Eléonore Cannone

Les éditions Fleurus ont bien compris l’importance de se plonger dans des contes et autres histoires, qui offrent de partir affronter un terrible dragon, aux côtés d’un gentil chevalier ; de surfer avec un kangourou et ses amis en plein désert australien ; ou encore de suivre une voiture amoureuse d’une autre… Un florilège de textes courts pour permettre d’arrêter un instant le tourbillon de la vie. Alliant humour, ingéniosité, amitié, fantaisie, ces récits entraînants dont le jeune lecteur veut connaître le dénouement, peuvent aller parfois jusqu’à la leçon de sagesse. On sourit, on rit même…



Les narrations s’accompagnent d’illustrations variées dans leurs traits, pleines de couleurs et de douceur.



Des petits livres à couverture souple, à feuilleter beaucoup, exagérément, à la folie ; à déguster par petites touches.



Des histoires complices des rêves palpitants de nos enfants !



A lire sans modération !

Les éditions Fleurus ont bien compris l’importance de se plonger dans des contes et autres histoires, qui offrent de partir affronter un terrible dragon, aux côtés d’un gentil chevalier ; de surfer avec un kangourou et ses amis en plein désert australien ; ou encore de suivre une voiture amoureuse d’une autre… Un florilège de textes courts pour permettre d’arrêter un instant le tourbillon de la vie. Alliant humour, ingéniosité, amitié, fantaisie, ces récits entraînants dont le jeune lecteur veut connaître le dénouement, peuvent aller parfois jusqu’à la leçon de sagesse. On sourit, on rit même…



Les narrations s’accompagnent d’illustrations variées dans leurs traits, pleines de couleurs et de douceur.



Des petits livres à couverture souple, à feuilleter beaucoup, exagérément, à la folie ; à déguster par petites touches.



Des histoires complices des rêves palpitants de nos enfants !



A lire sans modération !

J'ai découvert cet éditeur en cherchant des ouvrages pour mon réseau littéraire sur les préjugés.



Alizée est une petite fille qui subit les stéréotypes mais qui aimerait bien s'en défaire. On l'appelle "Petite fée", mais ce surnom ne lui convient pas, elle trouve ça gnangnan.



Elle aimerait qu'un nouveau surnom s'impose aux autres. Un surnom qui sent la vitesse et l'aventure. Elle a mis tout ses espoirs dans son souhait pour son cadeau d'anniversaire: un vélo de course. Malheureusement, ses parents ont préféré lui offrir un vélo banal qui ne lui permet pas de foncer à toute allure au risque de se faire mal.



J'ai aimé cette histoire car Alizée est un personnage très attachant. Elle subit les situations, elle n'ose pas dire ce qu'elle pense vraiment. Elle tait sa déception et le sentiment d'injustice. On a mal au cœur avec elle mais on se réjouit aussi avec elle à la fin!

Lien : http://butinerdelivresenlivr..

Je découvre les éditions « Talents hauts » et leur collection « livres et égaux ». L’objectif de la collection est de lutter contre les préjugés, notamment ceux qui touchent le clivage garçon/fille.

Ces petits romans sont destinés aux enfants de 6 à 8 ans (du cp au ce2), ils sont très agréables à lire, tant au toucher (belle qualité de papier), que dans la mise en page (aérée, illustrations couleur, chapitres courts…). C’est toujours un enfant qui raconte l’histoire, avec un « je » qui permet au jeune lecteur de s’identifier plus facilement. (sauf « Alizée », qui est écrit à la troisième personne).

Je fais un seul article pour les 6 livres que j’ai lus.



