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Critiques de Diana Gabaldon (1447)
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Outlander, tome 7.1 :  L'écho des coeurs loin..

Avec hâte j’ai repris la lecture de cette série tout en sachant que Brianna et Roger seraient moins présents. A la place l’histoire de William et de Lord John Grey. Et cette histoire m’a moins intéressée que celles dans les tomes précédents. Mais comme j’écris à chaque fois, l’autrice réussit toujours à me surprendre et à faire vivre aux héros de nouvelles aventures.
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Outlander, tome 9.2 : L'Adieu aux abeilles

Cette fois, je suis enfin au bout de ce qui est devenu, tome après tome, un chemin de croix, une lecture où je ne trouvais plus le moindre intérêt.

Bien entendu, vous vous demanderez en me lisant, de façon très légitime : mais pourquoi cette excitée pimbêche continue-t-elle à lire ce chef-d'oeuvre hors normes puisqu'elle n'en tire que de l'ennui profond, voire de la répulsion qu'elle transforme en vigoureuses, voire agressives, critiques qu'on n'oserait asséner à un roman de gare ?

Vous aurez raison de vous poser cette question, je ne comprends pas moi-même pourquoi je continue alors que dans les lignes qui suivent, comme vous le verrez, je m'acharnerai férocement contre le bouquin et son auteur. Je pense que je poursuivais à mon corps défendant juste pour savoir comment ça se termine, comme on dit, et, surtout, surtout, espérant contre vents et marées qu'un nouveau voyage à travers les pierres donnerait enfin lieu aux développements et au relief que j'attends obstinément et en vain depuis plusieurs tomes, cf mes critiques précédentes.

Hélas, rien de tout cela.



(attention, spoilers)



Précisons d'abord que j'ai lu les deux volumes de ce tome 9 comme j'ai lu les précédents depuis disons, le 5. C'est-à-dire à toute allure, sprintant sur les passages que je jugeais sans intérêt, sautant des phrases, des paragraphes, voire des pages après un rapide coup d'oeil sur leur contenu. Au final, et toujours comme pour les précédents tomes, sur les 1500 pages des deux parties, j'ai lu, disons, le tiers, et encore en comptant large. Bref, juste de quoi comprendre ce qui se passe, et pointer à nouveau tout ce que sont pour moi, les manques, les lacunes, les frustrations.

D'abord, je ne comprends plus rien à l'histoire. Certes je ne suis pas une spécialiste de la révolution américaine et de la guerre qui a permis la naissance des Etats-Unis, mais bien que n'étant pas totalement inepte, ni rétive à la compréhension, ni butée face à l'Histoire, bien au contraire, je suis totalement larguée au regard de l'arrière-plan historique, des personnages, du déroulé des évènements, des batailles, je ne sais pas plus que dans les précédents tomes qui fait quoi et qui relève de quel camp. Pour Washington, OK, mais les Clinton, Lexington, Charleston et autres, je serais bien en peine d'expliquer leur rôle dans le conflit. Je reconnais avec modestie que jamais je n'aurais réalisé ce fabuleux travail de documentation historique, mais pour une grande lectrice comme moi, c'est bien la première fois que je perds pied à ce point – et je vous jure que j'en ai lu, des romans historiques.

En ce qui me concerne, l'auteur manque donc son but.



Je ne trouve aucun intérêt aux nouveaux personnages qui apparaissent sur la scène. Certes ils sont trop nombreux, vont et viennent dans une sorte de magma qui doit ressembler à l'intérieur des pierres et qui leur enlève toute personnalité – si tant est qu'ils en aient une. William est bien gentil, mais il tourne à la mièvrerie. Où est l'intérêt d'un personnage comme Cinnamon ? J'aurais préféré qu'on ne retrouve pas Amaranthus tant elle est insignifiante. Je ne vois pas ce que vient faire Hal dans l'histoire. On se serait passés de la petite Agnes. Certains personnages jouent un rôle, si tant que l'on puisse utiliser ce terme, si épisodique, qu'on se demande pourquoi l'auteur a perdu son temps à les inventer. Je ne parviens pas à débrouiller la foule innombrable des soldats, officiers, métayers, pêcheurs, Indiens, insurgés, confédérés, loyalistes.



