Tombé sur ce livre qui est tombé dans une cabane à livre je l'ai pris par curiosité. Une histoire en Australie.
"Harlequin champion de l'amour" comme dit l'autre...
C'est très ennuyeux. Seul le décor du bush australien mérite d'être mentionné.
Tout est cliché à souhait, et bien sûr tout se termine au dela de toute espérance pour tous les protagonistes.
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Ce livre nous parle du terrible impact qu’ont les violences conjugales. Que se soit physique ou psychologique. Malgré ce lourd sujet, l’autrice nous apporte de l’espoir, de l’amour et des possibilités de développement. J’ai vraiment apprécié ce livre !
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Quand on voit éditions Harlequin, on s'attend à une romance assez rapide, aux personnages pas forcément très approfondis. Et là je me suis laissée surprendre par cette vieille édition qui nous plonge dans des secrets de famille, la disparition d'un nouveau-né.
Faith est une jeune femme élevée dans un certain traditionalisme. Fille d'un sénateur, elle a toujours tenté de répondre aux hautes attentes parentales, d'être parfaite pour deux, pour cette soeur ainée disparue bébé de la maison familiale. Elle a épousé le jeune poulain de son père reproduisant les valeurs puritaines familiales. Un jour, tout s'écroule quand elle surprend son mari dans les bras.... d'un autre...
Vie familiale, carrière politique de son mari, leur maison dans un quartier protégé, le cocon avec une école privée, tout part en éclat, elle va devoir se réfugier dans l'ancienne maison familiale, théâtre de la disparition de sa soeur.
C'est une histoire de rencontres. Rencontre avec une vieille voisine un peu frivole qui parsème des petits souvenirs, autant d'indices pour faire ressurgir le passé. Rencontre avec un homme d'affaire un peu excentrique, séduisant, attiré autant par elle que par son histoire. Rencontre avec sa mère, femme froide et hautaine qui se dévoile au fur et à mesure que sa fille s'installe dans cette maison aux souvenirs si cruels.
Les personnages même secondaires sont présentés de façon assez détaillée, crédible pour compléter une histoire ne se limitant pas à une simple romance. Un joli pavé relatant une famille éclatée, un père confronté à son homosexualité, une mère confrontée à un passé caché au fond des mémoires, une jeune adolescente confrontée à la dure réalité de la séparation de ses parents, de son cocon bien protégé.
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J'aime beaucoup cette auteure. Un style agréable à lire, une histoire pleine de rebondissements, on suit au fil des pages la vie de Faith, bouleversée.
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C’est une magnifique histoire, entre suspense et romance, que nous conte là Emilie Richards ! Devant la trahison de son époux, Faith devra réapprendre à vivre, elle qui toute sa vie a grandi à l’abri des malheurs au sein d’une famille protocolaire où les convenances, les règles régissaient son quotidien. En épousant son mari, homme charmant, prônant les valeurs familiales et une Amérique puritaine, elle élèvera ses enfants tout comme elle-même l’a été, dans un cocon.
Face à cet adultère qui va ruiner la carrière de son mari, elle devra vendre sa maison, sa voiture et fera le choix de vivre à Geogetown dans la maison que les femmes de sa famille se lèguent de mère en fille depuis plusieurs générations, une maison où plane l’ombre déchirante, oppressante de sa sœur ainée, disparue bien avant sa propre naissance. Faith guidée par son instinct va tout tenter pour faire éclater la vérité, finissant par découvrir des secrets qui changeront à jamais les relations qu’elle entretenait avec les siens.
Emilie Richards a su aller au-delà du simple suspense romantique en approfondissant les rapports et les sentiments de toutes les personnes présentes dans ce livre. Ainsi, avec l’adultère de son mari, c’est tout une famille qui sera anéantie. Eux qui vivaient protégés de la réalité du monde, dans une belle et grande maison, les enfants fréquentant des écoles privées, évoluant au sein d’une classe sociale aisée, les voilà projetés à Georgetown découvrant la vie de tout un chacun, et tout ce qu’un quotidien ordinaire, pour tant de gens, a parfois de cruel. Faith se retrouve avec une adolescente en pleine crise, qui ne veut plus voir son père tout en rejetant les fautes sur sa mère. Entre les mensonges et les colères de sa fille Meryl, c’est avec son fils, Alex, que notre courageuse divorcée trouvera un soutien, ce dernier prenant en quelque sorte le rôle de l’homme de la maison.
