Author Grace Burrowes - Historical Romance Fiction
Quant aux débutantes, elles étaient un peu la piétaille de la haute société, les jeunes recrues qui vivaient dans la terreur de souiller leur bel uniforme ou de commettre un impair sur le champ de bataille.
Les livres nous sont confiés pour que nous les partagions avec ceux qui ont besoin d’apprendre ou cherchent un réconfort, afin que les générations futures n’aient pas à réinventer toute la sagesse déjà accumulée.
Milton a dit : « Qui tue un homme tue une créature de raison, l’image de Dieu, mais qui détruit un bon livre détruit la raison elle-même ». Les livres peuvent préserver la sagesse.
Les titres atterrissent où bon leur semble, et ils y restent. La seule façon d’y échapper est la mort, et c’est alors monsieur votre frère ici présent qui hériterait du duché.
Selon Duncan, Quinn n'avait pour tout cœur qu'un dévouement d'animal sauvage pour sa meute.
Le sort d’un fils cadet n’était guère enviable. Rosalyn préférait de loin son statut de fille à marier, qui passerait de la protection d’un père à celle d’un mari, jusqu’à ce que le veuvage lui accorde une liberté bien méritée.
L’humour permet de rendre bien des situations plus supportables.
– Comment va ta progéniture ?
Béni soit ce sujet, qui permettait à deux hommes qui s’étaient terriblement manqué d’éviter de devoir l’avouer.
Pour paraphraser Milton, Julian régnait-il en enfer, assumant des dettes et des responsabilités qu’il n’avait pas contractées lui-même, ou était-il esclave au paradis, en protégeant un legs qu’il ne pouvait estimer personnellement ?
des livres que personne ne lit sont comme des orphelins