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Critiques de Ed McBain (240)
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80 millions de voyeurs

j'ai eu du mal et cédé à cinquante pages de la fin tant cela ne m'intéressait plus et les longueurs se succédaient; j'avais voulu me plonger dans un "vieux " polar, un classique mais je le trouve trop décalé, vieilli, inintéressant. Dommage, je ne saurai pas qui a tué le présentateur.
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80 millions de voyeurs

Fan de New York Police Judiciaire...

Fan de 87E district.

L'intrigue, ici, aborde le sujet, malheureusement toujours d'actualité, du harcèlement des femmes, avec une rare crudité pour l'epoque. Les personnages de flics sont toujours aussi attachants et vrais. Le contexte delicieusement suranné (pas de téléphone portable ni d'ADN)

Je m'en vais poursuivre la lecture des aventures de Brisco et Curtis... euh pardon Carella & Meyer!
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80 millions de voyeurs

Stan Gifford, l’animateur au 40 millions de téléspectateurs, s’écroule au beau milieu de son show. Verdict du légiste : empoisonnement. Carella et Meyer son chargés de l’enquête. Problème, les suspects sont nombreux. Entre sa femme, son médecin et beaucoup de membres de la production qui le détestaient cordialement, Gifford possédait beaucoup « d’ennemis » potentiels. Les deux inspecteurs vont donc plonger avec délectation dans l emonde merveilleux de la télé. Parallèlement, Bert Kling doit protéger Cynthia Forrest, une jeune femme harcelée par un fou furieux qui tabasse tous les hommes l’approchant de trop près...



80 millions de voyeurs est le 21ème épisode de la saga du 87ème District. Cet incroyable feuilleton débuté en 1956 et narrant la vie d’un commissariat de la ville d’Isola (sorte de sœur jumelle imaginaire de New York) compte en tout plus de soixante romans. Pourquoi l’écriture d’Ed Mc Bain est tellement novatrice ? Il fut le premier à décrire le travail de la police de façon hyper réaliste. Le premier également à dérouler au cœur de ses romans des intrigues multiples mettant en scène des inspecteurs chargés d’enquêtes totalement différentes. Le premier enfin à mêler la vie professionnelle et la vie privée de ses personnages, alternant les passages sur le terrain et les moments d’intimité au foyer. Son écriture a tout simplement préfiguré le schéma sur lequel sont construites la majeure partie des séries policières de ces dernières années. L’exemple le plus frappant (pour ceux qui connaissent) est celui de New York Police Blues, une série plus qu’inspirée de l’univers du 87ème District.



Ed Mc Bain (de son vrai nom Salvatore Lombino) est donc un écrivain majeur dans son domaine. Un maître qui a inspiré un nombre incalculable de romanciers et de scénaristes. Son décès en 2005 a mis un terme à la plus grande saga policière de l’histoire de la littérature américaine. Heureusement pour moi, il me reste plus de quarante romans à découvrir avant d’en avoir terminé avec inspecteurs si attachants. Ça tombe bien, ils m’attendent tous bien au chaud dans ma PAL.
Lien : http://litterature-a-blog.bl..
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80 millions de voyeurs

Un policier sympa à lire.



Je ne savais pas du tout que c’était une série, ce 87ème district, et que j’en lisais le 21ème tome…



Il en ressort du positif et du « négatif ».



A savoir, pour le positif, ça coule tout seul. Les pages défilent à toute vitesse parce que l’auteur connaît ses personnages, qu’il a l’habitude de les faire évoluer et tout se déroule aisément, de façon fluide.



Pour le négatif, il y a un petit rapport à une précédente enquête. Pas nécessaire pour comprendre le reste mais globalement, on voit bien que, comme dans une série télé, connaître plusieurs tomes permet de mieux connaître les personnages, les liens qu’ils entretiennent, qui ils sont…



Parfois, on nous évoque des policiers ou des affaires qui disparaissent ensuite du bouquin. Sur la totalité de la série, ça doit être immergeant de savoir ce que fait chacun ; quand on tombe sur un tome au hasard, on se demande un peu ce qui se passe…



Deux histoires, dans ce tome. Un peu comme « La croisière s’amuse » dont chaque épisode faisait se croiser trois histoires sans rapport.



N’espérez donc pas de lien, les deux trames sont vraiment indépendantes !



Ressortent de tout cela un savoir faire plaisant, une bonne légèreté de ton, mais également une légèreté de scénario qui fait passer le livre dans la même catégorie que les séries de l’après-midi que l’on regarde distraitement quand on n’a rien à faire.



Plaisant mais pas totalement consistant.

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87e district, tome 1

87e District : Un monument de la littérature policière

Une série de 56 aventures dans cette série débutée en 1956, qui met en scène le quotidien de la brigade d'inspecteurs d'un commissariat d'Isola, mégapole imaginaire figurant New York.