L’autre attrait de ce livre se trouve dans le fait qu’à un moment ou à un autre, nous entrons dans la tête de chaque personnage inhérent à l’histoire. Nous pouvons ainsi suivre le cheminement intime de tous, que ce soit de la voisine, à la mère de Faith, de ses enfants à Pavel Quinn, cet homme séduisant dont la présence et l’amitié vont chambouler le quotidien de notre héroïne et de ses proches.
Pour conclure, nous ne pouvons que vous conseillez ce roman riche en relation humaines tant dans la douleur que dans la détresse.
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Depuis longtemps dans ma PAL, prêté par une amie… je reconnais que j’ai eu du mal à me lancer, l’idée de lire ce livre ne m’emballait pas tellement.
Quelle grande surprise et je suis maintenant étonnée qu’il ne soit pas plus connu !
Une histoire familiale très bien ficelée, et malgré le nombre de pages conséquent, je ne les ai pas vu défiler !!
Je recommande vraiment pour passer un bon moment dans cette famille pleine de secrets.
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J'ai pris ce livre à la médiathèque par hasard et le résumé m'a plu. Arrivée à mon domicile, j'ai vu que c'était une édition Harlequin et je me suis dit mince, pourquoi ai-je pris ce livre ? En manque de vacances et fatiguée, je recherche des lectures faciles, pleines de bons sentiments. Et là surprise car ce livre m'a plu, il y a une bonne intrigue, un happy end qui laisse rêveur. L'histoire se laisse bien lire, un très bon moment de détente.
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Il existe un grand nombre de personnages dans L'écho de la rivière mais aucun d'entre eux ne semblent superflus. Les personnages secondaires ne sont pas là pour combler ou étoffer, ils font partie des rencontres de la vie, des gens qui traversent nos vies quelque fois de façon éphémère.
Parmi les principaux il y a Julia Warwick: artiste peintre issue de la classe aisée de Ridge's Race. Elle est mariée à Lonbard "Bard" Warwick homme distant, rigide et peu aimant. Elle est maman d'une petite fille Callie, elle aime monter à cheval et son chien. Cette famille cache un secret qui ne tardera pas à être révélé.
Maisy Fletcher: la mère de Julia, grand-mère de Callie, veuve de Henry Ashbourne et épouse de Jack, celle que tout le monde prend pour l'excentrique et l'inadaptée Maisy cache elle aussi un lourd secret et un passé malheureux.
Christian Carver: ami d'enfance puis amant de Julia il sera écroué à l'aube de se vingtaine pour le meurtre de Félicity la meilleure amie de Julia. Après avoir passé dix ans sous les verrous il sera finalement libéré, innocenté. Dresseur hors paire de chevaux et de chiens de chasse, revient de loin et ce bien avant son séjour en prison puisqu'il n'a pas eu une enfance facile et heureuse.
Félicity: meilleure amie de Julia, amie de Christian et Robby, elle est décrite comme frivole, quelque fois égoïste mais gentille.
Robby: meilleur ami de Christian et 4ème de la bande il se tuera en voiture quelques temps après la mort de Félicity.
Chacun dans la bande apportera quelque chose de différent dans leur amitié. A eux quatre ils vont former un groupe soudé pour le meilleur et pour le pire...
Quand on parle de L'écho de la rivière on ne peut pas ne pas parler du roman (non publié) de Maisy Fletcher (la mère de Julia). D'ailleurs le livre commence par ça, ce qui peut surprendre. Je n'avais pas aimé ce premier passage car on ne rentre pas directement dans l'histoire principale mais au final il est comme un prologue annonciateur des évènements à venir. Je trouve la mise en abîme assez sympa surtout que c'est bien intégré à l'histoire par la suite.
Le thème de la chasse et du monde équestre est très présent. Quelque fois trop sur certains passages. J'avoue avoir survolé quelques paragraphes... mais j'ai beaucoup aimé ce livre. C'est donc une agréable découverte! A relire sans aucun doute.
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J'aime beaucoup Emilie Richards, dans ce roman, les passages concernant la chasse à courre, m'ont terriblement dérangée. Etant contre ces pratiques qui sont à mes yeux une forme de chasse horriblement barbare et d'un autre temps, je les ai donc toutes passées et j'ai tenté de suivre le fil concernant Julia, en essayant de rester impartial et d'apprécié malgré cela l'histoire, en allant jusqu'au bout, malgré mon envie d'arrêter. Je ne le classerais pas dans les meilleurs. Dommage !!!!
