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Critiques de Dominique Latil (58)
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Teleportation Inc., tome 1 : Perdus en tran..

Encore un titre qui me déçoit réellement. C'est sans doute un genre de BD que je n'ai plus envie de lire mais on ne sait jamais à l'avance sur quoi on tombe et si cela va nous plaire. Il faut tout lire puis après, on peut juger et apporter des arguments dont certains seront de toute façon subjectifs.



Au niveau du graphisme, j'ai juste eu l'impression que toutes les planches étaient noyées sous une couche épaisse de colorisation informatique comme pour masquer la faiblesse du trait.



L'intrigue ne m'a absolument pas intéressé, pas plus que les personnages et l'ambiance du récit. En effet, nous avons un monde futuriste où la téléportation est devenue un enjeu majeur avec une brigade qui contrôle sa bonne utilisation. Ce procédé tiré de la série Star Trek aurait pu donner lieu à une intrigue des plus intéressantes mais cela ne sera pas le cas en l'espèce.



Notre héroïne est partie pour enquêter suite à une mystérieuse disparition de 5 utilisateurs. Elle fera un duo improbable avec une sorte d'extraterrestre ce qui provoquera un décalage assez comique que j'ai trouvé pour ma part assez grotesque.



Il y a deux grosses scènes d'action qui occupe la majeure partie de l'album comme pour tirer en longueur. Ce fait encore très clichés avec des dialogues complètement décousues qui n'apportent pas grand-chose. D'ailleurs, si on fait le bilan, il ne se passe rien de concluant, ni de marquant. Certes, il y a la toute dernière case qui montre notre héroïne en mauvaise posture mais bon, on sait d'avance qu'elle va s'en tirer sans la moindre égratignure. On n'a même pas peur pour elle.



On est dans la bande dessinée de pure divertissement sans aucune psychologie, ni profondeur. C'est un peu comme si on comparait une oeuvre de Tolstoï avec un article du nouveau détective ou un roman de gare, un film de Jean-Claude van Dame avec un François Truffaut. Maintenant, je dis qu'il en faut pour tous les goûts.



Bon, pour résumer, je dis que ce titre peut plaire à un public moins exigeant que moi. Dans ce cas, il ne vaut mieux pas trop insister et passer à autre chose car ce ne sont pas les oeuvres de BD qui manquent.
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Teleportation Inc., tome 1 : Perdus en tran..

Repérée grâce à sa couverture durant l’un des derniers Masses Critiques, Téléportation Inc. me faisait de l’œil autant pour son design que pour le sujet au centre de l’intrigue : la téléportation. Malheureusement, la sauce n’a pas prise et cela dès le départ…



Parlons déjà de ce que j’ai apprécié. Le design est très sympa. On y retrouve une ambiance industrielle et mécanique qui se prête tout à fait à l’univers. Expressifs et plein de détails, les dessins nous permettent de découvrir ce monde futuriste et un peu steampunk ainsi qu’une panoplie de personnages assez hétéroclite.



Le problème, c’est que dès le départ, on est perdu. On ne sait pas où l’on est, ce qu’il se passe, quels sont les codes de l’univers. C’est un peu comme vous mettre entre les mains un nouvel appareil technologique sans le mode d’emploi. On arrive à glaner des informations par-ci, par-là mais difficile de rentrer dans l’histoire. J’avoue que le principe de permettre aux gens de se téléporter mais de ne pas les laisser faire ce qu’ils veulent ensuite est totalement bizarre. Un peu comme si la SNCF vous envoyez le RAID parce que vous n’étiez pas monté dans le train de retour. A pas compris !



Certaines scènes sont aussi étranges. Je suis restée devant plusieurs minutes à chercher un détail que je n’aurais pas vu, ou bien à relire ce qu’il se passait avant pour les comprendre mais là encore… Mystère et boule de gomme. Cela concerne des scènes avec notamment des rayons rouges autour des personnages. Les combats aussi m’ont parfois laissée perplexe… On a beau être dans un monde futuriste, le corps humain a des règles et des capacités bien définis. A moins qu’il ne manque une bulle entre deux actions mais sinon non cela n’avait rien de réel.



Et c’est dommage parce que le duo est pas mal du tout, entre l’agent badass ultra efficace et dégourdie, et son acolyte maladroit et un peu lent, on a une bonne dynamique. Mais ils nous manquent trop d’information pour qu’on puisse vraiment s’y plonger convenablement. J’ai eu l’impression de prendre le train en marche, et clairement cela n’aide pas du tout.

