Fabrice Causapé

Avec Fondamentalement détestable, Fabrice Causapé nous emporte dans les vicissitudes de la vie de Vincent. Un homme ordinaire, une vie plate et impersonnelle et pourtant, au destin destructeur. Au fil des pages, j’ai gouté l’âpreté de Vincent, son point de vue dissymétrique, extrême. Avec Vincent, l’auteur pose un regard dur sur notre façon de mener notre vie, pointe du doigt certaines zones d’ombre de notre société.



Dans ce récit, rien n’est innocent, ou de trop. On suit la métamorphose, l’aliénation de Vincent. La construction du personnage est très bien amenée, une dérive présentée avec justesse. Le personnage est froid, dépourvu d’humanité, d’empathie mais Fabrice Causapé nous nourrit jusqu’à la fin du roman, en réussissant, non pas à faire excuser les actes abominables du personnage mais à lui rendre son humanité. Bravo !

J'ai adoré ce livre, l'auteur a écrit à la première personne ce qui nous plonge dans la tête du personnage, un homme banal qui après avoir été agressé et dans le coma, va avoir une vision du monde très différente. La noirceur va s'amplifier au fur et à mesure des crimes.

Je vous le recommande les yeux fermés.

Vincent vit une vie morne et triste. Il subit son couple (il qualifie sa petite amie de tyrannique) , sa famille et son travail. Il a pour passion les jeux vidéo et c'est tout.

Un soir, il se fait agresser violemment. Suite à cette agression il passe 2 jours dans le coma.

A son réveil, c'est un autre homme. Il quitte sa copine, change de vie et se reprend en main.

Si ça s'arrêtait là...

Vincent devient exécrable, ignoble, détestable,...



Je ne m'attendais pas à ça... J'apprécie ma lecture malgré ce protagoniste antipathique. Vincent se croit supérieur. Après son accident, selon lui, la littérature et la philosophie sont les seuls sujets qui méritent d'être débattus mais pas avec n'importe qui.



Le livre est divisé en 3 parties bien distinctes et bien compréhensibles du lecteur et qui correspondent à des parties de vie. Les chapitres sont assez courts.

L'écriture est parfois un peu alambiquée mais cela reflète parfaitement le protagoniste ! Ce type d'écriture lui correspond vraiment.



Certains passages, certaines phrases, certaines pensées sont assez noirs mais me donnaient envie de rire... Mais comment est-ce possible d'avoir de telles pensées de la part d'un homme normalement constitué?



C'est du sérieux, c'est du lourd, c'est du noir, ... Je vous conseille cette lecture. Jamais un livre n'a aussi bien porté son titre, Vincent est totalement, complètement, fondamentalement détestable.




Lien : https://livresquement-djusti..

J’avoue qu’au départ, j’ai eu du mal à entrer dans l’histoire.

Je n’ai pas l’habitude de lire des livres écrit à la première personne et il m’a fallu un peu de temps pour m’y habituer.

En plus de ça, l’auteur utilise un vocabulaire assez complexe, tout comme la psychologie de son personnage principal.

L’utilisation de cette première personne permet de nous mettre dans la peau de Vincent, de vivre son évolution et les changements de son esprit et de son corps.

Les chapitres sont courts et apportent du rythme et de la fluidité au récit. C’est un roman bien mené !

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Je remercie l’auteur de m’avoir permis de lire cette histoire qui nous fait nous poser des questions sur notre vie quotidienne.

La plume est vive, tranchante comme un scalpel, sans concessions ni fioritures. On est loin d'une œuvre aseptisée pour plaire à tous et c'est tant mieux. On nous propose ici un écrit fort, à la précision chirurgicale qui ne vous laissera pas de marbre.

Au travers de vies qui ne sont plus et où la mort est le début de l'aventure, le récit nous propose une galerie de portraits qui se construisent autour du décès de l'Autre. Preuve, s'il en fallait une, qu'il y a de la vie aux pompes funèbres !



Une lecture plaisante et macabrement délicieuse pour peu d'accepter que vous et moi nous finiront en fertilisant. Et dans ce cas, autant savoir à quoi s'attendre durant la transition, non ?