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Tout au long du roman, on suit l'histoire d'une jeune femme, nommée Julia, et on découvre sa vie ainsi que celle de ses proches. Mais la situation finale est-elle à la hauteur de nos attentes ?
Ce roman traite majoritairement une histoire de famille assez compliquée due à des problèmes du passé. Julia Warwick devient aveugle du jour au lendemain sans raison particulière et l’histoire tourne autour de son handicap. Julia se voit alors se souvenir de son passé pour guérir. Seulement, l’histoire parle aussi de ses proches, notamment, un certain Christian Carver emprisonné suite à un crime. J’ai trouvé ce sujet intéressant car on voit qu’une fois qu’on a résolu nos problèmes et nos difficultés, physiquement tout va mieux. Émilie Richards écrit très bien, les phrases sont courtes et simples et malgré les 657 pages on prend du plaisir à lire. Les lieux et les décors sont réalistes et les personnages sont attachants, de fait, le lecteur entre facilement dans l’histoire. Malgré le sujet assez sérieux, l’auteure à réussit à trouver les bons mots pour ajouter une touche amusante et temps en temps, ce qui fait le charme du roman.
Ce livre est très intéressant et si vous aimez lire je vous le conseille fortement.
Zoé 2nde7
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« Le dimanche, on lit au lit ».
Lorsque j’ai reçu L’écho de la rivière, j’ai eu un choc : 657 pages ! J’ignorais que des romans Harlequin pouvaient compter autant de pages, moi. Une vraie brique, que l’auteur avait pondue, pour conter cette histoire : « Dans la haute société de Virginie, de noirs secrets enfouis depuis des années sont sur le point d'être dévoilés. Le drame couve, prêt à éclater... Artiste peintre mariée à un avocat et mère d'une petite fille, Julia Warwick est un pur produit de l'aristocratie de Ridge's Race. Cette femme à qui tout semble sourire voit pourtant son monde s'écrouler lorsqu'elle perd la vue de manière inexpliquée. Les médecins ayant conclu à une cécité psychosomatique, Julia entreprend de fouiller son passé à la recherche d'un traumatisme qu'elle aurait pu enfouir au plus profond de sa mémoire. Ce faisant, elle ouvre peu à peu les yeux sur son mari, sa famille, et surtout sur elle-même... Mais d'autres vérités encore menacent d'être exposées au grand jour quand son amour de jeunesse, Christian Carver, est libéré après avoir purgé une longue peine de prison pour un crime qu'il n'a pas commis. De retour à Ridge's Race, il entend bien faire la lumière sur cette affaire afin de se laver définitivement de tout soupçon. Pour lui comme pour Julia, comprendre le passé reste le seul moyen de s'en affranchir - quitte à déplaire à certains habitants. Car il est des secrets que ces derniers préféreraient ne jamais divulguer... »
Mais conter n’est pas compter, bien sûr, alors je me suis laissé conter fleurette par Emilie Richards…
Et j’ai adoré cela. L’histoire est fluide, Julia est attachante, tout comme Christian, même s’il est cousu de fil blanc que ces deux là n’ont pas vraiment cessé de s’aimer, of course. Malgré tout, l’intrigue est là : pourquoi Julia est-elle aveugle, que n’accepte-t-elle pas de voir, qui a réellement tué leur amie il y a neuf ans ? Et puis quel est cet étrange roman que la mère de Julia a écrit et qu’elle lui délivre, soir après soir, au coin du feu ?
Passque voilà là le mystère de ces 657 pages : deux romans en un, ou presque. Le double effet Harlequin, à la manière de Kiss Cool. Et si, au début, cette intrusion d’une seconde histoire dans la première m’a interloquée, puis agacée, car elle coupait l’intrigue principale, très rapidement, elle m’a captivée, par le message qu’elle délivrait petit à petit.
Ajoutez à cela une légère intrigue policière sur qui a tué, comment et pourquoi, dont le mystère n’est levé qu’à la toute fin, et vous aurez un roman bien ficelé, dont les 657 pages passent à vitesse TGV une fois la lecture entamée. Et puis, faut attendre des pages et des pages pour avoir du sexe, du vrai, du bon, du plein d’amour, ça m’a changé de ma dernière lecture, c’est clair.
