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3.66/5 (sur 501 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : New London, Connecticut , le 26/12/1964
Biographie :

Issue d’une famille d’enseignants, Elizabeth Johnson Kostova a commencé très tôt à écrire des histoires et des poèmes. Ses parents, tous deux universitaires ont, pour des raisons professionnelles, beaucoup voyagé en compagnie d’Elizabeth et de ses deux sœurs.

Sa fascination pour l’Europe de l’Est remonte à son enfance. A l’âge de sept ans, elle passe un an à Ljubljana en Slovénie, où son père enseigne dans une université locale.

Elle fait ses études à l’université de Yale où elle remporte The Wallace Prize for Fiction, elle obtient un BA d’études anglaises en 1988, puis un MFA en création littéraire, mais cette fois à l’Université du Michigan où elle enseigne encore aujourd’hui.

Elle poursuit ses études à Yale et en 1989, se voit attribuer une bourse de recherche pour partir étudier la musique dans les villages d’Europe de l’Est.

Elizabeth Kostova est allée en Bulgarie en 1989 où elle rencontre son futur mari, Gyorgi Kostov, qu’elle épouse en 1990.

C’est pendant son voyage, qu’ La mission d’Elizabeth Kostova la conduit dans les villages les plus retranchés de Bulgarie, de Bosnie et du Sud-ouest de la Russie, dont elle s’inspirera pour écrire L’Historienne et Drakula. Un tiers du roman se déroule en Bulgarie parce qu'elle est très proche de Transylvanie - le lieu de naissance de Dracula.

Elle vit actuellement avec sa famille à Ann Arbor dans le Michigan, où elle enseigne à l'université, mais elle se rend souvent en Bulgarie avec son mari.
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Source : /www.xoeditions.com
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Citations et extraits (29) Voir plus Ajouter une citation
It was good to walk into a library again; it smelled like home.
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Ma fille chérie, Si tu lis ces lignes, pardonne-moi. Je suis parti chercher ta mère. Pendant de nombreuses années, je l'ai crue morte, mais aujourd'hui je ne suis plus sûr de rien et cette incertitude est presque plus terrible encore que le deuil.

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Une pensée me suivait dans l'escalier de la bibliothèque et m'accompagnait jusqu'à la porte de la maison : le Drakula imaginé par Stroker avait des victimes de prédilection : les jeunes filles.
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Cher et infortune successeur,
Je conclurai mon récit aussi rapidement que possible, sachant que vous devez y puiser des informations vitales pour nous deux si nous devons non seulement en réchapper mais en réchapper en pas trop mauvais était... Car il y a survie et survie, tout historien le sait. Les plus effroyables pulsions de l'humanité peuvent perdurer pendant des générations et des générations, des siècles, voire des millénaires... et les plus sublimes de nos créations individuelles périr avec nous au terme d'une vie humaine.
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Il ne termina sa phrase car, au même instant, quelque chose sortit de l'ombre de l'ancienne abside, sans qu'aucune lumière soit apparue-une silhouette qui ne ressemblait à rien de ce que nous avons vu dans notre vie. C'était une présence si étrange que je n'aurais pu crier, même si ma gorge ne s'était pas immédiatement bloquée. Ma lanterne éclairait ses pieds, ses jambes, un bras et une épaule, mais pas le visage noyé dans l'ombre, et j'étais trop terrifiée pour lever la lumière plus haut.
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L'île n'est qu'à un court trajet en bateau du rivage et elle a l'air tout aussi boisée que les berges du lac. Au-dessus des arbres se dressent les splendides coupoles byzantines du monastère, et le son des cloches […] traverse toute l'étendue du lac. Ce tintement de cloches volant sur l'eau me remua le cœur : j'avais exactement l'impression de recevoir un de ces messages du passé qui réclament d'être déchiffrés, même si on ne peut jamais être sûrs de ce qu'ils disent.
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Baba Yanka et sa sœur n'avaient pas bronché, comme si le moment n'était pas encore venu.(...) Elles firent mine d'hésiter avant de condescendre à se lever et à s'avancer main dans la main vers les trois musiciens. Le silence se fit, et la gaïda joua une petite introduction. Les deux femmes commencèrent alors à chanter une mélodie d'une intensité et d'une beauté saisissantes, paraissant émaner d'une seule et même personne tant leurs deux voix ne faisaient qu'une. Les accents déchirants de la gaïda se mêlaient à leur chant dans une longue plainte qui semblait monter de la terre.
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En ce lieu Il est captif en enfer. Lecteur, délivre-le d'un seul mot.
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En dépit de l'attention que mon père portait depuis toujours à mon apprentissage de l'histoire, il avait omis de m'avertir : les atrocités de l'Histoire sont réelles. Ajourd'hui, avec le recul, je me rends compte que, même s'il l'avait voulu, il n'aurait pas pu. Seule l'Histoire peut nous convaincre de cette vérité. Et une fois que nous avons regardé cette vérité en face - sans ciller - on ne peut plus en détourner les yeux.
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La reliure était douce, en cuir patiné par le temps, le papier apparemment très ancien. Il s'ouvrit tout seul au milieu. Là, sur les deux pages centrales, je découvris une gravure horrible représentant un dragon aux ailes déployées, avec une longue queue en anneaux, crachant du feu par les naseaux, toutes griffes dehors. Entre ses pattes, il tenait une bannière sur laquelle était tracé un seul mot en lettres gothiques : « Drakulya ».
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