Les nouveaux personnages, c'est une chose, mais la façon dont tournent nos anciennes connaissances laisse parfois songeur. Prenez Lord John, ses apparitions me laissent de plus en plus perplexe, entre la vacuité de ses interventions et les méandres où il se perd. Certes un auteur se laisse guider par ses personnages, et non l‘inverse, je suis bien placée pour le savoir, mais que dois-je déduire face à ce personnage qui tourne à l'insipidité et subit des évènements avec une passivité déconcertante ?

Ah, que je regrette Dougal, Colum, Angus, Rupert, Murtagh, et même Geilis !

(même s'ils font un clin d'oeil dans le tome 8)



La vacuité des dialogues (nombreux) bat des records. Des pages et des pages sur la façon de tailler les poutres ou de pincer le bout d'un sein, sur la descendance de la truie blanche ou la disparition du chat, et j'en passe, moi ça m'ennuie à mourir. Quelques pages ça va, on peut comprendre, mais quand on en est à des milliers de pages de descriptions insipides, on ressent une certaine lassitude.



Certes la volonté de l'auteur est une description sans faille et la plus rigoureusement exacte de la vie quotidienne dans l'Amérique (et un peu dans l'Ecosse) du XVIIIème siècle). du matin au soir, le dur labeur, les soins hasardeux, au milieu d‘une nature hostile à discipliner, d'un monde à créer, des défis à relever. On vit au milieu des bêtes, domestiques et sauvages, on lutte, on fait feu de tout bois, et au final dans cette nature vierge et intacte, on jouit d'une vraie liberté, on est son propre maître – cf mes remarques sur le tome 7.

Mais il faut quand même se donner quelques limites. J'ai eu quelques haut-le coeur en découvrant des souris mortes dans les poches de Jem, ou en voyant le chien se rouler dans les viscères d'un oppossum étripé avant cuisson. Et était-ce indispensable que quand Jaimie accouche une vache, il se trompe d'orifice, ressorte le bras plein d'excréments, et s'essuie sur sa seule chemise à peu près propre ? J'en passe d'autres du même acabit, d'ailleurs concernant le même Jaimie, lui reste-t-il sur le corps un seul centimètre carré de peau qui ne soit recousu mille fois, vu l'acharnement de l'auteur sur son personnage… Les temps sont durs, mais quand même…

Et puis les scènes de baise (moins torrides vu l'âge des héros), de fractures à réduire et de plaies à recoudre, je sature.



Et toujours mon éternel regret…

Mon éternel regret, mon éternelle frustration dans cette saga qui de roman un peu fantastique au départ, se transforme en pur roman historique. Pourquoi pas, c'est le choix de l'auteur, mais si tel est le choix, on évite de parler des pierres et des voyages dans le temps.

L'absence de confrontation entre les deux époques devient de plus en plus regrettable avec les derniers voyages de Roger, Brianna et leur progéniture.

J'avais déjà partagé mon incompréhension suite à l'apparition de Buck, qui, lui, sans aucune préparation fait le voyage en sens inverse. Un individu du XVIIIème siècle brutalement balancé au XXème, et qui trouve normal de déboucher sur une nationale où vrombissent voitures et camions, de faire jaillir la lumière en tournant un bouton, de téléphoner et de fermer son jean avec une fermeture éclair, et dont on ne sait rien des états d'âme, moi ça m'avait déjà gênée dans le tome précédent.

J'avoue avoir ressenti un regain d'intérêt grâce à Buck.

Mais Roger et Briana qui reviennent dans leur siècle de naissance et qui reprennent pied dans la vie quotidienne on ne sait pas comment, ni avec quelles ressources, financières et administratives. Moi j'aurais bien aimé savoir comment ils s'en tirent, pas vous ? Retrouver l'oncle Joe aussi, qui ne fait qu'une rapide et insuffisante apparition.

Et les histoires de Brianna avec le nouveau méchant qui veut la violer sans y mettre le style de Stephen Bonnet, là aussi j'ai du mal à suivre.



