Jeff Kinney

Le journal d'un dégonflé est le carnet de bord de Greg, collégien américain de 12 ans, qui nous fait partager sa vie pendant une année scolaire...

Entre ses parents pas toujours compréhensifs, ses frères un brin agaçants, ses amis et les profs, Greg livre son quotidien fait de bêtises, de maladresses et de beaucoup d'humour.

Un roman graphique facile à lire, très drôle qui conviendra aux lecteurs à partir de 10/11 ans pour un moment de détente et de rigolade.

Septembre approche à grands pas... Greg n'est pas mécontent de reprendre le chemin de l'école. IL faut dire qu'il a passé un été assez pourri. Il n'est pas parti en vacances et son père l'a obligé à faire de la natation. Il a bien tenté de le persuader de l'inscrire à la gym aquatique mais ce dernier n'a pas flanché. Pour le coup, Greg passait quasiment la plupart des leçons enfermé dans les toilettes. Même s'il y faisait très froid! Comble de malchance: c'est son frère, Rodrick, celui-là même qui a mis la main sur son premier journal, qui venait le chercher dans sa camionnette. Pour couronner le tout, il est au courant d'un événement qui s'est passé pendant les vacances et que Greg ne tient à révéler à personne, même pas à son meilleur ami, Robert. Mais Rodrick semble vouloir imposer sa loi et quoi de mieux que de faire chanter son petit frère!? Heureusement que c'est la rentrée! Avec son lot de surprises...des bonnes comme des mauvaises... 



Dans cet album qui se présente tel un journal intime (format et lignes), Greg nous raconte ses petits (et gros) soucis du quotidien: sa mère un peu protectrice, son grand frère Rodrick qui n'arrête pas de faire sa loi, ses journées à l'école, son ami Robert, son correspondant français... Greg écrit tel un adolescent et pimente ses pages de quelques croquis. L'ensemble, évidemment enjoué, sincère, parfois naïf, prête à sourire. L'on se prend d'affection pour ce p'tit bonhomme touchant et naturel. Le scénario aurait peut-être pu être plus approfondi mais ce journal se lit avec plaisir tout de même.

Gregory Heffley a douze ans. Un jour, sa mère lui offre un journal intime. Mais pas question d’avoir un journal intime pour un garçon ! Il le rebaptise immédiatement en carnet de bord. Il raconte sa vie de collégien, sa relation avec son ami Robert sur lequel il a un avis bien arrêté mais aussi ses rapport avec sa famille et tout plein d'autres choses !

J’ai commencé ce journal, un peu sceptique mais au bout de quinze, vingt pages, j’ai commencé à bien me marrer avec les histoires d’un collégien, les bourdes involontaires, ses joies, ses déceptions. Bien sûr, c’est un peu exagéré par moments, c’est très premier degré mais je me suis beaucoup amusée tout le long. Les dessins sont simples, pas « enfantins » mais faciles à comprendre et très drôles.

J’ai vraiment eu du mal à le lâcher ! Un livre comme ça de temps en temps, ça fait vraiment du bien !

C'est mon fils qui avait emprunté ce roman à la bibliothèque, conseillé par un de ses copains. Alors que j'étais dans sa chambre, j'ai ouvert le livre, lu distraitement les premières pages et puis... je me suis prise au jeu.



"Journal d'un dégonflé" est un bouquin très anecdotique, qui ne restera ni dans l'histoire ni dans les mémoires. Mais c'est plutôt très rigolo et ça sonne assez juste. Si certains éléments sont typiquement américains (l'annuaire des élèves, le journal du collège, le spectacle musical...) les préoccupations d'un collégien sont bien rendues et sont finalement assez universelles.

J'aurai sans doute oublié ce "journal d'un dégonflé" d'ici 2 semaines mais cette lecture éclair m'a procuré de nombreux sourires et quelques éclats de rire.

Où une vieille tante meurt.

Où la famille Heffley hérite.

Où il s'agit de se mettre d'accord sur le bon usage du modeste magot.

Où, en voulant vendre sa maison, on en voit les vices cachés.

Où l'on constate, comme le M. Tanner de J-P. Dubois, à quel point il est compliqué de confier des travaux à des artisans.

