AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Critiques de Francine Raymond (10)
Classer par:   Titre   Date   Les plus appréciées
Le salaire de la vie. Notre travail coûte t..

De la part d'une femme courageuse et combative, engagée à fond pour sauver le site PSA d'Aulnay, ce témoignage poignant sur la précarité du travail, dénonce les lois cruelles de la productivité-rentabilité dans l'industrie et le manque de considération envers les ouvriers.

Elle a cru, par son action, pouvoir échapper au pire et pourtant sa lutte relevait du combat de David contre Goliath.

On aimerait savoir ce qu'elle est devenue après la fermeture du site. Je pense que sa formidable énergie lui a permis de rebondir, ce qui n'est pas le cas de tous ses compagnons de galère.
Commenter  J’apprécie          70
Le salaire de la vie. Notre travail coûte t..

L'horizon est bien morne dans les yeux délavés de la classe ouvrière. Car après l'annonce de la fermeture de l'usine PSA (Peugeot-Citroën) d'Aulnay, une fraction seulement des ouvriers se mettront en grève, entre 200 et 500 au plus fort du mouvement, sur près de 3 000 travailleurs. La grande majorité restera prostrée, incapable de réagir, découvrant, trop tard, qu'il aurait sans doute mieux valu s'y mettre toutes et tous. Cette inertie, c'est ce que Gigi ne comprend pas... Ghislaine Tormos était une de ces combattantEs, et elle livre ici son témoignage, celui d'un combat, « Nous nous battrons comme des lions », dans une usine dont les capitalistes n'ont plus besoin et qu'ils ferment, comme des dizaines, des centaines d'autres. Les prolos qui bossaient à Aulnay ont connus la petite mort (que connaissent beaucoup d'ouvriers et d'employés), un jour de Conseil d'Administration, avenue de la Grande Armée. La petite mort, c'est quand on leur dit qu'ils ne sont rien, qu'ils n'ont rien, qu'ils ne valent rien.

Pourtant, à l'usine « Citron » (comme disent certains ouvriers car on y est pressé comme un citron) d'Aulnay, une fraction s'est mise en grève, une grève qui a tenue quatre mois, chez le plus grand employeur privé de Seine-saint-Denis... c'est l'histoire de cette lutte qui m'intéressait, et qui fait que j'ai choisi ce livre dans le cadre de l'offre de Babelio.

Alors, les copains du ferrage, ceux du montage ou encore de la peinture, attachés à leur usine ? Non, car sans les ouvriers et les ouvrières qui la font tourner et dont la sueur fait les profits, l'usine n'est qu'un décor vide, un hangar de ferraille et de robots idiots. Non, les prolétaires n'ont rien, c'est ce qui les définit : ni moyens de subsistance en dehors d'aller bosser, ni compte en banque gonflé, ni soutien, et surtout pas celui d'un ministre... Ils et elles n'ont que ce qu'ils vont chercher eux-mêmes et elles-mêmes, ils n'auront jamais que cela. (Même quand il s'agit du soutien d'un chanteur, ce ne peut être que l'un d'entre eux...).

Ce que possèdent les prolos, c'est la sincère camaraderie, la franche amitié, la solidarité profonde d'une classe sociale qui produit tout, et qui donc, quand elle cesse le travail, bloque tout... Dans la lutte, à condition d'agir, de penser, de s'organiser de manière autonome, comme cela s'est passé à Aulnay, les travailleurs prennent confiance en eux-mêmes, en leur propre force et en leurs capacités....

comme le dit Ghislaine : « Faire converger toutes les luttes est le début de la solution »

C'est tout cela que nous montre Gigi, une lutte de ceux qui sont dépossédés, et pour qui le salaire, du coup, c'est le « salaire de la vie ».