Donc ils repartent. Sinon que par inadvertance, dysfonctionnement du réseau des pierres ou autre, ils se retrouvent en 1739, et en ordre dispersé. Que devient Buck dans ce fouillis ? Il repart, et si oui, où ? Que devient le père de Roger, tant cherché et si vite disparu ? Et toute la famille une fois rassemblée, la décision est prise de rester au XVIIIème siècle, quelques dizaines d'années plus tard, en retrouvant la Caroline du Nord au prix d'un voyage chaotique à travers l'Atlantique. Cela nous vaut une jolie scène de trois lignes entre Roger et Jenny, mais encore ?

Comment en arrivent-ils à cette décision, mesurant bien les conséquences pour eux et surtout pour leurs enfants ? Rejoindre les grands-parents c'est bien, quoiqu'en ces temps fragiles tout peut arriver. Mais au-delà de la présence des grands-parents, pourquoi et comment ces parents attentionnés choisissent-ils de faire vivre leurs enfants au XVIIIème siècle plutôt qu'au XXème ? Quelques paragraphes de discussion entre Brianna et Roger auraient été les bienvenus, mieux venus en tous cas que tous les insipides dialogues où je me perds d'ennui.

On revient pour de bon, disent-ils. OK, c'est leur choix. Là encore j'aurais bien aimé quelques pages sur les difficultés de leur retour, après deux années passées au XXème siècle. On ne se réhabitue pas d'un claquement de doigts à une vie sans confort, sans commodités, sans chauffage central ni téléphone ni ciné ni rien, même s'il s'agit d'un choix en connaissance de cause.



Jem, lui, est déjà grand. Que devient ce gamin, à part enfouir des souris mortes dans ses poches ? Va-t-il à l'école, que pense-t-il de sa nouvelle (et définitive) vie ? Comment cache-t-il – ou pas – à ses potes, ce qu'il a vécu au XXème siècle ? C'est dur pour un gamin de cet âge de tenir sa langue.

Pour Mandy, vu son âge, ça pose moins de difficultés.



Quant à Claire, quand les jeunes reviennent, ça fait quand même plus de dix ans qu'elle a quitté le XXème siècle. Et on a tous en tête les multiples changements intervenus entre 1970 et 1980. Claire fait preuve d'un singulier manque de curiosité à l'égard de ces changements car on ne la voit guère poser des questions à ses jeunes pour savoir comment le monde a évolué depuis qu'elle a quitté son époque. Certes elle a définitivement tourné la page, mais moi j'aurais bien aimé partager ses états d'âme…

Car au-delà des lave-linge, des sorties au ciné, et des blocs opératoires dernier cri, mon interrogation suprême est de comprendre comment une femme grandie dans un monde où races, sexes, croyances, appartenances politiques, orientations sexuelles etc, sont traités (ou supposés traités, hélas, l'actualité le démontre chaque jour) de manière égale, comment cette femme accepte de vivre à une époque où la notion même d'égalité est inexistante, où la vie humaine ne compte pas, où l'esclavage bat son plein, où la démocratie ne veut rien dire…



Pour finir cet interminable réquisitoire aussi long qu'un dialogue entre Claire et Jaimie, je reviens sur l'effet salutaire de cette saga et les réflexions qu'elle engendre sur le choix de vivre à une époque plutôt qu'à une autre ? Certes un XVIIIème siècle moins sécure à tous points de vue (santé, sûreté…), où les idées des Lumières ont encore du mal à se frayer un chemin, mais où l'être humain s'éclate dans une nature que ses activités n'ont pas encore massacrée, vit en accord avec le climat, utilise sans rien perdre ni gâcher toutes les ressources à sa disposition…



Le tome qui reste, annoncé comme le dernier par l'auteur, je crois que je le lirai quand même !



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Outlander, tome 4 : Les Tambours de l'automne

Traduit de l'anglais par Philippe Safavi



Faisant fi de tous les livres dans ma PAL que je dois lire avant celui-ci pour les rendre à la médiathèque à la date prévue, je me suis à nouveau plongée dans la vie palpitante des deux âmes soeurs : Claire et Jamie.

Cette fois, ils ont échoué, littéralement, sur les rives du Nouveau Monde, en Caroline du Nord.