Un commissariat au coeur d'une grande cité, une brigade d'inspecteurs dans la jungle urbaine... En 53 romans, Ed McBain nous invite à partager le quotidien de policiers confrontés au crime, du lendemain de la guerre de Corée au début de notre millénaire, faisant de cette fresque un formidable observatoire des mutations de la société américaine : le racisme, la guerre du Vietnam, l'émergence des gangs, les ravages de la drogue...



Présentées dans leur suite chronologique et en 9 tomes dans voici le premier (et dans des traductions révisées et intégrales), les chroniques du 87e District apparaissent aujourd'hui pour ce qu'elles sont : une vaste comédie humaine d'un demi-siècle de l'histoire des Etats-Unis.

Un indispensable de la littérature noire et policière américaine. Sept romans chorals d'une force et d'une puissance narrative incomparable. Ici le héros, c'était la Brigade du 87e District. 87e District est la nouvelle Comédie Humaine.


Lien : https://collectifpolar.com
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87e district, tome 1

Acheté il y a quelques années, ce premier tome de la série « 87th District » m’était tombé des mains après quelques pages. Je l’ai repris cette année, par hasard, et je l’ai lu les 7 romans d’une traite avec un plaisir immense.

Qu’est-ce qui (m’)avait changé ? Probablement d’avoir vu la série télé « The Wire » entre-temps !

Ed McBain est un précurseur de cette narration chorale, aux personnages attachants dont les histoires s’entrecroisent, narration cinématographique empreinte de suspens, d’humour, de peinture sociale de l’Amérique urbaine de cette 2e moitié de XXe.

Vous avez aimé « The Wire » ? Découvrez le « 87th District » !

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87e district, tome 1

J'ai découvert Ed McBain totalement par hasard, grâce à un roman acheté au bouquiniste. Depuis le temps qu'il fallait que j'essaie, me suis-je dit. Voilà qui est fait et, désormais, je suis fan.

J'ai donc embrayé sur le premier tome de l'intégrale, et je compte bien me procurer les autres, qui viennent d'être réédités par Omnibus, justement.

Les intrigues sont toujours bien menées et l'auteur sait comment planter une ambiance idéale et, surtout, construire des personnages accrocheurs. Un régal !
Lien : https://lauryn-books.blogspo..
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87e district, tome 1

une belle écriture , des personnages attachants qu'on retrouve tout au long des tomes : agréable détente ...
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87e district, tome 1

Belle découverte, d’autant plus que la préface explicative de la vie de l’auteur est intéressante. Quelle bonne idée cette réimpression dans un beau et volumineux livre, 7 tomes réunis qui permettent de rester accroché au quotidien des policiers et inspecteurs du District 87. L’auteur a redéfini et modernisé ce genre de lecture, a conçu des polars d’un nouveau genre dans les années 50. On s’attache rapidement aux personnages et on ne sent pas le passage d’un tome à l’autre, pas de répétition, juste ce qu’il faut pour se remémorer le tome précédent. Il y a un souci du détail, juste assez de suspens , c’est fluide, tout ce qu’il faut pour lire d’affilée sans se lasser. Cette série n’est pas sans me rappeler la série télévisée Dragnet (Coup de Filet), qui a tenu longtemps et qui a été reprise avec d’autres acteurs sur plusieurs années. Très bon divertissement, moins de choses franchement épouvantables, atroces, trop descriptives comme on peut lire dans les polars d’aujourd’hui. Un régal de lecture, d’un autre temps peut-être, dans l’immersion totale d’un poste de police et dans des intrigues palpitantes. Je me réjouis de lire les prochains volumes.
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87e district, tome 1

Rien de plus à ajouter aux critiques déjà formulées.
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87e district, tome 1

87eme district est une série policière particulière dans le monde du roman policier. Nous parlons ici de romans documentaires. Nous suivons le quotidien d'un commissariat de police d'une ville imaginaire (mais ressemblant à New-York. Du policier en tenue aux inspecteurs de la criminelle, nous assistons aussi bien aux interventions de voie publique, qu'aux crimes. Des romans d'ambiance très agréable à lire. Un retour dans les séries chorales policières des années 70/80.

Une petite nostalgie sympathique après la vague de thriller de ces dernières années.
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87e district, tome 1

Ed McBain? Jamais lu? Ma mission aujourd'hui sera de vous convaincre de découvrir la crème de la crème, l'incontournable, le roman policier qui plaira aux récalcitrants (et j'ai des noms). En mourant en 2005, l'homme laissait derrière lui des fans attristés et aussi heureusement une multitude de romans, dont les fameux présentant le 87ème district, de 1956 à 2005. Plus de cinquante romans, de quoi calmer une addiction parfaitement légale.



