Citations de Guillaume Musso (6284)
— Mais ça ne marche pas comme ça, Flora. Ce sont les livres qui décident que tu les écris, pas l'inverse.
une tristesse éthérée qui contamine tout le présent...
Je me souviens
Que ce même jour,
Le 21 novembre 2011,
Par orgueil, par vanité, par aveuglement,
J'ai tué mon bébé.
Et j'ai tué mon mari.
Une bonne enquête, c'était mieux que la came, la baise, le Seroplex ou le Lexo réunis. Une bonne enquête électrisait votre vie, lui injectait un flux d'adrénaline. A l'inverse, la clôture d'une enquête avait quelque chose de déprimant. Elle s'apparentait à la fin de la lecture d'un bon livre. On ressentait le même vide, le même abattement, la même tristesse de quitter les personnes auxquelles on commençait à s'attacher. Une gueule de bois qui vous rappelait à la triste réalité de votre vie.
Nous nous étions toujours soutenus dans les périodes de gros temps. Mon père était l'homme de ma vie. Et j'étais l'homme de la sienne.
Gaspard ne l’écoutait plus. IL pensait à la célèbre citation de Serge Gainsbourg : « La laideur a ceci de supérieur à la beauté qu’elle ne disparaît pas avec le temps. »
Toujours un excellent moment passé avec Guillaume Musso... Mais comment fait il pour réussir la prouesse d'accrocher le lecteur à chacun de ses romans ? A peine fini la lecture d'un de ses livres que j'attendais déjà le second avec impatience !!
Ne connaissant ni Musso ni Lévy j'ai décidé de combler cette lacune pour connaitre la raison de leur succès. J'ai pris au hasard un livre de chacun de ces auteurs. Les ressemblances sont frappantes :
les états unis
les héros sont beaux et jeunes
ils ont de l'argent, une profession prestigieuse
ils s'aiment comme des fous et ont du mal à le reconnaitre ou à l'accepter
au moins un des deux n'est pas libre
un des ex est jaloux/jalouse ou méchant(e) ou pervers(e)
quelques complications
une bonne louche de paranormal
ça se lit vite
ce n'est pas désagréable
Une fois le bouquin posé on reste dubitatif...
Le coup des jumeaux, on ne voit ça que dans les polars. Et pas dans les bons.
Tout le monde lit le même livre , mais chacun se fabrique ses propres images.
L'auteur n 'effectue que la première moitié du chemin avant de passer le relais à son lecteur qui terminera le tour de piste.
Science sans conscience n'est que ruine de l'âme.
C 'est de l'enfer des pauvres qu'est fait le paradis des riches.
C'est quand le soleil s'éclipse qu'on en voit la grandeur.
La mort est l'unique port des tourments de cette vie.
[…] con comme une valise sans poignée…
Vous connaissez la définition que donne Thomas Mann de l’écrivain : « un homme pour qui c’est plus difficile d’écrire que pour les autres ».
Elle se servit un premier verre, qu’elle avala sans l’apprécier. Juste pour la sensation d’avoir une dose d’alcool dans le sang. Le deuxième fut plus voluptueux : le vin était excellent, fruité et boisé, avec des saveurs de pêche blanche et de noisette. Batailley avait du goût.
Combien la vie est différente quand on la vit et quand on l'épluche après coup
Il m'a toujours semblé que coexistent, sur cette Terre, deux sortes de personnes: celles qui prennent leurs décisions en se fondant sur le calcul et celles qui se laissent plus volontiers guider par leurs intuitions.
page 210.
Du plus loin que je me souvienne, je m'étais toujours senti seul, vaguement étranger au monde, à son bruit, sa médiocrité qui vous contaminait comme une maladie contagieuse. Un moment je m'étais fait croire que les livres pouvaient me guérir de ce sentiment d'abandon et d'apathie, mais il ne faut pas trop demander aux livres. Ils vous racontent des histoires, vous font vivre par procuration des bribes d’existence, mais ils ne vous prendront jamais dans leurs bras pour vous consoler lorsque vous avez peur.
Pour les biologistes, une bonne partie du sentiment amoureux se réduit à une affaire de molécules et de substances chimiques qui se libèrent à l’intérieur du cerveau, suscitant le désir et l’attachement.
Il ne faut pas trop demander aux livres. Ils vous racontent des histoires, nous font vivre par procuration des bribes d'existence. Mais ils ne vous prendront jamais dans leurs bras pour vous consoler lorsque vous avez peur.
La colère, c'est l'ignorance, et l'ignorance, c'est la souffrance.
Toute notre vie est souffrance. Naître, c'est souffrir. Vieillir, c'est souffrir. Perdre l'amour, c'est souffrir. Mourir, c'est souffrir...