Citations de Eckhart Tolle (436)
Puis, au bout de quelques années, cela se voit sur votre visage. Il devient très tendu. Et il n'y a plus d'éclat dans vos yeux, car toute la conscience est dévorée par le mental [grognements]. C'est un état horrible. Et cela fait très longtemps que cela dure, depuis plusieurs milliers d'années. Telle est votre perception de vous-même, qui est ce qu'il y a de plus important pour vous connaître. D'où la maxime ancienne gravée sur le temple de Delphes : «Connais-toi toi-même.» Et l'une des méditations fondamentales recommandées par exemple par Ramana Maharshi et par d'autres enseignants consiste à se demander : «Qui suis-je ?»
Donc, telle est votre perception de vous-même quand vous êtes complètement identifié à chaque pensée qui vous passe par la tête, beaucoup étant d'ailleurs négatives, car les pensées négatives sont plus séduisantes que les pensées positives. Vous pouvez penser à une personne désagréable qui vous a fait ou dit quelque chose hier, ou qui a oublié de faire ou de dire quelque chose, ou qui aurait dû faire quelque chose. Cela, vous pouvez y penser longtemps ; par contre, vous penserez moins longtemps à un beau coucher de soleil.
Par l’enthousiasme, vous vous alignez totalement sur le principe créateur de l’univers, sans vous identifier à ses créations. Là où il n’y a pas identification, il n’y a pas attachement, une des grandes sources de souffrance. Une fois qu’une vague d’énergie créative est passée, la tension structurelle diminue de nouveau et la joie reste dans ce que vous faites. Personne ne peut être enthousiasme de façon permanente. Alors, une nouvelle vague d’énergie créative arrivera peut-être plus tard, avec encore de l’enthousiasme.
Lâcher-prise, c'est s'abandonner à cet instant, et non à une histoire au moyen de laquelle vous interprétez ce dernier pour ensuite tenter de vous y résigner.
un livre que je viens de découvrir un livre de meditation et de découverte de nous même lauteur nous invite a ce qui est faux en nous et comment a partir de nos conditions actuelles ont peut accéder a cet transformations profondes
p.44: Sur le plan profond de l'Etre, vous êtes complet et entier maintenant.
p.45: Etre libéré du temps, c'est psychologiquement ne plus avoir besoin du passé pour assumer votre identité ni du futur pour vivre votre plénitude. Vous ne pouvez imaginer transformation plus profonde de la conscience.
ce moment unique,le présent,est le seul dont vous ne pourrez jamais vous échapper,l'unique facteur de votre vie.
Tout dogme finit tôt ou tard par s’effondrer, oui, car la réalité finit par révéler sa fausseté ; mais si l’on n’en voit pas l’illusion fondamentale, il sera remplacé par d’autres.
L’attention, c’est l’intelligence primordiale, la conscience même. Elle dissout les barrières de la pensée conceptuelle et s’accompagne de la reconnaissance que rien n’existe en soi ni séparément. Elle fond le sujet et l’objet de la perception en un champ de conscience unifié. Elle guérit la séparation.
Se sentir uni à tout, c’est aimer.
Whatever you perceive, experience, do, think, or feel is content. Content is what absorbs most people's attention entirely, and it is what they identify with. When you think or say, "my life", you are not referring to the life that you are but the life that you have. You are referring to content - your age, health, relationships, finances, work and living situation, as well as your mental emotional-state. The inner and outer circumstances of you life, your past and your future, all belong to the realm if content- as do events, that is to say, anything that happens.
J. Krishnamurti said "do you want to know my secret? I don't mind what happens."
When I don't mind what happens, it implies that internally I am in alignment with what happens. "What happens", of course, refers to the sickness of this moment, which always already is as it is. It refers to content, the form that this moment -the only moment there ever is- takes. To be in alignment with what us means to be in a relationship of inner nonresistance with what happens. It means not to label it mentally as good or bad, but to let it be.
It is not just people with good or near perfect bodies who are likely to equate it with who they are. You can just as easily identify with a "problematic" body and make the body's imperfection, illness, or disability into your identity. You may then think and speak if yourself as a "sufferer" of this or that chronic illness or disability. You receive a great deal of attention from doctors and others who constantly confirm to you your conceptual identity as a sufferer or a patient. You then unconsciously cling to the illness because it has because the most important part if who you perceive yourself to be.
Life will give you whatever experience is most helpful for the evolution of your consciousness. How do you know this is the experience you need? Because this is the experience you are having at this moment.
When "my" toy breaks or is taken away, intense suffering arises. Not because of any instinct value that the toy has, but because of the thought of "mine". The toy became part of the child's developing sense of self, of "I".
You easily become hypnotized into implicitly believing that when you have attached a word to something, you know what it is. The fact is: you don't know what it is. You have only covered up the mystery with a label.