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3.81/5 (sur 674 notes)

Nationalité : États-Unis
Né(e) à : La Nouvelle-Orléans , le 21/11/1970
Biographie :

Née à La Nouvelle-Orléans, Elizabeth Hoyt passe son enfance dans le Minnesota.

Elle est diplômée d’anthropologie de l’université de Wisconsin.

Mariée à un archéologue, elle vit dans l'Illinois avec leurs trois enfants et leurs trois chiens.

Puritaine et catin est le premier tome d'une série intitulée Les trois princes. L'auteur a été nominé pour les Rita Awards 2008 dans la catégorie Romance historique.

Sous son pseudonyme d’Elizabeth Hoyt, elle écrit uniquement des romances historiques.

Sous le nom de Julia Harper, elle écrit des romances amusantes et dynamiques sur fond d’intrigue policière.

Source : www.elizabethhoyt.com
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Va chercher bonheur plus bas :D - La vidéo en HD c'est encore mieux. ------------------------------------------------------------------ *Le planning général des sorties sur mon blog : http://bloggalleane.blogspot.fr/p/futures-parutions.html ------------------------------------------------------------------ Récapitulatif des livres cités : *Cocktail, tome 1 : Wallbanger d'Alice Clayton, le 6 *Les fantômes de Maiden Lane, tome 8 : Garde de mon coeur d'Elizabeth Hoyt, le 13 *Silo, tome 1 de Hugh Howey, le 13 *La loi du dôme, tome 1 de Sarah Crossan, le 13 *Beautiful Broken, tome 1 : Près de moi de Courtney Cole, le 20 *Forget Tomorrow, tome 1 de Pintip Dunn, le 21 *Alpha et Omega, tome 4 : Entre chien et loup de Patricia Briggs, le 22 *Scandaleux écossais, tome 1 : Un diable en kilt de Suzanne Enoch, le 27 *Les carnets de Cerise, tome 4 : La déesse sans visage de Joris Chamblain et Aurélie Neyret *Lucky Harbor, tome 6 : Aveuglément de Jill Shalvis ------------------------------------------------------------------ Mon blog : http://bloggalleane.blogspot.fr/ Ma page FB : https://www.facebook.com/pages/Le-blog-de-Galleane/137798319627169?ref=hl Twitter : https://twitter.com/GalleaneL Instagram : http://instagram.com/galleane ----------------------------------------­­------------------- Ma wish-list amazon (aucune adresse n'y est associée) : http://www.amazon.fr/registry/wishlist/I3EDLGFMHCOZ Ma wish list sur LA : http://www.livraddict.com/profil/galleane/?goto=wishlist ----------------------------------------­­------------------- Musique d'introduction : Réflection (Mulan)

