Jean-Luc Istin

le concept est pas mal, j’ai bien aimé l’univers de la BD. Cette science fiction qui accentue l’un des problèmes majeur de notre environnement la mauvaise qualité de notre air.



Mais plusieurs bémol, on ne s’attache pas au personnages. les scènes sont très succinctes avec plusieurs informations sans sens qui se suivent. enfin il est difficile pour ma part de m’accrocher à personnages fulgaire. type d’un film d’action à l’américaine il manque de personnalité et de sentiment.

Quelle bd étrange me suis je procuré ici avec ce premier tome...! Il s'agit presque d'un space opera ( ça commence tout comme!), puis ça dévie vers un survival spatial pour finir sur une enquête qui mêle la génétique, la religion, et prend en compte des considérations mystiques. Nous avons là un joyeux mélange des genres, qui me laisse très perplexe quant à sa cohérence, mais ce n'est que le premier tome.

Nous sommes donc au coeur d'une enquête menée par un inspecteur en fin de carrière, et qui semble lié à une histoire beaucoup plus sombre et plus sordide, et qui concernerait l'humanité entière. Les quelques éléments qui sont lâchés ne nous permettent pas d'en savoir plus; faire le lien est difficile même si l'on sent bien l'intention de l'auteur de nous emmener dans cette direction là.

Ce premier tome se lit bien, va à l'essentiel pour maintenir le lecteur sans jamais l'ennuyer, l'intérêt résidant essentiellement dans le lien qui peut bien unir les différentes histoires.

Les graphismes ne sont pas exceptionnels, loin de là, mais ont le mérite eux aussi de dire l'essentiel. Quelques planches sont plutôt même pauvres mais c'est pour mieux souligner l'action alors en cours.

J'attendrai la lecture des second et troisième tomes qui constituent cette trilogie pour me faire une idée plus précise, mais pour le moment, ce n'est pas très emballant...

Je poursuis ma lecture de ce récit mystico ésotérique spatial avec une certaine appréhension. je ne vois vraiment pas où nous emmène Jean Luc Istin à travers cette enquête qui semble trouver son origine dans la religion.

Les références y vont bon train et le scénario remanie une partie des Saintes Écritures dans cette histoire qui devient incompréhensible. Mes références et connaissances en matière de religion sont loin d'être à la hauteur pour appréhender toutes les subtilités du récit dont il me semble de plus en plus évident qu'il s'agit d'un délire.

Je ne vois vraiment pas où va l'histoire et je me contente de suivre les événements, de les subir.

Ce tome 2 se focalise sur le récit concernant les neuf dragons, des êtres puissants sensés changer le monde pour en construire un meilleur.

Étrange...

Troisième et dernier tome de ce triptyque. J'avoue que je n'ai toujours pas bien compris les fondements de cette histoire, même si elle se lit bien.

Donc nous avons apparemment la conclusion d'un combat millénaire que se livrent les Sopherim, 7 hommes nommés par Moïse pour former Khayya, une société secrète, et les 9 dragons. Chose que je n'avais jusque là pas du tout compris. Il semble que l'un des dragons ait décidé de retourner sa veste, et alors qu'il servait le mal jusque là, il décide de se mettre au service du bien. Et c'est bien difficile à croire, plus dans ce sens que dans l'autre d'ailleurs. mais le fait est assez rare en soi pour être souligné.

Il me semble que ce récit est une sorte de parabole du commencement, au sen biblique du terme, donc de la création, ou plutôt du renouveau, après l'apocalypse. Cette fin du monde est illustré par cette maladie qui transforme tous les humains en zombies et qui sème la mort partout, sans que personne ne puisse rien y faire.

Il ne s'agit là que de mon interprétation, chacun y verra ce que bon lui semble, chacun y trouvera ce qu'il a à trouver, et loin de moi l'idée de décrypter le sens que Jean Luc Istin a souhaité donné à ce récit quelque peu étrange....

