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Critiques de Io Sakisaka (455)
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Sakura, Saku, tome 1

Depuis que, prise d’un malaise dans un train, Fujigaya Saku a été secouru par un bon samaritain, la jeune lycéenne a pris deux grandes décisions : d’abord, de toujours aider son prochain sans rien attendre en retour, ensuite de retrouver celui qui a changé sa vie en lui venant en aide. De lui, elle ne connaît que le nom : Ryôsuke Sakura.

Par un heureux hasard, un garçon de sa classe se trouve être le frère de Ryôsuke. Malheureusement, il ne souhaite pas transmettre sa lettre de remerciements à son frère. Trop souvent sollicité par des jeunes filles amoureuses de son aîné, Haruki ne veut plus jouer les messagers. A force d’insistance et de cajoleries, elle finit par convaincre son camarade qui décide d’organiser une rencontre. C’est un grand jour pour Fujigaya qui va enfin pouvoir remercier le sauveur dont elle est secrètement amoureuse.



Une romance lycéenne sans intérêt, desservie par une héroïne niaise. C’est fade, dégoulinant de bons sentiments. La série, toujours en cours, compte déjà sept tomes au Japon et on se demande comment la mangaka s’y est pris pour diluer une intrigue aussi ténue…

Le seul élément qui pourrait être intéressant est la relation toxique qu’entretient une amie de Fujigaya avec un garçon autoritaire et jaloux. Mais pour savoir si la jeune fille va réussir ou même tenter de se défaire de ce petit ami malsain, il faudrait lire la suite, ce qui n’est pas à l’ordre du jour. Une déception.



Je remercie tout de même Babelio et les éditions Kana.

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Sakura, Saku, tome 1

Saku Fujigaya est une jeune fille que l'on n'a jamais remarquée. Toujours discrète, elle se sent totalement invisible au milieu des autres. Un jour, dans le métro, elle a un malaise et un inconnu se porte à son secours. La seule chose qu'elle sait de lui est son nom : Ryôsuke Sakura. La jeune fille, pleine de joie et de gratitude, va tout faire pour retrouver son sauveur. C'est ainsi qu'elle fait connaissance avec Haruki Sakura, le jeune frère de Ryôsuke.



Ce shojo nous présente des personnages peu sûrs d'eux qui, en portant secours aux autres, vont trouver un moyen d'exister. Affirmation de soi, amitié, solidarité, ouverture à l'autre et bien sûr romance sont au programme de ce shojo sans surprise. La recherche du sauveur de Saku est avant tout le prétexte pour mettre en relation un petit groupe de personnages avec en son centre, bien sûr, le duo Sakura/Saku.

Le graphisme est agréable, joli et aéré. Heureusement, car le scénario tourne un peu en rond avant d'arriver à la fin où - enfin justement -, on a une petite évolution dans l'histoire. Mais c'est franchement un peu longuet...
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Blue Spring Ride, tome 1

J'ai été au feeling en empruntant ce premier tome d'un manga que je ne connaissais absolument pas. Au vu de la couverture, j'ai pensé à un shojo et je me suis dit qu'il était fait pour moi. J'ai fait fi du résumé, la couverture m'a décidé et parfois, les couvertures de livres nous permettent de faire de belles découvertes.



#Spoilers#

Futaba est une jeune fille qui, déjà au collège, n'aime pas les garçons en général mais seul un jeune homme l'interpelle: Tanaka, élève d'une classe voisine. Notre petite héroïne tombe aussitôt sous son charme et elle ne le laisse pas non plus indifférent depuis un simple jeu de groupe. Quelque chose a changé entre eux. Leurs regards s'accrochent, puis se séparent avant de se réa-tirer comme des aimants. Tout va s’effondrer lorsque par mégarde, Tanaka apprend que Futaba n'aime pas les garçons et étrangement, il disparait de l'école, de la vie de Futaba sans explication. Futaba est dévastée car ils n'ont jamais été au bout de leur possible histoire...

Trois ans plus tard, Futaba est entrée au lycée et n'a jamais oublié son premier amour (même s'il n'y a jamais rien eu entre eux). Elle a beaucoup changé, elle est plus dynamique, elle mange énormément pour dévier le regard des garçons, elle est plus sociable même si elle se force à être amie avec deux autres filles car elle n'aime plus la solitude. Elle est féminine de part son physique mais son comportement dit souvent le contraire. Elle se rapproche d'une jeune fille qui est mise à l'écart par les autres, et une future amitié se profile à l'horizon tout du long de ce premier tome. Futaba devient paranoïaque, elle croit voir Tanaka partout. L'un des professeurs lui ressemble beaucoup même s'il est plus âgé, de plus, son nom est Tanaka et un élève, Mabuchi, est son portrait craché. Involontairement, elle va se mettre à suivre ce dernier et se rendre compte des nombreuses similitudes avec son cher et tendre. Et lorsqu'elle ose enfin lui adresser la parole, il lui révèle qu'il ne s'appelle plus Tanaka mais Mabuchi, qu'il est parti à cause de problèmes familiaux. Lui aussi a énormément changé: il est plus bavard, fort taquin, tantôt chaleureux tantôt froid et distant. Ils s'avouent leurs sentiments passés mais le passé reste le passé, pour lui il n'y aura pas de retour en arrière. Malgré ses paroles de rejet, il va prendre parti pour elle, la consoler lorsque les larmes couleront même si de nombreuses discordes éclatent entre eux, notamment sur les soi-disantes amies de la jeune fille qui ne font que se moquer des autres. Futaba ne pourra s'empêcher de les remettre à leur place et les perdra du même coup. Cet état de fait va les rapprocher même si Kô (Futaba va l'appeler par son vrai prénom) reste aussi changeant que les saisons; elle va apprendre que le professeur n'est autre que le grand-frère de Kô Mabuchi (alias Tanaka) (en même temps, c'était évident étant donné leur forte ressemblance!). Kô va finir par s'excuser de sa longue absence, de ne pas avoir été à leur rendez-vous fixé il y a trois ans.