On à tous déjà vécu une bonne grosse journée de m*rde, mais pour le coup, celle de Jacqueline est presque un cas d'école. Dernier jour dans notre capitale où une jeune australienne va voir s'entrechoquer le fantasme de Paris la magnifique avec la réalité des rues crasses et pleines de "rats" en tout genre...

Nouvelle initiatique d'une soixantaine de pages qui se lit avec plaisir (peut-être plus encore après une journée pourrie... histoire de se mettre du baume au cœur et de relativiser) où la plume concise et incisive de Fabrice se déploie avec brio. Le coup de génie pour moi tient dans le fait que Jacqueline évite le gouffre de justesse et ce "grâce" à une de ses énièmes déconfitures... Comme si l'auteur cherchait (avis qui n'engage que moi) à nous rappeler "qu'a toute chose malheur est bon". Histoire de ne pas trop vous spoiler je dirais juste que l'héroïne trouve une échappatoire par l'intervention de Dame Nature qui vient mettre à mal la bête humaine.

Voilà un recueil de nouvelles guidé par la lune, cet astre aussi énigmatique que fascinant spectateur de la part la plus obscure des hommes...



Présente à chaque histoire, elle est le témoin privilégié des désillusions de ces hommes et de ces femmes dont chaque histoire se termine de manière dramatique.



De l'enfance, en passant par l'adolescence puis de l'âge adulte à la vieillesse, ces nouvelles montrent le plus abject de l'humain.

Adressé à la deuxième personne, ce recueil donne l'impression que l'auteur s'adresse à nous qui pourrions aussi basculer du mauvais côté à cause d'un mauvais choix ou parce que la maladie décide de frapper à notre porte.

Le bonheur ne tient parfois qu'à un fil alors essayons de nous y accrocher et surtout profitons, la vie est bien trop courte !



J'ai beaucoup aimé ce recueil dans son ensemble et particulièrement l'épilogue qui nous montre ce qu'il s'est passé ensuite pour les différents protagonistes en repartant en sens inverse, du plus âgé au plus jeune.

Je recommande sans hésitation la plume de Fabrice, car malgré la noirceur de ses textes, il y a toujours un je ne sais quoi de positif qui donne envie de bouffer la vie en tournant la dernière page.

Jacqueline pensait terminer son séjour à Paris par une belle soirée de réveillon avec son amie avant de retourner dans son pays... C'était sans compte sur la loi de Murphy et la succession de moments de "loose" qu'elle apporte.

Paris et son métro bondé, ses pickpockets, ses habitants plus ou moins bienveillants... le combo parfait pour une soirée qui marque à jamais et pas vraiment dans le bon sens du terme.



Une courte nouvelle à la deuxième personne ou l'auteur s'adresse directement à Jacqueline (ou à la Jacqueline qui sommeille en nous).

J'ai passé un très bon moment de lecture et j'ai à nouveau beaucoup aimé la plume de l'auteur entre humour et noirceur.

📕 RÉSUMÉ



"Vous êtes mort" et c'est ainsi.



Bienvenue dans les coulisses des pompes funèbres.



Une frontière étrange entre la vie et la mort.



La vie au quotidien des personnes qui travaillent dans les pompes funèbres.



📕 MON RESSENTI



L'auteur commence par nous dire :

"Mon écriture a pour ambition d'être un électrochoc. Son but est de provoquer des émotions tant au travers des sourires que des larmes et de réveiller les consciences."



Concernant l'électrochoc il a réussi son pari.



Ce roman est très perturbant.



Il commence par nous décrire ce qu'il se passe dans notre corps lorsque l'on est mort. Des détails qui peuvent être très dérangeants pour un public non averti.



On a tous été confrontés à la mort de près ou de loin.



On s'imagine les employés des pompes funèbres mais on ne s'imagine pas les coulisses.



On a beau savoir, on a beau connaître les devants "de la scène", être confronté par une lecture si détaillée est très perturbant.



J'ai aimé découvrir la vie quotidienne de ces personnes qui ont ce métier si particulier mais nécessaire. Malgré la dureté de certains moments.



