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Citations de Henry Winterfeld (46)


La classe fut secouée par un énorme éclat de rire, qui redoubla lorsque Rufus, se glissant subrepticement derrière le maître leva bien haut sa tablette où l'on pouvait lire: "Caïus est un âne".
Cependant, le lendemain, lorsque les élèves virent la même inscription en lettres rouges sur la façade du temple de Minerve, ils n'eurent plus du tout envie de rire. Dans la Rome antique, à l'époque des Empereurs, c'était un sacrilège.
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ces ma prof de français qui nous la fait acheté au début je n'aimé pas du tout mes aprés c'était trop cool il parle non seulement des romain et de leur vie et de l'action juste TROP COOL !!!!!!!!!!!!
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" M.Beese ne nous impressionne pas beaucoup. C'est en effet un tout petit homme qui, pour un rien, entre en fureur et brandit ses poings au-dessus de la tête. Avec ses yeux furieux, ses gros sourcils et la logue barbe qui lui tombe jusuq'au milieu de la poitrine, il fait irrésistiblement songer à l'un des nains de " Blanche-Neige". De là son surnom de "Grincheux".
J'ai aimé ce passage car c'était comique comment les enfants parlent de leur directeur.
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Un homme riche doit commettre ses crimes lui-même, s'il veut dormir tranquille.
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- Dès le début, j'étais contre cette idée de t'offrir un esclave, maître Xanthos.
Il rayonnait de fierté.
- Et bien, Antoine, quel plaisir d'entendre pour une fois une parole sensée sortir de ta bouche.
Antoine poursuivit avec enthousiasme :
- Moi, je voulais t'offrir un lion.

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- C'est moi! cria Antoine. J'ai une mémoire phénoménale, et je me souviens encore du temps où j'étais dans le berceau. C'était épouvantable! J'étais si furieux de ne pas savoir parler que je ne cessais de hurler."
Xantippe haussa les épaules.
"Cela ne prouve rien. Moi aussi, je me souviens de temps où j'étais au berceau!"
Les écoliers éclatèrent de rire. L'idée que Xantippe avait été lui aussi bébé était pour eux d'un comique irrésistible.
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La police est venue m'interroger à votre sujet. [...] Vous avez, paraît-t-il, renversé une jarre de miel sur la tête d'un homme en plein Forum, déclara le maître d'école avec colère. Ignorez-vous que le miel coûte cher ?
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Ils commençaient à trouver bizarre l’absence de leur maître, et les propos d’Antoine n’étaient pas faits pour les rassurer.
- Et pour quelle raison crois-tu que Lukos aurait pu le tuer ? lui demanda sèchement Mucius.
- Oh ! Pour une raison bien simple, répondit Antoine. C’est parce que le bruit de l’école dérange Lukos pendant ses consultations.
- Le mobile du crime me semble insuffisant ! objecta Jules en prenant la voix de son père, un juge réputé.
Antoine haussa les épaules.
- Eh bien, il ne l’a pas tué, dit-il. Il l’a métamorphosé en cochon, ce qui revient au même.
Malgré leur inquiétude, les élèves ne purent s’empêcher de rire. Mais Jules insista.
- Si Xantippe était transformé en cochon, dit-il, nous l’entendrions grogner à côté !
- Pas forcément, dit Antoine. Lukos a pu le métamorphoser en cochon muet.
- Ça n’existe pas !
Il se disputèrent alors pour savoir s’il y avait ou non des cochons muets. Publius allait intervenir dans la discussion lorsque ses yeux tombèrent sur le mur, derrière le pupitre de Xantippe, et il s’écria :
- Tiens ! La tablette a disparu !
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je vais bientôt lire ce livre pour français...j'éspere qu'il est bien !
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Le profond silence qui régnais depuis un moment dans la classe fut soudain troublé par des rires étoufés seul Mucius le meilleur élève de l'école ne se laissa pas distraire...........
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Tu mens ! Dit Mucius.

