Gabrielle Vincent

Ernest et Célestine ont construit une cabane. Ils veulent en profiter mais quelqu'un s'est installé à l'intérieur !



J'adore les illustrations de Gabrielle Vincent. Elles sont très belles.

Par contre, l'histoire pêche un peu. Le thème abordé est pourtant sensible mais les dialogues manquent de naturels et de peps.

Qu'est-ce qui symbolise les saisons ? Comment vivons-nous différemment chaque changement de notre environnement ?



Ernest et Célestine nous font percevoir, en mots mais surtout en images, le déroulement du temps le long d'une année, à commencer par le printemps.



Chacune des saisons est annoncée par son titre et une couleur de référence puis par une courte histoire. Ensuite, la période est représentée par quelques tableaux accompagnés chacun d'une parole qui évoque le lien entre "l'homme" et la nature.



Un bel imagier par la qualité des illustrations. En quelques traits et à l'aquarelle, deux héros sont esquissés avec bonheur dans la nature.



L'histoire s'équilibre en quelques cases, à la manière d'une bande dessinée, qui va raconter l'histoire, à partir principalement de dialogues.



Le livre arrive à transmettre le ressenti et l'expérience des deux souris et les blancs laissent de la place à un troisième acteur, le lecteur. Ce qui conforte la chute de la plupart des récits qui montrent qu'on est plus heureux à plusieurs.



A découvrir !
Lien : http://www.nouveautes-jeunes..

Les livres pop-up font rêver les enfants et les plus grands et c'est un plaisir de les collectionner ou les offrir aux enfants pour activer leur plaisir de lire.

Celui-ci fait partie de ceux que j'aime. L'histoire est complète, bien imaginée, elle met en valeur le lien qui unit le grand Ernest à la toute petite Célestine. Les personnages sont attachants et la présentation façon théâtre est parfaite pour le faire découvrir aux enfants. On a envie de se promener dans les illustrations, et quant à mes soeurs et moi, nous adorions les utiliser en décor pour jouer avec nos playmobil, schtroumpfs etc.

Mes neveux en raffolent aussi, alors n'hésitez pas !



Un joli cadeau à offrir pour un anniversaire ou pour Noël qui va arriver vite ;)

C'est la première fois que je lis un "Ernest et Célestine". J'étais étonnée que les personnages ne ressemblent pas exactement à ceux du dessin animé, mais ça ne m'a pas dérangée. J'apprécie les deux.



Dans cet album, Célestine est d'humeur songeuse... Elle aimerait savoir comment elle est née mais n'ose pas poser cette question à Ernest. Ce dernier s'est toujours attendu à ce que ce sujet soit abordé, tout en redoutant un peu ce moment. C'est avec beaucoup de tendresse et de sincérité qu'il va lui raconter son adoption.



Les dialogues véhiculent beaucoup d'émotion. C'est bien écrit, mais aussi très bien dessiné. Je suis fan du coup de crayon de Gabrielle Vincent.



C'est sûr, je compte bien me replonger par la suite dans l'univers plein de douceur d'Ernest et Célestine !

J’ai emprunté ce sympathique album jeunesse à la bibliothèque publique de la ville. À l’origine, cet emprunt n’était absolument pas prémédité. Mais lorsque je l’ai vu, je savais qu’il collerait à la perfection au challenge Cold Winter.

Je n’ai pas été déçue.



Je n’avais encore jamais lus un seul album des aventure d’Ernest et Célestine, à peine avais-je vus, de loin, la bande annonce du dessin animé.

Tout ce que je connaissais de cet univers, c’était le design des illustrations, et quelles illustrations ! Riches, très riches, le type de dessins que j’adore et qui me font penser à mon enfance.



Célestine tient absolument à fêter Noël, néanmoins Ernest trouve qu’ils n’en n’ont pas les moyens. Mais la petite souris insiste et est butée, il ne faut pas d’argent pour fêter Noël.

Finalement, l’ours mal léché abdique, ils vont organiser la fête ! C’est ainsi que le petit duo s’attèle à la tâche. Trouver un sapin, de la vaisselle, la décoration, ainsi qu’un costume de Père Noël pour émerveiller les invités.



Pour être franche avec vous, bien que l’histoire est très sympathique, emplie de bons sentiments, ce n’est pas tant celle-ci qui m’a touché ; non, ce sont les illustrations. Une véritable magie se détache de celles-ci, toutes en douceur et couleur pastelles.

Cependant, je trouve qu’il y a un énorme problème d’agencement avec le texte. Durant ma lecture, je ne comprenais pas toujours quel dialogue allait avec quelle illustration.

