AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
Citations de James Hadley Chase (1067)


Les kidnappers sont en général, aussi impitoyables que les maîtres chanteurs
Commenter  J’apprécie          00
Il est dangereux d’avoir affaire à des kidnappers. Le pigeon qui remet la rançon se fait démolir une fois sur deux.
Commenter  J’apprécie          00
C’est une voix de femme, basse, un peu traînante. Une voix faite pour accrocher les hommes. En tout cas, elle m’accroche.
Commenter  J’apprécie          00
Le silence retombe dans la pièce comme un nuage de poussière.
Commenter  J’apprécie          10
A ton idée, ça me coûterait combien ?
— Dix ans de ta paie.
— Eh ! oui, t’as sans doute raison. Vaut mieux continuer mon rêve.
Commenter  J’apprécie          00
C’est une grande blonde effrontée, dont les façons de vivre auraient scandalisé un singe.
Commenter  J’apprécie          10
— C'est pour causer que vous êtes venu ? dit-elle avec un regard aussitôt détourné. Il me semble que vous perdez votre temps.
— Pas du tout. Vous m'intéressez et j'aime bavarder avec une jolie femme.
Elle leva les yeux au plafond comme excédée.
— Oh ! ils disent tous la même chose ! fit-elle d'un ton exaspéré.
La réflexion me déplut.
— Si ça ne vous fait rien, je préfère ne pas être confondu avec la foule dis-je assez sèchement.
Elle parut surprise.
— Dites donc, vous ne vous prenez pas pour n'importe qui, on dirait ?
— Et pourquoi donc ? Qui aura bonne opinion de moi si je ne donne pas l'exemple ?
Commenter  J’apprécie          60
Boule-de-billard était un gars marrant: très vaniteux, reprit Solo. Il dépensait un argent fou en perruques. Il détestait qu'on l'appelle Boule-de-billard. Il en est presque devenu dingue pendant qu'il tirait son temps en cabane... on était dans la même prison. Même le gardien l'appelait comme ça. (Solo secoua la tête). Je le plaignais malgré sa bêtise. Quand on était sur notre dernier casse., il a retiré un gant pour rajuster sa perruque et a laissé une empreinte. C'est ça qui nous a fait prendre.... sa perruque!
Commenter  J’apprécie          198
à Hollywood, personne ne donne une idée pour rien.
Commenter  J’apprécie          10
Comme il est curieux de penser que le désir sensuel repose sur un équilibre si délicat que le plus petit détail est capable de le détruire. Un geste inconscient, un mot irréfléchi, une simple manie, un tic trop souvent répété, et c'est la fin d'un grand amour qui avait résisté à des assauts en apparence autrement redoutables. Le fauteur ne s'en rend pas compte, l'autre se résigne à l'inévitable et tous deux continuent à vivre côte à côte sans changement visible. Bien qu'on ne se soit rien dit, que personne n'ait marqué le coup, quelque chose qui leur était infiniment précieux à tous deux est mort.
Commenter  J’apprécie          100
- Mel ! Comme c’est gentil. J’allais t’appeler ce soir.
- Comment vas-tu, Joy ? Tu as passé de bonnes vacances ?
- Très bonnes. Je…
- Comment va le juge ?
- En pleine forme. Nous nous demandions…
- Joy… On peut se retrouver vers six heures ? Je voudrais te parler.
Son ton grave la surprit.
- Mais bien sûr. Où veux-tu qu’on se retrouve ?
- Est-ce que ça t’ennuierait de venir à la banque ?
Commenter  J’apprécie          10
Elle sourit et jeta un coup d’œil à sa montre. Il était presque quatre heures : l’heure du thé. Elle quitta la pièce et descendit vivement l’escalier.
Au moment où elle traversait le vestibule, le téléphone sonna. C’était Mel Devon. Son cœur battit lorsqu’elle reconnut sa voix. C’était la première fois qu’ils se parlaient depuis son départ.
Commenter  J’apprécie          10
Joy se sentit fatiguée, tout à coup. Laissant ses valises, elle alla à la fenêtre et vit son père, un grand vieillard maigre aux cheveux blancs, qui se promenait dans une allée en examinant ses rosiers.