L'idée géniale était de raconter le quotidien d'une brigade d'inspecteurs sur leur lieu de travail, au coeur d'un quartier d'Isola, ville imaginaire ressemblant fort à New York. La figure principale est celle de Carella, entouré de Kling, Meyer Meyer, Hawes, Brown et leur chef Byrnes. Ce petit groupe attachant vit sous les yeux du lecteur, avec l'intervention occasionnelle de leurs familles, en particulier Teddy, l'épouse de Carella.



Avec McBain, pas de détails sanglants, pas de longueurs : droit au but! Un sens du découpage et du suspense, des dialogues tirés au cordeau, de l'humour, de l'émotion, on est dans le très haut de gamme.



Bien évidemment chaque roman de l'ensemble peut se lire indépendamment, mais au bout d'un certain temps on tombe dans la marmite* et on fait comme moi : on attaque la lecture au début, histoire de bien sentir l'évolution des personnages et de la ville. Omnibus propose 9 tomes pour l'intégrale, en gros 900 pages pour 7 enquêtes chaque fois, que du bonheur. (oui, ça va faire dans les 8000 pages, mais chaque enquête n'en fait qu'une bonne centaine, ça se lit tout seul) J'avais déjà proposé les trois premières ici, voici cette fois les quatre dernières du tome 1.



Faites moi confiance : "La loi trouve la poursuite du dollar tout à fait légitime. Mais elle trouve parfois à redire aux méthodes que l'on emploie." Deux escrocs sévissent en ville , mais aussi un assassin.

Victime au choix : "La mauvaise plaisanterie, c'était la rouquine gisant sur le plancher de la boutique. (..) Carella aimait la vie. Son métier lui faisait côtoyer la mort à chaque instant, mais il n'avait jamais pu s'y habituer tout à fait."

Crédit illimité : "On aurait pu être un soir de juin, avec la fine pluie qui lavait les trottoirs, l'asphalte lisse et moiré où se reflétaient les néons rouges et noirs. Malgré la bruine, on aurait senti dans l'air le doux parfum de l'été qui approchait, l'arôme délicat de la nature qui renaît. Et ce senteurs se seraient mêlées au parfum des passantes, à l'odeur des sons et des voitures, à l'omniprésente odeur de ville au crépuscule."

Une intrigue dont la solution est particulièrement originale...

Souffler n'est pas tuer : "L'expérience lui avait appris que des commentaires sur la température changeaient rarement le temps qu'il faisait."

Bref, la chaleur plombe la ville. Arrive un message anonyme "Je tuerai La Dame ce soir à 8 heures. Qu'est-ce que vous pouvez faire?"

Et c'est le début d'une course poursuite avec un probable futur assassin, et un compte à rebours bien mené.



Vous pouvez vous priver de Ed McBain, mais franchement, ce serait dommage.
Lien : http://enlisantenvoyageant.b..
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87e district, tome 2

Rien à redire de ce deuxième tome, le même plaisir que pour le premier. Il regroupe encore 7 histoires policières simples mais efficaces, avec des personnages très attachants. Une toute bonne idée de réédition de ces polars des années 50.
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87e district, tome 3

Voici le troisième tome recueillant de nouveau 7 histoires policières dans les années 50. Les méthodes d'interrogatoire peuvent être très, très musclées mais courantes à l'époque, pour faire craquer un suspect ou son nez. On retrouve le même plaisir qu'un bonne série policière vintage, ce sont des épisodes de lecture entre-deux distrayants, courts, simples, efficaces, faits avec légèreté et humour, dans des histoires diverses qui peuvent être sordides. J'aime bien.
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87e district, tome 4

4eme volume (sur 9) des aventures de l'équipe du commissariat du 87eme district. les enquêtes sont toujours aussi intéressantes et on suit avec plaisir le quotidien de ces policiers.

Pour ne rien gâcher, les fans de Columbo retrouverons dans ce volume (et dans le 3eme également) deux histoires qui ont inspiré le célèbre lieutenant (A chacun son heure de la saison 11 et Columbo change de peau de la dernière saison).

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87e District, tome 8

5 romans : Romance Carella Kling Meyer mènent l’enquête sur la mort d’une jeune femme poignardée , dans le milieu du spectacle /Nocturne Carella Hawes Meyer enquêtent sur la mort par balle d’une vieille dame musicienne et sur une partouze sanglante avec 3 Richard (le prénom) /la cité sans sommeil/ Carella Brown Kling Meyer élucident le meurtre d’une religieuse ex chanteuse de rock , et cherchent le cambrioleur aux coockies. Carella tue l’assassin de son père La dernière danse/ kling Meyer et Carella capturent un violeur , assistent au meurtre de l’indic Danny le boîteux Cash Cash Un meurtre au zoo , Carella attaqué par un lion, drogue et trafics Quel Nöel !
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À la bonne heure

Une aventure du 87ème district, cher à Ed McBain. L'équipe habituelle doit se frotter à de nombreuses plaintes, a priori sans lien entre elles, en provenance de différents commerçants. Dans le même temps, quelques cadavres, une préparation d'un coup. Et finalement, comme de bien entendu, tout se rejoint. On est finalement pas très loin de certaines aventures de McLaine, joué par Bruce Willis, dans la bonne ville de New York, tandis que celle du 87ème œuvre dans une ville anonyme mais qui lui ressemble à s'y méprendre. Un petit côté Albert Spaggiari, aussi. Finalement, que ce soient les scénaristes ou les aventuriers de haut vol, ils n'ont rien inventé.