Le format de l’album est quant à lui très agréable (j’avais celle avec la couverture rigide, assez volumineuse).
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Ernest, le meilleur ami qu'on rêve toutes et tous d'avoir ! Quelle gentillesse. Célestine a perdu son Siméon et Ernest se décarcasse pour le remplacer.



Une très jolie histoire que mon fils Léo, 7 ans, a lu tout seul à voix haute à sa maman ;-)



J'ai beaucoup aimé et l'histoire et le graphisme qui est très beau.

Je suis conquise par la beauté des illustrations de Gabrielle Vincent. L’histoire est peut-être moins touchante que dans Noël chez Ernest et Célestine mais on y retrouve toujours la même poésie et l’on y ressent toujours la profondeur du lien qui unit les deux personnages! Une bien jolie histoire de Noël à lire en attendant le grand jour!

Pas de texte, juste un simple trait de crayon qui raconte l'histoire d'un chien. Une famille abandonne leur animal de compagnie en le laissant sur le jetant sur la route. L'animal ne comprend et essai de rattraper la voiture de ces maîtres qu'il aime tant. Il ne comprend pas ce rejet et erre sur la route en causant un accident.



Un jolie album qui parle de ce comportement immoral des gens qui abandonnent leurs animaux de compagnie au bord de route. Immonde comportement qui se reproduit toujours trop tous les ans au moment des vacances. Une dessinatrice découverte grâce à Pennac qui lui rend hommage dans Le roman d'Ernest et Célestine.

Les histoires d’Ernest et Célestine nous plongent dans un univers enfantin rempli de douceur, d’imagination mais aussi d’humour. Comment ne pas être séduit par la spontanéité de Célestine qui correspond très bien à celle des enfants. Cet album raconte très bien la peur que peuvent ressentir les enfants lorsqu’ils se retrouvent seuls sans leurs parents. Mais l’histoire n’oublie pas de les rassurer en leur certifiant que les parents seront toujours là pour eux, tout comme Ernest sera toujours là pour Célestine. Un beau message pour les enfants !

C'est l'hiver, il neige, Ernest et Célestine font une petite balade en forêt mais juste avant de rentrer, Célestine s'aperçoit qu'elle a perdu son doudou Siméon le pingouin ! Voici une situation délicate car la nuit tombe, il fait très froid, et il est trop tard pour se mettre à sa recherche.

Le soir, Célestine pleure dans son lit, inconsolable, et Ernest décide de partir en quête de Siméon...

En le retrouvant tout abimé dans la neige, Ernest sait qu'il ne peut le présenter ainsi à Célestine et il part aussitôt chez le marchand de jouets pour en prendre un autre.

Un pingouin ? C'est plutôt rare et pour la consoler, il lui achète plein de peluches... lapin, ours, poussin, lutin, poupée... mais, Siméon est irremplaçable ! Alors, Ernest a une idée... il va prendre une aiguille, du fil, et essayer de rafistoler Siméon.

Quelle merveilleuse surprise ! quel beau cadeau ! Célestine est enchantée.

C'est bientôt Noël, Ernest décore le sapin avec toutes les peluches qu'il a achetées. Si Célestine n'a d'amour que pour son pingouin, les autres enfants trouveront leur bonheur avec elles.

Un soir de fête, des cadeaux-doudous à décrocher dans l'arbre, une table avec des gourmandises, et des enfants heureux qui passeront la nuit dans la chambre de Célestine, épuisés et comblés.

Le lendemain, Célestine aidera Ernest pour le rangement... elle ne peut plus rien lui refuser !





L'univers d'Ernest et Célestine est comme du duvet d'oie, doux et léger. Cette petite histoire amusera les parents et les enfants car ils connaissent la valeur d'un doudou, même usé, malodorant et rapiécé. Il est et restera un membre de la famille, précieux et irremplaçable.

Ce tome est le premier d'une longue série de livres.

Ernest cherche un emploi et, passionné par l'histoire de l'art, il se verrait bien gardien de musée.

Mais lors d'un rendez-vous professionnel en vue d'obtenir une place de gardien au musée des copies, il est contraint d'emmener Célestine qui ne peut rester seule à la maison. Lorsqu'il demande au directeur la permission de garder la petite avec lui au travail, la réponse est hélas négative car un enfant n'aurait pas sa place toute la journée au musée.

En effet... invités à faire une visite des salles avant de partir, Célestine trouve le temps long et s'ennuie.