« Alizée fend la bise » : c’est l’histoire d’une petite fille qui demande un vélo pour son anniversaire : elle veut un vrai vélo comme celui de son copain de l’école, un vélo de course, un vélo avec des roues crantées, un guidon en acier et une selle de compét. Mais ses parents lui offrent un vélo rose… Ils pensent lui faire plaisir, quand elle, elle veut juste un vélo pour pouvoir rouler vite… Un livre pour montrer aux enfants qu’il n’y a pas des jouets de fille et des jouets de garçon 😉 ***



« La bonne culotte » est superbement écrit, avec beaucoup de sensibilité. Parce qu’il y a des jours où on ne choisit pas la bonne culotte et on sait qu’il va falloir la supporter toute la journée, Emma est comme ça tous les jours, avec trop de doigts et pas assez de centimètres, mal dans sa peau du haut de ses 7 ans, timide et gauche, mais… elle sait jouer de l’accordéon 😉 *****



« Aimé » est aussi superbement écrit, et porte sur le prénom que l’on porte et que l’on n’aime pas forcément… Aimé déteste le sien parce qu’il est la cible de moqueries, mais finalement, il s’aperçoit que son prénom a une histoire et apprendra à la partager… *****



« Des filles dans l’équipe » met à mal les idées reçues des garçons sur les prouesses des filles au foot !!! Le championnat des ce2 oblige chaque équipe à avoir deux filles ; les garçons râlent, les filles finissent par monter leur propre équipe… Bien sûr, c’est un peu convenu mais parfait pour aborder cette thématique avec de jeunes enfants et montrer qu’aucune activité n’est « réservée » à un sexe en particulier.



« Franky au grand sourire » semble être le début d’une série écrite et illustrée par Thierry Lenain et Félix Larive. Le thème abordée ici est celui du handicap, ou plutôt de la maladie, et du regard que l’on porte sur elle. Franky arrive dans la classe, il est tout petit et allongé sur un lit à roulettes car il est paralysé. Les enfants de la classe vont très vite l’adopter sauf Fatia à qui il fait peur. On découvre aussi l’humanité du maître qui se met à pleurer parce qu’il a peur de le « casser ». C’est très bien écrit et permet de sensibiliser les enfants à ces différences. Je regrette juste qu’il n’est pas été mis en évidence tous les autres « handicaps » de la classe, même infimes (lunettes, dyslexie, etc) mais le format du roman et sa limpidité n’auraient pas été respectés. ****



« Mona qui sait où elle va » est le 2ème ouvrage de la série « Bienvenue » de Thierry Lenain et Félix Larive. (à l’heure où j’écris, il n’y en a pas d’autre) Il aborde cette fois la thématique des enfants placés avec Mona dont la maman n’est « plus capable ». Chose étrange, et alors qu’il y avait encore à dire et à creuser sur ce sujet, l’auteur a choisi d’aborder le thème, via la maîtresse, du « on n’est pas obligé de faire des enfants dans la vie » Cela interpelle, parce qu’en même temps, vu le contexte de l’histoire, c’est un peu comme si ça renvoyait à « ma mère aurait mieux fait de s’abstenir vu ce que ça donne ». Et même si l’auteur choisit de clôturer avec « J’ai beaucoup de chance alors que ma maman m’ait faite sinon je n’existerais pas », pour avoir chaque année des enfants placés dans ma classe et savoir ce qu’ils vivent au quotidien, je ne le trouve pas très judicieux, cet aparté… ***

L'héroïne intrépide est attachante.

Filles et garçons peuvent s'identifier.

Le vocabulaire est simple pour une première lecture.

Le texte est écrit gros.

Alizée ment à ses parents et dans l'histoire elle ne dira jamais la vérité, un peu dommage pour la morale.

C'est une petite fille capricieuse qui arrive à ses fins en mentant ! C'est pas bien :)

L'histoire est un peu banale.

Une petite fille qui fonce sur un vélo : la couverture a irrésistiblement attiré les enfants. Nous avons donc découvert Alizée, une enfant de sept ans intrépide qui en a ras-le-bol de son surnom : « Petite fée ». Pour son anniversaire, elle demande un vélo de course, et reçoit… un bicyclette rose ! Immense déception pour la petite fille, qui n’ose pas le dire à ses parents…



***



La thématique est claire, et elle n’a pas échappé aux enfants : la lutte contre les stéréotypes de genre et les discriminations sexistes. Non, certains jouets ne sont pas réservés aux garçons et d’autres aux filles… quoiqu’en pensent certaines enseignes qui continuent à bien diviser les rayons de leurs magasins.



