Frank Giroud

Je dois être fou. Il n'y a pas d'autre explication...

Laisse nous turbiner, pisse-chien.

- Voilà mon Prince, amusez-vous bien avec la Dame !
- Je n'y manquerai pas !

- Tout de même ! Pour accepter de condamner une œuvre et même de supprimer son auteur, il est préférable d'avoir un peu réfléchi à son sujet, non ?
- Pourquoi ? ... Un vrai croyant n'a pas à raisonner! Il doit se contenter de suivre les...
- BLASPHEME !!

Mais ce décalogue n'appartient pas seulement aux Musulmans. Il est Universel. Inspiré de Dieu lui-même! Les preuves sont là !

"L'art est l'expression sublime de l'homme!"

« Vous avez fait du bon travail, Merwan ! De l’excellent travail ! Grâce à vous, il y aura peut-être un peu moins de haine et de sang dans le monde… » (p. 49)

« En quoi les déboires d’un jeune beur en cavale intéressent-ils un des membres les plus éminents de la curie romaine ? » (p. 17)

« Si nous parvenons à parvenons à prouver que cet hymne à la tolérance émane bien de Mahomet lui-même, nous aurons de quoi saper durablement l’influence du fondamentalisme ! » (p. 23)

« Choisir pour une entreprise aussi délicate un homme traqué à la fois par la police et par les intégristes, je trouve cela un peu trop audacieux. » (p. 4)

« Tu n’as pas idée de ce que j’ai dû faire pour survivre ! Jamais je ne pourrais devenir quelqu’un de bien, grand-père… Parce que là d’où je viens, le bien n’existait plus ! » (p. 26)

« J’ai pas fui des brutes sanguinaires jusqu’au bout du monde pour me faire emmerder par des petits cons dans ton genre ! Par des branleurs qui n’ont jamais posé leurs godillots au-delà du Bronx ! » (p. 30)

« Quand on ne nous jette pas au nez la montée de l’intégrisme, on nous ressort le problème kurde ou le mythe du génocide ! » (p. 27)

« Votre fascination pour Nahik, la rencontre avec le comte sur les barricades, le portrait de ma mère, votre décision de venir en Égypte, croyez-vous vraiment qu’il s’agisse d’une suite de hasards ? » (p. 50)

« Si tant de criminels ont pu nous échapper, c'est grâce à un réseau dont le centre se trouve ici même, au cœur de la cité pontificale. »

« C’est avec un émerveillement indicible que j’ai retrouvé les ambiances décrites dans Nahik et les scènes peintes par Desnouettes ! » (p. 21)

« Oh, frérot ! Frérot ! Comme je te déteste et comme je t’envie ! » (p. 55)

« La Dernière Sourate ne doit pas être détruite : car le jour où plus personne ne songera à remettre l’Islam en question, il faudra bien restituer aux fidèles la véritable parole du Prophète ! » (p. 50)

« J’ai appris que si un livre peut distraire et même consoler, il peut aussi tuer, tant physiquement que moralement. » (p. 94)

" C'est peut-être à cause du Nahik. La réputation de "livre maudit" lui colle aux pages depuis le début !
- Bien sûr ! D'ailleurs peut-être est-ce Satan lui même qui l'a imprimé ?
- Et pourquoi pas ? Que savez-vous de Dieu et du diable ? "