Ernest, admiratif des œuvres, s'amuse à retrouver le nom des tableaux et les grands maîtres qui les ont peints ; Vélasquez, Millet, De Vinci, Vermeer... Tout à sa contemplation, juste une petite minute d'inattention,  il ne s'aperçoit pas que Célestine a disparu et lorsqu'il s'en rend compte, c'est une course à travers tout le musée pour la retrouver ! De son côté, Célestine s'adresse à tout le monde en disant : "J'ai perdu mon Ernest !"...



Tout est bien qui finit bien... que le petit lecteur ne s'inquiète pas ! Les gardiens vont être de la partie et vont aider nos deux amis. Un peu d'animation dans le musée, c'est plutôt sympa...



De retour à la maison, c'est le temps des câlins. Ernest rassure encore Célestine qui a peur qu'on lui enlève Célestin. Que ferait-elle sans lui ? et surtout, que ferait-il sans elle ?  





Les albums d'Ernest et Célestine sont toujours des coups de cœur ! Le gros ours et la petite souris sont attendrissants et à chaque histoire, l'émotion nous étreint.

Cette fois-ci, on les suit dans un musée, copie du Louvre, avec plein de tableaux, puis on les retrouve chez eux, dans un intérieur garni d'un joyeux désordre. Les illustrations sont belles, expressives et douces. Dois-je préciser que je vous le recommande ?

Je les aime ++

Véritable ode aux saisons et aux petits plaisirs de la vie, ce nouvel album des aventures d’Ernest et Célestine souligne la douceur des moments partagés et celle d’une amitié sans cesse renouvelée. Un album doux et délicat, porté par des illustrations d’une grande finesse. Ernest et Célestine ne sont plus à présenter, en revanche, c’est leur joie trouvée dans l’instant présent et la tendresse l’un envers l’autre qui en font des personnages à part. Une invitation à la douceur et à la compréhension de l’autre dans ses envies et ses différences autant que dans son désir de célébrer chaque instant. Un très bel album qui plaira assurément aux petits comme aux plus grands.
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Depuis le jour où Ernest, gros ours balayeur de rue, saltimbanque à ses heures, découvre Célestine, petite souris abandonnée dans une poubelle, rien ni personne ne les a séparés. Ensemble, la vie a tout de suite été plus belle, rassurante, étonnante, palpitante et joyeuse. À deux, on est plus fort : on peut compter sur l’autre quand on ne comprend pas, que le moral est au plus bas, lorsqu’on a peur… on peut partager des choses, échanger des idées, se raconter des histoires drôles, chanter, cuisiner… on peut écouter les doutes et les peines, donner des conseils, consoler…



Ernest et Célestine, c’est l’amitié avec un grand A, la complicité, la bienveillance, l’entraide, la bonne humeur, deux héros d’un quotidien sublimé par la douceur des dessins aquarellés et des mots délicats de Gabrielle Vincent. Deux compagnons qu’on retrouve avec plaisir dans un magnifique album pop-up aux sept tableaux.



Et à chaque tableau, une lettre d’Ernest adressée à sa précieuse Célestine. Des souvenirs heureux, des mots doux, des boutades, de la musique, des rires, de la tendresse, des cadeaux des fleurs et des confitures, un thé au pissenlit dans une cabane au milieu de la forêt, la visite d’un musée, l' »heure de rien »… Des saynètes comme au théâtre, des petits bonheurs tout simples mais si beaux.
Lien : https://lesmotsdelafin.wordp..

Cette histoire d'Ernest et Célestine fait sans aucun doute partie de mes préférées. Tout d'abord parce qu'elle se déroule à Noël, une fête familiale que j'aime énormément, et ensuite, parce que cela nous permet une nouvelle fois de voir Ernest et Célestine partager un moment tendre et fort à la fois.



Dans cet album, deux scènes m'ont marquée. Il y a celle où Ernest et Célestine sont installés tous les deux près du petit sapin et se réchauffent près d'un feu crépitant. A mes yeux, ce feu est une jolie et discrète métaphore de l'amour qui unit les deux personnages. Un ours et une souris, un père et sa fille. Car c'est ainsi que je les vois, bien que les termes "papa" ou "père" et " ma fille" n'apparaissent jamais dans la série.



La deuxième scène que j'aime particulièrement est celle où Ernest, tenant délicatement les petits pieds de Célestine, lui dit que c'est à elle qu'il doit ses plus beaux souvenirs de Noëls. Non seulement, son geste est d'une grande tendresse, mais ses paroles le sont encore plus !