Je n'ai pas aimé les passages où la vulgarité était trop présente à mon goût.



Mais j'ai trouvé très intéressant d'en apprendre plus sur ce métier.



Je m'interroge sur les anecdotes. Sont-elles toutes véridiques ? Ou beaucoup ne sont que fiction ?



Certaines sont plutôt choquantes...mais n'est-ce pas le but de ce roman ?



Vous l'avez lu ? Vous avez envie de le découvrir ?

Dites moi tout.

Alors le tome 1 était déjà exceptionnel, mais le tome 2... C'est le cran au dessus !



Nous retrouvons donc les pompes funèbres et leurs anecdotes, la vie en agence, le quotidien des porteurs, la profession mais aussi ce qui nous y conduit...



À la différence du 1er livre, le 2 est bien plus entrecoupé de chapitre de personne qui décède, et je dois avouer que c'est un dosage parfait cette fois...



Le plume cynique de l'auteur est vraiment l'atout du livre, on est plongé dans le monde du funéraire et de la mort sans ménagement, sans ruban pour embellir les situations, sans angles arrondis.

Et c'est ce qui rends l'ouvrage d'une véracité exceptionnelle!

Car oui, la mort c'est ça, les pompes funèbres c'est ça, le domaine de la mort c'est ça !

La collaboration Fabrice croque-mort est encore une fois un énorme succès !



Je fais une mention spéciale à Fabrice, une mention " je te déteste " de nous laisser dans un tel désarroi quant à cette fin...

Quoi? Vous voulez savoir?

Eh bien je vous invite à découvrir ce livre sans tarder 😉



Âme sensible ou endeuillée, évitez peut être ce bouquin, il n'est pas forcément à la portée d'un cœur brisé 🖤

Ce livre m'a transportée dans la vie de Fabian et même si au début j'ai eu du mal à accrocher, force est de constater qu'on tisse un lien avec le personnage, on entre dans une telle intimité qu'on ne peut s'en détacher.



Fabrice nous entraîne dans son univers et lève toutes les résistances au fur et mesure sous une plume hypnotisante et sans tabou.



Cette histoire pourrait être la vie de n'importe qui (hum... enfin peut-être pas tout le monde non plus 😄) mais entre les mains de l'auteur elle devient passionnante, enivrante, bouleversante, captivante et c'est bien la toute la maîtrise qu'on attend.

Vous l'aurez compris, j'ai une fois de plus adoré ma lecture...



Et si vous aussi vous vous accordiez une minute de décadence?

J'avais besoin d'un peu de temps pour me remettre de cette lecture et pour choisir les mots pour ma chronique .

Pour commencer, le titre est très révélateur. Qui est fondamentalement détestable ? Vincent ? La société ? Ou nous-même qui lisons ce livre ?



J'ai ressenti une envie de poursuivre ma lecture malgré ce malaise et ces interrogations sur mon attitude en lisant ce roman.



A-t-on tous en nous un instinct meurtrier ? Qu'est-ce qui nous fait franchir le pas ?



J'ai beaucoup aimé ce roman, cette réflexion qui en découle.

Un roman pas comme les autres.

Un roman où on en sort pas indemne.

Un roman fort dont je me souviendrai longtemps.



Qui l'a lu ? Hâte d'avoir votre ressenti.

Si vous ne l'avez pas lu courrez le chercher.

J'ai beaucoup aimé.



J'ai trouvé ce roman explosif. A lire absolument.



Ce roman est écrit à la première personne. Je trouve que cela donne encore plus de puissance à l'histoire.



Fabrice m'a expliqué que l'idée de ce roman lui a été inspiré par le visionnage d'un documentaire sur la collaboration pendant la guerre.



Il nous décrit des faits réels de torture appuyés sur le témoignage du juge Jean Lyonnet.



Le destin de Pierre Marie Paoli l'a particulièrement intrigué notamment par son désir de fuir "sa petite vie dégradante".



Comment Valéry Cazadis, le personnage principal est-il devenu un collabo ?Un être aussi abject et abominable.



