Citations de James Churchward (20)
Vous mourrez tous, avec vos serviteurs et vos richesses, et de vos cendres naîtront de nouvelles nations. Si elles oublient qu'elles sont supérieures, non par ce qu'elles portent nais par ce qu'elles sont, un sort semblable les attend.
Chez les Egyptiens, le scarabée n'est pas un dieu mais le symbole du Créateur, car il roule entre ses pattes une boule de terre où il dépose ses oeufs tout comme le Créateur fait tourner le monde qui est rond et lui fait produire la vie.
II y eut un Déluge, qui détruisit la moitié de la terre, environ, et toutes les formes de vie qui s'y trouvaient; mais il ne fut pas le résultat de pluies torrentielles. Le Déluge fut provoqué par des influences magnétiques.
Le dernier grand cataclysme magnétique, le Déluge de la Bible, et le mythe géologique, la période glaciaire, ne forment qu'un seul et même phénomène.
Il y a de nombreuses variantes de l'histoire de la création dans les diverses parties du monde, ce qui est dû sans aucun doute à la façon par laquelle elle a été transmise de génération en génération. Aussi surprenant que cela puisse paraître, la version la plus scientifique— et celle qui, plus que toutes les autres, à part celle des Naacals, peut être confirmée par la géologie — est celle que l'on trouve chez les races à demi sauvages des îles du Pacifique, aux Marquises en particulier.
Les Hindous, les Chaldéens, les Egyptiens, les Mayas et les Grecs plus tard, ont éliminé les côtés scientifiques, dans leurs récits de la création, et relaté au moyen de symboles les faits simples, sans les pourquoi ni les comment. La raison en est donnée par Clément d'Alexandrie qui dit: Les Egyptiens gardaient le secret de leurs mystères et ne dégradaient pas leur connaissance des choses divines en les confiant aux profanes; ils les réservaient pour l'héritier du trône, et pour les prêtres qui excellaient en vertu et en sagesse.
Afin de comprendre la religion d'un peuple primitif. nous devons pour ainsi dire toucher son coeur, sentir les courants de sa vie. Nous devons nous mettre à l'unisson de cet ancien peuple, écouter ses hymnes et ses prières, être témoins de ses rites et de ses cérémonies; nous devons nous efforcer de connaître son idéal religieux. Quand Thalès déclare que toutes choses sont pleines de dieux, et lorsque Bouddha nie l'existence de tout autre dieu que l'Etre Suprême. ils expriment tous deux leurs convictions.
Le 13 est généralement considéré comme un signe de malchance, surtout s'il tombe un vendredi. Mu, la Mère-patrie, a été détruite un vendredi, le ] 3ème jour du mois de Zac (le mois blanc). Le souvenir de ce jour funeste a traversé les âges et persiste encore aujourd'hui pour symboliser un jour de deuil, et la malchance.
Quatre est un chiffre de chance car il représente les Quatre grandes forces primaires qui veillent sur nous, sur notre corps matériel durant notre vie terrestre. Dans l'ancien temps, 4 était un des chiffres les plus vénérés mais aujourd'hui il est presque oublié. C'est une perte, dont les enseignements mythiques des sciences modernes sont peut-être responsables. Tout comme 3 est considéré comme le nombre de la chance, 7 est le nombre Sacré.
Le jardin d’Éden n'était pas en Asie mais sur un continent aujourd'hui englouti au fond de l'océan Pacifique. Le récit biblique de la Création 'les sept jours et les sept nuits' n'a pas pris naissance sur les bords du Nil ni dans la vallée de l'Euphrate mais sur ce continent disparu, Mu, la Mère-patrie de l'homme.
Au cours de mon voyage en Amérique centrale, j'ai appris des Indiens qu'il existait encore au fond des forêts touffues du Honduras et du Guatemala des villages d'Indiens blancs et blonds. Un de mes interlocuteurs affirmait avoir vécu pendant plusieurs semaines dans un de ces villages, et avait obtenu de ses habitants les récits les plus authentiques que j'ai jamais entendus sur les Quetzals. Leur langue est maya, et ils affirment être les descendants de ceux qui ont fui dans les forêts quand leur roi Quetzal a été vaincu et détrôné.