Il n’a pas été facile de convaincre Ernest de faire une fête de Noël ! Célestine qui avait prévu d’inviter tous ses camarades à un réveillon, était à deux doigts de se voir refuser cette joie car Ernest invoquait systématiquement le manque d’argent. Pas d’argent pour les bougies, pas d’argent pour le sapin, pas d’argent pour les cadeaux, pas d’argent pour le repas… Pas d’argent tout court !!!

Nous sommes à une semaine du grand jour, il neige, il fait froid, il y a le vent qui s’amuse à balancer des bourrasques, et Ernest qui ne veut pas abdiquer !

« – … Dis « oui », Ernest, dis « oui » !

– Non ! C’est NON ! Pas cette année ! »

Mais Célestine sait se montrer éloquente avec des mots doux et des câlins. S’ils sont pauvres, ils sont aussi très astucieux. Alors, on commence par aller chercher le sapin dans la forêt, à faire de jolis dessins qu’on enrubanne, puis on va chiner de la vaisselle dans les poubelles et…

… et… vous le découvrirez en lisant cette belle histoire de Noël, le cœur serré, plein d’étoiles, ému.

Noël est une fête de partage, une générosité de l’âme. Ernest et Célestine vont s’appliquer à donner à cette soirée toute sa magie. Contes, violon, déguisements, farandole, que la fête commence ! Même le petit grincheux du groupe ne résistera pas à l’ambiance et souhaitera revenir le Noël prochain ! Car il y aura une fête… n’est-ce pas Ernest ?



Livre doudou, bonheur pour les enfants, je vous le recommande.

Résumé : Un jour, un chien est abandonné sur la route. Sans doute celle des vacances. Il tente de rattraper ses maîtres, mais en vain. Errant, il provoque un accident. Il finit par retrouver les bras tendres d’un enfant.



Le mot de la fin : Un sujet une nouvelle fois difficile est abordé par l’auteur. Gabrielle Vincent utilise toujours son trait simple mais poétique et termine son histoire avec beaucoup d’espoir.
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Résumé : Après que son professeur lui ait fait envie, Nabil souhaite aller voir la grande pyramide. Ce petit garçon ne se laisse pas décourager par le refus catégorique des grandes personnes. Il veut et ira jusqu’à cette merveille du monde.



Le mot de la fin : Des dessins magnifiques tout en poésie et en finesse. La couverture accueille le lecteur pour l’emmener dans ce superbe voyage en Egypte. Un vrai bonheur.
Lien : http://www.lesmiscellaneesde..

Très belle histoire remplie d'amour et de tendresse, accompagnée de magnifiques dessins pour les grands comme pour les petits! Pour tous les amateurs de belles histoires d'amitié.

C'est très beau, très tendre, les chats dessinés par Gabrielle Vincent sont adorables , mais ... comme pour Au Bonheur des ours je n'arrive pas à avoir de coup de coeur, moi qui suis accro à tout ce qui est album de chat.

Je n'aime guère son dessin du vieux bonhomme (et sur la couverture, j'aurais préféré les chats en gros plan !)

Celui-ci, je l'ai lu directement à mes petites de 8 et 6 ans.

"Juliette est morte" les a laissées un peu perplexes dès le début, le texte ne les a pas emballées. Heureusement qu'il y a ces adorables dessins de chats.



Il faudra que je le relise, peut-être la période ne s'y prête-t-elle pas pour moi ?



PS : Ce qui est intéressant est l'opposition entre les chats qui tentent de se faire nourrir, et ceux plus indépendants qui disent qu'un chat doit se débrouiller tout seul.
Lien : http://livresjeunessejangeli..

Très émouvant.

Le texte, et surtout les douces images de Gabrielle Vincent.

Le genre d 'album qui me met les larmes aux yeux. Je sais, c'est ridicule à mon âge, mais on ne se refait pas ! Peut-être parce que j'ai récupéré il y a peu mon vieux nounours, et qu'il prend la poussière sur une étagère, terriblement usé, mais pas une déchirure ni rien d 'arraché, je l'aimais mon nounours !



Mais pas le genre d’album que je brûle de montrer à mes petits, sans que je ne sache trop pourquoi. Trop tristes ces petits ours en piteux état ? trop effrayants les adultes qu’elle dessine ? Ou simplement ça ne leur parlera pas forcément ; à présent, les "nounours " ne sont plus forcément des ours, et sûrement pas de ce style. alors qu'on y reconnait vraiment les nôtres. Et nous n'avions pas des dizaines de peluches, mais UN nounours, le NÔTRE. Mon Fifi ! On ne leur donnait pas de prénom ce me semble mais un petit nom à lui.

Si j'ai l'occasion, je regarderais quand même ce qu'en pense la jeune génération !