S'il avait eu une autre enfance, une autre vie est-ce qu'il serait devenu quelqu'un d'autre ? Pour ma part, je pense que oui, c'est une évidence.



Ce roman nous fait réfléchir. C'est un électrochoc et c'est le but de l'auteur qui nous dit "mon écriture a pour ambition d'être un électrochoc. Son but est de provoquer des émotions tant au travers des sourires que des larmes et réveiller les consciences.

Au fond de Valéry gît une bête noire de douleur, aux muscles saillant de colère, aux pleurent incessant de honte.. Filant droit vers sa destinée, le regard enfiévré, Valéry abdique.

Sa bête noire l’aveugle de désir de chair, de fol appétit juvénile abâtardi, de mort, de violence, emmitouflé d’un beau costume de suaire..



Son innocence ainsi bafouée, Valéry n’aura de cesse de vouloir briser l’humanité chez le maquisard, ennemi juré de la grandissante nation qu’il a rejointe, devenant une chose grandiloquente à souhait, de désamour total de soi, mais tellement pleine de vie, dans l’exécution de tortures sale, d’humiliations foudroyantes de mégalomanie crasse, de mort au tournant de la guerre..

Ainsi en va de la destinée de Valéry…



Et pourtant l’amour existe, hélas, dolent, titubant, névropathe.. Les femmes ne seront pas en reste, ces créatures étranges, parcourant la vie d’un Valéry défroqué d’un romantisme, qui aurait pu l’habiter, plongeant dans le reflet d’une beauté dulcinée..



“ J’ai l’impression que, quelque part, il existe, à mon nom, comme plusieurs types d’hommes, de vies, que je pourrais réaliser, les uns aussi bien que les autres. “



“ A l’abattement initial, à la rage de revivre de la période d’instruction, succède chez moi, depuis quelques jours, une résignation quasi totale à mon sort désormais inéluctable.“



Aux Heures Errantes, ‘ Véronal ‘ aurait pu faire lois. Valéry n’en ressortira que plus grandi de monstruosités.. Lâche, vengeur et fière d’un uniforme de chien écumant de rage. Psychopathe passionné par son prochain, de ceux qui l’ont humilié..



Encore une fois, Fabrice Causapé me soulève le coeur, me remue les tripes de son talent ! Je conseille cette lecture, cet auteur hors norme aux âmes sensibles, car son cheminement est celui d’un éveilleur. Éveiller les consciences quand au fond des ténèbres, il y a cette humanité si chère.. Déliquescente chair qui pourrit de douleur même les êtres les plus atroces.. Humain trop humain dites-vous vous ?

Acheté parce qu'écrit en collaboration avec @le_croque_mort (page instagram très intéressante sur le travail dans le monde du funéraire), je me réjouissais de découvrir ce texte, que j'avais compris être à mi-chemin entre roman et anecdotes.



Mais alors que @le_croque_mort est hyper bienveillant et respecte vraiment les défunts et leurs familles, ce texte est assez acerbe, propose une galerie de personnages pas très sympas et moyennement respectueux avec les morts comme les endeuillés, insiste un peu trop lourdement sur les horreurs commises par certains religieux... bref, est très loin de ce que j'imaginais. Et du coup ça ne l'a pas fait... 🤷



J'aurais probablement dû me renseigner au sujet du style et de la plume de l'auteur. J'aurais été moins surprise.



Ce genre de texte plaira sûrement à certain(e)s, plus cyniques que moi.

Tout juste reçu et déjà lu ! On peut dire que j'attendais avec impatience que le nouveau roman de Fabrice Causapé arrive entre mes mains. "Les heures errantes" est une lecture qui ne m'a pas du tout déçue, connaissant déjà la plume de l'auteur, on peut s'attendre à tout, surtout à de la noirceur toujours plus sombre, mais à quel degré ?



"Les heures errantes" est le quatrième roman de l'auteur dont il a choisi pour nouveaux décor et contexte la seconde Guerre Mondiale, une période sinistre, sombre et inhumaine de notre Histoire. L'intrigue n'a pas besoin de préciser la période avec des dates pour nous faire comprendre de quelle période il s'agit.