Le 13 est généralement considéré comme un signe de malchance, surtout s'il tombe un vendredi.
Mu, la Mère-patrie, a été détruite un vendredi, le ] 3ème jour du mois de Zac (le mois blanc). Le souvenir de ce jour funeste a traversé les âges et persiste encore aujourd'hui pour symboliser un jour de deuil, et la malchance.
Le Nivafou est aussi un cratère célèbre, d'un grand intérêt pour l'archéologue. Nivafou est une petite île au nord-est des Fidjis, à mi-chemin entre Fidji et Samoa. Le cratère éteint de Nivafou a trois kilomètres de diamètre. Depuis le temps où il contribua à engloutir le continent de Mu, il s'est rempli d'eau et forme maintenant un lac. Ces exemples sont seulement les plus frappants parmi les immenses volcans éteints des îles polynésiennes. je doute fort qu'il y ait jamais eu d'éruption volcanique dans l'histoire du monde comparable à l'horreur du terrifiant cataclysme qui frappa la race humaine et détruisit la terre de Mu.
L'Amérique est plus ancienne que l'Atlantide, l'Egypte, la Grèce, Babylone, l'Inde et bien d'autres nations anciennes. Les légendes indiennes de la région de Pipestone indiquent aussi que les premiers Américains étaient un peuple hautement civilisé, et qu'ils venaient d'une terre située à l'ouest, au-delà du soleil couchant.
Ils disent à leurs disciples que les symboles ne sont faits que pour fixer l'attention des fidèles et sont en réalité les différents emblèmes de la Déité. Mais comme cette saine théologie ne peut apporter de profits matériels, ils la dissimulent au peuple. (Et enseignent ce qui provoque la superstition et la crainte.)
Il y a de nombreuses variantes de la civilisation dans les diverses parties du monde, ce qui est dû sans aucun doute à la façon par laquelle elle a été transmise de génération en génération.
Lors de la destruction de Mu, sa population était extraordinairement civilisée et ses progrès scientifiques dépassaient tout ce que nous pouvons connaître aujourd'hui, ce qui n'a rien de surprenant, puisque ce peuple avait deux cent mille ans d'expérience, alors que nos débuts scientifiques ne remontent guère qu'à un demi-millénaire!
Les grandes civilisations des anciens empires orientaux — Babylone, l'Inde, l'Egypte, etc. — n'étaient que les derniers feux de la civilisation de Mu, ses enfants qui moururent quand elle ne fut plus là.
Poursuivant mes recherches, je découvris que ce continent perdu s'était étendu depuis le nord de Hawaii jusqu'aux îles Fidji d'une part et l'île de Pâques d'autre part. Il avait été incontestablement la demeure originelle de l'homme.
J'appris aussi la véritable histoire de la création du monde. C'était sur le continent de Mu que l'homme avait fait sa première apparition.
L'accumulation et la concentration des richesses aboutit immanquablement à la ruine d'une nation; l'Histoire nous en donne d'innombrables exemples.
Au nord-est, enfin, un troisième courant colonisateur n'alla jamais plus loin que l'Amérique du Nord, Nevada et Mexique, et l'Amérique du Sud, au Pérou, où l'on trouve des traces des canaux évoqués plus haut au sommet de la cordillère des Andes, près du lac Titicaca. Des vestiges de peuples extrêmement anciens ont été trouvés de l'Alaska au cap Horn et un fait s'impose: aucun vestige humain très ancien n'a été découvert près des côtes.
Ce continent était une immense plaine vallonnée, s'étendant du nord de Hawaii vers le sud. Une ligne tracée entre l'île de Pâques et les Fidjis formait sa limite méridionale. Son étendue était de plus de huit mille kilomètres d'est en ouest, et de plus de cinq mille du nord au sud. Le continent était formé de trois terres, divisées par d'étroits chenaux ou détroits.