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Moréa, tome 7 : La Fureur des anges

Ce tome voit l'arrivée d'un nouveau scénariste, Latil, qui reprend les commandes tout en suivant la ligne directrice de Christophe Arleston.



Jusqu'au tome 5, l'histoire se cantonnait à La Havane, voire un peu sur Mars. Mais depuis le précédent, Moréa voyage un peu plus : en France, dans le 6, et en Russie, dans celui-ci. Par contre, depuis la mort de son mentor, c'est un peu la débandade autour d'elle et pas forcément de leur plein gré. Mais j'ai bien aimé le petit clin d’œil fait à Léo Loden dans ce tome. Il me tarde quand même de savoir comment tout ceci va se finir pour Moréa, ses amis et l'ensemble des Dragons.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Teleportation Inc., tome 1 : Perdus en tran..

Je tiens tout d’abord à remercier Babelio et les éditions Drakoo pour l’envoi de cette bande dessinée dans le cadre de la dernière opération masse critique.



L’histoire est centrée sur le personnage de l’agent Lubia Thurel. Elle est chargée par le C.T.G. de retrouver des personnes qui se sont servis de la téléportation pour échapper à la justice ou celles qui ont tout simplement disparu (on les appelle les « flottants »).



Pour un premier tome, j’ai trouvé la mise en place un peu brouillonne. Je n’ai pas du tout accroché à l’histoire. J’ai trouvé que les clins d’oeil (attaque de la diligence par exemple) n’aidaient pas à créer un univers très original, c’est un patchwork de « déjà vu quelque part ».



Je n’ai pas trop aimé les graphismes/couleurs qui donnaient plus une ambiance steampunk que de space/planet opera.



Pour résumer mon impression, cela manquait d’uniformité et je ne lirai pas les tomes suivants.









Challenge BD 2021

Challenge SFFF 2021
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Moréa, tome 8 : Le temps de la fin

Moréa continue à essayer de sauver les Dragons contre leur gré car ils sont menés par quelqu'un qui ne voit pas d'un bon œil les actions solitaires de celle-ci. Elle fera donc semblant d'être conciliante afin de gagner la confiance de tout le monde et d'arriver à ses fins. On suit donc Moréa et un journaliste de la DWC sur la même histoire mais avec des points de vue différents.



Par contre, depuis le changement de scénariste, par rapport à Arleston, je lui reproche des raccourcis dans l'histoire, déjà remarqués dans le tome précédent mais encore plus flagrant dans celui-ci. Arleston crée des histoires rythmées où tous les indices pour la compréhension sont donnés. Alors que Latil saute souvent du coq à l'âne, on voit des personnages apparaître à un nouvel endroit sans que l'on sache trop pourquoi ni comment. Cela gâche un peu la continuité de l'histoire en mon sens car il faut revenir en arrière et réfléchir à la logique donnée à celle-ci...



Si j'en ai l'occasion, j'essaierais quand même de m'en procurer la suite à sa sortie, ne serait-ce que pour avoir le fin mot de toute cette histoire entre les Dragons et les Anges. Je vous conseille néanmoins de découvrir cette série futuriste, sortant des habituelles séries créées par Arleston. Pour ma part, je vais continuer à écumer une certaine bibliothèque.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Moréa, tome 6 : La mort dans le sang

À ma précédente lecture, je m'étais arrêtée au tome 4 et l'histoire a finalement bien avancé. Moréa défend chèrement sa vie car elle a une place privilégiée dans les rangs des Dragons. On en apprend un peu plus sur ces deux « peuples » et que l'histoire est bien plus compliquée qu'il n'y paraît au premier abord, à savoir une lutte de pouvoir sans merci entre les Anges et les Dragons. On verra ainsi apparaître un Ange particulièrement retors qui veut la puissance dans son camp...



J'apprécie les histoires inventées par Christophe Arleston, elles sont d'habitude plus tournées héroïc fantasy comme Lanfeust, Les forêts d'Opale ou Les Naufragés d'Ythaq (dont certaines séries sont toujours en cours, surtout celles liées au monde de Lanfeust). Cette série est plus axée fantastique avec un monde ressemblant au nôtre mais dans quelques années et où la technologie a fait un bond en avant avec des voitures volantes du style « Le Cinquième Élément ». La particularité de Moréa m'a également fait penser à la série « Highlander », entre autre avec l'utilisation des épées pour se défendre. Par contre, le changement de dessinateur m'a un peu surprise mais finalement, son style graphique est relativement proche du précédent donc cela ne gêne pas plus que ça.



Heureusement que j'ai tous les tomes sous la main, au vu de la fin de ce tome, il me tarde de lire la suite, même si on se doute de quel camp va sortir vainqueur de cette lutte sans fin.



