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Citations de Jean-Pierre Alaux (140)


J'ai toujours préféré, il est vrai, l'enfer au paradis, les relations y sont à n'en pas douter plus sympathiques.
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Bienheureux les fêlés car ils laissent passer la lumière !
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Je mise toujours sur le pire, comme ça, je ne risque pas d’être déçu !
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La jalousie est le mur mitoyen qui sépare l'amour de la haine.
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Posées à même le sol, il y avait là des toiles d'artistes américains dont les couleurs et les figures géométriques paraissaient une insulte à la noblesse des lieux. Et dire que la femme qui s'agitait devant lui voulait accrocher ces œuvres dans son chai à barriques ! A son avis, il y avait de quoi convertir le vin de tout un millésime en vinaigre !
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Je préfère, et de loin, que ce soit des gens du cru qui prennent en main leur destinée plutôt qu’un classement de site arraché de haute lutte auprès d’un ministre aux ordres de l’Élysée !
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À l’époque, on faisait du vrai cinéma ! Ce n’est pas comme aujourd’hui où il suffit de montrer son derrière pour être en haut de l’affiche.
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Les hommes sont extrêmement portés à espérer et à craindre, et une religion qui n’aurait ni enfer, ni paradis, ne saurait guère leur plaire .
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Figurez-vous que, juste avant la guerre de 14-18, les œufs d’esturgeons, on les foutait à la baille pour ne garder que la chair du poisson. Fallait que l’on soit un peu fêlé, quand même ! C’est une princesse russe qui, passant par Saint-Seurin, alerta les pêcheurs sur ces trésors, semblables à des perles de jais, qui remplissaient les ventres de nos foutus créacs. C’est comme ça que nous sommes devenus la capitale du vrai caviar de Gironde.
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Le ballet des essuie- glaces rythmait des souvenirs qui se délitaient dans le jour naissant.
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À la campagne, les filles sont toujours plus délurées qu’en ville ! Le sexe est un élément naturel et spontané.
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La jalousie est le mur mitoyen qui sépare l’amour de la haine.
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Dans la vie, il ne faut rien prendre au sérieux, pas même ses ennuis !
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De toutes les vanités, la plus vaine, c’est l’homme !
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Les temps passent, les problèmes demeurent…
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C'était un lit de campagne, moins large que profond, dont les montants étaient en bois de noyer clair ; un de ces lits rustiques faits pour s'aimer dans le noir, enfanter dans la douleur, mourir avec un fol espoir d'au-delà. Les draps y étaient épais et rugueux, l’édredon gonflé de plumes d'oie.

Au dessus du lit, un crucifix trahissait une foi tissée de bondieuseries, d'encens et de chapelets. Glissée sous la croix, une branche de buis bénit tenait lieu de protection supplémentaire face aux coups du sort. Une antique pendule au balancier de cuivre régentait cette morne chambre plongée, de jour comme, de nuit, dans l'obscurité. p 9
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Séraphin prenait une voix sépulcrale pour mieux rendre compte du récit affligeant d'Hugo. Le dépouillement des lieux battus par le vent et la pluie rendait la prose du romancier plus sinistre encore:
- Il n'y va pas avec le dos de la cuillère, le père Victor ! "La salle des chevaliers est devenue un atelier où l'on regarde par la lucarne des hommes, hideux et gris, qui ont l'air d'araignées énormes..."
Partout ce n'est que la double dégradation de l'homme et du monument !
J'arrêt là Théo, sinon je sens que je vais vous arracher une larme.
- Bien avant Paris Match, ce busard d'Hugo connaissait le poids des mots !
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- Cordouan est sa raison de vivre. L'idée que ce phare puisse être sauvé de l'oubli est l'unique chose qui l'anime.
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Benjamin Cooker et son assistant Virgile Lanssien roulaient à vive allure en écoutant un disque de James Brown...
- Pouvez-vous baisser un peu le son Virgile ?
- Mais c'est de la bombe, patron !
- Justement, je sens que je vais exploser.
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Samuel chercherait alors un sommeil qui l'anéantirait jusqu'à midi. Puis, il irait enfouir son corps dans la mer, la seule maîtresse qui l'ait jamais caressé.
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