Diana Gabaldon

J'en avais si souvent entendu parler qu'un jour je me suis dit go, tu ne peux plus passé a coté...! Et bien c'est mon chum qui en a pâti car j'ai lu les 6 premiers tome sans m'arrêter pratiquement! Pour le côté historique que j'ai vraiment adoré, qui a des fondements, l'auteure a fait ses devoirs et ça rend l'histoire d'autant plus riche et pour l'histoire d'amour également, je reste une fille :P Les personnages sont attachants a points tel que je les voyaient partout après chaque roman!

J'ai adorée. Je l'aie lu et relue encore et encore!!

J'ai adorée. Je l'aie lu et relue encore et encore!!

J'ai adorée. Je l'aie lu et relue encore et encore!!

ma série préférée. Je l'aie lu et relue plusieurs fois!

Long.......... 24h en 300 pages ! Et ce n'était pas le pire. La seconde moitié ne finit plus de finir. Les quelques 20 dernières pages étaient suffisamment bonnes pour donner une chance au second tome.

Enfin la suite! Je le commande la semaine prochaine puisqu'on le trouve maintenant au Grand Livre du Mois et prochainement chez France-Loisirs. Je me réjouis de retrouver tous ces personnages de caractère!

Au début du troisième volet de Le Chardon et le Tartan, nous retrouvons Claire vingt ans après sa séparation forcée de Jamie, en 1968, alors qu'elle est en voyage à Inverness avec sa fille Brianna. Aidées par Roger Wakefield, un passionné d'histoire, elles ne vont pas tarder à douter du fait que Jamie est mort à la bataille de Culloden et tous ensemble, ils feront des recherches frénétiques afin de trouver ce qu'il est advenu de celui-ci.

Puis, Claire aura enfin la preuve irréfutable que Jamie n'est pas mort à Culloden. Elle décidera donc de le rejoindre. Un choix déchirant, puisqu'il implique qu'elle abandonne sa fille Brianna.

Cependant, avant que Claire ne traverse une fois de plus le menhir, nous découvrons sous forme de flashback la vie qu'elle a mené ces vingt dernières années. Plusieurs chapitres sont également consacrés à la vie de Jamie pendant ces vingt années solitaires et difficiles. À aucun moment le rythme du récit ne ralentit, et nous découvrons que même séparément, leurs vies ne sont pas sans attirer notre intérêt !

Nous assistons ensuite avec émotion aux retrouvailles des deux amoureux, puis à la découverte qu'ils font de nouveau l'un de l'autre. Il s'en passe des choses en vingt ans !

Tout au long de ce tome, nous refaisons connaissance avec des personnages des tomes précédents qui ont vieilli ou grandi. Et malgré le fait que nous ayions eu l'impression de tout savoir sur la vie des deux personnages principaux, nous faisons de nouvelles découvertes stupéfiantes !

Je vous invite à découvrir ce qui mènera Jamie et Claire à traverser l'océan pour se retrouver dans les Antilles ! Même si c'est avec un petit pincement de coeur que je les ai vus quitter l'Écosse, ce pays que j'aime tant, j'ai bien apprécié ce tournant dans l'histoire.



J'ai indubitablement un faible pour la saga de Jamie et Claire, en dépit des nombreuses incongruences et improbabilités des aventures qui en font partie. J'ai un véritable plaisir à lire les péripéties de leur vie commune et séparée, et lorsque je les lis mon coeur bat pour eux, peu importe ce qu'ils vivent. Ils sont si attachants ! Tout particulièrement Jamie, le Highlander géant et coriace au coeur tendre !

Ce que j'aime tout particulièrement de cette série, c'est que malgré la longueur incroyable des livres qui en font partie, l'histoire ne souffre d'aucune longueur. Les aventures se succèdent les unes aux autres sans répit. J'ose espérer que ce sera comme cela jusqu'à la fin de la série, mais j'ai bien peur qu'elle ne finisse par s'essoufler, comme la plupart des séries. Nous verrons bien !

J'ai emprunté la suite, Les tambours de l'automne, mais j'hésite à l'entâmer tout de suite, de peur de me lasser de l'histoire. Je fais donc une petite pause, mais je sais bien que j'y reviendrai, tôt ou tard !
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Etre propulsée deux cent ans en arrière, ce n'est pas vraiment génial.

Par contre, ce qui l'est plus c'est d'atterir dans les bras d'un bel highlander épondant au nom de James Fraser.