Dans les dernières pages, le prochain tome se profile. Une nouvelle année s'annonce. L'héroïne se décide à tout recommencer à zéro: se rapprocher de la jeune Makita et se lier davantage à Kô qui se retrouve comme par le plus grand des hasard dans sa classe...



Les deux personnages que sont Futaba et Tanaka/Kô m'ont vraiment tapé dans l’œil, ils sont vraiment attachants chacun à leur manière même si parfois, j'ai eu envie de secouer les deux jeunes amoureux pour les secouer un peu. Dans la première partie du manga, je les ai trouvé tellement mignons, avec cette timidité entre eux et oui, avec un cœur d’artichaut comme le mien, j'ai craqué pour cette romance adorable. Trois ans après, je les ai encore plus apprécié car ils se cherchent, ils se repoussent et ainsi de suite si bien qu'on ne sait plus sur quel pied dansait (je suppose que pour eux, c'est pareil); de plus, la fin laisse présager de très belles choses car Kô se dévoile un peu plus et rend confiante Futaba à propos de leur relation pour la suite.



Les dessins sont agréable à l’œil, il en ressort une espèce de pureté, d’innocence, ce qui est en parfait accord avec l'ambiance du manga. J'ai tout particulièrement apprécié l’esquisse des yeux et des bouches car dessinés comme cela, c'est exquis et ce ne sont pas les parties du corps humain les plus faciles à réaliser.



C'est un manga sans prétention aucune, très simple, qui se lit rapidement, qui se savoure avec une romance toute fraîche et mignonne et donc parfait lorsque l'on souhaite une lecture sans prise de tête. J'ai très envie de connaître la suite car ce premier tome, même s'il n'a rien d'extraordinaire en soi, fut une sympathique découverte.
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Blue Spring Ride, tome 2

Nouvelle année signifie nouvelle classe...Cette fois-ci Futaba se retrouve dans la classe de Kô et décide de se prendre en main en devenant déléguée de classe! Dans ce tome l'amitié est beaucoup plus mise en avant que le premier tome même si on ne délaisse pas pour autant Futaba et Kô, l'auteur nous montre aussi encore une fois un humour qui n'appartient qu'à elle...Bref, j'ai adoré!
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Short love stories, tome 1

Six petites histoires d'amours lycéennes.



Des situations où on se comporte comme un boulet, aux déclarations qu'on a du mal à faire au temps qui passe nous change et ne nous permet plus d'être en phase avec notre amoureux...



Ce n'est naturellement pas le genre de manga que je lis habituellement donc les petites histoires sirupeuses où tout se termine bien même si c'était mal parti.... bof



Hormis quelques planches les graphismes n'ont rien de particulier qui ait retenu mon attention.. pas assez pour me donner envie de lire la série du moins !
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Sakura, Saku, tome 5

Je ne sais pas trop à quoi je m’attendais après le tome renversant de la dernière fois, mais la vie reprend son cours en fait dans cette bluette lycéenne signée Io Sakisaka et les tendres jalousies et rivalités se remettent lentement en place sous le prisme de la figure « du héros mystérieux ».



Les premiers tomes m’avaient laissé une drôle d’impression en bouche, chose corrigée dans le tome précédent avec la révélation « choc », pour ce genre de titre, de Kotono, maintenant la série peut reprendre son cours. J’ai vraiment eu l’impression d’une petite parenthèse avec elle et d’un retour aux fondamentaux avec le retour des garçons sur le devant de la scène. Je ne sais comment le dire autrement et qu’en tirer comme conclusion…



Saku se voit donc peu à peu au centre d’un triangle amoureux involontaire entre Iryu avec qui elle travaille et qui semble la connaître et Haruki, son camarade de classe qu’elle aime en secret, qui montre des signes de jalousie sans le vouloir. Sous la plume d’Io Sakisaka, bien qu’extrêmement classique, c’est mignon tout plein. On aime la jovialité et la sincérité de l’héroïne. On aime les maladresses des garçons qui ne sont après tout que des ados de 16-17 ans, ça n’a rien d’extraordinaire. Et c’est peut-être ça le souci à ce stade…