Sur ce, bonnes lectures à vous :-)
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Teleportation Inc., tome 3 : La planète perdue

Dessin nerveux et moderne, couleurs soignées et donnant de belles pages, cette bande dessinée s'adresse à un public jeune.

Les expressions des visages, certains dialogues instillent l'idée que nous sommes en présence d'une bande dessinée au ton léger, même si le cœur du sujet de SF est ici la téléportation et qu'il y a moyen de produire un scénario intéressant.

Ce n'est pas trop le cas ici..

J'avoue de plus n'avoir pas trouvé à mon goût certaines planches. Même en ayant passé plusieurs minutes dessus, je ne les ai pas comprises. Et cela m'ennuie, je lis des BD pour la détente, pas pour me creuser la tête.

Les moins réussies sont les scènes d'action.

Dommage pour une BD dont c'est l'un des ressorts pour plaire à un public jeune.

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Mycroft Inquisitor, tome 2 : La Bête d'écume

Nouvelle enquête et donc, nouvelle planète pour notre duo de choc : l’inquisiteur Mycroft d’Aquilée et sa bombasse d’assistante, Morgane.



Dans les Confins, sur une nouvelle planète, on construit un complexe hôtelier de luxe et un ingénieur à disparu alors qu’il prenait un bain dans un lagon qui invite au barbotage.



Mycroft est partant, de toute façon, tant qu’on le paie grassement, lui, il y va.



Si les paysages sont de rêves, le reste l’est un peu moins : disparitions inquiétantes, tentatives d’élimination ou juste pour faire peur à nos deux enquêteurs et on parle en plus d’une créature monstrueuse qui hanterait les lieux.



Aucun humains ne l’a vue, mais les autochtones, les Indoles, l’ont vue, eux. Les Indoles sont des créatures bleues qui aiment les couleurs vives et qui sont utilisées comme main d’œuvre bon marché par les constructeurs du futur complexe. Hé oui, on a beau aller à l’autre bout de l’univers, l’Homme reste toujours le même.



Dans ce deuxième tome, la qualité de l’enquête et son originalité sont toujours bien présentes, nos deux amis vont avoir fort à faire pour dépatouiller toute cette affaire qui pue le souffre.



Notre belle Morgane va même se trouver un beau mec pour jouer à la bête à deux dos avec et là, je n’ai qu’une chose à dire « quelle souplesse ».



Mycroft est toujours aussi cynique, toujours aussi fouille-merde et son jeu préféré est toujours d’étudier les relations entre les invités lors d’un dîner mondain. Effectivement, ça gâche souvent les petits-fours de son associée qui elle, aimerait manger en paix.



Une fois de plus, l’enquête et sa résolution finale sont bien troussées, on ne la voit pas venir, même si on devine quelques pistes. Le tout est de relier tous ces petits détails insignifiants entre eux.



Mycroft est champion là-dedans, c’est pour cela qu’il coûte aussi cher.



Une relecture toujours aussi agréable puisque, une fois de plus, j’avais tout oublié.


Lien : https://thecanniballecteur.w..
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Mycroft Inquisitor, tome 2 : La Bête d'écume

Le célèbre inquisiteur privé Mycroft d'Aquilée est ici contacté par Madame Gangottri qui s'inquiète de ne plus recevoir de nouvelles de son fils Dan, parti travailler en tant qu'ingénieur sur le chantier d'un complexe touristique sur Écume, une planète des confins. Après s'être assuré qu'il serait largement rémunéré, voici don Mycroft en route avec sa très charmante assistante Morgane pour la planète Écume. Une fois arrivé su place, Mycroft demande à rencontrer Sir Winnifred Arrow, qui est à la tête, en tant que promoteur immobilier, du projet "Les Jardins d'Écume". Ce dernier lui apprend que Dan Gangottri travaillait effectivement pou lui mais qu'il est mort noyé, mort accidentelle selon lui. Mais pou Mycroft, rien n'est moins sûr. Après avoir fait la connaissance des Indoles, les indigènes habitant cette planète, Mycroft est de plus en plus convaincu que cette affaire est louche et décide de rester pour tenter de percer le mystère.



Une affaire rondement bien menée, qui mène le lecteur sur diverses fausses pistes car celui-ci, jusqu'aux dernières pages de l'album, n'a pas la moindre idée du dénouement final. Un graphisme toujours aussi bien travaillé et riche en couleurs. A découvrir !

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Teleportation Inc., tome 1 : Perdus en tran..

Lubia Thorel est agent de la C.T.G. (Compagnie de Téléportation Galactique).



