Les voix comme la sienne se font rares. À 90 ans, la hongroise Edith Bruck raconte dans « Le Pain perdu » sa déportation, la vie après les camps et son arrivée en Italie, pays dont elle a adopté la langue pour composer son œuvre littéraire. Ce témoignage inestimable est l'événement de la rentrée littéraire d'hiver.
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