Malgré quelques petits défauts, comme un début d’histoire, à l’hôpital, bien peu utile et qui ralentit l’intrigue, des détails sur la chasse dont je me serais bien passée (mais ça c’est un avis perso), un milieu vraiment « prout ma chère » où l’argent semble couler à flots ou quelques miracles bien trop Harlequinesques pour être totalement crédibles, voilà un roman qui m’a vraiment beaucoup plu, avec des personnages fouillés, un peu de psychologie, un peu de policier, un peu d’amour et beaucoup de plaisir à la lecture.
Et puis, vous savez pourquoi ce livre restera vraiment dans mes anales ?
Passque quand j’étais ado, j’avais décidé d’écrire une nouvelle qui raconterait les amours tumultueuses d’une amie. J’en connaissais le début, rien que le début : « les pales de l’hélicoptère brassaient l’air parfumé ». ça me semblait un début parfait pour une nouvelle romantique à la Nous deux ou Harlequin.
J’ai donc commencé ma nouvelle par cette phrase, et n’ai jamais rien écrit d’autre, bien sûr. Mais cela dénotait déjà mon envie d’écrire, pour sûr.
Et dans l’Echo de la rivière, keske je lis ? « Elle entendait les pales d’un ventilateur brasser l’air ». C’est pas totalement kif kif, mais c’est tout comme. Et ça prouve que j’avais déjà du talent à l’adolescence, na. Et que je devrais vraiment écrire ma nouvelle…
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Suite à une chute de cheval, Julia perd la vue. Et très vite, les médecins lui annoncent que cela n’est pas dû à sa chute mais plutôt à un trouble psychosomatique. Son monde s’écroule. Tout semble lui réussir en apparence. Elle vient d’une famille aisée, est mariée à un avocat (plus qu’à un homme) et a une adorable petite fille, Callie.
Mais très vite, elle déchante. Perdre la vue lui permet en fin de compte, d’ouvrir les yeux sur le monde qui l’entoure. A commencer par son mari. Ce dernier va tout d’abord l’obliger à rester dans la clinique où elle est hospitalisée. Pour son bien selon ses dires, pour qu’elle puisse se reposer au calme. En vérité, c’est plutôt pour éviter les questions de l’entourage. Issu de l’aristocratie, avocat arrogant et prétentieux, il faut dire que Monsieur supporte peu que les choses n’aillent pas dans son sens. Il préfère donc cacher son épouse malade. Toujours garder une image positive devant les autres, voyons !
Grâce à sa force, son entêtement et avec l’aide de Maisy, sa mère, Julia quitte la clinique (sans oublier Karen, l’infirmière) et part habiter chez Maisy et Jake (son beau-père).
Chez eux, elle va tenter de se reconstruire. Entre séances chez la psychologue et discussions avec sa mère, les choses vont s’éclairer.
En effet, le roman est entrecoupé par des passages d’un autre roman. Celui que Maisy écrit. Anodin au départ, il s’avèrera avoir une très grande importance.
Il y a aussi l’arrivée de Christian. Sorti de prison après neuf ans d’erreur judiciaire, il est le premier (et le seul ?) amour de Julia.
Leurs deux histoires vont s’entremêler. Elles n’ont pas réellement de liens, mais ils vont faire face ensemble. Et puis, un lien très fort les unit, même si l’un des deux ne le sait pas encore.
Le lecteur va suivre l’enquête de Christian sur le drame qui l’a mené directement à la case prison. Mais également, assister au combat de Julia pour retrouver la vue et découvrir enfin le traumatisme qui l’a marqué si fort.
Emilie Richards a créé des personnages comme je les aime. Humains. Le mari de Julia par exemple, bien qu’il soit exécrable, est compréhensible sur certains points. Ce n’est pas un homme bon mais certains évènements ne l’ont pas aidé à être meilleur. Je n’aime pas le côté « tout est beau, tout est rose » et ce n’est pas le cas ici.
Les personnages sont travaillés, leur psychologie est étudiée et heureusement car, il faut que cela tienne la route sur plus de 650 pages.
Le seul petit bémol mais qui est tout à fait subjectif, c’est que je n’ai pas réussi à m’attacher aux personnages. Ils sont touchants mais comme dans la vie, c’est une question d’affinité. Cependant, j’ai apprécié lire leur histoire, découvrir leur personnalité. C’est un joli roman familial et puis, c’est toujours rassurant de voir le mal peut parfois fait naître le bien.
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Voici mon quatrième livre de mon partenariat avec les éditions Harlequin et le site Babelio.
