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Citations de Ed Brubaker (112)


p.110.
Le problème, c'est que la police ne pouvait pas l'aider. Elle ne faisait déjà rien contre les prédateurs infestant le quartier. Et même si elle avait voulu faire quelque chose... Elle était bloquée par les règles. Rien ne risquait de s'arranger... à moins que quelqu'un décide d'arranger les choses. Voilà ce que le père Mike leur avait appris. Il était revenu d'Irak pour trouver la ville au fond du gouffre. Les dealers, les maquereaux et les assassins s'affichaient dans les rues en toute impunité. Il fallait que ça cesse.
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p.7.
Tracy voulait juste être certain que les gens qu'il tuait le méritaient. Une notion dont Sebasian Hyde ne s'était pas préoccupé depuis des lustres.
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p.41.
C'est le problème quand on est un connard, se dit-il... on ne sait jamais qui veut vous voir mort. Maintenant, il faut qu'il dépense son propre fric pour essayer de découvrir qui a collé un contrat sur sa tête. Zangar n'avait jamais ces problèmes. Mais comme l'avait noté Giff, Zangar ne laissait généralement personne de vivant derrière lui.
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p.89-90.
À la maison, 'y avait rien de marrant. Dehors, tout était à se pisser dessus. J'avais pas prévu de mater. Mais bon, c'est arrivé comme ça. C'est pas comme si j'étais un pervers ou rien. C'est juste que je me baladais sur les chemins de derrière... Complètement défoncé... Et qu'il y avait toutes ces fenêtres... et toutes ces vies... des vraies vies... pas comme la mienne... Quand t'es invisible... Proche de pas exister du tout... les trucs que tu vois, mec... Quand personne ne pense que tu regardes... ça t'explose les neurones.
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p.21.
...Et ils vous diront que la gentillesse ne compte pas... Mais chez papa, rien d'autre ne comptait.
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p.45.
"Intéressant". Le pire truc qu'on puisse dire en parlant du boulot de quelqu'un. C'est ce qu'on dit quand on ne comprend pas, mais qu'on veut être gentil et ne pas vous blesser. Savoir qu'Iris cherchait à ne pas me blesser rendait "intéressant" encore pire.
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p.41.
Elle avait bien raison, cela dit. Quand on a été menotté et tabassé à coups d'annuaire téléphonique, le 911 est le dernier numéro qu'on ait envie d'appeler. Le flic qui s'occupait de mon affaire... Le type qui m'a harcelé dès le départ... l'inspecteur Max Starr... il a pris la pire journée de ma vie et s'en est servi pour me torturer avec...
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p.69.
J'aime bien baiser après un coup, parfois. Après l'effort, le réconfort, tout ça.
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p.58.
- Et tu peux pas me dire ce qu'on attend, exactement ?
- Tu verras. La patience est une vertu.
- Ouais, mais l'ignorance, par contre, c'est pas le cas.
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p.53.
Mallory : Leur éclater le pneu, c'était du beau travail. T'es resté longtemps dans l'armée ?
Tracy : Assez longtemps pour apprendre à tirer comme ça.
Mallory : Longtemps, alors. Mais j'imagine que ça te plaisait pas, d'obéir aux ordres.

Mallory avait tort. Tracy s'était glissé dans sa vie de soldat comme dans une deuxième peau. Ce type de structure lui assurait une liberté très particulière : Ne plus avoir à faire de choix.

Tracy : Personne n'aime qu'on lui en donne.
Mallory : Et pourtant, des fois, je me dis que les gens aiment ça, d'obéir... comme des robots. On s'arrête au rouge, on roule au vert, on paye ses impôts... La plupart de ces connards finissent même par voter...
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p.11.
- On s'en est pris plein la tronche par ta faute, Lawless. Oublie jamais ça.
- Tu veux dire que vous m'avez bouclé en attendant que ça se calme.
- Joue pas sur les mots. Dix-huit mois au trou, c'est rien à côté de ce que t'aurais pu ramasser.
- Ouais. L'armée évite le scandale, et je garde mon boulot.
- Ne sous-estime pas ta valeur pour cette unité.
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p.7.
Tracy savait bien qu'il n'était pas obligé de le tuer. Mais il y a des gens qui méritent de mourir, c'est tout.
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p.79.
- Tu n'avais pas peur de ces connards, hein ?
- Non pourquoi ?
- Mais tu as préféré t'écraser.
- Ouais.
- Pourquoi ?
- Parce que j'ai peur d'autre chose, je crois. La violence a des conséquences, en général. Des conséquences que j'essaie d'éviter. Alors mon ego peut supporter de laisser croire à deux débiles qu'ils me font peur.
- Tu es très différent de ce que j'ai toujours imaginé à ton sujet.
- Ça fait ça à plein de gens.
- Ouais, mais d'habitude, c'est une déception.
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Il est bien tard pour une visite professionnelle, Simonson…

Oui, et je suis désolé de ne pas vous avoir averti.
Je sais que vous chérissez votre tranquillité, mais j'ai des nouvelles de la fille…
et je crois que vous pouvez sortir de l'ombre, Monsieur…
...tout est réglé.
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Je vais m'acheter une île, et écouter le ressac des vagues pendant la fin du monde.
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Elle sent une main froide lui serrer les entrailles sur le chemin du retour.
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Elle ne faisait que revivre cette nuit-là, encore et encore... comme si elle n'en était jamais sortie.
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Charlie avait un faible pour ces jours-là… les premiers jours. Les jours où on se laisse croire aux mensonges… où on se dit que quelqu'un vous a vu comme vous êtes… a tout compris de vous… de votre âme… et que c'est ce que vous désirez. Voilà le plus doux des mensonges. Votre propre supercherie
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Jamais encore elle ne l'avait vu ainsi. Et cela n'avait rien d'amusant.
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une fois arrivés au lycée, là où tout le monde commence à se mettre en couple... là où on commence à aller en soirée, à picoler, à danser et à se bécoter... Eh bien, c'est là que les choses se sont gâtées entre elle et Lance.
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