Bien enlevé, bien structuré, la dose d'humour qui va bien, des personnages hauts en couleurs. Un livre qui ma foi n'a pas beaucoup vieilli depuis l'année 1961 qui l'a vu paraître. On y trouve même la mention de machines IBM, dans le rôle de la surveillance des coffres de la banque.



Un bon moment, un bon bouquin, laissé, comme quelques autres, en Géorgie, USA.
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Adieu cousine...

Patricia, une gamine de 15 ans complètement paniquée arrive une nuit au commissariat du 87 ème district, les vêtements déchirés et les mains lacérées, en affirmant que sa cousine à été tuée dans une rue pas très loin d'ici.

Une nouvelle enquête commence donc pour Steve Carella et ses collègues, que l'on retrouve régulièrement dans cette série policière qui comporte une cinquantaine de titres.

J'ai une fois de plus été ravie de retrouver les personnages récurrents auxquels je suis attachée.

Les histoires se déroulent toutes dans la ville imaginaire d'Isola, qui est en réalité New-York, et celle-ci se passe dans les années 80.

On devine assez rapidement le nom du coupable, malgré quelques fausses pistes, mais ça ne m'a pas dérangé, j'ai pris plaisir à suivre cette enquête criminelle assez dérangeante.
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Adieu cousine...

C'est le trentième épisode de la série du 87è district. Une jeune fille, Patricia Lowery, se précipite au commissariat couverte de sang et annonce que sa cousine a été assassinée. Pour Carella, Kling et les autres inspecteurs, l'enquête commence. Et Carella s'intéresse à la morte: elle s'appelait Muriel Stark et vivait chez son oncle et sa tante depuis la mort accidentelle de ses parents. Elle semblait bien acceptée dans la famille. Qui l'a tuée? Un détraqué sexuel? Le portrait de l'assaillant établi par Patricia reste vague. Puis elle accuse son frère. La vérité est autre, bien plus effrayante: c'est l'acte d'une jeune fille qui jalousait sa cousine. Un bon cru. Je vous le recommande. Et figurez-vous que Chabrol lui-même l'a adapté au cinéma (si, si!!) en 1978 sous le titre "Les liens du sang" avec Donald Sutherland dans le rôle de Carella.
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Adieu cousine...

Deux cousines sont de sortie. Ce soir, y a boum chez trucmuche.

Sur le chemin du retour, l'une se présentera aux portes du commissariat, le corps lardé de profondes entailles tandis que l'autre n'en réchappera pas. Sur le coup, on a bien pensé à l'attaque d'une chauve-souris géante également en goguette, ce qui aurait grandement facilité l'enquête. Problème, Batman possède un alibi en béton, il avait poney à roulettes aux heures concordantes. L'inspecteur Carella est bien embêté mais non moins résolu à faire toute la lumière sur cette étrange affaire...



Patricia a miraculeusement survécu, Muriel n'est plus. Voilà ce à quoi l'on s'expose en séchant de façon éhontée les judicieux conseils du Père Fouras un brin décati mais toujours prolixe.Car le samedi soir, c'est fort boyard ou crime barbare, c'est vous qui voyez. Patricia et Muriel ont choisi, tant pis...



Carella va évoluer en milieu hostile. Toujours délicat d'enquêter sur la famille mais les aveux quelques peu confus de Patricia l'y pousseront définitivement.

L'investigation en kouasi temps réel, sous nos yeux hé Bobby!, tient la route mais déçoit de par son étonnante et récurrente capacité à mettre la main sur de cruciaux indices révélateurs à même de faire passer l'inspecteur la Bavure pour une épée dans son domaine.



Le final est emballé en deux coups de cuiller à pot de chambre, dommage.

Si la déception est de taille, le plaisir de lecture n'en reste pas moins évident. McBain, ingénieusement, usera de procédés narratifs divers et variés ( lecture d'un journal, prospection policière journalière, interrogatoires...) assurant ainsi un rythme agréable et constant histoire de pallier à une investigation manquant cruellement de rebondissements.



Le tout reste néanmoins plaisant même si bien loin des meilleurs opus de l'oeuvre foisonnante de l'auteur...







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