Et où, bien sûr, Greg, l'éternel pré-ado aussi loser qu'inventif nous amuse...



On ne présente plus cette série qui en est à son 14e épisode.

Découvertes en famille en 2011, les aventures de ce 'dégonflé' me réjouissent toujours autant, et j'ai tendance à sauter sur le dernier opus dès que je le vois en vente.



Pas vraiment de la BD, mais autant de texte (plein d'humour) que de dessin (rond et stylisé), et une mise en page aérée. Donc parmi le public visé (9-12 ans), même les moins assidus en lecture devraient se régaler.



PS : le premier tome a été traduit en latin ('Commentarii de Inepto Puero')

Cette année chez les Heffley, Noël sera davantage rythmé par des 'Darla dirla dada' ♪♫ que par du 'Jingle Bells'. ♪♫

Les parents ont décidé de faire un pélerinage en famille à Isla de Corales, petit coin paradisiaque et ensoleillé où ils ont passé leur Lune de Miel.

Greg rechigne : renoncer au sapin, aux feux de cheminée, aux cadeaux - pas cool. Et puis prendre l'avion pour la première fois, le stress.

Et encore, il ne sait pas ce qui l'attend sous les tropiques !



Deux opus du 'Journal d'un dégonflé' par an, c'est beaucoup. On ressent parfois un manque d'idées, on espère que l'auteur va se faire aider s'il s'essouffle trop.

Je saute quand même sur chaque nouvelle parution, aveuglément.

Ce douzième épisode de la série ne m'a pas déçue, c'est même sans doute l'un de mes préférés, peut-être parce que j'y ai trouvé des échos avec ma lose et mes déboires en famille et/ou en voyage ?



La satire des clubs de vacances est particulièrement réussie, et, comme dans les précédents ouvrages, les illustrations rendent encore plus drôles les situations déjà cocasses.

Je vais faire mon vieux con, mais ce livre m'a fortement déplu : c'est l'histoire d'un gamin fort peu sympathique, de sa famille de débiles et de ses copains encore plus bêtes. Le personnage principal n'évolue pas, son quotidien n'a aucun intérêt, les gags ne sont pas marrants... Jour après jour, les autres personnages se montrent de plus en plus idiots. C'est plutôt déprimant, que peut en retirer le jeune lecteur ? Vu le succès de ce bouquin, je ne m’attendais pas à ça. Dans le style, il y a beaucoup mieux, comme la série de James Patterson la sixième, la pire année de ma vie.

Avec ce cinquième tome à l’excellente et drôle série Journal d’un dégonflé, j’ai l’impression que son auteur Jeff Kinney commence à s’essouffler. C’est parfois le risque avec les séries, on est sur une lancée, le public reste fidèle, on se dépêche à répondre à la demande mais les idées commencent à être moins originales. Notez bien, je n’ai pas détesté La vérité toute moche et son humour fonctionne toujours. J’ai même beaucoup ri par moments (ou plutôt souri, c’est déjà un signe) mais j’avais souvent cette impression qu’il manquait un petit quelque chose. Trois choses, en fait. Les voici :



Premièrement, le protagoniste devient de moins en moins aimable et intéressant à mesure qu’il grandit. On aime bien un garçon sur qui s’abat des petits malheurs les uns après les autres mais Greg n’apprend-il jamais d’une fois à l’autre ? Il ne devient pas une meilleure personne, il n’évolue pas (psychologiquement). Et ce, malgré la puberté qui le guette et commence à le transformer et l’amour qui le préoccupe. Il est toujours ce petit garçon étourdi et égocentrique. Chez un enfant, ça passe mais chez un adolescent, c’est beaucoup moins mignon.



Deuxièmement, il manque à Greg un antagoniste. Son grand frère Rodrick faisait très bien l’affaire dans les tomes précédents (ô comme je m’ennuie de lui !) Ça ajoute du piquant, une tension adorable, on adore les méchants sympathiques. Mais quand les principales difficultés proviennent des parents ou autres membres de la famille, avec leur incompréhension et leur sollicitude agaçante (voire déplacée) mais tout de même bienveillante, c’est difficile leur en vouloir.