Si la trame générale ne paraît pas si originale, le suspense est bien présent, grâce à un habile découpage en chapitres.
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On salue l’efficacité du récit qui va donc rythmer nos prochains dix-huit mois avec ce personnage empruntant allégrement à Dexter.
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A n'en pas douter les amateurs de sueurs froides sont servis et vont en redemander...
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Un tome 1, un peu classique sur l'histoire : une contamination, des humains qui ne pensent pas aux zombies, et cela part d'un hôpital, tout comme le héros de Walking Dead qui se réveille à l'hôpital et l'héroïne de Resident Evil qui s'y réveille dans l'un des épisodes...

L'originalité provient d'Alice qui tue ses patients, cependant pour le moment ce n'est pas assez mis en avant, dommage ! J'ai quand même envie de lire la suite, à suivre !

Le sujet semble courant ces temps-ci mais il est traité ici de manière suffisamment originale pour ne pas avoir le goût de déjà vu.
Lien : http://bulles-et-onomatopees..

bd de zombie sans vraiment l'être dont l'héroine est une tueuse plus complexe que prévue à l'origine. Malgré cette entrée en matière rédhibitoire normalement pour moi, j'apprécie car il y a des bouffées d'humour noir évidemment, l'histoire n'est pas si linéaire que cela puisqu'Alice se sent obligée de découvrir l'origine de l'épidémie pour que ses petites activités ne soient pas découvertes. A suivre

De beaux dessins et une bonne ambiance, entre The walking dead et Dexter mais qui malheureusement n'arrive pas à trouver l'originalité, une énième histoire de zombies, j'aime bien mais ici comme je n'ai pas du tout accroché aux personnages, j'ai trouvé sympa mais sans plus. Réservé aux amateurs de zombies.

Bon, je ne suis pas trop adepte de ce genre de lecture en général et cela n'a pas trop changé que ce soit en BD. On retrouve un peu le format manga, avec les chapitres. Mais voilà pas plus emballée que cela

Alice Matheson, c’est un peu Dexter qui rencontrerait Urgences et Walking Dead !



Vous me dites comment on fait pour ne pas aimer ? :D



J’avoue que je me suis plongée avec délice dans cette histoire d’infirmière psychopathe.



D’abord les détails que j’ai beaucoup appréciés. Dès le début on trouve une présentation des différents personnages : « photo », nom, âge, fonction et quelques détails qui aideront à cerner les personnalités pendant la lecture.



Ensuite, on reconnaît la radiographie d’une tête humaine en fond sur la page intérieure où se trouve le titre.



L’histoire est découpée en chapitres, cela permet de saisir les différentes étapes.



Il y a donc un vrai sens du détail dans cette BD, l’ensemble est très travaillé, et cela donne plus de plaisir à la lire.



Concernant le contenu même de l’histoire. Tout d’abord, l’atmosphère qui règne est envoûtante. Les couleurs et les dessins marquent les différentes étapes. C’est à la fois sombre et lumineux, sépia et coloré.



L’humour est présent, le cynisme aussi.



Alice Matheson est une psychopathe, ça on ne le niera pas. Elle se sent vivre quand elle donne la mort. Elle tire littéralement de la vie de la mort.



« J’aime cette ville où les cinglés comme moi qui ressemblent à des gens normaux côtoient des gens normaux qui ressemblent à des cinglés » (pages 31).



Ca vous donne une idée du personnage… Elle ne reculera devant rien pour protéger son secret.



Si vous aimez Walking Dead, vous ne serez pas dépaysés avec la présence des zombies. Pourquoi les morts se relèvent-ils ?



Vous l’aurez compris, je vous recommande cette BD.
Lien : https://chroniqueslitteraire..

