Je ne suis pas optimiste, je suis déterminé.
Ce qui est important, ce n'est ni d'être optimiste, ni pessimiste, mais d'être déterminé.
Quand les hommes se trouvent dans une situation nouvelle, ils s’adaptent et changent. Mais aussi longtemps qu’ils espèrent que les choses pourront rester en l’état ou faire l’objet de compromis, ils n’écoutent pas volontiers les idées neuves.
« Les hommes n'acceptent le changement que dans la nécessité et ils ne voient la nécessité que dans la crise. »
Il vaut mieux 10 000 chars de trop qu'un seul de moins (que nécessaire).
La construction de la paix en Europe a été plus simple qu'on ne l'a cru. Ce sont les nationalismes qui ont compliqué les choses. Les Européens avaient oublié qu'ils partageaient depuis toujours une même culture et une même civilisation. Ils redeviendront eux-mêmes lorsque ce fait deviendra évident pour tous.
Quand vous réunissez des hommes d'origine diverse, que vous les mettez en face du même problème et les chargez de le résoudre, ce ne sont plus les mêmes hommes. Dès lors qu'ils ne sont plus là pour défendre des intérêts, ils prennent sans effort la même vue.
L'important, ce n'est pas d'être optimiste ou pessimiste, c'est d'être déterminé à faire ce qu'on pense devoir faire, quoi qu'il arrive, en sachant que, peut-être, cela ne donnera rien. Mais, peut-être que cela donnera quelque chose.
Que fait-on quand un problème est insoluble ? On change le problème.
Nous ne coalisons pas les états, nous rassemblons les hommes.