Le travail a pris une place très importante dans nos vies; et depuis l’instauration du télétravail dans un grand nombre d’entreprise, les salariés ont fait entrés leur activité professionnelle à la maison. Mais n’est pas ce qui existait à l’origine? Ce n’est pourtant pas une excellente idée, pourtant de peur de le perdre on préfère en plus que moins.
Dans cet ouvrage c’est cette idée qui est traitée, la peur du manque nous fait produire beaucoup trop, et pour produire il faut également travailler plus et trop.
De la préhistoire à la naissance de l’agriculture et de l’ère moderne, en passant par les grands noms de l’économie l’auteur nous explique le développement du travail. On comprend que si l’auteur aborde le surplus de production c’est que la question de la survie de la planète et les inégalités sont des sujets parallèles.
Le propos de l’auteur sur les civilisations plus anciennes et leur rapport au travail et à leur survie, est intéressant, l’analyse s’appuie sur des faits, des découvertes et des théories déjà existantes. Il explique par exemple qu’il est difficile de dater avec plus de fiabilité l’utilisation du feu et si nos ancêtres étaient réellement des hommes des cavernes.
Le développement de l’industrialisation et la création des nouvelles technologies a mis au monde un homme nouveau mais également des moyens de produire différemment. Certains métiers apparaissent et d’autres disparaissent.
Essai compréhensible et concret, bien construit et suivant une chronologie historique des faits et avancées, il traite du travail et de tout ce qui s’y apparente sur un large pan de l’Histoire du monde.
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