Dans ce premier tome, le lecteur fait la connaissance d'Alice Matheson, une infirmière secrète et froide au comportement étrange. Son secret, c'est qu'elle se glisse le soir près des patients pour précipiter leur mort. Elle s'adonne à cette activité qui la fait se sentir assez étrangement pleine d'émotions et de vie. Pourquoi fait-elle cela ? Que cache-t-elle? C'est le seul élément intrigant qui distingue un peu cette histoire de zombies de toutes les autres BD du même genre. On a en effet un déroulement assez classique pour un début d'épidémie : des morsures, une balle dans la tête, des morts, des recherches scientifiques... Tout est assez banal et déjà vu, que ce soit les dessins, les dialogues ou les personnages (le docteur qui se frotte à tout ce qui bouge, le complexé, la chercheuse de potin...) Bilan donc assez décevant pour cette histoire qui, je trouve, cède un peu trop à la facilité. Je ne pense pas poursuivre avec les autres tomes.

Mais pourquoi est-ce que j’ai choisi d’emprunter ce titre à ma bibliothèque sans regarder la maison d’édition ?!

Encore une épidémie de zombies, bon, ça c’est pas gênant, j’aime bien. Mais quand on fait du copier/coller de ce qui se fait ailleurs, et qu’en plus on le fait mal, c’est le bouquet !

On prends un peu de Dexter, un peu de Grey’s Anatomy et Urgences, beaucoup de Walking Dead, on mélange le tout, et on vomit ça.





Alice Matheson a soif de meurtres. Le première scène s’ouvre alors qu’elle a ligotée une femme en fin de vie. Un petit discours sur ses pulsions meurtrières qu’elle ne peut contrôler et elle passe à l’action. On pourrait s’attendre à des coups de poignards, quelque chose de violent après le discours qu’on vient de lire, mais non, elle fait juste une injection de chlorure de potassium pour euthanasier la patiente. Bon, passons…





La femme se relève, et notre chère Alice, trouve tout de suite l’idée de lui fracasser la tête (bah oui, l’auteur a vu ou lu Walking Dead).

Ensuite, chapitre suivant, on fait la rencontre d’un médecin qui couche avec son infirmière (Oui, l’auteur à aussi regardé les séries peu crédibles que sont Grey’s Anatomy et Urgences). On rencontre ensuite une autre infirmière qui discute grossièrement. Et quand je dis grossièrement, je suis léger. Vous en doutez ? Voici le court dialogue inutile qui vient juste là pour faire genre :





« - T’es au courant Juan ?



- Non. mais accouche, ma chérie, ça sent le scoop !



- Carrément ! Docteur Trou-du-cul affirme que quelqu’un se sert dans la pharmacie pour sa consommation perso.



- Il t’a dit ça pendant que tu lui suçais le dard ?



- J’aurais pas dit non, Juan. Mais sa bite était déjà fourrée dans ton cul. »





Et on change de case ! A quoi cela servait dans l’histoire ? Je cherche encore, sans doute que l’auteur venait de regarder un épisode de Californication quand il a écrit ce dialogue.





Après ça, je me suis dit que c’était foutu, et j’avais raison, les gens semblent être tous contaminés, dès que quelqu’un meurt il se relève automatiquement en Zombie (bien que là, il y a quelques exceptions) quand ils vous mordent, vous êtes fichus, un coup à la tête suffit à les tuer, et bien sur cela se passe à Londres car l’auteur doit connaitre 28 jours plus tard.





Bref, rien de nouveau, du déjà vu, mais ça aurait pu passer si c’était de meilleure qualité. Là, ça part dans tous les sens, c’est caricatural et sans âme. J’aurais dû regarder la maison d’édition, Soleil, quelle idée… 30 min de lecture perdue.

Alice Matheson travaille au St Mary Hospital de Londres. Talentueuse, elle pourrait largement devenir chirurgienne si elle le désirait. Mais changer de poste mettrait en péril sa double vie de psychopathe calculatrice qui prend plaisir à regarder ses victimes mourir. Tout se complique le jour où l’une de ses victimes se relève comme un mort vivant, avide de chair. Dans les premières heures d’une épidémie sans précédent, découvrez l’évolution d’une tueuse en série enfin dans son élément.



Série à suivre de près ! Un mélange de toutes les série qu’on aime (Dexter, Walking Dead et même Grey’s Anatomy) qui donne une histoire parfaitement équilibrée. Le personnage principal ne tombe pas dans les stéréotypes du psychopathe, et il n’y a pas de zombies à tous les coins de rue.