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Citations et extraits (105) Voir plus Ajouter une citation
La fille d'un duc apprend très tôt ce que préconise l'étiquette dans à peu près toutes les circonstances de l'existence. Dans quelle assiette servir des ortolans. Quand acquiescer aux propos d'une comtesse douairière et quand la remettre à sa place. Que porter pour une promenade en barque sur la Tamise, et comment repousser poliment les avances d'un comte désargenté durant le pique-nique qui s'ensuit.
Tout, à vrai dire, songea avec ironie, lady Hero Batten. Hormis comment aborder un gentleman occupé à forniquer avec une dame qui n'était pas son épouse.
— Hum, hum, essaya-t-elle, les yeux rivés sur les moulures du plafond.
Les deux amants vautrés sur le sofa ne parurent pas l'entendre. La femme laissait échapper des gémissements suggestifs sous son atroce robe à rayures grises et marron, présentement rabattue sur son visage.
Hero soupira. Ils se trouvaient tous les trois dans un petit salon faiblement éclairé de Mandeville House, et elle regrettait d'avoir choisi cette pièce pour remonter ses bas. Si elle s'était rendue dans le salon oriental, ses bas seraient déjà en place et elle aurait repris le chemin de la salle de bal - loin, très loin de cette situation fort embarrassante.
La jeune femme baissa discrètement les yeux. Le gentleman, affublé d'une perruque blanche, s'était débarrassé de sa veste de satin et besognait sa compagne en manches de chemise et gilet de satin émeraude. Son pantalon était baissé pour lui faciliter la manoeuvre, si bien qu'Hero apercevait ses fesses musclées. Le spectacle, du reste, ne manquait pas d'attrait. Quel qu'il soit, ce gentleman possédait des attributs physiques... pour le moins séduisants.
Hero tourna le regard vers la porte. En d'autres circonstances, personne ne lui aurait reproché de faire demi-tour et de quitter les lieux sur la pointe des pieds. D'ailleurs, elle ne s'en serait pas privée si elle n'avait pas doublé lord Pimbroke dans le couloir moins d'une minute plus tôt. Or, cette affreuse robe rayée ne lui était pas inconnue : Hero l'avait déjà remarquée un peu plus tôt dans la soirée - sur lady Pimbroke. Bien qu'elle n'eût pas la moindre envie de se retrouver dans une situation plus embarrassante encore, la jeune femme voulait par-dessus tout éviter un duel entre les deux gentlemen.
Forte de cette résolution, Hero détacha l'une de ses boucles d'oreilles en diamant et la lança sur les fesses du gentleman. Le bijou atteignit sa cible - Hero s'était toujours enorgueillie de savoir viser.
La réaction du gentleman ne se fit pas attendre : il poussa un juron et jeta à Hero un coup d'oeil par-dessus son épaule, avec les plus beaux yeux verts qu'elle ait jamais vus.
Son visage n'avait rien d'inoubliable - sa mâchoire était trop large, son nez trop recourbé et ses lèvres trop fines pour répondre aux canons de la beauté masculine -, mais son regard était capable d'aimanter celui de n'importe quelle femme, jeune ou vieille. Une fois le regard de la femme en question capturé, celle-ci devait se laisser facilement hypnotiser par la virilité arrogante qui émanait du personnage. À moins, bien sûr, que les circonstances présentes n'aient donné à son regard un éclat particulier.
— Vous ne voyez pas que je suis occupé ? lança-t-il, sa colère s'étant transformée en amusement quand il réalisa que c'était une femme qui l'avait dérangé.
Hero sentit le rouge lui monter aux joues. Elle s'obligea cependant à soutenir son regard.
— Je l'avais remarqué, figurez-vous, mais il se trouve que…
— Vous êtes du genre à aimer à regarder ? La coupa-t-il.
Hero avait maintenant les joues en feu. Mais il n'était pas question qu'elle laisse ce gredin avoir le dernier mot. Elle lui adressa un sourire suave.
— Je préfère les divertissements où je ne risque pas de m'endormir.
Elle pensait que l'insulte le mettrait hors de lui, mais pas du tout : il sourit en retour, et une petite fossette lui creusa le menton.
— Cela vous arrive souvent, mon ange ? Vous endormir, alors qu'on commence juste à s'amuser ? Ne vous blâmez pas. La plupart du temps, c'est la faute du gentleman, pas la vôtre.
Dieu du ciel ! Personne n'avait encore jamais parlé ainsi à Hero !
Elle haussa délicatement le sourcil gauche - une mimique qu'elle avait répétée des dizaines de fois devant son miroir, à l'adolescence, et qui faisait trembler les matrones. Mais le gredin ne cilla même pas.
— Avec moi, reprit-il, les femmes n'ont pas ce problème. Mais restez donc, et regardez. Je vous promets que cela sera instructif. Et s'il me reste des forces ensuite, je pourrai peut-être vous montrer.
— Lord Pimbroke est dans le couloir ! Lâcha Hero avant qu'il puisse terminer sa tirade insolente.
Un petit cri horrifié s'échappa de l'amoncellement d'affreux tissu rayé.
— Eustace est là ?
— Oui. Et il se dirige vers cette pièce, précisa Hero.
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— Griffin, essaie pour une fois de mettre tes préoccupations de grand frère de côté. Comment puis-je envisager d'épouser un homme qui semble épouvanté à l'idée de m'embrasser ?
— Comment sais-tu seulement qu'il songeait à t'embrasser ? Peut-être craignait-il que tu ne prennes froid ? Ou s'inquiétait-il pour ta réputation.
— Parce que je lui ai demandé !
— Quoi ? De…
— De m'embrasser, confirma Margaret. Et il a réagi comme si je lui avais demandé de lécher un calmar. Un calmar vivant.

Griffin se demanda s'il pouvait provoquer en duel un homme pour n'avoir pas embrassé sa sœur.
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— Est-‐ce que proposer un rendez-‐vous à une fugitive n'est pas une étrange façon de la capturer?
— Ce n'est pas une technique que j'utilise fréquemment.
— J'espère bien que non, dit Turner en fronçant les sourcils. Cela me déplairait fortement de savoir que mes impôts sont gaspillés de cette manière.
— Les impôts sont une préoccupation pour chacun d'entre nous.
— Dois.je comprendre que c'est non?
— Je le crains, dit Turner..
— Voulez-‐vous me dire maintenant où vous êtes ?
— Pas vraiment, non.
— Cela simplifierait les choses.
— Pour vous, mais pas pour moi.
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Les enfants sont adorables, bien sûr, mais tellement nerveux. Il faudrait trouver un moyen de les maîtriser, surtout face à des créatures aussi fragiles que Sa Grâce.
— Vous voudriez les enfermer dans des cages ? demanda innocemment Sarah.
— Il suffirait de les attacher à des piquets solidement enfoncés dans la terre,
intervint Godric.

Tous les regards se braquèrent sur lui.
Sarah était médusée.

— Mais comment ferais-tu, à l'intérieur ?
— Le mieux serait de les laisser toujours dehors, répliqua Godric, imperturbable. Comme cela, ils profiteraient du grand air. Mais pour les parents qui tiendraient absolument à les rentrer, on remplacerait les piquets par des anneaux scellés dans les murs.

La grand-tante Elvina fronça de nouveau les sourcils. Elle n'était pas réputée
pour son sens de l'humour.