L’histoire avait pris un certain relief avec Kotono qui retombe aussi sec ici pour quelque chose de beaucoup plus banal et insipide. Oui, c’est mignon mais ce n’est pas transcendant non plus. Les tensions narratives sont minimes de chez minimes et tout se devine loooongtemps à l’avance. Alors, oui je prends plaisir à noter l’impatience de Saku de retrouver Haruki pendant les vacances, c’est fort joliment capturé par l’autrice. Oui, je trouve mignon les moments où les sentiments d’Haruki lui échappent et où il se montre jaloux et dérangé par cet autre garçon qui tourne autour d’elle. C’est également dessiné avec sensibilité. Mais le côté bougon et ado casse-pied d’Iryu, très peu pour moi, de même que ce sempiternel triangle amoureux, à nouveau autour de la question réchauffée du « héros » qui a sauvé Saku. Elle a dépassé cela, pas la peine d’y retourner.



Heureusement j’aime le travail d’Io Sakisaka pour capturer l’essence de l’adolescence amoureuse sous un prisme assez doux, du coup je continue à passer un joli moment de lecture et à me régaler de ses dessins et compositions graphiques. Mais contrairement à ses précédentes séries, je cherche vraiment LE fil rouge, LA trame narrative, LE drame qui va tout emporter, pour l’instant, c’est encore et toujours extrêmement flou et ténu, et si c’est cette figure du « héros », en l’état des choses, je serai déçue. Sakura Saku bien que mignon reste vraiment la série que j’aime le moins de l’autrice…
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Love, be loved leave, be left, tome 8

Nous voilà arrivé aux deux tiers de « Love, be loved Leave, be left » un shojo de très grande qualité réalisé par une Io Sakisaka à l’apogée de son talent. En effet, ce manga est sans doute l’un des plus qualitatifs du genre parmi les titres publiés en ce moment.



Les scénarios de cette mangaka ont toujours été d’une efficacité redoutable. Depuis cette nouvelle série, ses dessins le sont tout autant. Son style graphique ayant doucement évolué au fils de sa carrière, la voilà arrivée à un tel point d’excellence qu’il serait difficile de trouver une autrice de shojo plus talentueuse qu’elle actuellement.



Io Sakisaka a une solide expérience derrière elle. Après les excellents « Strobe Edge » et « Blue spring ride », son merveilleux « Love, be loved Leave, be left » vient nous prouver que cette managaka n’a ni fini de progresser, ni fini de nous éblouir avec ses magnifiques créations.



Ce huitième tome de « Love, be loved Leave, be left » s’intéresse encore une fois à notre quatuor de héros. Chacun des deux « couples » n’en est pas au même stade de son évolution. Cela permet au lecteur de profiter de différentes ambiances selon les chapitres.



L’amitié est encore et toujours au coeur de cette intrigue dont les romances parviennent à ne pas prendre toute la place. Les éléments perturbateurs de chaque couple sont présents et permettent de mettre un peu de piquant dans des histoires sentimentales déjà palpitantes.



J’ai particulièrement apprécié le chapitre se déroulant durant la période des fêtes. Au Japon, Noël étant un moment partagé en famille ou en couple pour les amoureux, cette période de l’année est toujours une étape importante dans un shojo. En plus, les dessins enchanteurs de Io Sakisaka magnifient ce moment déjà féérique en lui-même.



« Love, be loved Leave, be left » ne s’essouffle donc pas un seul instant et continu à maintenir son lectorat en haleine. Plus que quatre tomes avant d’atteindre le conclusion de cette histoire qui aura probablement su enchanter son public du premier au tout dernier tome ! 
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Blue Spring Ride, tome 1

C'est, je crois, l'une des premières fois que je relis un manga. Ma première lecture de ''Blue Spring Ride'' date de 2021, je n'avais pas rédigé d'avis à ce moment-là. Je le regrette, j'aurais tant aimé garder une trace de ce que j'avais ressenti « à l'époque » (ce n'est pas si lointain que cela, haha). Je me souviens cependant avoir enchaîné les tomes à une vitesse déconcertante, j'étais totalement absorbée par ce que je lisais et charmée par les illustrations. La saga dans son intégralité, et ce malgré quelques bémols et une fin qui ne m'avait pas tant plu que cela... est un petit coup de coeur. L'un des premiers mangas shojos que j'ai apprécié. Aujourd'hui donc, je viens d'achever ma deuxième lecture de ce tome 1. Et quel réconfort! Quel douceur! Que c'est agréable de me replonger dans ce manga. La même sensation éprouvée lorsque l'on se réchauffe avec un plaid tout doux et tout moelleux un jour de froid. :-)



• Pourtant, ici encore, tout ne me plaît pas à 100%. Je me souviens avoir été agacée par cette pensée qu'une jeune fille est ''belle et mignonne si elle mange peu''. Ici donc, Futaba fait ''exprès'' de beaucoup manger pour repousser les garçons. Je trouve cette façon de voir les choses très agaçante, au risque de me répéter. Malgré tout, je ne peux m'empêcher d'être heureuse de relire ces pages... Cela me fait beaucoup de bien, j'en avais grand besoin.
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Love, be loved Leave, be left, tome 1

Yuna et Akari se rencontrent par accident. Ce jour-là, toutes deux laissent partir un être qui leur est cher. Alors qu'elles cheminent ensemble pour rentrer chez elles, elles se rendent compte qu'elles vivent dans le même immeuble et s'apprêtent à faire leur rentrée dans le même lycée (et dans la même classe) !