C'est là qu'ils vont faire leur nid avec toute l'énergie qui les caractérise, et ce, malgré pas mal d'embûches.

Je n'en dirai rien, car comment résumer, sans spoiler, 1136 pages d'aventures.

Je vais, sans attendre, chercher le tome 5... et peut-être le 6. Soyons fous !
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Outlander, tome 3 : Le Voyage

Pour moi l'été c'est les grandes Saga à lire ou à voir ! Je trouve qu'Outlander est vraiment idéal surtout ce tome 3 que j'ai adoré lire ! 1013 pages que je n'ai pas vu passées, j'aurais même aimé en avoir un peu plus !



J'ai vraiment pris du plaisir à retrouver Claire et Jamie, je ne m'attendais pas à ce qu'ils soient séparés si longtemps. Je ne m'attendais pas à ce qu'ils vivent l'un sans l'autre. Peut-on seulement vivre sans l'amour de sa vie à ses côtés ? Quand se retrouveront-ils ? Ont-ils changés ? seront-ils toujours les mêmes l'un avec l'autre ?



Voici toutes les questions qui m'ont traversées l'esprit pendant ma lecture.



Vous le savez le tome 1 a été un coup de cœur, le tome 2 une déception... Ce tome 3 est dans la même veine que le premier tome et j'ai vraiment été enchantée ! Il y a de nombreux rebondissements auxquels je ne m'attendais pas.



J'ai vraiment eu peur pour ce couple que j'aime beaucoup, de plus en plus même. Je n'ai pas toujours approuver leurs choix surtout ceux de Jamie !



Outlander 3 - le voyage est l'opus de la surprise en espérant vraiment continuer sur la même lignée à travers les autres tomes.



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Outlander, tome 6 : La neige et la cendre

L'autrice trouve encore de nouvelles aventures pour la famille Fraser et leurs proches. Les pages défilent sans que je m'ennuie et même j'attends la suite avec impatience, aimant toujours plus Claire et Jamie. J'arrive à être suprise par les événements qui se succèdent. L'histoire me fait rire, pleurer, sourire.
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Outlander, tome 3 : Le Voyage

Traduit de l'anglais par Philippe Safavi



Que d'aventures, que d'aventures !

Claire, retournée au XXe siècle dans le tome précédent, débarque à nouveau en Ecosse, vingt ans après.

La question cruciale est : vont-ils se retrouver et s'aimer autant qu'aux premiers jours ?

Avec ces deux-là, pas le temps de s'ennuyer. C'est comme aux Galeries Lafayette, il se passe toujours quelque chose, pour le plus grand bonheur du lecteur.

De ces aventures, je ne dévoilerai rien, bien sûr.

Tout le plaisir est dans la découverte. Et des découvertes, oh, il y en a... plein.

Bonne lecture.

Le tome 4 est déjà dans ma PAL, bien sûr.
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Outlander, tome 9.1 : L'adieu aux abeilles

Très heureuse de retrouver Fraser's ridge et les retrouvailles de la famille ! Ce n'est pas le tome le plus palpitant, c'est plus tranquille, il ne se passe pas grand chose mais ça laisse présager une suite beaucoup plus mouvementée. Une pause avant la tourmente !
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Outlander, tome 4 : Les Tambours de l'automne

Ce tome 4 d'Outlander est un gros pavé plein d'aventures !



Claire, Jamie et leurs proches vont vivre énormément d'histoires et de rebondissements au cours de ces 1137 pages !



On ne s'ennuie pas et les personnages secondaires sont mis en avant, dans ce tome.



Écouté en plusieurs semaines sur Audible. La voix de la lectrice est toujours aussi agréable !!! J'écouterais le 5ème tome cet hiver.



Et vous, où en etes vous dans cette série ? L'avez vous commencé ? En livre, en série ?
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Outlander, tome 9.1 : L'adieu aux abeilles

J'ai eut un grand plaisir de retrouver Jamie, Claire, Brinna et Roger mais... Oui il a des mais ! Une aussi longue attente entre le t8 et le 9 m'as fait oublier pas mal de choses. Etant donné que j'ai emprunté les livres en bibliothèques sans les acheter, je me voyais mal emprunter le 8 pour le relire. Heureusement que j'ai une bonne mémoire qui m'as permit de me souvenir de quelques personnages et événements mais pas tout.