L’héroïne, Alizée, en a d’ailleurs assez de ces préjugés. Elle, ce qu’elle aime, c’est la vitesse, foncer à toute allure sur son vélo. Pour autant, elle n’ose pas décevoir ses parents, et subit ces préjugés. Nous sommes contents de voir qu’elle parvient tout de même à ses fins, même si cela passe par un mensonge à ses parents (que les enfants ont relevé !).



Un roman court, facile à lire, abordable dès 7 ans pour traiter cette thématique toujours actuelle malheureusement !

Hortensia est une jeune fille qui rêve d'une famille normale, reposante comme celle de Martin son meilleur ami.



Dans ce livre il y a quelque paragraphes comiques, le vocabulaire n'est pas compliqués.

J'aime bien l'idée de tenir un journal pendant son séjour de plus c'est un livre très simple à lire pour les moins bons lecteurs. Vous trouverez le journal de la page 76 à la page 89. Quand Hortensia parle avec le chien des voisins de Martin je trouve ça drôle. Ce que j'ai moins aimé ce sont les journées d'Hortensia que je trouve répétitives.



Je recommande ce livre à des lecteurs débutants il n'est vraiment pas compliqué.

Hortensia voudrait avoir une famille normale comme celle de Martin .Martin,lui,voudrait une famille plus marrant .C'est pour cela que les deux amis décident d'échanger leur famille pour une semaine .



Je trouve que ce livre est bien dans l'ensemble malgré l'absence d'action .L'action commence vraiment en réalité à partir de la page 45 .J'aime le sujet de rédaction de Hortensia « aller voir ailleurs si l'herbe et plus verte ».J'aime bien l'atmosphère ,chaleureuse et amicale.Je me suis bien amusée .

Hortensia ne supporte plus sa famille, ils sont trop bizarres, étranges, un peu fous… Au contraire, son ami Martin trouve sa famille trop rangée alors qu'il rêve d'un peu de folie ! La tentation est là, pourquoi ne pas échanger de famille pendant une semaine, ça leur fera un bien fou. A moins que…

Un petit livre pour relativiser les petits problèmes relationnels familiaux : l'herbe n'est pas toujours plus verte chez le voisin… le propos est légèrement exagéré famille rangée/famille fofolle mais le jeune adolescent reconnaitra sans doute dans les travers qu'on ne supporte pas chez nos parents, frères ou soeurs. A chaque famille, ses particularités, ses joies, ses problèmes… Evidemment, ça reste gentillet (roman jeunesse), on évite de parler des familles avec des gros maux et difficultés. Lecture sympathique à partir de 10 ans.

Je n'ai pas trop aimé au début quand le personnage principal se présente ,car j'ai trouvé ça un peu long et ennuyant.En revanche à partir du moment où ce personnage (hortensia) change de famille pour une semaine avec son ami marti , j'ai trouvé ça bien. Ils ont écgangé de famille car chacun préférait celle de l'autre ,mais en fin de compte chacun préfère sa famille.Hortensia trouve sa semaine répétitive et ennuyeuse alors que martin trouve ces gens à la fois bizarres et trop énergiques .

Un livre original... Toujours posé sur ma table de chevet dans des petits coups de blouse. La petite fille en a marre de sa famille qui est une famille de " dingues " et se rend compte au final qu'elle ne peux pas vivre sans ! Et c'est le même sentiment que partage son meilleur ami. C'est vraiment un livre très drôle plein de fraîcheur pour les 10-13 ans. A lire.

Hortensia a une famille pour le moins originale : une mère qui écrit des livres pour les enfants, un père musicien, un oncle inventeur, un grand-père qui se prend pour un colonel et une grand-mère fantôme. Tout ce monde-là est « aussi givré qu’un plat surgelé », du moins de l’avis d’Hortensia, qui préférerait avoir une famille plus calme et plus normale, comme celle de Martin, son meilleur ami. Martin a en effet des parents très sérieux et très conventionnels, et il rêve d’une famille plus fantaisiste, comme celle d’Hortensia… Les deux collégiens décident donc d'échanger pour une semaine leur famille.



