Citations de Ilya Green (29)
C'est là que j'ai poussé
entre les immortelles et les moutons,
préparant des potions de terre, de feuilles et de sorcières,
fabriquant des bateaux de papier,
frêles embarcations de mon imaginaire...
Et puis, un matin,
une ombre est apparue sur la main de ma mère.
Puis une autre.
J'ai regardé en l'air
et les nuages n'étaient pas là.
J'ai regardé la terre
et j'ai vu que les ombres venaient de là.
Oh, the weather outside is frightful
Oh quel mauvais temps dehors
But the fire is so delightful
Comme on est bien au coin du feu
And since we've nos place to go
Et puisqu'on a pas à sortir
Let it snow, let it snow, let it snow !
Vive la neige à n'en plus finir !
"- Euh.... ben non, vous l'avez trouvé où, cet argent ?
- C'est des cailloux qu'on a trouvés par terre...
- Ouais ! Et on les a déjà TOUS ramassés."
Ah non Gabriel !
Les garçons ça peut pas être beau !
Et en plus pour être beau, il faut des petites couettes comme ça !
Alors, j'ai dessiné son visage.
J'ai dessiné la vie,
j'ai dessiné le monde
autour de moi.
Puisque c'est comme ça, moi, je m'en va !
"Mon arbre était là bien avant moi. Le vent avait soufflé, la pluie était tombée. Et mon concon avait poussée là."
J’ai posé ma p’tite valise
Sur ce lit que j’connais bien
Ça sent l’herbe, le bois et la lessive
Une odeur que j’connais bien
Je ne sais rien faire pour arrêter ça.
La terre la reprend.
C'est un corps de pierre à sa place
et tout un monde enterré,
là.
Au bout de ma branche, j'ai rencontré un chat !
C'était un chat tout seul, qui cherchait un endroit. Comme moi.
On a regardé en haut, on a regardé en bas.
On est allés voir ici et on a cherché là-bas.
Avec mon ours, on grimpe dans les arbres. On a peur de rien.
Voilà encore...
Victor Bator et son alligator.
Valentin Touin avec un drôle de chien
J'ai une idée !
Je vais te dessiner des rayures de tigre, et comme ça, on fera un spectacle de cirque !
J'ai dessiné mon arbre et dedans ma maman.
Au bout de ma branche, j'ai rencontré un chat !
Je vais faire un château.
Un château petit, un château en bois,
mon château à moi.
Mon bébé est fatigué.
Et quand il est fatigué, mon bébé n'est pas content.
Au bout de mon lit, la nuit...
C’est là que j’ai poussé,
entre les immortelles et les moutons,
préparant des potions de terre, de feuilles et de sorcière,
fabriquant des bateaux de papier,
frêles embarcations de mon imaginaire…
Et puis, un matin,
une ombre est apparue sur la main de ma mère.
Puis une autre.
C'est pas beau, c'est comme ça !
Les belles couleurs, c'est par exemple le rose, le violet, le brillant...
mais le gris, c'est pas beau !