Sa mission est de ramener les passagers qui ne se seraient pas présentés, pour l'une ou l'autre raison, à leur embarquement.



Les lois entourant ce type de voyage sont en effet très strictes, à l'inverse des méthodes que peuvent utiliser les agents pour ramener ces passagers "manquants".



Lubia est à ce titre assez performante et comptabilise d'excellents résultats au point que la direction va lui confier une nouvelle mission importante, ramener non pas un mais cinq passagers manquants en même temps.



Comme si son enquête n'était pas déjà assez complexe, elle va aussi rapidement se rendre compte qu'elle est suivie par un bien étrange personnage, un Duagin, aussi discret qu'un éléphant dans un magasin de porcelaine tant il accumule les gaffes.



Et si les agents de la C.T.G. ont l'habitude de travailler en solo, notre improbable duo risque bien de devoir bientôt faire équipe...



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Moréa, tome 7 : La Fureur des anges

Ce tome lorgne clairement vers l'espionnage avec son scénario.L'entrée en scène de Bishop, un personnage féminin tout en douceur et en force, promet de nouveaux rebondissements dans les péripéties de Moréa, qui elle refus l'inévitable et continue malgré l'évidence à se battre. De plus, écartée depuis peu de la direction de la DWC, elle a tout loisir d'agir comme elle le souhaite et elle s'en donne à coeur joie avec tous les moyens nécessaires.

Pour ma part, je trouve que l'histoire s'enrichit ou se perd en de multiples déviations, qui compliquent le tout alors qu'à mon sens, la recentrer sur la guerre Anges/Dragons serait plus judicieux et intéressant. Mais le choix des auteurs n'est pas le mien, je sens comme une intention de faire durer un maximum de tomes... Même si je prend plaisir à lire les aventures de Moréa, la lassitude s'installe peu à peu depuis 2 tomes, et les courbes généreuses de l'héroïne ne suffiront à me convaincre d'ouvrir les tomes suivants. En avant pour le tome 8 tout de même vu que je l'ai sous les yeux...
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One Shot

Comme son nom l'indique one-shot est un one-shot. Fort heureusement d'ailleurs car on nous épargne une série qui aurait été de bien mauvaise qualité. Les dessins sont véritablement hideux: ils ont pourtant bénéficié d'un effet informatique. Le scénario est bien piètre et difficilement compréhensible. Même la couverture est laide avec ce personnage ressemblant étrangement à Teal'c à la recherche de naquadah ou poursuivi par les Goa'uld.



Il y a tout juste une réflexion assez intéressante à un moment donné fait par la narration sur le fait qu'on pourrait laisser le pouvoir à un seul homme plutôt que de le donner au peuple car ce dernier est bien trop idiot. Un homme seul ne pourrait pas faire grand mal mais s'il est suivi par tout un peuple, nul ne peut prédire jusqu'où la bêtise peut aller. Certes, mais cette réflexion sans doute intelligente se perd dans une histoire beaucoup trop confuse.
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La saga Vorkosigan, Tome 1 : L'Apprentissag..

L'apprentissage du guerrier est le premier tome de La saga Vorkosigan qui semble malheureusement arrêtée. Sur la planète Barrayar, Miles Vorkosigan est le fils du régent mais il handicapé sa faible constitution physique. Il part pour la planète Béta, avec son garde du corps, le sergent Bothari, et sa fille Elena. Dominique Latil et José Maria Beroy adaptent le space opera de Lois McMaster Bujold, en commençant par le quatrième roman (sur quinze). L'intrigue est fluide et intéressante et les dessins réussis. Une lecture plaisante qui donne envie de découvrir les romans.
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Les Guerriers, tome 1 : La forteresse de Co..

Quand je lis une bd, je souhaite quand même avoir un minimum d'intelligence dans la construction du scénario avec un tant soit peu de crédibilité.



Ici, nous découvrons des couvertures hideuses, un dessin très limite, et surtout une histoire ennuyeuse et répétitive. L'enchaînement de combats ne m'a jamais fait trépider. Je crois qu'on atteint une limite dans la médiocrité avec des dialogues indigents avec tous les poncifs du genre.



La carte géographique à la Arleston pour décrire le monde fantastique imaginé par les auteurs ne fait plus recette. C'est un hideux pompage.



Par ailleurs, même le héros de cette aventure est totalement insignifiant et sans psychologie propre. C'est un naufrage total et encore je suis gentil ! Une série qu'on peut oublier sans regret.
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Moréa, tome 5 : La brûlure des ténèbres

Légère et décomplexée, soutenant un rythme effréné, offrant des graphismes réussis, des personnages attachants et très bien caractérisés, et un humour fin qui ne gâche rien à l'ambiance mais participe même du ton, cette bd me plaît pour sa facilité de lecture, sa capacité à nous propulser dans un monde exotique rempli d'aventure.