Moi, se cela devait m'arriver... ben je ferais avec ;-)

Diana Gabaldon signe ici une incroyable épopée haute en couleurs, richement documentée et last but not least pleine d'humour.

On avale les pages sans compter, et pourtant il y en a vraiment beaucoup.

J'ai lu toute la série avec passion. Le genre d'ouvrage qu'on ne peut plus lâcher une fois commencé. Un peu de fantastique, bien entendu, mais surtout des contextes historiques magistralement rendus et beaucoup d'humour, avec des personnages fort attachants.

Habilement construit. J'ai encore été surprise de constater à quel point l'auteure a de la suite dans la idées et un souci du détail si bien ficelé. Elle ne nous étire pas l'histoire ou les moments attendus pour le plaisir de nous faire languir. Tout arrive à point. Et encore une fois, on rit, on pleure, on palpite.

The breathtaking begining, when we learn how long Claire lived without Jamie,

but with the unbearable weight of her secret, and the heartbreaking end are enough to forget the lengths in between. I read both french and english version, depending of the scenes. The dialogues are so much better in the original version.

La lecture du début, où mon cœur a fait des rebonds à me faire hyperventiler, et de la fin, où il s'est tout simplement fendu en deux, m'a fait oublier le milieu un peu plus lent.

Un 1er tome qui réunit tous les ingrédients d'une bonne saga : amours contrariées, personnages attachants, lieu à l'atmosphère envoûtante, complots,trahisons etc etc...
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Des années en retard... Longtemps j'ai boudé (mon plaisir ?) cette série, la croyant à tort trop quétaine. J'ai littéralement dévoré ce livre dès le premier quart passé. Mon coeur a fait des bonds, des ralentissements, des soulèvements et je crois même quelques arrêts. Dommage que la traduction française nous berne en nous enlevant quelques passages complets de la version originale. J'ai découvert cela en fouillant dans la version anglaise pour relire certaines scènes aimées ou répliques particulières dans la langue originale... Mais somme toute : un des meilleurs plaisirs de lire que j'aie connu.

Dans la suite de Le Chardon et le Tartan, nous retrouvons Claire Beauchamp Fraser en 1968 alors qu'elle amène sa fille en Écosse dans le but de lui révéler cette partie de sa vie qu'elle n'a osé conter à personne. Elle se met donc à lui raconter son histoire d'amour avec un highlander écossais du XVIe siècle, espérant que sa fille arrivera à la croire et à accepter que son père n'est pas celui qu'elle a cru toute sa vie.

Nous retournons donc dans le passé avec Claire alors qu'elle nous raconte les dernières années qu'elle a passées auprès de Jamie, son mari en Écosse. Elle raconte à sa fille toutes les astuces dont elle et son mari ont usé pour tenter de faire avorter les plans de Charles-Édouard Stuart pour déclencher la bataille de Culloden qui s'est révélée déterminante pour la suite de l'Histoire.

La majeure partie de ce tome se déroule à Paris auprès de personnages historiques de la noblesse française, anglaise et écossaise, nous incrustant ainsi au coeur même d'une partie de l'histoire inconnue de plusieurs personnes. Ceci n'était pas pour me plaire, car Paris est infiniment moins exotique à mes yeux que les Highlands écossais. Toutefois, je découvre que Diana Gabaldon a une plume magique, car elle a rapidement réussi à me faire oublier ma déception.

De plus, à travers toute cette histoire, voire même toute cette politique, nous retrouvons nos personnages chouchous en Jamie et Claire, qui filent toujours le parfait amour. Les situations cocasses ne manquent pas non plus, tout comme dans le premier tome.

En lisant ce livre, j'ai eu parfois le sourire au lèvres, parfois les larmes aux yeux, mais d'une manière ou d'une autre, il ne m'a jamais laissée indifférente. Si les détails historiques me perdaient parfois, ce n'était jamais assez pour me faire perdre le fil d'histoire. En fait, ça n'a fait que renforcir ma résolution d'en apprendre plus sur l'histoire fascinante de l'Écosse !
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J'ai tout simplement adoré ce roman de Diana Gabaldon, qui m'a été proposé par Plumagile. Elle a aussi aimé la saga de Mallaig et m'a mentionné que son intérêt pour cette saga lui faisait penser à ce qu'elle avait vécu en lisant Le chardon et le tartan. Il ne m'en fallait pas plus pour me précipiter sur ce roman ! En plus, ça se passe en Écosse, où je vais être dans même pas trois semaines... Raison de plus pour ne pas résister !