L'avis de Sabine, 10 ans : Ce livre est vraiment bien, car il nous montre que la famille des autres n'est pas toujours meilleure que la nôtre malgré ce qu'on croyait au départ. Quand on lit un chapitre, on a tout de suite envie d'en lire un autre. C'est un livre que j'ai lu assez vite et qui m'a plu. Je préfère la famille d'Hortensia, car elle est plus amusante.



L'avis de la rédaction : Qui n'a jamais rêvé de changer de famille ? Partant de cette idée (qui avait déjà inspiré une série d’émissions de télé-réalité), Eléonore Cannone a écrit un roman amusant, qui se lit facilement.

Hortensia rêve d'une famille normale, reposante, comme celle de son ami Martin. Martin, lui, trouve ses parents trop sérieux et voudrait vivre avec des gens plus amusants. Et s'ils s'échangeaient leurs familles pour une semaine?

Un petit roman humoristique qui permet de mettre un peu à distance les petits soucis de famille, et de réfléchir à celui/celle qu'on est, ou que l'on voudrait être.

Pas besoin de rajouter quoi que ce soit au résumé de l'éditeur. Effectivement, ce court roman (108 pages que j'ai lu en une heure), est plus que bourré de préjugés. La famille homosexuelle où tout se passe merveilleusement bien et où tout le monde se comprend, la blonde sans qualification, mais qui aime énormément lire. les personnages ont eux aussi leurs préjugés. C'est pourquoi Aurélien est tellement stressé de devoir annoncer à ses mères son plan d'avenir.



C'est vraiment dommage. j'ai trouvé que l'auteur en faisait trop. pourtant son écriture est très agréable. le fait de donner la parole à chaque personnage est toujours intéressant (surtout sur un roman aussi court qui veut en dire autant !) Mais tous ces clichés finissent par être fatiguants.
Lien : http://laptitesourisduweb.bl..

Ce livre est facile à lire, fluide mais je n’ai pas apprécié ce roman car ce n’est pas le genre de lecture que j’affectionne le plus. Bien que ce soit un livre qui traite d’un sujet de société : l’acceptation ou le rejet de l’homosexualité, l’histoire d’Aurélien ne pas captivée. Certains passages m’ont parrus longs. Et j’ai trouvé injuste qu’Aurélien, le héros soit un enfant caché de son père.

J'ai apprécié ce livre dans son ensemble, des sentiments profonds appraissent et j'y ai été sensible. J'arrive presque a percevoir ce que pourrait ressentir Aurélien. Ce qui me plonge assez bien dans l'histoire. Mlagré tout le style d enarration ne me convient pas, le fait de faire parler un à un chaque narrateur me gêne, je me perds parfois dans les personnages. J'aurais plus apprécié qu'il n'y ait qu'un voire deux narrateurs différents.

C'est le jour de l'anniversaire d'Aurélien, 17 ans et ce soir il va annoncer une grande nouvelle a sa famille composée de ses deux mères, son oncle et sa nouvelle petite amie et son chat. Mais il sait que cette nouvelle n'est pas du goût de ses mères qui ont des rêves pour lui.



Ce très court roman présente deux moments de la journée (la journée et la soirée) depuis le point de vue de tous les protagonistes.

C'est facile à lire.

C'est bourré de bons sentiments et les thèmes abordés sont très vastes : homosexualité, préjugés (écart d'âge, caissière bimbo qui lit Dorian Gray).



J'ai passé un bon court moment mais sans plus.

J'ai trouvé que tout était trop caricatural jusqu'au chat qui pense et transmet ses pensées....

J'ai voté pour ce livre lors des votes du prix des incorruptibles car j'aime beaucoup comment est écrit ce livre .

Déclaration d'anniversaire est l'histoire d'un jeune garçon qui fête ses 17 ans qui doit annoncer une nouvelle à ses deux mères. Dans ce livre, chaque personnage exprime son point de vue. Il y a Aurélien, il est jeune, a 17 ans et est lycéen. Il a le sens de l'humour et il est gentil et joyeux.