A partir de cette rencontre, les deux jeunes filles vont apprendre à se connaître et en confrontant leurs points de vue, être interpellées par le fait que leur vision de l'amour - et des rapports aux autres - n'est pas unique et que celles des autres n'est pas toujours dépourvue de bon sens.



Ainsi, Io Sakisaka amène des scènes intéressantes (pour un shojô) où la vision idilique de Yuna et de son Prince Charmant est mise à mal.

On retombe quand même vite dans les travers du shjô qui consiste en une certaine prévisibilité et facilité des sentiments et de la mise en scène des personnages lorsqu'il s'agit d'un trio.

Toutefois, l'histoire n'était pas totalement inintéressante ni lassante. Il est vrai que la douceur des graphismes de la mangaka ont parfois quelque chose d'envoûtant.



De là à dire que je lirai la suite ... pas sûr !
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Blue Spring Ride, tome 3

Futaba se rend de nouveau compte qu'elle est amoureuse de Kô sauf que sa nouvelle amie Yûri est aussi amoureuse de lui...Encore un tome que j'ai trouvé adorable et génial!
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Blue Spring Ride, tome 10

Très bon tome, j’ai bien ri lors de certains passages !

En lisant les raws japonaises, j’avais zapé presque toute cette partie parce qu’à l’époque je n’aimais pas du tout le couple Tôma Futaba, et c’est donc avec plaisir que j’ai découvert la suite de Ao Haru Ride. En fait, je trouve Futaba et Tôma trop mignons ensemble, j’aime surtout le côté passionné de Tôma. Il se sent clairement menacé par Kô et n’hésite pas à lui lancer des piques. Et c’est ce qui m’a fait rire, voir un Tôma s’énerver et balancer un oreiller sur Kô. De son côté, ce dernier se lamente d’avoir tout gâché avec Futaba, et ça l’énerve de la voir heureuse avec Tôma (il l’a quand même bien mérité, qu’il réfléchisse encore !). Au moins, il ne se voile plus la face, et il ne lui reste plus qu’à s’expliquer avec Narumi.

Et Futaba ? Parlons-en : clairement oui, elle est heureuse. Mais ce n’est pas vraiment le genre de bonheur qu’il lui faut puisque dès que son esprit n’est pas occupé, elle se met à cogiter. Elle n’a pas oublié Kô et veut mettre ses sentiments de côté, mais c’est difficile d’autant qu’elle se rend compte que Kô semble ressentir quelque chose à son égard. Quand je lis les passages où elle cogite bien, je me dis qu’elle fait vraiment une bonne héroïne qui se sert de sa tête (même si elle peut être naïve, mais d’un point de vue positif selon moi), et elle me semble plus mature.

Après si on passe aux autres personnages, on peut dire que Yuri n’est pas très présente pour une fois. C’est plutôt Murao et Kominato qui sont mis en avant. Murao s’en veut de ne pas avoir dit à Futaba que Kô l’aimait et pour le coup elle veut que Futaba soit heureuse avec Tôma. Bon c’est un peu bête, je ne vois pas ce qu’elle a à se reprocher puisque Futaba a fait son choix par elle-même, et je trouve que Kô mérite ce qui lui arrive après avoir fait souffrir Futaba.



Plus que trois tomes...
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Blue Spring Ride, tome 7

Ce tome 7, ça fait suuuuper longtemps que je l'attends ! Avant que Ao Haru Ride soit licencié, j'avais l'habitude de lire les scans, et j'en étais arrivée au tome 6. Après la licence, j'ai suivi la publication de Kana (bon j'avoue, il m'arrive de jeter un œil sur les raw japonaises... Graaaah saleté de Kikuchi !!), et j'ai attendu que la publication française rattrape ce retard. Je me suis jetée immédiatement sur le tome 7 quand je l'ai vu en librairie ^^

Et j'ai versé de petites larmes avec ce tome, parce que j'ai trouvé les chapitres consacrés à Murao et à Tanaka-Sensei très mignons mais aussi très tristes... Je les aime beaucoup tous les deux, et j'espère sincèrement qu'ils finiront ensemble.

Quant à Futaba... Tôma (Kikuchi) se rapproche d'elle, on sent qu'il ne va pas tarder à faire une approche directe... Quel fourbe. Le pire, c'est que je n'arrive pas à ne pas l'apprécier, alors que d'habitude, c'est le genre de personnage que j'aime bien maudire... Pire encore, je le trouve mignon ! Mais ma préférence va pour Kô. Ha ha, et en plus, lui et Tôma ont leur première "vraie" confrontation, genre "Kikuchi, c'est bien ton nom" (comme s'il le savait pas !), si on excepte celle où Tôma a voulu l'empêcher de rejoindre Futaba dans le tome précédent. J'espère les voir plus agir en rivaux dans les prochains tomes, je trouve que ça ajoute du piment (et puis, ça va p'tet réveiller Kô, parce que là....)