Le récit nous raconte l'histoire de Valéry Cazadis, un homme profondément blessé et enragé, forgé par son enfance hasardeuse et très compliquée.



En grandissant et en devenant adulte, Valéry est devenu un monstre, un boucher humain. Valéry veut démontrer qu'il n'a pas de compte à rendre à qui que ce soit et qu'il est libre de l'intégralité de ses choix quels que soient les risques. Valéry a un désir de vengeance absolu et va faire payer tous ceux qui sont en travers de son chemin. Brr, ça ne donne pas envie de le croiser, d'autant plus que le sang et les coups sont ses atouts majeurs...



Avec "Les heures errantes", on est au cœur de l'horreur allemande qui a fait souffrir et périr des millions de personnes durant la seconde Guerre Mondiale, mais on est également au cœur d'un procès jugeant une personne ayant pris part aux actions allemandes. Valéry Cazadis va en faire les frais, rattrapé par la réalité. Quelle en sera l'issue À vous de le découvrir en allant lire le roman ! Je suis sûre qu'il vous fait envie ;).



Il est effectivement rare d'être du côté obscur et de l'ennemi dans un roman ayant cette sinistre période comme toile de fond. Le plus souvent, on est du côté des victimes. Au moins, le nouveau roman de Fabrice Causapé apporte un certain équilibre à la variété de romans avec cette thématique.

Aussi, comme l'auteur le dit si bien, son écriture a pour but d'être un électrochoc. Alors quoi de mieux que les coups, la violence et d'autres cruautés commises dans "Les heures errantes" ?

Écoutez plutôt... La 28 eme nuit, la lune enflamme les esprits. La tristesse devient désespoir, la crainte devient peur et, l’ombre de la nuit rôde à l’affût de ses prochaines victimes.



Et nous, pauvres inconscients, dormons tranquillement. Mais Fabrice ouvre les rideaux sur une réalité glaçante : celle de la 28 eme nuit, où les solitude, la violence, la peur, deviennent des prédateurs sans pitié de l’âme humaine.

Cette nouvelle est une fable. L’histoire d’un homme en quête de Solitude. En effet, Mieszko est un expert, un scientifique. Il jette sur ses congénères une critique acerbe et il utilise donc un motif scientifique (étudier la fonte des neiges) pour se retirer du monde à l’occasion d’une expédition. En vérité il s’en moque des variations du climat et il s’en moque d’éclairer ses concitoyens avec la lumière de sa science. Tout est vain. Le but non avoué de cette expérience : la recherche du vide. Et encore : « Il n’est ici pour rien. » Mieszko ne suit pas les précieuses recommandations qui pourraient lui permettre de rester en vie dans cet endroit hostile. Il est seul. Le sol et le ciel se mélangent, tout est confondu, il n’y a plus de limite et la folie s’empare de lui, il perd la raison. Une tâche rouge sur le blanc immaculé, vient définitivement semer le doute dans son esprit. Une nouvelle mystérieuse, dure mais poétique, mythique sous bien des aspects !!

Nous découvrons Jacqueline une sympathique jeune Australienne qui a décidé de découvrir le monde et, dans ce livre, la France et Paris en particulier

Mais, en suivant ses péripéties, nous allons nous retrouver dans un parfait exemple de la Loi de Murphy

Il va lui arriver beaucoup de tuiles et de gros malheurs et nous sommes pris dans ce tourbillon et on vit au rythme de ses aventures et on partage ses émotions



Lecture rapide et sympathique – Livre tres court : une cinquantaine de pages

Bonjour à tous,



Je viens d'achever ''Minute de décadence'' de Fabrice Causapé. Une pure claque ! J'ai adoré ce livre. L'écriture de Fabrice est percutante, incisive et terriblement addictive. L'auteur aborde un sujet réel qui, selon moi, mérite d'être exploré. Cette plume vous entraîne dans un univers sans tabous, sans fois ni lois, dérangeant et fascinant.

Je recommande ce livre aux lecteurs avertis. Pour ma part, c'est un coup de coeur. La rudesse du sujet a été abordée avec brio. Bravo à l'auteur !