Citations de G. Norman Lippert (40)
Faire ce qui est juste est parfois simple, mais ce n'est jamais facile.
Recommencer implique toujours de couper les anciens ponts.
Un vrai guerrier ne s'enfuit jamais, mais il sait quand une bataille ne vaut pas la peine d'être combattue. Parfois, c'est parce que l'ennemi est trop grand ou trop faible. Dans les deux cas, il n'y a aucune valeur à trouver dans cette bataille. Un vrai guerrier, chers élèves, sait quand il ne faut pas combattre.
En grandissant, on apprend de sa famille diverses choses et il est parfois difficile de les remettre en question. Nous sommes plus ou moins formaté par ceux qui nous éduquent. il y a les générations précédentes et leurs croyances qui pèsent sur nous, qui nous donnent un modèle à suivre. La plupart du temps, j'imagine que c'est une bonne chose. Mais parfois, en grandissant, le temps passe, et nous sommes obligés de jeter un coup d’œil en arrière. Et de tout remettre en question. Et alors, il est trop tard. Bien trop tard pour espérer réparer.
À l’époque, mon cœur était dans un tel état que le reste du monde ne signifiait rien pour moi. Je me fichais de son avenir.
Le sortilège provient de leurs os qui appellent un matin qui n’est jamais venu.
les meilleures leçons que la vie nous donne sont celles que nous apprenons sans le savoir. Et la littérature est une excellente façon de le faire.
Aucune pierre, ni bois, ni joyau précieux, ne survit aux agressions du temps. Seul le pouvoir des mots demeure gravé dans les mémoires.
accepter, c’était comme abandonner, oublier.
Mais parfois, en grandissant, le temps passe, et nous sommes obligés de jeter un coup d’œil en arrière. Et de tout remettre en question. Et alors, il est trop tard. Bien trop tard pour espérer réparer.
La monotonie de la vie normale te lessive la mémoire, et efface les moments marrants, jusqu’à ce qu’ils ressemblent à de très anciens souvenirs. À mon avis, c’est la façon qu’a le cerveau de se protéger.
Les journées inhabituelles sont précisément celles où la routine est indispensable
Il n’y a aucun espoir de faire revenir les disparus et le souhaiter ne fait que rendre les pertes plus amères.
Parfois, en grandissant, le temps passe et nous sommes obligés de jeter un coup d’œil en arrière. Et de tout remettre en question. Et alors, il est trop tard. Bien trop tard pour espérer réparer.
Certains hommes vouent leur vie à la justice ; ils se consacrent à l’étude et aux charges qu’ils endossent. Certains autres recherchent le pouvoir et l’influence ; ils visent les positions suprêmes, pour être capables de décider de notre avenir. D’autres encore apprennent à combattre et deviennent des guerriers légendaires aussi bien à la baguette qu’à l’épée. Ils sont toujours les premiers à se lancer dans la bataille, les derniers à la quitter.
Seuls les petits enfants, en se couchant chaque nuit, savent qu’il existe dans le monde des monstres capables de les détruire.
Nos aïeux pensaient qu’il existait d’autres mondes que le nôtre, d’autres dimensions que celles que nous voyons et ressentons avec nos cinq sens. Ils croyaient à l’existence d’êtres invisibles, plus puissants que nous, à la fois immortels et inhumains. Et ceux-ci n’existent pas seulement dans l’Au-delà, mais aussi dans le Néant, ce passage vide entre les deux mondes. Ils leur avaient donné des noms – et je ne vous indiquerai pas lesquels, parce qu’ils sont des centaines – mais l’un d’eux en particulier a toujours excité l’intérêt des ambitieux. Parfois, on l’appelle le Gardien des Portes, l’Être de Cendre et de Fumée, ou encore le Maître du Néant. Il ne parcourt pas les autres mondes que le sien, parce qu’il en ignore l’existence. Il est fait de vide. Il est à l’opposé de tout ce qui existe. De ce fait, il ne conçoit pas la vie – ni la nôtre, ni aucune autre forme. Sa nature même l’empêche d’en réaliser le concept.
Comme tous les gouvernements trop faibles, le ministère est handicapé par son sens de la justice. Il n’a aucun pouvoir contre des ennemis déterminés.
Elle avait perdu son sourire aussi vite qu'on referme une boîte à bijoux.
Quelqu'un a dit un jour qu'on ne vit pas vraiment sans posséder quelque chose qui vaut la peine de risquer sa vie.