Aaah et cette fin de tome... Futaba a enfin décidé d'avouer officiellement ses sentiments pour Kô. Que va répondre celui-ci, que va-t-elle dire ? Une fin pareille, c'est cruel !



Et le tome 8 qui sort en janvier... le 16 en plus, c'est encore plus tard que mon anniversaire ! x) Et en plus, c'est cette saleté de Tôma qui sera en couverture (c'est affectif).
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Blue Spring Ride, tome 4

Ce tome 4 est très touchant. On voit beaucoup de moment consacrés à Kou et Futaba, j'ai adoré la scène où ils tombent tous les deux... J'attendais ce genre de scène, des scènes qui nous laissent voir la fragilité de Kou. Rien que pour ça, j'adore ce tome ^^

On va aussi faire connaissance avec Kikuchi ! J'adore son entrée en matière et ce qu'il y a entre lui et Futaba au début. J'aime bien ce personnage, mais en sachant qu'il va sans doute être éconduit et souffrir, ça ne me fait pas de peine pour lui. C'est un personnage que je ne parviendrais pas à haïr quoi qu'il fasse, mais je ne veux pas qu'il soit heureux avec Futaba ^^" C'est assez contradictoire en fait.
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Blue Spring Ride, tome 1

Je vous présente aujourd'hui un de mes mangas préférés. C'est un shôjo que j'ai découvert il y a déjà 2 ans, et j'ai toujours le même sentiment de quiétude en les relisant encore aujourd'hui.

Ao Haru Ride est un shôjo de Io Sakisaka, qui a d'abord été connue en France via son précédent manga : Strobe Edge. J'ai lu Strobe Edge parce que j'avais adoré Ao Haru Ride, et je peux dire que si vous aimez ce manga, vous aimerez encore plus celui-ci ! Les graphismes sont vraiment magnifiques, Io Sakisaka a vraiment un style particulier que j'aime beaucoup, un côté un peu plus réaliste que certains shôjos. Et puis surtout, on ne tombe pas dans le cliché avec elle et ça c'est génial (pas de grands yeux pailletés) !



Au début de cette histoire, Futaba est collégienne. Très timide, elle a du mal avec les garçons et les déteste. Sauf l'un d'eux : Tanaka Kou, qui a une voix un peu féminine et qui est calme. Ces deux là se cherchent toujours du regard puis Kou change de collège dès la fin des vacances d'été, sans prévenir. Futaba est triste et pense qu'elle ne le reverra pas mais malgré tout elle pense encore à lui même au lycée. Au lycée, elle s'et métamorphosée en une autre personne un peu garçon manqué : la raison est que son côté doux et féminin lui attire le regard des garçons et attise la jalousie des filles. Elle ne veut plus être laissée de côté et joue un rôle pour garder ses "amies" près d'elle (en mettant plein de choses inutiles dans son sac, en mangeant comme 4, ...). Puis un jour, au détour d'un couloir, elle croise Mabuchi Kou, qui ressemble à Takana Kou, son premier amour (y'a du divorce dans l'air). Mais ce Kou là est différent : il peut aussi bien se montrer froid qu'avenant (mais qu'avec Futaba, il est un peu je m'en foutiste avec les autres hu hu).



Une histoire qui semble banale mais que je trouve vraiment sympathique. On ne tombe pas vraiment dans le cliché (parfois on retrouve quelques éléments utilisés dans Strobe Edge), et les personnages sont vraiment attachants. Futaba n'est pas énervante, et surtout elle n'est pas niaise ! On s'attache très vite à elle, on s'identifie à elle, on souhaite son bonheur ! Io Sakisaka a vraiment fait du bon boulot avec personnage, rien à voir avec les héroïnes de Shôjo habituelles qui pleurent pour tout et n'importe quoi. Et je ne parle pas de Kou... Au début, je pensais que ça serait ce personnage cliché : le brun ténébreux qui se moque de l'héroïne, qui change du tout au tout et qui est torturé. Et bien non ! Enfin pas tout à fait : Kou est froid mais il reste tout de même le Kou du passé, il a juste grandi. Il a bien sur une part sombre qui le ronge, mais il souffre en silence, on ne sait pas du tout d quoi il en retourne avec lui (ça change des "Ne m'approche pas, je suis torturé alors reste loin de moi" cliché). Ce personnage est un mystère, on ne sait pas vraiment ce qu'il pense, mais il reste lui-même. Les personnages secondaires sont également très intéressants, j'aime beaucoup le grand frère de Kou et Maruo.





C'est un bon shôjo que je trouve pour ma part original, sans prise de tête et vraiment apaisant.

J'ai commencé à regarder son anime (diffusé en ce moment le lundi au Japon) et je dois dire qu'on retrouve ce bon sentiment, associé à des musiques magnifiques (l'insert song, "I will de Chelsy" est magniiiifique, j'ai hâte que la full version sorte !).
Lien : http://miyu-neko.blogspot.fr..
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Sakura, Saku, tome 4

Je vais être honnête, j’ai beau être fan de l’autrice, cette série peinait à me convaincre. Il y avait quelque chose qui ne sonnait pas juste. Alors quel plaisir de voir combien je m’étais trompée grâce à ce tome !