Grâce à ce livre, on voit la force que deux cent cinquante, trois cents ouvriers en grève, ont déployés dans la lutte. Et encore, il ne s'agissait que d'obtenir des reclassements, des indemnités, des miettes... On entrevoit la puissance d'une grève dans laquelle les grévistes auraient dit : « il n'y a plus de travail pour tout le monde, alors travaillons trois heures par jour, mais au même salaire ! », ou qui se serait étendue aux autres usines du groupe PSA, à toute l'automobile, à toutes les usines, ces usines et ces bureaux dans lesquelles les travailleurs subissent la même chose, sempiternellement : l'intensification de l'exploitation... ou le licenciement.

Dans les interstices de la lutte entre le Capital et le Travail, à certains moments, la vie resurgit avec fracas...
Commenter  J’apprécie          70
Le salaire de la vie. Notre travail coûte t..

Merci à Babelio et aux éditions Don Quichotte pour cette lecture.

Le salaire de la vie de Ghislaine Tormos ou comment laisser mourir les usines en France.

Dans ce livre on apprend que dès 2008, l'usine de PSA Aulnay va fermer, cependant les ouvriers seront eux mis au courant en juillet 2012.

On observe des choix stratégiques étranges comme l'utilisation du modèle japonais, alors que tout semblaient fonctionner. Et puis petit à petit on observe que l'usine va fermer et que c'est malheureusement indéniable.

Une histoire qui malheureusement fait écho et va faire écho de plus en plus, car trop de nos usines ferment.



Ghislaine Tormos était une monitrice sur une ligne de montage, qui a travaillé dix ans chez PSA Aulnay, elle n'avait jamais fait grève et pensait terminer sa carrière dans cette usine.



Mais elle et ces camarades vont mener des actions coup de poing, ils vont se mobiliser pour sensibiliser les gens sur cette fermeture et pour partir avec un PSE : plan de sauvegarde de l'emploi digne.

Mais la mobilisation des ouvriers reste faible à la fin deux cents grévistes sur deux mille, c'est peu...

La dernière partie est dur, car c'est la fin de la grève, la fermeture de l'usine, on voit l'usure des ouvriers, la sentence, la séparation de cette famille d'ouvriers.

Aujourd'hui près de mille ouvriers sont en projet professionnels en résumé sans emploi.

Certains ont été reclassés à Poissy comme l'auteur.

C'est un livre qui m'a touché, ému et qu'il faut partager.



Le monde ouvrier est un monde à part, lorsqu'on rentre dans une usine on ne peut pas oublier ces gens qui travaillent à la chaîne, qui ont moins de trente minutes pour manger qui sont « abrutis » par ces gestes répétitifs, mais qui sont touchants. Pour ma part, jamais j'oublierais cette usine qui n'est pas PSA Aulnay, malheureusement c'est une usine qui est également sur la sellette comme tellement d'autres....



Un livre qui permet de rappeler aux gens et à notre gouvernement que les ouvriers sont là et ne les oublions pas.



Un grand merci à l'auteur et à Francine Raymond pour ce récit.
Commenter  J’apprécie          60
Le salaire de la vie. Notre travail coûte t..

Beau témoignage d'une ouvrière de PSA Aulnay sur Bois. Outre la description de la lutte menée contre les licenciement en 2012-2013, c'est aussi l'histoire d'une vie puisque l'auteur raconte comment elle est entrée, 10 ans plus tôt à l'usine, comment il a fallu qu'elle s'adapte à un environnement masculin, et que cet environnement s'adapte à elle, à un travail extrêmement fatiguant et abrutissant. Elle parle de sa fierté d'appartenir au monde ouvrier, des solidarités qui se créent au sein des équipes, de sa vie qu'elle ne maîtrise pas complètement... Ce livre n'est finalement pas tant l'histoire d'une lutte ouvrière que l'histoire d'une construction personnelle.
Commenter  J’apprécie          40
Comment ça va l'école ? : Etre parent d'élève pen..

Un avis assez mitigé pour ce livre.



D'un côté, un sujet intéressant est exploité : on nous offre le point de vue d'un parent d'élève sur l'école. Mais de l'autre des longueurs qui m'ont dérangées souvent. D'abord, une abondance de références : auteurs, chercheurs, enseignants, enfants ou parents, parfois on nous balance des noms comme ça et je me suis souvent demandé l'intérêt... Je pensais lire l'avis d'un parent d'élève et non d'auteurs chercheurs.