Troisièmement, il manque une unité d’action. Certains pourraient arguer que le grand thème est le retour à l’école et le début de la puberté mais ça reste assez vague dans ce cas-ci. En lisant ce cinquième tome, j’avais l’impression de regarder des streap de comics comme on les retrouvait jadis dans les journaux et qui étaient réunis pêle-mêle dans une édition quelconque. Quand les différents épisodes sont interchangeables (voire supplimables), ça enlève à l'histoire plus que la somme des parties.



Mais bon, c’est toujours agréable de retrouver des personnages connus et sympathiques et suffisamment drôles. J’ai déjà commenté les excellents dessins (à part ceux de la mère de Greg, avec ses lunettes au travers desquelles on ne voit pas les yeux, j’ai l’impression qu’elle manque de personnalité), je ne reviendrai pas là-dessus. Je lirai quand mêmes ses autres aventures même si je ne retrouve plus le même plaisir à le faire.

Quelle bonne surprise de tomber par hasard sur ce nouvel épisode dont j'ignorais l'existence ! La VF du précédent opus est sortie en octobre 2016 - sept mois entre les deux, mazette !



Enthousiasme de courte durée.

Si j'ai aimé retrouver Greg et ses proches, j'ai vite trouvé ce onzième volet nettement en-deçà des précédents.

Jeff Kinney (et ses collaborateurs ?) s'essouffle(nt), c'est évident.

L'intrigue décolle très tardivement, les bonnes trouvailles se font rares. Quant à l'histoire annoncée en 4e de couv, j'ai longtemps cru à une erreur puisqu'elle se déroule uniquement sur les vingt dernières pages du récit (sur un total de 220).



Reste le personnage formidable de la maman de Greg. Elle rame avec ses trois fistons, surtout les deux aînés, et n'est jamais à court d'astuces pour les inciter à un comportement familial respectueux et responsable - l'idée du 'sac à pioches' pour distribuer les corvées est géniale ! 😊 Je tenterais bien, mais je crains les embrouilles et les cris. On va s'en tenir à l'alternance (un peu compliquée quand l'un des deux n'est pas là à un repas : tous les prétextes sont bons pour chipoter) - bien notée sur le calendrier, parce que les jeunes ont la mémoire très courte...

Une fois n’est pas coutume, c’est dans le rayon « Jeunesse » que je suis allé piocher une lecture. Le tome 1 du journal d’un dégonflé, donc, ou plus précisément le carnet de bord (et pas le journal intime, il y tient !) de Greg Heffley, collégien américain de 5ème. Un carnet de bord qui couvre toute une année scolaire, alternant de façon très réussie texte assez court et dessin un peu basique. C’est franchement amusant (dans le genre potache… nous avons affaire à un garçon d’une douzaine d’années, ne l’oublions pas !), et assez rythmé. J’ai bien aimé en particulier le passage où Greg et son pote Robert tentait de créer une maison hantée dans le sous-sol de Robert, histoire de se faire un peu d’argent…En tout cas, nous l’avons tous lu et apprécié à la maison, ce journal d’un dégonflé… et certains ont déjà attaqué le tome 2 !

Une fois par an : le kif complet en découvrant qu'un nouvel épisode des aventures de Greg est paru.

Suite du kif en filant l'acheter, puis en le lisant/regardant, puis en me bidonnant presque à chaque page, puis en le débriefant après avec les (grands) enfants de la maison - se rappeler les gags préférés et se marrer encore.



Toujours la même formule gagnante, moult fois copiée depuis, jamais égalée à mes yeux : un jeune collégien aussi futé que loser et rigolo, entre le Petit Nicolas et Bart Simpson, dont on découvre les aventures via un journal intime, illustré de façon très drôle.

Il lui en arrive, à Greg ! Et le loustic n'est jamais à court d'idées quand il fait une connerie et qu'il doit la réparer, ou lorsqu'on lui donne un conseil.

On frôle parfois le grotesque, mais hop, l'auteur rebondit et repart dans une autre direction inattendue.