Je n’ai jamais été fan des triangles amoureux et depuis plusieurs tomes celui entre notre héroïne Saku, sa meilleure amie Kotono et l’objet de leur attention Haruki, m’agaçait. Je n’aimais pas trop la façon dont Kotono jouait de sa situation pour s’immiscer et tout compliquer. Ça me faisait de la peine pour Saku et ça me crispait. Mais avec malice, l’autrice va tout faire exploser ici, rebattant totalement les cartes. Chapeau !



Je salue dans un premier temps l’arrivée d’Iryû, personnage en soi assez antipathique, très différent de ceux qu’on croise chez l’autrice habituellement. Avec son franc parler à la limite de la blessure pour ceux qui se le prenne en face, il est rude. Mais en même temps, quel bon ami il fait ! Dans ce tome, il prend Saku sous son épaule et est là à chaque fois qu’elle a besoin, pour la protéger, cacher ses larmes, l’écouter, la conseiller. Alors oui, il peut être blessant mais il dit aussi des vérité et est là au bon moment. J’ai beaucoup aimé son originalité et la relation qui se noue entre lui et Saku, même si on voit bien vers quoi elle se dirige, quoique on n’est pas à une surprise près !



Tout le tome tourne autour des sentiments de Saku, non pas qu’elle n’arrive pas à avouer à Haruki, on n’en est pas là, mais qu’elle n’arrive pas à avouer à sa meilleure amie, car c’est là le coeur de l’histoire. L’autrice insiste sur les conséquences d’un mensonge ou d’un non aveu, combien ça peut peser et le drame de sans cesse y ajouter d’autres mensonges. C’est plutôt finement écrit derrière ses dehors archi classique de tensions entre amies et je ne crois pas l’avoir vu si souvent abordé de cette façon. J’ai donc beaucoup aimé. L’autrice m’a pris à contre-pied avec une apothéose dans les dernières pages quant à ce que chacune cachait vraiment. Excellent !



Io Sakisaka nous offre ainsi un tome plein de petites scènes trop mignonnes. Il y a des mises en scène sur les duos amicaux de l’histoire qui sont adorables. Et le rapprochement progressif d’Haruki vers Saku, à qui il tente maladroitement de montrer et faire comprendre ses sentiments est adorable de maladresse. Qu’est-ce que j’ai ri avec l’épisode de la tente, puis du banc en attendant le bus. Et qu’est-ce que c’était mignon quand il l’observait avec Iryû ou quand il cherchait à parler avec elle. Il est jeune, ça se sent, ça se voit, mais c’est rafraîchissant car peu d’autrices réussissent aussi bien à mettre en scène le point de vue du garçon comme ici.



Alors que je suivais la série surtout parce que c’est Io Sakisaka, ça y est je la suis parce que l’histoire me plaît. J’ai été agréablement surprise par l’écriture de la résolution d’un triangle amoureux qui m’agaçait avant. J’ai trouvé adorable l’ensemble des scènes mettant en scène amour et amitié. J’aime beaucoup la fraîcheur et la jeunesse des personnages. Ça y est, malgré quelques clichés, tout me plaît !
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Sakura, Saku, tome 3

J’ai toujours beaucoup aimé les romances lycéennes écrites par Io Sakisaka et ce dès les premiers tomes, mais force m’est de constater que ce n’est pas pareil ici. Il y a quelque chose qui me dérange dans cette série et m’empêcher de pleinement l’apprécier comme les autres.



C’est loin d’être un ratage, je ne dis pas ça, mais je trouve jusqu’à présent le titre moins lumineux et entraînant que ceux que j’ai pu lire précédemment et le focus sur Kotono dans ce tome n’arrange rien. Je n’accroche pas du tout à l’écriture de ce personnage. Je comprends les intentions de l’autrice et ça me plaît qu’on dénonce une certaine forme de masculinité toxique à travers son ex- et qu’on montre comment une fille peut s’en sortir, mais Kotono est un peu le prototype d’amie pas si amie que ça avec l’héroïne que je n’aime pas. Je la trouve fausse, hypocrite, se servant de Saku par moment, et ça me déplaît fortement. Du coup, ça plombe ma lecture alors que jusqu’à présent, dans les titres d’Io Sakisaka, c’était l’amitié entre les protagonistes qui souvent sauvait tout quand les situations se compliquaient.



Heureusement, nous assistons aussi à la naissance d’un autre personnage dans ce tome, l’étrange Iryu et là, je sens que je vais l’adorer. Garçon qui n’a pas la langue dans sa poche et est d’une effroyable honnêteté, celui-ci met régulièrement les pieds dans le plat, pensant aider nos héros, mais les mettant un peu mal à l’aise dans cette quête. Je trouve le personnage très frais et contrebalançant à merveille l’hypocrite Kotono. Là où elle est plein de manière, lui est très frais et simple. Il va ainsi venir titiller Haruki, sans s’en rendre compte, qui ne va pas apprécier de devoir partager l’attention de Saku avec ce nouveau venu. Carré amoureux, nous voilà !