Par ailleurs l'auteure a tendance à prendre des exemples qui sont selon moi, un peu poussés à l'extrême. Par exemple, elle choisit de d'évoquer le quotidien de professeurs qui enseignent dans la banlieue parisienne et y décrit des élèves insultants etc, bien sûr la banlieue parisienne reste "à part" et est un des lieux que les jeunes enseignants cherchent à fuir bien souvent... Cet exemple était donc selon moi un peu caricatural, il est des milliers d'autres écoles complètement différentes des écoles parisiennes.

D'autres notions m'ont aussi dérangées, l'auteur parle "d'égalité des chances" quand je préfère parler d'équité scolaire, car comment la chance peut-elle être une dimension de l'action éducative ?

Enfin, en tant que jeune professeure des écoles qui va tout juste démarrer mais qui a déjà pu s'apercevoir des différentes facettes du métier et fonctions du PE, j'ai eu plus souvent l'impression d'évidences exposées qui ne font que construire finalement, un débat stérile... On croise dans ce livre des "bons professeurs" et des "mauvais professeurs", l'auteur a peut être oublié, à mon sens, de s'attarder d'avantage sur la formation inexistante et camouflée des profs, peut être qu'avant de refonder l'école il vaudrait mieux commencer par former réellement les jeunes enseignants car on aura beau proposer des modèles de pédagogie à priori "excellents", seront-ils efficaces si le professeur qui les utilise n'est pas formé ?



Merci à Babelio et aux éditions Don Quichotte pour la découverte de ce point de vue !
Commenter  J’apprécie          20
Comment ça va l'école ? : Etre parent d'élève pen..

Merci aux Editions Don Quichotte et à Babelio / Masse Critique pour cet ouvrage.



Je crois que je vais diviser ma critique en deux parties, car ma lecture s'est elle-même divisée en deux parties.

En fait, on m'aurait demandé de mettre une note à mi-lecture, je pense que j'aurais donné 5 à ce livre. J'ai trouvé les premiers chapitres vraiment très intéressants. Les analyses étaient pertinentes, les observations sur la vie des élèves et leurs difficultés à l'école étaient un témoignage criant de ce qu'il peut se passer dans les salles de cours. En lisant ces premiers chapitres, bien qu'ayant passé le bac il y a de cela 10 ans, je revoyais certains professeurs, certains cours. Je n'ai pas eu de difficultés à l'école comme Inès, mais je vivais totalement ce qui lui arrivait. L'auteur donne aussi la parole à une jeune femme qui est sortie de la banlieue, et c'est très intéressant de lire sa façon de penser, avant d'être "remotivée".

J'ai beaucoup aimé tout ces témoignages ; les entretiens avec les professeurs, les étudiants, tout le monde. Cela rendait le récit plus vivant, plus véritable.

Aussi, ce livre m'a poussé à m'interroger sur des questions qui, jusqu'ici, m'avait parues sans réelle importance. Par exemple, je ne comprenais pas bien le grand débat autour des notes. Pourquoi arrêter d'en mettre ? Aujourd'hui, je comprends mieux ce que cela peut représenter pour un élève, et qu'avec des systèmes différents, il serait possible pour les parents de savoir où en est leur enfant, sans pour autant le cataloguer avec une note.



Cet ouvrage partait donc très bien, et c'était agréable de pouvoir avoir un avis réfléchit sur certaines questions de l'actualité.



Mais la deuxième partie à un peu contrariée les choses.

J'ai trouvé qu'il y avait beaucoup plus de répétitions et redites dans cette deuxième moitié. Des choses qui avaient déjà été bien développées au début réapparaissaient.

D'une manière générale, je trouve que l'on pourrait retirer facilement 3 pages à chaque chapitre, car il s'agit d'idées déjà développées, sur lesquelles on revient une énième fois, comme pour faire du "bourrage de crâne".