— Monsieur Saint-John ?
Il se tourna poliment vers elle.
— Oui, madame ?
— Je ne peux pas croire un instant que vous suggériez sérieusement d'attacher les enfants aux murs.

Godric se resservit du vin.

— Oh, non, madame. Vous m'avez mal compris.
— Ah, me voilà soulagée...
— Jene parlais pas « d'attacher » les enfants, mais de les « pendre »,
précisa-t-il, avec un sourire chaleureux pour la vieille femme. Un peu comme
des tableaux, voyez-vous.
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— Vous ne croyez pas à l'amour, alors, pourquoi acquiescez-vous à ce que je dis ?
Il rit doucement.
— Parce que, commença-t-il, avant d'essuyer du pouce une larme qui roulait sur la joue de la jeune femme, parce que vous m'ensorcelez, ma chère Silence. Je serais prêt à jurer que le ciel est rose, que la lune est en sucre et que des sirènes nagent dans la Tamise si cela pouvait faire cesser vos larmes. J'ai le cœur brisé quand je vous vois pleurer.
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- Ma chère mère, une femme avisée m'a dit un jour que ce n'était pas parce que l'amour ne s'exprimait pas qu'il n'existait pas.
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Silence la lui aurait volontiers ôtée pour lui embrasser le torse avant de laisser courir sa bouche plus bas.
Elle rougit de ses pensées licencieuses. William préférait que leur étreintes aient lieu la nuit, quand les chandelles étaient mouchées, et il avait raison. Il n'y avait que les créatures lubriques pour aimer faire l'amour alors que le soleil brillait - d'autant qu'elle avait été amplement satisfaite par son mari la veille au soir.
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Ils étaient cernés par la perpétuelle cacophonie de Londres : grondement des roues d’attelages et de charrettes, claquement de milliers de pas, brouhaha des voix des chanteurs de rue, de passants querelleurs ou de crieurs, pleurs de petits enfants, staccato des sabots de chevaux et cloches des églises qui sonnaient les heures, les demi-heures et parfois les quarts d’heure.
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— Quand je l'aurai récupérée, je ferai rattacher toutes les pierres.
— Et tu offriras le collier à Pénélope, dit-elle tranquillement.
Maxime tressaillit. Il ne s'était certes jamais projeté aussi loin dans le futur. Durant toutes ces années, récupérer les émeraudes et traîner l'assassin de ses parents en justice avait occupé toutes ses pensées. Il ne s'était pas demandé ce qui se passerait ensuite.
Mais Artemis avait raison. Ce collier appartenait de droit à la duchesse de Wakefield.
Il se tourna vers cette femme qui lui avait donné son corps, et peut-être son cœur. Cette femme qui le connaissait mieux que quiconque. Cette femme qu'il ne pourrait jamais honorer comme elle le méritait. Et comme il le souhaitait.
— Oui, répondit-il.
— Pénélope l'adorera, assura-t-elle sans ciller - sa déesse si courageuse. Elle a un faible pour les bijoux et ces émeraudes sont magnifiques. Elle sera superbe avec ce collier.
Sa bravoure irrita Maxime. Elle ne manifestait aucune jalousie, aucune colère à la pensée qu'il coucherait avec une autre femme, et sa réaction, bizarrement, lui donnait envie d'enfoncer le clou. Pour l'obliger à reconnaître ce que cette situation avait d'obscène. A dire à voix haute qu'il lui appartenait.
— Resplendissante même, renchérit-il avec cruauté. Je lui achèterai peut-être des boucles d'oreilles pour aller avec.
Artemis accrocha son regard.
— Crois-tu ?
Et il eut, à cet instant précis, l'absolue certitude qu'il n'achèterait jamais de boucles d'oreilles à Pénélope.
— Non, lâcha-t-il.
Il ferma les yeux. Si Artemis pouvait supporter cette épreuve, il n'y avait pas de raison qu'il n'en soit pas capable. Au moins, il était sûr d'avoir Artemis pour lui - même si ce n'était que partiellement.
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— De quoi voulez-vous que nous discutions?
Elle sourit encore et son sourire bouleversa Winter, qui s'obligea bien sûr à refouler cette émotion.
— Un gentleman doit savoir flatter une dame.
Elle voulait qu'il la flatte ? Winter se demanda si elle ne plaisantait pas, mais non, elle semblait très sérieuse.
Il soupira intérieurement.
— Votre maison est très... confortable.
Le plus drôle, c'est que c'était vrai. Winter se sentait parfaitement à l'aise chez elle.
Il était donc plutôt satisfait de son commentaire e il espérait avoir réussi l'exercice avec brio.
— je ne suis pas certaine qu'il s'agisse d'un compliment, répliqua-t-elle pourtant.
(...)
J'adorerais voir vos seins nus. Et je donnerais toute ma fortune pour sucer leurs tétons.
Non ce n'était probablement pas le genre de compliment qu'elle attendait. Winter se racla la gorge.
— Votre voix, milady, rendrait jaloux un rossignol.
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