Au menu de ce 10e opus : un petit cochon sans-gêne et un pépé à héberger, une colo cauchemardesque... Peu d'histoires de 'zéro réseau', en fait, encore une traduction mal fichue. Le titre original, 'old school', résume mieux le sujet de cet opus : « à l'ancienne, à la dure »...



Génial !

Je trouve particulièrement bien vus l'odieux frère aîné et la maman à la fois attentionnée, douce et ferme.



A partir de 10 ans.

Je retrouve enfin Greg Heffley ! Il vaut mieux laisser un peu de temps entre deux tomes Journal d’un dégonflé, sinon on risque de se lasser. Les premiers je les ai lus à l’affilée, jusqu’à l’indigestion. J’ai laissé un peu temps… le meilleur, le tome 7 avec les premiers émois de Greg. On retrouve le jeune ado juste après le final désastreux du précédent tome (donc le 7). Maintenant, il n’a plus vraiment d’amis et il cherche à remplacer Robert… Pas évident vu que la plupart des élèves de son collège semblent bien idiots. Jeff Kinney a la plume lourde et n’y va pas de main morte pour décrire le comportement adolescent. Légèrement exagéré et agaçant parfois mais le rire l’emporte sur l’irritant. Un peu de temps avant de me lancer dans le prochain.

Sixième tome du Journal d'un dégonflé. Je ne l'ai lu que parce que j'étais passé à travers les cinq premiers. Disons que l'enthousiasme n'y est plus vraiment. En tous cas, pas autant que lors de ma lecture des premiers. Ceci dit, ça demeure une expérience agréable. Et je suis certain que les petits sont moins critiques que moi. Ils ne voient que du feu et s'amusent aux dépends du malchanceux Greg. Il est un peu espiègle mais, même quand il veut bien faire, il ne parvient à s'attirer des ennuis. Pauvre lui !



À cause de la couverture de « Carrément claustro » et du résumé à l'endos, je m'attendais à ce que la tempête de neige évoquée joue un rôle important dans l'album, qu'une grande partie de l'intrigue allait tourner autour. Mais non. Ce ne fut qu'un petit élément dilué parmi tant d'autres. Qu'une entrée de plus dans le journal intime. C'est ce que je déplore un peu, le manque d'unité, de fil conducteur qui relie les aventures de Greg. En d'autres mots, on ne les lit que parce que son protagniste est sympathique, qu'on y est attaché. Sans plus.



Le grand frère Rodrick, ce vilain garçon qu'on adore, commence à s'effacer. Dommage. Au moins, le petit frère Manny fait des siennes. Encore innocent à bien des égards mais il comprend de plus en plus comment le monde fonctionne et s'en sert à son avantage.



Décidément, Greg est mal parti… Il est vraiment devenu le garçon du milieu, dans tous les sens, celui qu'on oublie devant les frasques du grand et les mignons défauts du petit. Ça me rappelle l'émission « Malcolm in the Middle »…



Que dire sur les illustrations de Jeff Kinney que je n'ai pas déjà dit… Peut-être que les dessins des filles sont moins bien réussis que ceux des garçons, il me semble que leurs coupes de cheveux se ressemblent toutes. Pour le reste, j'adore. le style enfantin rigolo, très approprié.

Ce septième tome de la série du Journal d’un dégonflé a ravivé mon intérêt pour les aventures humoristiques de Greg Heffley. Les deux derniers albums, je les avais lus plus par habitude ou par curiosité. Faut dire que, après autant de livres, il devient difficile d’être original avec un protagoniste qui ne vieillit pas si rapidement. Il est rendu à quel âge ? Celui d’aller en CM ? J’ai oublié. La quantité d’aventures qu’un pareil jeune peut vivre n’est pas illimitée.



Dans tous les cas, le journal de Greg commence avec un petit aperçu des premières années de sa jeunesse puis, de retour au présent, quelques péripéties familiales (Oncle Gary, sans emploi et sans le sou, est hébergé) et d’autres à l’école (l’élection du conseil scolaire, les difficultés pour les élèves de se procurer du papier hygiénique de qualité, etc.). C’était sympa, drôle, pas à se tordre de rire mais suffisament pour apprécier, un peu dans le genre des tomes précédents.