Il y a moins de témoignages sur la fin, on part beaucoup plus sur de l'analyse, des théories... On va chercher l'expérience d'un professeur après la 1ère GM. Même si je comprends l'idée de montrer l'une de ces "nouvelles méthodes d'apprentissage", je ne suis pas convaincue que passer autant de pages à nous expliquer ce système en particulier soit des plus pertinent, alors que le début lui, était très pertinent et actuel.

Autre petit bémol (et le dernier), heureusement que l'auteur précise à la fin que Ninon a fait un bac L, car je commençais vraiment à me dire que les gens qui font un bac L (ce que j'ai fait) valent moins que les autres. Je sais que l'auteur ne pense pas du tout cela, mais à force de vouloir nous prouver la pensée générale, son discours se mélange à cette pensée.



Cet ouvrage est tout de même très intéressant, et ne rentre pas dans les clichés des discours sur l'Education Nationale. L'auteur parle de professeurs désabusés, d'autres heureux, de professeurs qui veulent fuir la banlieue, d'autres qui font tout pour y rester.

Je pense que ce serait un ouvrage intéressant à faire lire à de futurs profs en train de passer les concours. Ce livre leur montre ce qui les attend, mais leur prouve aussi qu'on peut faire évoluer les choses, et qu'en ouvrant son esprit à la nouveauté, on peut amener le changement.

Commenter  J’apprécie          20
Comment ça va l'école ? : Etre parent d'élève pen..

L'école, on en a toutes et tous des souvenirs plus ou moins agréables, mais cela a été forcément un pan non négligeable de notre vie. Oui parce que nous avons la chance de pouvoir y aller. Si, si c'est une chance ! Car même si le "mammouth Éducation Nationale" est très imparfait (dixit Claude Allègre), il en reste des pans positifs. Si je vous assure. Même Francine Raymond l'auteur de ce livre serait d'accord avec mon propos. Elle souligne certaines faiblesses, lacunes, problématiques. Elle met parfois le doigt là où cela fait mal, mais dit aussi quand d'autres éléments sont plus positifs. Cependant, le tableau dressé reste très sombre, trop à mon sens. La réalité est plus nuancée, plus multiple.



L'école, on peut en parler longtemps. L'action, ce serait mieux. Reste que rien n'est simple et l'image du mammouth (Claude Allègre toujours), si elle n'est pas flatteuse, reste assez véridique.

Pour celles et ceux qui se sont éloignés de l'école et de ses problématiques, cet ouvrage peut les aider à avoir de nouveau les idées plus claires. Pour les autres, on peaufine ses connaissances. Personnellement, je connais un peu trop bien le dossier je crois.



J'ai pu noter la sempiternelle erreur entre les fonctions de principal (collège) et de proviseur (lycée). Dommage, il y a par ailleurs de bonnes sources citées. Et puis dans un ouvrage sur l'éducation nationale, il aurait été bien de ne pas confondre les deux fonctions (proche, mais différentes). Je sais je suis pointilleuse.



J'ai apprécié la mise en avant de l'idée simple, mais tellement vrai que la confiance en soi est primordiale pour qu'un élève réussisse, passe un cap, avance tout simplement.

Même chose d'ailleurs pour le clan des professeurs et plus particulièrement des débutants. S'il est vrai que beaucoup sont envoyés "au front" avec trop peu ou pas de formation "technique et pédagogique", ce n'est quand même pas non plus pour tous une entrée en matière si catastrophique que cela. Tous ne sont pas broyés par le système ou par des affectations trope difficiles comme pourrait le faire croire certains faits bien réels évoqués par Francine Raymond. Heureusement, sinon la situation actuelle serait bien pire.



Bon ouvrage qui contient et expose bien des vérités, mais n'est qu'un regard parmi beaucoup d'autres sur ce vaste dossier. Loin d'être faux, ce livre ne perdrait rien avec néanmoins quelques nuances de plus dans son jugement.
Lien : http://espace-temps-libre.bl..
Commenter  J’apprécie          23
Comment ça va l'école ? : Etre parent d'élève pen..