Autant être pendu si je mens ! dit Rufus.
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Les jeunes garçons furent impressionnés par l’accent de sincérité de Rufus. Jusqu’à présent, ils avaient eu la conviction que leur ami était l’auteur de l’inscription, et l’idée que ce pût être quelqu’un d’autre ne les avait même pas effleurés.
- Jure-le ! ordonna Mucius.
- Je le jure ! dit Rufus d’une voix ferme et en levant la main droite.
Mucius se retourna alors et considéra ses compagnons d’un œil soupçonneux.
- Ne serait-ce pas l’un de vous ? demanda-t-il sur un ton menaçant.
- En tout cas, ce n’est pas moi ! répliqua Publius en prenant un air offensé.
- Moi, reprit Rufus, j’ai si souvent répété à Caïus qu’il était un âne, que je n’éprouve pas le besoin de l’écrire encore sur les murs.
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Capitaine Crochet, j'entends vos dents de lait craquer de terreur ! répliqua Thomas.
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Derrière les paniers était assis un vieux petit paysan, l'air très mécontent parce qu'il n'avait pas encore vendu ses pommes. Il avait un nez très long, et pas un seul cheveu sur le crâne.
- Ce sont des pommes! C'est fameusement bon! s'écria Conrad avec envie.
Mo se saisit de la plus grosse pomme et mordit dedans à belles dents, sous les yeux des enfants effarés.
- Il ne faut pas faire ça! lui souffla Walter.
- Pourquoi donc? demanda Mo, croquant encore une bonne bouchée. J'ai faim : je n'ai pas eu ma pastille.
- Ça fait deux francs! grogna le vieux paysan en tendant sa main osseuse.
Mo la serra cordialement :
- Nous voilà bons amis? demanda-t-elle.
- La pomme coûte deux francs, répéta le vieux de plus en plus grognon. Et vingt francs la douzaine.
- Elles sont à toi, les pommes? s'enquit Mo.
- Tiens donc! grommela le vieux. Tu crois, peut-être, que je les ai volées? Tu me dois deux francs, reprit-il de plus belle.
- Tu veux les manger à toi tout seul? demanda Mo étonnée, en continuant de grignoter sa pomme.
- Tu as mordu dans la pomme, il faut la payer, dit le vieux en se levant.
- Quoi! sursauta le vieux. Où sont tes parents? cria-t-il à Mo.
- Je suis seule sur la Terre, dit la petite fille effrayée.
Walter lui enleva la pomme et la tendit au vieux :
- Reprenez-la!! pria-t-il.
- Tu n'es pas fou? dit le vieux . Et qui m'achètera une pomme à demi rongée?
- Et si vous en coupiez un morceau? suggéra Guite.
- Non! cria le vieux. Paie-moi mes deux francs.
- Ce que vous êtes avare! s'écria Irma, cachée derrière Walter.
- Sacrebleu! hurla le vieux. Si la petite n'a pas de parents, qu'elle ne chipe pas de pommes.
- Mon papa est dans la Lune, dit timidement Mo.
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- Marianne n'a que onze ans! glapit la grosse Minna. C'est pas juste!
- Elle n'a que onze ans, mais elle est propre, répliqua vivement Thomas. Toi, tu as treize ans, mais tu as toujours les ongles en deuil.
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- Tu fermes ton poing et tu le balances trois fois en l'air. A la troisième fois tu déplies deux doigts: ce sont les ciseaux. Ou bien tu ouvres toute la main: c'est le papier. Ou encore tu gardes ton poing fermé: c'est le caillou. Ton adversaire balance son poing en même temps que toi. Si je fais les ciseaux et toi le papier, j'ai gagné, parce que les ciseaux coupent le papier. Mais si je garde mon poing fermé, c'est toi qui gagnes, parce que le papier enveloppe le caillou...
- Compris! dis-je. Et si je fais les ciseaux tandis que vous faites le caillou, c'est vous qui gagnez parce que les ciseaux ne peuvent couper le caillou.
- Tonnerre! s'écria Kruger. Tu es drôlement intelligent, mon petit Manfred. Pourquoi n'entres-tu pas dans les PTT?
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Certains parents, que je ne nommerai pas, font preuve de négligence ou de brutalité, et sont donc partiellement responsables des méfaits commis par leurs enfants. Je pense qu'il est encore temps de ramener notre jeunesse dans le droit chemin. Prouvons à nos enfants qu'ils ont besoin de nous, et que nous ne sommes pas leurs ennemis.
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Ma vieille expérience de la délinquance juvénile m'a appris qu'on ne parvient pas à élever les enfants en les battant. Les principes qui animent mon activité judiciaire aussi bien que ma vie familiale sont d'ailleurs bien connus de tous ne pas punir, mais corriger! Ne pas condamner, mais comprendre! Ne pas désespérer, mais prévenir!...
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"Les écoliers retenaient leur souffle en attendant la sentence de l'expert.
Scribonus pris son temps. Il tira de sa poche un grand mouchoir à carreaux et se moucha longuement ; encore une fois il regarda la tablette de cire, puis le mur ; enfin, après avoir toussoté à plusieurs reprises d'un air important, il déclara :
"Il ne s'agit nullement d'un faux. C'est la même écriture."
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En toute hâte, je retournai de l'autre côté pour placer la première feuille devant le rouleau. Elle fut saisie par les griffes, s'engagea sous le rouleau et sortit de l'autre côté.
P.130
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