J’en profite pour signaler la quasi-absence du grand frère Rodrick, un de mes personnages préférés. Vraiment dommage, ce jeune rebelle amenait un peu de chaos dans la vie prévisible Greg.



Enfin, vers le milieu de l’album, le bal organisé par l’école à l’occasion de la Saint-Valentin devient le fil conducteur du reste du journal intime. Greg, qui ne s’y connaît absolument pas en filles, cherche par tous les moyens (essentiellement maladroits) de se trouver une compagne. Adopter une attitude cool, raconter des blagues, envoyer des cartes romantiques, demander à Rowley de lui servir de « wingman », etc. Greg doit vraiment être désespéré pour en arriver là… Il faut au moins reconnaître qu’il est imaginatif, ingénieux et surtout persévérant.



Évidemment, comme il fallait s’y attendre, le bal est un désastre. Tout ce qui pouvait mal tourner s’est produit. Pauvre Greg ! Ce qu’il aura souffert sous la plume de Jeff Kinney…

Yep, Greg est de retour pour la Saint Valentin ! Petit flash-back sur ses premières années, de sa vie intra-utero à la naissance de son petit frère. Quelques uns des tourments qu'endure un deuxième enfant d'une fratrie de trois : récupérer les jeux et fringues du frère aîné, quel que soit leur état, subir ses tentatives d'intimidation, et devoir plier devant les caprices du petit dernier...

Après ces souvenirs, on retrouve Greg au collège, tel qu'on l'avait laissé. Période de l'année scolaire délicate : le bal de la Saint Valentin approche, il s'agit de trouver comme 'partenaire' une fille pas trop effrayante (pas celle qui mord, de préférence), à défaut de la plus jolie/gentille. Les garçons doivent intégrer et appliquer un principe fondamental : la déconne potache entre mecs est le meilleur moyen de faire fuir les demoiselles, surtout quand on n'a pas le physique avantageux de Brian Anderson - le beau gosse de la classe qu'elles s'arrachent toutes.



Greg n'est ni un rebelle ni un mauvais bougre, il est même fort sympathique, mais il a un don incroyable pour les idées de génie foireuses, et aggrave son cas en voulant rattraper l'affaire.

Ses conneries en cascade - la façon dont elles sont relatées et dessinées - m'ont fait sourire au moins une fois par page, et franchement rire très souvent. Pas de temps mort, mais des temps forts, très forts, notamment les quelques pages sur le thème 'Moltonel épaisseur triple' (ou équivalent), même pas scato, en plus !



Ce 7e opus de la série est sans doute mon préféré, à ce jour.



A découvrir dès 9 ans, filles, garçons, femmes, hommes, sans limite d'âge.

On ne présente plus le 'petit Nicolas' US collégien du XXIe siècle : Greg Heffley, alias le Dégonflé.

Un gamin turbulent, rigolo, loser, à l'imagination fertile...



Les assidus de la première heure suivent ses aventures depuis 2009 (pour la VF).

Avec deux nouveaux titres par an, on commence à en connaître un rayon sur le lascar, ses copains, sa famille, leurs voisins.

Mais à un tel rythme, l'auteur ne peut pas être bon à chaque fois.

Et pas de bol, ce dernier opus fait partie de ceux qui m'ont le moins amusée et même le plus ennuyée.



Il est question cette fois de dérèglement climatique, d'intempéries, de guerres de clans et de territoires, avec en filigrane le quotidien de jeunes ados (famille, collège, copains...).



Ce 13e tome décolle tard, et peu, les situations traînent en longueur.

Mais j'ai encore savouré les méthodes éducatives et les bonnes trouvailles de la maman.



Je crois que mon préféré reste 'Rodrick fait sa loi' (t. 2).

