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Citations de Isabel Komorebi (55)


Si tu n’étais pas là, comment pourrais-je vivre ?
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Je t'aime comme la Lune aime le jour. Où que tu sois, quoi que tu fasses, je serai une étoile qui attendra ton amour.
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L'amour n'est pas linéaire, c'est un zigzag, des montagnes.
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De toute façon, les humains sont devenus étrangers à eux-mêmes, de tristes pantins jouant la comédie de leur vie. Alors pourquoi se soucier d'Eux, si nous n'arrivons même pas à nous inquiéter de nous-mêmes ?
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C'est étrange cette sensation, quand vous avez l'impression que vous ne maîtrisez plus rien. Quand vous sentez que vous êtes à un tournant, que votre vie va basculer, qu'il vous faudra prendre à gauche ou à droite pour que tout change, ou alors qu'il vous faudra vous résigner à rester sur votre ligne toute tracée. La ligne qui va vous étouffer, et qui va finir par vous casser.
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Pourquoi ? Pourquoi je te montrerais ce que j'arrive à peine à regarder ? Pourquoi je te montrerais mes brûlures ? Pourquoi je te montrerais mes erreurs, mes fautes, ma folie ? Je fuis depuis bien trop longtemps ce que je suis, suivant les lignes, me laissant porter, me laissant guider. Alors explique-moi pourquoi. Pourquoi, à toi, je devrais m'ouvrir ? Me laisser aller, me confier sur mes peines passées ?
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Je ferme les yeux et mon esprit s'évade. Je me mords les lèvres et les larmes me montent aux yeux. Alors, je repense soudain aux lignes blanches, et je me demande si cette fois, elles vont enfin se décider à m'amener quelque part.
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Le vieux Max m’a toujours soutenu que rien n’arrivait jamais par hasard. Que tout avait un but, que tout avait un sens. Que, même si notre vie ne nous appartenait pas, il y avait un chemin qui était tracé devant nous, telle une ligne, parfois droite, parfois arquée, qui devait nous mener quelque part, là où est notre place. Là où on nous attend.
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Te souviens-tu du jour où tu es mort ?
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Je contemple l’orage. Les lignes qui barrent le ciel sont de plus en plus nombreuses, de plus en plus rapprochées et mon esprit s’égare. Je revois l’eau, partout, m’envahissant, me recouvrant. J’entends les cris, je ressens la peur.
Puis, la chute, le noir, le vide, la lumière.
Et enfin : Elle.
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Dehors, l’orage n’en finit pas de déchirer le monde. La pluie tombe, encore et encore, s’abat sur nous comme une malédiction, comme un châtiment divin. Les éclairs percent le ciel, le craquent, le fissurent, l’illuminent. Ces lignes le fendent avec violence, sans aucune pitié. J’ai envie de hurler, de leur demander si c’est bien elle que je cherche depuis tant d’années. Leur demander si mes souvenirs et ma folie sont réels, ou s’ils ne sont que tromperie. Et que si tout est vain, je leur crie de prendre ma vie à l’instant, de me foudroyer, d’éclater cette vitre, de brûler cette chambre, car il y a bien trop longtemps que j’attends, et que je n’en peux plus.
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Je la scrute, sonde son regard, son être. Je lui embrasse le front, les tempes, les joues, et je m’attarde sur le coin de sa bouche. Alors, je lui demande ce qui me brûle les lèvres, alors qu’un nouvel éclair crève le ciel :
— Est-ce que tu te souviens de moi ?
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Qui es-tu donc Ethan ? Qu’est-ce que tu attends de moi ? Et pourquoi mon corps et mon esprit réagissent si curieusement face à toi ?
Tu te trompes sur moi. Je ne suis rien pour toi, je ne peux pas être celle que tu recherches. Je ne suis qu’une vagabonde qui traîne derrière elle le poids de ses malheurs, marchant sur les lignes, crevant de honte et de peur.
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Alors ainsi, toi aussi tu as peur, Ethan.
Mais de quoi ?
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Il se précipite sur moi et je tends les bras pour l’accueillir.
Dehors, l’orage gronde, la tempête s’abat sur le monde, et il peut bien être noyé, perdu, englouti, car nous n’en avons plus rien à faire, du monde. Nous ne sommes plus là. Nous sommes loin, ailleurs. Très loin de cet univers qui, à cet instant, est sans importance.
Il n’y a ici plus que deux êtres qui glissent lentement.
Qui glissent lentement vers les abîmes.
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Ils sont montés sur la pointe des pieds, et ont trouvé deux corps agrippés l’un à l’autre, pleurant, souriant, enfin apaisés, heureux, se déclarant inlassablement leur amour.
J’ai entendu des chuchotements, des interrogations, des petits cris de joie, un jappement, puis des petites mains dodues venant nous enlacer, et des lèvres d’enfant nous déposant des baisers mouillés.
Puis, plus rien. Le silence.
Et des je t’aime. Nombreux, très nombreux, encore, toujours plus, de toutes les tonalités de l’amour possible.
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Lorsqu’elle s’éveille à la vie, chaque Âme est cassée en deux.
C’est une grande injustice, mais c’est ainsi.
Dès lors, chaque morceau cassé n’a de cesse de retrouver la partie qu’on lui a arrachée.
Certains chanceux la trouvent très rapidement.
D’autres, hélas pour eux, ne la trouvent jamais.
Mais la grande majorité se perd dans le mensonge, en s’unissant à une moitié qui n’est pas faite pour eux.
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C’est aujourd’hui que je me lance.
Mina Becker.
Cette fille, elle est pour moi. Enfin, j’espère. Je ne suis même pas sûr qu’elle sache que j’existe. Mais aujourd’hui, ça va changer. Ou pas. Soit j’ai une chance, soit ce sera le râteau du siècle.
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Un jour, l’un d’eux la séduira. Il se pavanera avec elle à son bras, l’amènera au lac et au cinéma, la fera danser au bal, l’embrassera à s’en meurtrir les lèvres et goûtera sa chance quand son corps sera nu contre le sien.
Ce gars qui fera tout ça, ce sera moi.
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Elle relève le nez et jette ses longues mèches blondes en arrière. Ses yeux sont rouges et gonflés d’avoir trop pleuré. Elle renifle, elle hoquette, et elle pleure de plus belle. Ses joues sont trempées et ses yeux mouillés de larmes. Ça coule, encore et encore, comme un torrent de rage et de chagrin. Mais malgré ce flot ininterrompu, j’arrive à voir deux yeux bleus qui rayonnent derrière cette vague de larmes. Pas du même bleu de glace que ceux de mon boss. Les siens sont bleu clair comme le ciel le plus pur. Un ciel dans lequel j’aimerais m’envoler et me fondre.
Elle essuie grossièrement ses larmes avec ses manches, renifle une
dernière fois et plante ses yeux dans les miens.
Et là, je me sens mal.
J’ai mal au coeur.
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