Je ne vais pas dire que je n'ai pas aimé ma lecture, ça serait un tort mais il est vrai qu'il ne se passe pas grand-chose d'important. On sent la guerre et la Révolution qui plane et les préparatifs face aux futurs événements mais c'est tout. La 1ère partie est surtout consacrée à la vie sur Fraser's Ridge, pas inintéressant mais j'espère que la partie 2 comprendra davantage de mouvements. Wait and see donc...
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Outlander, tome 8.2 : Écrit avec le sang de ..

Quelle saga formidable et si addictive ! Je ne pourrais pas m'empêcher de commencer le 9 ème tome, mais ça va être si dur de quitter tout ces merveilleux personnages en attendant que Diana Gabaldon écrive enfin la fin tant attendue et redoutée ! Idem pour la série qui est très bien réalisée et qui retransmet à merveille l'émotion des livres...
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Outlander, tome 5.2 : Le temps des rêves

Diana Gabaldon nous offre encore un roman de qualité, on navigue entre histoire, amour, guerre et fantastique. Une épopée magique pour suivre les aventures de Claire et Jaimie et de leur fille Briana. Impatiente de découvrir la suite de cette aventure incroyable !
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Outlander, tome 8.1 : Écrit avec le sang de ..

Encore un tome que j'ai dévoré ! J'avais tellement hâte de lire la suite... Quel remarquable travail de recherche historique réalisé par Diana Gabaldon ! Ça va être dur d'attendre l'écriture du dixième tome ! Il va falloir ralentir le rythme surtout que la série ne diffuse plus qu'episode à la fois !
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Outlander, tome 2 : Le Talisman

J'ai eu beaucoup de mal à achever la lecture de ce deuxième tome. Ça commençait bien, avec une bonne dose de mystère, puisque ce second volet s'ouvre en 1968, Claire a une fille et son mari est mort. Les pierres posées à l'édifice donnent envie de ne pas lâcher le roman. Claire fait le récit de ses aventures parisiennes mêlées d'intrigues. Le moment à partir duquel la lecture est devenue ennuyeuse réside dans le retour du couple en Ecosse. Les dernières lignes tentent d'éveiller notre curiosité pour embrayer sur un troisième tome.
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Outlander, tome 9.2 : L'Adieu aux abeilles

J'ai enfin terminé la deuxième partie de l'adieu aux abeilles de Diana Gabaldon.



Après mon grand coup de gueule concernant la première partie qui était inintéressant au possible, d'une longueur démesurée sans action ou presque, je me suis sentie bien plus à l'aise avec cette partie-là.



DG nous entraine dans le sillage des personnages principaux qui sont bien plus nomades dans cette partie que la précédente, et il se passe enfin beaucoup des choses. Il est aussi très intéressant de retrouver des personnages des romans précédents qui ont toute leur place.

En particulier, l'arrivée, le retour, bref avec ces voyages dans le temps on ne sait pas trop, d'un vrai méchant !!! Après Randall et Bonnet, on tient le prochain, mais je vous laisse le découvrir sans spoiler si vous ne l'avez pas encore lu et j'ai trouvé ça agréable. Après, je me dis que c'est un peu du réchauffé quand même et que la saga s'essouffle depuis quelques tomes, en fait les trois derniers.



Vous le savez peut-être DG est en train de plancher sur son suivant qui n'a pas encore de nom. Ce tome était annoncé comme étant le dernier de la saga et bien je vous l'annonce sans guillemet : ce n'est pas impossible que ce ne soit pas le dernier ... dft007 Non, non, non, je sais que le business est juteux : 18.90 euros le roman mais là il va falloir s'arrêter un moment où un autre.