Ça faisait bien longtemps que je n’avais pas eu des nouvelles de Greg Heffley ! Avec les derniers tomes, j’ai un peu saturé mais j’ai retrouvé ici toute la fraîcheur de l’humour de Jeff Kinney. Plus de continuité dans ce septième tome, Greg cherche une fille pour l’accompagner au bal de Saint-Valentin (avec un petit préambule sur sa vie intra-utéro). Evidemment, ça n’est pas si simple, aucune donzelle ne se propose spontanément et ses invitations manquent de délicatesse. Aidé de son ami Robert, il va tout faire pour arriver à ses fins…

Un bon moment de rigolade, Greg a toujours plein d’idées, pas forcément les meilleures mais c’est ça marche bien pour nos zygomatiques. J’adore toujours les dessins simples et ronds de l’auteur qui collent bien au texte. J’aime cet adolescent un peu (beaucoup) maladroit mais je n’oublie pas sa mère qui a toujours la volonté de bien faire avec ses garçons. Je vais laisser un peu de temps avant le huitième, histoire de bien profiter de Greg !

Greg en connaît un rayon sur l'amour. Et son regard est très lucide puisqu'il observe le phénomène de l'extérieur : c'est son copain Robert qui est amoureux, il ne se déplace plus qu'en compagnie d'Abigaïl, en arborant un air d'imbécile heureux. Alors Greg se retrouve tout seul comme un crétin. Sa mère cherche des idées pour qu'il trouve d'autres amis, mais les bonnes trouvailles des mamans, heum... le collège, ça a changé depuis leur époque.



Un huitième opus dans la lignée des précédents, entre BD et roman/journal intime : Greg attire les tuiles, fait preuve de beaucoup d'imagination pour s'en sortir et s'enfonce le plus souvent. On découvre ici une famille haute en couleur côté maternel. Je me suis quand même beaucoup moins amusée qu'avec la plupart des autres épisodes - moins de bonnes idées, plus de longueurs ? Pas de phénomène de lassitude, non non, puisque je peux relire les premiers en me régalant toujours autant. J'apprécie toujours, en revanche, derrière l'humour potache, la subtilité du personnage de la mère - une maman aimante et attentionnée, soucieuse du bien-être de ses fils.



Dès 10 ans.

Ce tome 10 est génial ! J'ai fait un peu d'indigestion en les lisant à la suite un peu vite, j'ai ralenti la vitesse et j'apprécie mieux le quotidien de ce loser de Greg Heffley. Il adopte la philosophie du moindre effort dès qu'il peut. Parfois ça marche, parfois pas (souvent). J'ai aimé cette colo cauchemardesque, j'ai bien rigolé ! Les dessins au trait épais fonctionnent très bien pour illustrer de façon plein d'humour les péripéties de Greg. J'ai vu qu'il y a des tomes qui attendent encore, il enchaine, Jeff Kinney !

Vacances, j'oublie tout, plus rien à faire du tout. ♪♫

Tel était le non-programme envisagé par Greg : il se voyait très bien passer ses journées vautré devant la TV.

Oui mais maman, pour 'créer du lien', a réservé une surprise à ses trois fistons et au papa (qui n'avait pas du tout prévu de prendre des congés, mais bon...). Elle a trouvé des idées formidables dans son magazine féminin/familial 'Récré Famille'. Allez hop, tout le monde dans la voiture pleine comme un oeuf, on va s'éclater, vivre des 'expériences authentiques' - facile, y a qu'à suivre le programme pour devenir une famille harmonieuse façon Ricoré/Playmobil, où tout le monde sourit, se lève de bonne humeur et bien coiffé et le reste toute la journée.

Heum, ce road-trip va être riche en surprises souvent désagréables, et même en catastrophes.



Un neuvième épisode des aventures de Greg mené tambour battant. Manu est toujours aussi pénible dans le genre petit dernier pourri-gâté, Rodrick un peu moins vachard avec Greg que dans le deuxième tome.

Le lecteur n'a pas le temps de s'ennuyer, les (més)aventures s'enchaînent. Après un démarrage un peu lent, je me suis régalée, avec les voleurs de slips, le petit cochon (là, le graphisme y est pour beaucoup). Et aussi, bien sûr, avec cette description des vacances de lose qui sonne tellement juste (hôtels crapoteux, pièges à touristes : le plus gros pop-corn du monde, les sculptures grandeur nature des présidents américains dans des mottes de beurre...).



Dès neuf ans. Certains adultes sont fans aussi, je me jette sur chaque nouvel épisode dès parution.