Me voici en présence d'une bien jolie bd avec Jean Luc Istin aux commandes, un scénariste que l'apprécie par ailleurs pour certaines de ses autres oeuvres ( Elfes, les druides, le sang du dragon...). Une bien jolie bd car en feuilletant les quelques premières pages, l'ambiance glauque me plaît d'emblée et finit de me persuader de l'emprunter, ainsi que le second volume.

A première vue il s'agit d'une énième histoire de zombies, avec son lot de cadavres ambulants, de morts revenants à la vie, d'interrogations de spécialistes sur la question et d'interventions de l'armée. Rien de bien nouveau au regard de toute la production existante sur le sujet, tous supports confondus. Il faut avouer qu'il est devenu laborieux de renouveler le genre tant il a été traité. Donc m'est avis que l'intérêt n'est pas dans le zombie mais bien dans le personnage principal, Alice Matheson, une infirmière intéressante qui joue littéralement avec la mort, avec les morts. Tout l'intérêt de cette bd résidera, j'en suis pratiquement certain, dans le développement de ce personnage, dans un décor zombiesque. Un décor qui se veut profondément mortifère à l'image des graphismes et du choix de couleurs des illustrateurs, qui savent parfaitement capter l'atmosphère propre à ce genre de fiction. Les tons froids et sombres contribuent parfaitement à créer cet ambiance quasi post apocalyptique. Cela est renforcé par la fait que l'histoire débute dans les couloirs lugubres d'un hôpital, et même à la morgue. De fait on ne pas se méprendre sur le sujet, on va bien nous parler de mort.

Je trouve donc très intéressant et accrocheur l'idée de ce personnage féminin, cette infirmière, en apparence froide, sans émotions, qui côtoie la morts et les cadavres depuis 6 ans, et qui mène une sorte d'expérience personnelle. En apparence car au fil des pages, l'infirmière en question se révèle peut être plus humaine qu'elle n'y paraît, la contradiction étant renforcée par la propre définition qu'elle se fait d'elle même ( je pensais être le seul monstre qui hante cet hôpital), et par le fait qu'elle est complètement consciente de ses actes atroces.

Enfin en arrière plan se pose la question de l'euthanasie, du libre arbitre des patients en phase terminale ou dont le cas est désespéré, du choix face à leur propre mort.

OK, je suis fan de zombies... Et les multiples références à des séries télévisées, ce n'est pas fait pour me déplaire. Du moins, à la base...



Mais point trop n'en faut.



Ici, on a une infirmière psychopathe qui aime abréger les souffrances de ses patients... Puis venus d'on ne sait où, des zombies... Et on remet une couche de baise entre collègues, de drague un peu relou, et un fifrelin de complot mondial, etc. Bref, on mélange un peu tout ce que les téléspectateurs ont aimé et on en fait une BD...



D'ailleurs, on commence avec une double page qui présente les protagonists, à l'instar de la recap de Walking Dead. Sauf que, vu qu'il s'agt du premier tome, on a toute une galerie de personnages que l'on ne connaît pas encore, dont une partie meurt à la page 3, 5, 7...



Et cela continue ainsi pendant 46 planches.



Même le decoupage en "chapitres" rappelle la manière dont certaines series sont construites.



Bon, comme je l'ai dit d'entrée de critique, je suis fan... quasiment par principe. Mais l'absence de surprise est nettement préjudiciable au Plaisir que je peux éprouver. D'une part, on enfile de vieilles charentaises, et d'autre part, on constate qu'elles sont trouées... Quelle sensation l'emporte?



Pourtant il y a du talent. L'art de raconter est bien maîtrisé. Le découpage est bon. Le dessin est plutôt OK, même si certaines expressions sont parfois mal rendues, ou certains visages moins reconnaissables. Je demande à voir ce que réserve la suite.