L'histoire en quelques lignes.
Julia et Christian, deux êtres qui se sont aimés étant plus jeunes. Mais un jour, la meilleure amie de Julia, est retrouvée morte. Sur le lieu du crime, Christian. Jugé coupable, il est envoyé en prison pour y rester neuf ans. Désespérée à l'idée de voir l'homme qu'elle aime emprisonné pour une longue durée, (manque de maturité, surtout). Julia épouse Bard, un homme de son rang, mais dépourvu d'orgueil, où les sentiments ne semblent point exister à ses yeux. Cependant, à ses côtés, elle ne manquera de rien, sera à l'abri du besoin et donnera naissance à une petite fille, Callie.
Hélas, un jour, Julia a un accident en faisant du cheval. Ce qui l'a rendra aveugle. Pour les médecins et après différentes analyses, son problème de cécité serait traumatique car aucune lésion apparente.
Alors, son mari, fera en sorte qu'elle reste à l'hôpital.
A la même période, notre cher Christian sort de prison et revient dans sa ville. Décidé à faire son enquête pour découvrir la vérité sur ce crime qu'il n'a pas commis, certaines personnes seront contentes de le revoir et d'autres, comme Bard, beaucoup moins.
Pour tout vous dire, la lecture a été agréable. Je ne me suis pas ennuyée une seconde. Cependant, j'ai trouvé que les acteurs n'étaient pas à la hauteur de ce que j'espérais en lisant la 4ème de couverture. Pourtant, l'histoire en elle-même est très intéressante voire convaincante mais malgré cela, il manquait un petit quelque chose pour en être totalement conquise.
On a tendance à dire que les éditions harlequin sont beaucoup plus centrées sur les romances, la passion etc...
Ici, ce n'est pas trop le cas. Ce livre mêle l'intrigue et le met vraiment en avant, avec un soupçon de romance (et encore). Mais ce qui est encore plus intéressant, ce que nous avons un roman dans le roman. Que j'aie trouvé bien plus captivant que le roman en lui-même et bien calé dans l'histoire, il n'est pas là pour rien, vous verrez ^^. De plus, nous aurons droit à des flashbacks, ce qui nous aidera, nous, lecteurs, à mieux comprendre le déroulement de l'histoire, et la rencontre entre tous ses protagonistes.
Bref, c'est une bonne lecture qui se laisse lire, mais au final, vraiment sans plus.
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Il ne s’agit pas vraiment d’une romance, mais plutôt d’une histoire d’amitié entre quatre femmes, quatre voisines qui n’ont a priori rien en commun, sinon d’habiter à Happiness Key et de se sentir touchées par la solitude dans laquelle est mort leur voisin, dont le cadavre est découvert après quelques jours.
Les quatre femmes lient connaissance tandis qu'elles cherchent la famille du vieil homme alors qu'elles ont leurs propres problèmes : un gendre dangereusement manipulateur, un premier amour difficile à oublier malgré un jeune époux attentionné, un mari qui s'éloigne de plus en plus, une vie à reconstruire après un divorce catastrophique, ...
Même si l'intrigue est plus élaborée qu'une simple romance, l'histoire ne m'a pas enthousiasmée. J'ai même trouvé le temps souvent un peu long. Ce n'est pas mal écrit, l'auteur prend le temps de développer ses personnages, mais j'ai eu l'impression qu'on perdait parfois de vue l'essentiel pour se perdre dans des détails.
Après trois tentatives peu concluantes en dis-sept ans, il semblerait qu'Emilie Richards ne soit définitivement pas pour moi...
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C'est très rare mais malheureusement cette lecture ne m'a pas convaincue au bout de 140 pages. Pas moyen d'entrer dans l'histoire. J'ai donc abandonné ma lecture même si j'ai lu la fin par curiosité. Mais trop de longueurs au début qui m'ont perdue. Dommage.
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Lecture fluide et agréable. En lisant le résumé, je m'attendais cependant à un peu plus de rebondissements, d'actions, de difficultés. Hormis une ou deux exceptions (et encore faut il ne pas se pencher sur eux) j'ai trouvé que les personnages étaient tous un peu trop gentils. L'univers m'a semblé trop rose au vu des circonstances. Pourtant, par moment, j'ai senti les problèmes arriver, le côté menaçant, mais tout est retombé aussi vite que la pomme d'Isaac Newton est tombée de son arbre.
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