Comment ça va l’école? se divise en deux parties. La première fait le point sur l’école de l’éducation nationale, une école qui n’a pas su évoluer avec la société, qui peine à suciter l’intérêt de ses élèves, qui crée des inégalités entre les élèves que ce soit d’un point de vue sociale ou encore d’un point de vue de la filière qu’ils choisissent. Enrichies d’exemples et témoignages criant de vérité, le texte met en lumière l’école d’aujourd’hui, cruelle et imparfaite, qui forme l’élite mais abandonne les plus défavorisés. Une école qui a besoin d’une grosse réforme sur le fond et la forme et ce en commencant par la formation des enseignants. Une école qui a besoin de rendre ses lettres de noblesse aux matières nobles et notamment au français, largement dénigré au profit des maths.



La deuxième partie apporte des exemples de pédagogies alternatives qui fonctionnent, mis en place par des enseignants, des pédagogues plutôt, qui sont convaincus que les enfants ont besoin d’être entendu, encouragé, valorisé pour réussir. Rendre les enfants acteurs de leurs apprentissages plutôt que de les laisser assis à écouter l’enseignant débiter son cours, ne peut qu’être positif.



Comment ça va l’école? est un livre intéressant pour toute personne qui se pose des questions sur le bien fondé de notre école; mais qui, pour toutes celles qui sont déjà convaincues qu’un refondement total est nécessaire, il n’apportera rien de nouveau puisqu’il n’est question ici que d’évidences.



Francine Raymond, forte de son expérience de parent d’élèves et de son métier de journaliste, signe un livre très positif sur l’avenir de l’école, actuellement sur le déclin, mais qui a commencé à changer (lentement certes) grâce à l’ouverture d’esprit de pédagogues qui ont compris qu’il est temps de faire bouger les choses pour que l’école soit égalitaire pour tous!







Je remercie les Editions Don Quichotte et Babelio pour cette lecture vivante et intéressante.
Lien : https://sirthisandladythat.w..
Commenter  J’apprécie          10
Comment ça va l'école ? : Etre parent d'élève pen..

Très agréable à lire.
Commenter  J’apprécie          00
Le salaire de la vie. Notre travail coûte t..

Tout d'abord le titre est un peu trompeur, n'ayant pas réellement regardé le résumé du livre, j'avais été attiré par ce titre "Notre travail coûte trop cher" et je m'attendais à un traité sur le coût du travail.

Et bien non ! et je ne regrette pas du tout d'avoir choisi ce livre!

C'est le témoignage sur le vif d'une ouvrière qui a pris "en pleine figure" la fermeture de son usine d'Aulnay.

Ce récit permet de suivre au jour le jour ce qu'ont pu subir ces employés de PSA basculant d'un sentiment de fierté pour leur travail au désespoir de se voir "jeter" avec leur usine.

Le livre est bien écrit et, rapidement, le lecteur entre pleinement dans les espérance et les déception de cette femme. Le climat qui règne au niveau de l'usine ainsi que celui qui se crée au fur et à mesure de l'évolution de la situation est très bien rendu.

Un regard sans préjugés est ouvert sur les "autres" ceux qui n'ont pas pu suivre le mouvement, malheureusement bloqués par la précarité de leur existence.

Il serait intéressant de connaître les causes réelles de l'abandon de cet outil de production. Le livre le laisse un peut entre apercevoir, mais là ce serait le sujet d'un autre livre.

Après avoir passé quelques heure avec Ghislaine Tormos j'ai l'impression de la connaître, cela serait bien de savoir ce qu'elle est devenue !

Un livre qui se lit d'une traite !
Commenter  J’apprécie          00


Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de Francine Raymond (11)Voir plus

Quiz Voir plus

Phèdre de Racine

En quelle année la pièce a-t-elle été jouée pour la première fois ?

1820
1768
1677
1647

10 questions
406 lecteurs ont répondu
Thème : Phèdre de Jean RacineCréer un quiz sur cet auteur

{* *}