Et bien, je n'ai pas été déçue du tout, même si c'était ce que je craignais en lisant la quatrième de couverture. Moi, les retours dans le temps, ça ne me branche pas. Enfin, pas la plupart du temps...

Je crois toujours que cette courte partie de l'histoire, celle qui se passe après la deuxième guerre mondiale, n'aurait pas été nécessaire, mais j'ai bien vite réussi à en faire abstraction une fois plongée dans les Highlands du XVIIIe siècle !

Wow ! L'aventure, les châteaux, les chevauchées, les procès pour sorcellerie, la belle histoire d'amour et l'humour... Tous les ingrédients étaient là pour me tenir les yeux scotchés après le livre.

J'ai adoré le personnage de Jamie, grand et fort comme un boeuf, résistant et endurant la douleur comme personne mais en même temps si vulnérable !

J'ai adoré les pointes d'humour qui allégeaient un peu l'atmosphère. J'ai souvent eu le sourire aux lèvres en lisant ce livre...

J'ai adoré l'aventure, les longues chevauchées dans les plaines, les montagnes et les forêts de l'Écosse...

J'ai adoré le sentiment de vivre moi-même cette aventure et les émotions qui m'ont subergées, même quand c'était de la douleur, de la tristesse ou de la colère...

Le chardon et le tartan est une grosse brique, on ne se le cachera pas. Mais une péripétie n'attend pas l'autre, et on est jamais ennuyé !
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Long, long, long... tellement long ! L'auteur n'a pas le même rythme d'écriture dans ce 5e tome. J'ai perdu l'intérêt à plusieurs reprises. Ce qui a eu pour effet de me prendre plusieurs mois pour en terminer la lecture.

Un bon moyen de découvrir la fantasy à travers ces auteurs talentueux qui proposent ici des nouvelles écrites spécifiquement pour l'anthologie.

On m'en avait parlé, j'avais vu de bonnes critiques de personnes qui se sont passionées pour cette série de livres. Alors je m'y suis mise malgré un nombre de page relativement élevé ( et il y a 7 tomes!!) je me suis dis que je ne pouvais pas passer à côté et ... j'avais raison.



J'ai commencé le Chardon et le Tartan et je n'ai plus su m'arrêter ! C'est un livre où on ne s'ennuie pas, il se passe toujours quelque chose entre action, passion, violence et histoire on a peu de temps pour souffler et on adore ça!



En 1945 après la guerre, Claire Beauchamps infirmière de guerre passe un séjour paisible en Ecosse avec son mari ,Frank Randall, historien de son état qui profite de ce séjour pour se documenter sur son ancêtre un certain Jonathan Randall.



Mais tout bascule le jour ou Claire passe au travers d'un mur invisible qui la ramène 200 ans plus tôt... alors que les Jacobites attendent la venue de Charles Stuart pour reprendre leurs droits aux Anglais. Claire receuillie par un clan écossais n'arrive pas à rejoindre à nouveau le cromlech pour faire le voyage inverse. Elle se met dans une mauvaise posture face a l'ancêtre de son mari, Si bien qu'elle se retrouve forcée d'épouser un grand écossais à la chevelure rousse dénomé Jamie Fraser de jour en jour ils se découvrent inséparables, liés par un amour passionné. Se sauvant l'un l'autre des pièges qui ont l'air de se succéder.



Mais Claire sera divisée entre son amour pour Jamie qui chaque jour s'intensifie et son besoin de retrouver Frank et la vie plus confortable confortable du 20ème siècle.



Une histoire pleine de rebondissements, les tomes s'enfilent les uns à la suite des autres on reste complètement absorbé ! Une série qui vous prends vos moindre temps libre, qui vous empêcherons d'éteindre la lumière le soir, une histoire où l'on vit avec les personnages...Un livre ensorcellant !!!



Arrivée au "tambours de l'automne" (le tome 4) je m'essoufle un peu. Peut-être devrais-je faire une pause après celui là sinon je vais faire une indigestion de Gabaldon (ça va bientot faire 4000 pages que je suis dedans finallement) .



Je pense que le livre est toujours aussi bien mais reste bien sûr dans la même veine. Il faut peut-être que je me change un peu les idées avec un autre type de livre avant de reprendre la suite.