondamentalement paresseux" et écrasé par l'aura de son frère aîné Peter Fleming, aventurier. lan Fleming se fixe à la Jamaïque en 1945 dans une maison qu'il baptise Goldeneye. . . Voilà pour le bonhomme. Quant à son oeuvre, elle reste à la base de films qui continuent toujours de procurer beaucoup d'argent à ses ayants-droit.
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Marvel Noir, tome 2 : X-Men, Qui a tué Jean G..

Cet album reprend les quatre épisodes de X-Men Noir parus entre février et mai 2009. Cette collection Noir de Marvel est donc assez récente et repose sur le concept des univers alternatifs. On y retrouve donc des personnages emblématiques tels que Spider-Man, Daredevil, Wolverine, Luke Cage et Punisher au sein d'un univers totalement différent.



Alors que le Spider-Man Noir proposait une histoire de gangsters lors de la "Grande dépression" des années 30, ce X-Men Noir propose un polar sombre situé à la même époque. L’idée de base de Fred Van Lente est intéressante. Les X-men sont ainsi un groupe de délinquants juvéniles sans super-pouvoirs, dont les talents criminels sont exploités par un psychiatre discrédité (Charles Xavier), tandis que le chef de la police est un certain Eric Magnus (Magnéto). Le fil rouge de l’histoire, une enquête policière autour du meurtre de Jean Grey, est également bien trouvé et le dénouement de l’enquête pas mal. D'autres personnages de l'univers des X-Men se retrouvent également transposés dans ce nouveau décor. On notera ainsi la présence de Scott Summers, Bobby Drake, Henry McCoy, Sebastian Shaw et Logan, dont les différentes personnalités semblent conservées.



Malheureusement, l’enquête en elle-même est trop confuse et manque de fluidité. Quant au dessin photo-réaliste de Dennis Calero, il est souvent trop sombre et ne permet pas de bien distinguer les différents protagonistes. De plus, ce graphisme est beaucoup trop statique, ce qui accentue encore un peu plus le manque d’action de cette histoire peu emballante.



J’avais bien aimé le Spider-Man Noir, mais ce X-Men Noir m’a fort déçu. Je demeure néanmoins assez curieux de découvrir les autres récits de cette collection Noire et en particulier ceux dédiés à Daredevil, Wolverine et au Punisher.
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28 Jours plus tard : Le contrecoup

A la base de ces nombreux récits de zombies marqués par le chiffre 28, il y a évidemment le film de Danny Boyle et sa suite réalisée par Juan Carlos Fresnadillo. Mais, entre-temps, le virus à également contaminé le neuvième art. Il y a tout d’abord ce tome de Panini, consacré à la genèse de cette infection qui sévit au Royaume-Uni, et ensuite, une saga qui vient de sortir chez Delcourt et qui fait le lien entre les deux premiers longs métrages, « 28 jours plus tard » et « 28 semaines plus tard ». Bref, plusieurs histoires qui permettront aux amateurs du genre de patienter en attendant la sortie d’un troisième volet cinématographique qui commence tout doucement à se faire attendre.



Si la saga de Delcourt semble prometteuse, ce one-shot de Panini n’est par contre vraiment pas terrible. Déjà, au niveau du scénario, ça ne déborde pas d’originalité. Deux scientifiques qui font joujou avec un virus, des expériences qui partent en couille, un singe contaminé qui s’échappe et une belle contamination à grande échelle qui devient incontrôlable ! Franchement, au niveau de l’originalité, il faudra repasser. Alors certes, le film conservait beaucoup de zones d’ombre concernant l’origine du fléau, mais quitte à se voir servir une genèse aussi banale, je préfère encore ne rien savoir du tout.



De plus, au niveau du graphisme, les quatre épisodes scénarisés par Steve Niles, ne sont pas dessinés par le même auteur. Si j’ai bien aimé le dessin du troisième épisode, j’ai trouvé celui du deuxième assez mauvais et trop différent du reste de l’album.



Bref, un scénario banal et un tome sans unité graphique !
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Marvel Noir, tome 7 : X-Men, La marque de Caïn

Cette transposition de l’univers marvel dans le monde du polar n’est pas une réussite. Les dessins semblent figés dans une trame sombre et pesante, ce manque de dynamisme nuit à la compréhension d’une histoire déjà bien confuse.
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Masks, tome 1 : Le retour des héros

Alex Ross signe les couvertures, et un premier épisode de toute splendeur.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..
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