Même si j'aime beaucoup, toujours, mais un peu moins quand même Jamie et Claire, ils ont mérité d'être en paix dans ma mémoire. Bon j'avoue quand même avoir tremblé dans cette partie pour Jamie, et je ne peux m'empêcher de me rappeler et de compter le nombre de fois où il aurait du mourir : sept fois avait dit la bohémienne. On en est pas loin du tout maintenant.



alors me direz-vous, pourquoi j'attends encore la suite ... Et bien ce qui me donne encore envie ce sont les dernières révélations de Mandy, la fille de Roger et Brianna à la fin de ce tome, qui me turlupine, qui me chagrine, me laissant perplexe sur la fin de cette saga. Et vous ?
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Outlander, tome 7.2 : L'écho des coeurs loint..

J'avais trouvé la 1ere partie du tome 7 un peu lente, je suis heureuse de retrouver la magie outlander dans cette seconde partie. On ne s'ennuie pas une seconde ! Beaucoup de rebondissements, un peu comme au début de la saga ! Et l'histoire toujours si bien racontée par Diana Gabaldon ! Vite, la suite...
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Outlander, tome 7.2 : L'écho des coeurs loint..

Voyages dans le temps, guerres, intrigues, trahisons... Claire et Jamie font face aux obstacles et s'aiment par-delà les siècles et les continents. Ce couple soudé et attachant est de retour pour affronter de nouvelles épreuves, que ce soit sur le continent américain ou en Écosse au XVIIIe siècle.

C'est toujours un régal : Diana Gabaldon mêle à merveille éléments historiques et fiction, rires et larmes, suspense et ambiance de la vie quotidienne.

Au cœur de la guerre d’indépendance américaine, des liens se tissent au-delà des loyautés, le hasard mène des personnages des deux camps à se côtoyer.

Alors que la 1ère partie était un peu lente, cette 2ème partie donne lieu à de nombreux rebondissements, et notamment des événements assez croustillants à la fin (!
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Outlander, tome 1 : Le Chardon et le Tartan

Grande fan de la série TV, je pouvais que aimer cette lecture.

Gros coup de coeur.
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Outlander, tome 2 : Le Talisman

Traduit de l'anglais par Philippe Safavi



« Jamie Le Rouge » est jeune, mais très avisé, très rusé. D'ailleurs, il est roux comme un renard, d'où son surnom. Il réfléchit avant d'agir, examine avec attention toutes les options qui s'offrent à lui, réfrène, au mieux, son tempérament fougueux qui pourrait lui attirer des ennuis sérieux comme ce fut parfois le cas dans le premier tome.

« Sassenach », forte de son expérience lors de la guerre 39/40, essaye de soigner tout son petit monde avec les moyens du bord. Intelligente et très très amoureuse de son Highlander, elle a vite compris quelle était sa place et sait s'y tenir, du moins le plus souvent.

Quant à l'histoire des jacobites et de Charles-Edouard Stuart dit « Bonnie Prince Charlie » prétendant malheureux au trône, j'avoue ne pas en avoir saisi tous les tenants et les aboutissants, ne connaissant rien à l'histoire mouvementée de l'Ecosse.

Mais cela n'a pas terni mon plaisir de lecture, car ce qui compte le plus pour moi, c'est cette merveilleuse histoire d'amour entre une Américaine de XXe siècle et un Ecossais du XVIIIe siècle.

Tous les personnages sont bien campés, on les aime ou on les déteste, c'est selon.

Je vais samedi à la bibliothèque chercher la suite.

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Outlander, tome 7.1 :  L'écho des coeurs loin..

J'avais hâte de lire le 7 ème tome de la saga surtout que la saison 7 reprend sur Netflix ! L'histoire avance, doucement mais sûrement... Je suis un peu déçu malgré tout, le livre est moins gros, mais il ne se passe pas grand chose, on découvre un peu plus William...

Vite la seconde partie !
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Outlander, tome 6 : La neige et la cendre

Encore un tome que j'ai dévoré, un peu plus lentement pour mieux m'imprégner.

J'adore la profondeur des liens qui unissent les couples qui font le succès de la saga. Pas seulement celui de Claire et Jamie, mais celui de leur fille aussi ! Leur interrogation, leur doute, et leur peur pour leur famille, c'est très fort. L'histoire d'amour principale est toujours aussi émouvante, et résiste aux épreuves...

Le contexte historique m'a beaucoup appris aussi,, très bien documenté ! C'est décidément une grande saga !
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