Même si j’ai aimé par le passé les complications amoureuses de l’autrice, je dois avouer être moins séduite cette fois. Si je trouve Saku attendrissante dans ce premier amour qu’elle s’empêche d’exprimer par peur de faire du mal à son amie, je trouve qu’ils se prennent vraiment la tête pour pas grand-chose et que l’autrice exagère. Haruki est peut-être plus juste au final, n’arrivant pas encore à mettre les mots sur ce qu’il ressent pour Saku et se retrouvant pris dans un imbroglio à cause de sa trop grande gentillesse. C’est vraiment Kotono qui induit au final une dynamique et une ambiance que je n’aime pas. Sans celle, ce serait bien plus serein et lumineux, car vraiment les petits moments où Saku et Haruki sont ensemble, se cherchent, se parlent, vont l’un vers l’autre, sont adorables. On ressent toute leur pureté et leur bonté naturelle à chacun, ce qui est rafraîchissant.



Moins séduite que d’habitude avec l’autrice, je reste néanmoins sur le qui-vive de ce qui va se passer ensuite, notamment grâce à l’arrivée d’Iryu, ce personnage un peu anti-conformiste qui apporte l’honnêteté et la fraîcheur qu’il manque à cause du personnage de Kotono, qui plombe la série à mes yeux. Je retrouverai cependant avec plaisir Haruki et Saku qui semblent entrer dans une jolie phase de jalousie dans le prochain tome à la fin de l’année 😉
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Sakura, Saku, tome 2

Io Sakisaka poursuit sa recherche de la définition de la gentillesse à travers les aventures des si charmants Saku et Haruki, deux adolescents bienveillant qui apprennent à se connaître. Love will be in full bloom !



Après le malentendu concernant Ryosuke, le frère d'Haruki, Saku est bien mal en peine. Ses sentiments semblent s'être évaporer comme une bulle qui aurait explosé. En revanche, en découvrant la gentillesse maladroite et non revendiquée d'Haruki, elle craque de plus en plus pour lui. Que faire pour elle qui ne veut pas sembler frivole ?



Dans cette bluette on ne peut plus classique, Io Sakisaka ne réinvente pas l'eau chaude. On la voit réutiliser des tropes déjà bien connus et un peu usés jusqu'à la corde. Pourtant la fraîcheur des personnages change tout. C'est adorable de voir Saku se poser des questions sur la permanence de ses sentiments et leurs origines après son brusque revirement. C'est mignon de la voir tester son coeur en la présence des deux garçons qui l'ont chamboulé. C'est encore plus amusant de voir cela se faire sous le regard d'un Haruki tellement naïf qu'il ne voit rien venir. Rien de spectaculaire donc mais une belle maîtrise de l'écriture de la naissance de sentiments.



Là où le titre se démarque c'est avec cette qualité tout le temps mise en avant : la gentillesse. L'autrice en a fait la caractéristique principale de ses héros pour le meilleur et pour le pire. On découvre dans ce tome pourquoi cela gêne tant Haruki d'être qualifié de gentil à cause d'un incident passé. Rien de grave mais on voit aussi que ça peut être à double tranchant et on sent que dans le présent cela risque d'être aussi le cas avec leur amie Kotono. Je continue à trouver ça très chouette qu'on mette en avant cette valeur et qu'on évoque aussi les revers qu'elle peut occasionner.



En revanche, je dois dire que j'ai pas été hyper fan du drama de ce tome autour de Kotono justement. Si la dénonciation de la relation un brin toxique qu'elle vivait avec son petit ami est bonne, en revanche ce qui risque d'en découler d'après les indices qu'on a me fait déjà lever les yeux au ciel tant je n'aime pas ça. C'est dommage parce que je trouvais celle-ci intéressante dans sa façon d'oser dire les choses et de foncer sous ses airs de petite fille sage et fragile. Ses interactions avec Mitoshi me plaisaient particulièrement et l'intervention d'Iryu auprès d'elle également. A voir.



Même si tout ne m'a pas convaincue dans ce tome, je fais confiance à Io Sakisaka car c'est une autrice dont j'aime l'écriture et je retrouve ici son goût pour les personnages lambda mais touchants et les ambiances banales mais avec une touche de merveilleux. J'aime la profonde gentillesse de ses nouveaux personnages et tant pis si ça leur attire des ennuie. Ils sont tellement mignons ensemble et séparément, il suffit de voir la petite photo prise ensemble lors du barbecue ! Alors s'il vous plaît, madame Sakisaka, ne leur compliquez pas trop la vie !
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Sakura, Saku, tome 1

Depuis sa première série chez nous : Strobe Edge, je suis une inconditionnelle de son autrice Io Sakisaka. Elle est un peu, pour moi, la reine du shojo romantique lycéen moderne et a un vraiment un style tout doux et cotonneux qui fait du bien à mon coeur de fleur bleue. Je ne pouvais pas faire l'impasse sur sa nouvelle saga.