Alice Matheson est infirmière dans un service de soins palliatifs d'un hôpital londonien. Sa grande discrétion, attribuée par ses collègues à un caractère extrêmement réservé, est en réalité un stratagème qu'elle a mis en place pour assouvir de bien sombres pulsions : tuer des patients en fin de vie pour se sentir elle-même bien vivante.

Grâce à sa froide et grande intelligence, Alice aurait pu satisfaire encore longtemps ses instincts meurtriers mais seulement voilà, sa vie bascule tout autant que celles de ses collègues : les morts reviennent à la vie.

Contrariant pour notre infirmière sociopathe...

Je ne m'en cache pas, j'adore les histoires de zombies. Et cette série prévue en 6 tomes, scénarisée par Jean-Luc Istin, avait tout pour me plaire. J'ai d'ailleurs attendu que sorte le 5ème volume pour en commencer la découverte... Mon avis après cette 1ère lecture reste mitigé, devant le peu d'inventivité sur un registre déjà, il est vrai, très exploité ces derniers temps. Le graphisme est propre, chirurgical, renforçant le côté glacial de la série. Il reste peu de place côté lecteur pour développer un sentiment de sympathie pour ne serait-ce qu'un protagoniste de l'histoire. Ce premier tome reste cependant logiquement celui de la mise en place de l'intrigue, je compte bien sur le 2ème pour aiguiser mon envie de continuer...

Critique : « Alice Matheson : t.1 - Jour Z » d’Istin et Vandaële aux éditions #Soleil.



Synopsis : 



"On dit que l’enfer est sur terre mais pour Alice, c’est une sorte de paradis...



Sexy et brillante infirmière du St Mary Hospital de Londres, Alice Matheson pourrait être chirurgien, elle en a les capacités, les nerfs d’acier, le Q.I, mais ce serait s’exposer inutilement. Car Alice est un ange de la mort, une psychopathe froide et calculatrice qui assassine ses victimes parmi les patients en phase terminale de l’hôpital.

Elle mène une double vie, qui se complique le jour où une de ses victimes se relève malgré la dose mortelle qu’elle vient de lui administrer.

Londres vit alors les premières heures d’une épidémie d’un genre nouveau : les morts marchent. Et même pour un serial-killer, tout cela a quelque chose de perturbant.

L’hôpital est sur le pied de guerre et ce n’est pas peu dire, l’armée investit aussi les lieux pour protéger les vivants des morts. L’hôpital s’organise pour traiter les patients et trouver une solution à l’épidémie.

Avant le jour Z, Alice était une anomalie, désormais, les autres sont de pire en pire.

Finalement, elle ne s’est jamais sentie aussi vivante qu’au milieu des morts."



Faisant partie de la collection « Anticipation » des éditions #Soleil, cette série surfe sur la vibe « Zombies », qui dans son temps a lancé la série #TheWalkingDead aux éditions #Semic. Et oui cette série n’a pas toujours été chez #Delcourt. 😉



Nous retrouvons donc notre bon vieux schéma : les morts se relèvent, mordent et contaminent à tour de bras bien plus vite que toutes les actions que peuvent mettre en route les autorités compétentes!! Et cela part vite en c*****es.



Points forts de cette série :



- un des personnages principaux est une infirmière sociopathe qui tue les malades incurables ou en fin de vie afin de « ressentir » leurs derniers instants!



- Jean-Luc Istin est au commande du visuel et quel visuel! Les aficionados seront ravis.



Points faibles de cette série :



- le thème, déjà vu, revu et rerevu d’autant plus qu’il y a d’autres séries/comics qui ont marqué dans ce style comme #WorldWarZ ou #TheWelkingDead par exemple.



- encore une série de Zombies qui ne révolutionne rien et n’apporte pas grand chose de plus que les autres.



- elle arrive trop tard, car tellement d’auteurs, de dessinateurs ont surfés sur cette vibe « Zombies » qu’elle ne sort malheureusement pas du lot! Dommage, car elle aurait pu faire du bruit…



Note : 10/20.



Je mets 10 car j’adore le dessinateur et j’aime bien l’introduction de l’infirmière sociopathe. À découvrir si vous souhaitez sortir de TWD.



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