Chaque tome se construit autour d'une histoire, liée aux autres tomes, se lit agréablement mais n'approfondit pas pour autant ni la mythologie ( guerre Dragons/ Anges) ni la psychologie des personnages. L'entrée en scène d'un nouveau personnage féminin et son adhésion à l'équipe n'apporte rien sinon une idylle possible avec Terkio.

L'histoire avance bien tout de même et la disparition d'un personnage principal aura des répercussions évidentes sur la suite du récit.
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Teleportation Inc., tome 1 : Perdus en tran..

La téleportation s'est industrialisée et legiférée. On peut aller où on le souhaite mais sous condition de durée. Or 5 touristes sont manquants. Lubia est agente chargée de ramener les récalcitrants de la planète Livel. Intrigue intéressante à la base, allié à un dessin dynamique et plein de détails. En revanche, il y a quelques trous dans la narration qui la rendre peu fluide avec entre autre, le partenaire de Lubia (qui est il? pourquoi la suit il? ce n'est pas trés clair). A voir sur le prochain tome.
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Teleportation Inc., tome 1 : Perdus en tran..

Drakoo alterne entre les très bonnes surprises issues des collaborations avec des auteurs de romans reconnus et des séries à la qualité et à l’originalité plus discutables dans le sillage du grand manitou Arleston. Teleportation inc. me faisait plutôt envie au vu des premières planches et du pitch qui proposait une idée assez novatrice, celle d’agent de récupération d’usagers de téléporteurs en fuite. Après lecture, si les dessins sont plutôt rigolo et efficaces malgré un aspect un peu plat (… ce qui n’avait pas empêché le Warship Jolly Rogers de Miki Montllo d’être une superbe série) et des des décors vides, c’est surtout sur le déroulé de l’intrigue que ça coince avec une enquête à laquelle on a du mal à accrocher du fait d’ellipses et d’une narration assez erratiques. Si l’humour et l’action sont au rendez-vous, les auteurs ne nous donnent pas franchement les clés pour suivre les séquences qui s’enchaînent sans qu’on comprenne bien de quoi il retourne. On finit la lecture un peu frustré avec l’impression d’une lecture-consommation. Laissons une chance au tome deux qui arrive très vite (au mois d’août prochain) et qui pourra peut-être donner une cohérence à l’ensemble.
Lien : https://etagereimaginaire.wo..
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Moréa, tome 8 : Le temps de la fin

Avec ce tome 8, il m'apparaît évident une sorte de sentiment né depuis quelques tomes où l'héroïne est de plus en plus parfaite, elle sait tout faire, elle maîtrise la politique et les manigances qui en découlent, elle gère les affaires internes de la multi nationale, elle est devenue une experte du combat à mains nues et de l'espionnage en seulement quelques jours, sans trop d'entraînement, une experte des armes à feu.... Ce positionnement de supériorité est d'autant plus fort qu'il apparaît également chez tous les personnages immortels de la série, l'être humain étant relégué au simple rang d'exécutant docile, idiot et toujours à la traîne à l'image de ce pauvre Théo.

Heureusement la seconde partie de ce tome va rehausser l'estime de l'humanité en montrant justement un aspect de ce personnage inattendue. Je commençais à me poser des questions et ce genre de déviation m'inquiétait, symboliquement et historiquement.

Cela étant mes craintes exposées dans les critiques des tomes précédents se confirment, et malheureusement la lassitude s'est installé définitivement. Alors certes le scénario est loin d'être un summum de psychologie, mais ce n'est pas ce qu'on lui demande, car question action, espionnage, aventure, tout est mené tambour battant pour un maximum d'efficacité, pour en mettre plein les yeux sans avoir à se poser trop de questions oserais je dire...!!

J'aurais aimé depuis le temps que je l'attend, un peu plus d'approfondissement de la mythologie, du fond du récit, et ce ne sont pas les quelques bribes d'informations lâchées très timidement par ci par là, qui vont rassasier mon appétit....
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Moréa, tome 8 : Le temps de la fin

Suite du tome 7 qui voit la quête de Morea pour retrouver son dragon preferré. Complots, assassinats en tout genre, c'est de la BD de genre appliquée à un dessin et à des couleurs sympas.Ca se lit avec plaisir.
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Moréa, tome 7 : La Fureur des anges

Une bd de science-fiction sympa, une histoire d'espionnage assez classique mais bien traitée.
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