En cours au Japon avec 7 tomes au compteur, elle débarque ce mois-ci chez nous et l'éditeur, Kana, a déjà annoncé tout sa programmation le concernant pour l'année, c'est dire combien il compte dessus et il a raison ! Il a d'ailleurs également proposé une offre avec un photophore à obtenir lors de la sortie du tome 1 et a mis une jaquette réversible à chaque tome de cette première édition.



Comme toujours avec l'autrice, l'histoire qui prend place est assez classique en soi, celle d'une fille qui semble banale mais qui a un petit quelque chose en plus, qui tombe amoureuse d'un garçon qui ne la remarque pas vraiment au premier abord. Tous ses titres fonctionnent pareil, mais ici, le cadre est une nouvelle fois vraiment charmant et très doux à l'image des couvertures que je trouve hyper réussies et stylées sur cette saga.



L'héroïne sera Saku, une jeune fille qui a longtemps fait tapisserie mais qui a décidé de changer depuis qu'on l'a aidée lors d'un malaise dans un train. Maintenant, c'est quelqu'un qui a le coeur sur la main et qui aide les autres dès qu'elle peut. J'ai beaucoup aimé cette caractéristique d'une héroïne douce, naïve et bonne samaritaine. C'est hyper rafraîchissant et ça met de suite de bonne humeur quand on lit ses aventures car c'est beau de la voir aider les autres sans contrepartie. 



La romance, elle, est introduite en deux temps dans ce shojo lycéen. Tout d'abord, pensant avoir trouvé le garçon qui l'a autrefois sauvée, sous son charme, elle demande à son petit frère de lui donner la lettre qu'elle a écrite pour lui, ce qu'il refuse. Sakura en a en effet marre de jouer les facteur pour son frère hyper populaire. Mais Saku ne compte pas abandonner et elle le harcèlera gentiment pour qu'il craque, se rapprochant ainsi de lui, découvrant quel gentil garçon il est et apparaissant à son tour comme une fille adorable à ses yeux à lui. Le décor est planté !



Je me suis doucement amusée à suivre la rencontre de ces deux adolescents qui se sentent un peu banals et mal aimés, et qui découvrent chez l'un et l'autre une gentillesse et une générosité qui sauront les toucher. Ce ne sont pas forcément des valeurs qu'on croise si souvent que ça dans les mangas et à fortiori dans les romances lycéennes, alors ça m'a fait un bien fou. C'est mignon, c'est simple, c'est banal presque mais cela crée une belle proximité et familiarité avec eux, car c'est un quotidien qu'on pourrait vivre. Il est donc fort plaisant de les voir lier connaissance, aider les autres, se rapprocher, devenir amis avec d'autres camarades de classe. 



L'autrice prend son temps. Elle place à peine les pions de ses futures intrigues : le frère de Sakura, qu'on connaît déjà au passage, le passé de Sakura, les sentiments naissant et changeant de Saku, la relation amoureuse toxique de leur amie Ogiwara, etc. Rien de novateur mais encore une fois pas mal de beaux et doux sentiments en perspective. 



Tandis que le shojo est en train de reconquérir les librairies, étant le secteur qui a le plus progressé l'an passé par rapport à l'année précédente, Sakura Saku répondra totalement aux aspirations romantiques des fans de RomCom lycéennes. Les beaux dessins et les doux mots d'Io Sakisaka ont encore frappé ici et ce premier tome, bien que classique, est déjà en succès par les jolies valeurs qu'il véhicule et ses personnages tellement porteurs de gentillesse. Je suis déjà conquise.
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Blue Spring Ride, tome 4

Résumé : Après avoir découvert que Yûri était elle aussi amoureuse de Kô, Futaba s’inquiète de savoir laquelle a le plus de place dans son cœur. En même temps, elle veut en savoir plus sur Kô et son changement de personnalité…



Mon avis : On en apprend un peu plus sur le passé de Kô dans ce tome, et pourquoi il ne prête plus du tout autant d’importances aux études. Il va expliquer un pan de son passé à Futaba qui va trouver les mots qu’il attendait d’entendre pour se permettre enfin d’aller mieux et de profiter de la vie.



Par ailleurs, la rivalité entre les deux amies, Fubata et Yûri, rajoute de l’action entre les séquences d’émotions.



La fragilité des adolescents est ici dévoilée avec pudeur, ainsi que la force de l’amitié.
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Blue Spring Ride, tome 8

Geeeez on entre dans la partie que j'aime le moins... J'avais déjà dit que je n'aimais pas Tôma... Je ne l'aime pas parce que je n'arrive pas à le détester et ça m'éneeeerve x) (contradictoire, n'est-il pas ?)

Futaba se déclare à Kou, sachant pertinemment qu'elle va se faire rejeter... Elle veut juste mettre un terme à tout ça et avancer. Kou ne la déçoit pas... Mais quel CRETIN ! A peine la scène se termine qu'il regrette déjà, non mais je vous jure... (moi aussi je m'énerverai, si j'étais à la place de Kominato !)

Grrr et Tôma qui en profite... Mais il est tellement attendrissant aussi...

En tout cas, je trouve que ça fait très avant-dernier acte, on sent qu'on approche petit à petit de la fin. Vivement que Narumi s'en aille...
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