Commenter  J’apprécie          10
Terrell gagna la chambre du cadavre où Lepski adossé au mur, bavardait avec les hommes de l’Identité judiciaire qui venaient de terminer leur travail.
- Tom, dit Terrell, j’aimerais que vous enquêtiez dans les parages pour savoir si quelqu’un a entendu une détonation. Et trouvez-moi aussi quelques renseignements sur Williams.
- Vous voulez que je m’y mette maintenant ? demanda Lepski. Il est à peine six heures. Je ne peux tout de même pas tirer les gens du lit, ils ne seraient pas d’humeur à coopérer.
Commenter  J’apprécie          10
- Affaire classée, dit Hess. Du beau travail.
- C’est ce qu’on dirait, répondit Terrell. Mais il y a encore beaucoup à faire. Vous deux, vous irez jeter un coup d’œil sur l’appartement de cette fille, à East Street. Vérifiez si son écriture est bien la même que celle du mot trouvé dans son sac. L’affaire me parait assez simple, mais il faut s’en assurer. Vous interrogerez le nain. Il a l’air d’en savoir long. Il pourrait peut-être nous dire pourquoi elle a descendu Williams. Je veux un rapport dès six heures. Ne perdez pas de temps.
Hess eut envie de protester, mais il se contenta de répondre :
- Bien chef, en réprimant un bâillement.
Commenter  J’apprécie          10
- Voilà du pain sur la planche ! dit-il à Terrell. Vous savez pourquoi elle l’a descendu ?
- C’est ce qu’il faudra découvrir, répondit Terrell en sortant de sa voiture. A bientôt, Bert !
Il quitta le journaliste et pénétra dans la maison. Beigler et Hess bavardaient dans le vestibule.
- Affaire classée, dit Hess. Du beau travail.
Commenter  J’apprécie          10
Après le départ de Lowis, Bert Hamilton sortit du bungalow. Il s’était beaucoup démené au téléphone, à élaborer son article.
Commenter  J’apprécie          10
Je hausse les épaules.
- Parfait. Autant faire les choses à fond pendant qu’on y est. Moi, je persiste à croire que Maddox a rêvé… Je te parie une paire de bas contre un paquet de cigarettes que nous ne trouverons rien de suspect à Springville.
- Disons deux paires, dit Helen vivement, et c’est tenu !
Commenter  J’apprécie          10
- Mais nous ne pouvons pas faire à Maddox un rapport consciencieux, si nous n’avons pas vu Corrine, Steve. Je reconnais que ni Susan ni Denny ne me semblent suspects, mais j’ai toujours l’impression qu’il y a là-dessous quelque astuce. Je crois qu’ils sont de bonne foi, mais tu oublies l’homme au veston à carreaux et cette femme. Tu oublies que lorsque le concierge a été assassiné, ils étaient l’un et l’autre dans les parages… Je veux me rassurer au sujet de Corrine Bonn, et je veux voir son mari. N’oublie pas que s’il arrive quelque chose à Susan, et que Corrine touche l’argent, son mari partagera avec elle. C’est peut-être lui qui se cache derrière tout cela, e admettant qu’il y ait une combine louche.
Commenter  J’apprécie          10
J’amène la police sous la lampe pour examiner l’empreinte barbouillée sous la signature de Susan.
- C’est la même en tous points ! Voilà la fourche et voici les tourbillons. Eh bien ! es-tu satisfaite, maintenant ?
- Pas complètement, Steve. Je trouve que nous devrions passer voir Corrine Bonn avant de rentrer faire notre rapport à Maddox.
- Springville est à plus de cent soixante kilomètres d’ici. Pourquoi perdre tout ce temps ?
Commenter  J’apprécie          10



Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Lecteurs de James Hadley Chase Voir plus

Quiz Voir plus

James Hadley Chase... à la Proust N°11

Si j'étais une saison

Printemps
Été
Automne
Hiver

12 questions
19 lecteurs ont répondu
Thème : James Hadley ChaseCréer un quiz sur cet auteur

{* *}