Citations de Jessica Brody (98)
"En vérité, on n'est jamais une seule chose. On a tous de nombreux titres et de nombreuses étiquettes mais, trop souvent, on se fait piéger dans une définition. [...] Que ce soit nous qui ayons trouvé cette définition ou qu'elle nous ait été attribuée, elle devient, bizarrement, notre seule identité. On s'y perd tellement qu'on oublie tous les autres éléments qui font de nous ce que nous sommes."
Hier j'étais intelligent , alors je voulais changer le monde .
Aujourd'hui , je suis sage, alors c'est moi que je change .
Rumi
"Il y a deux mois, je n'aurais accepté pour rien au monde de mettre un truc comme ça, même pour Halloween. Mais il faut croire que c'est ça qui se passe, dans la vie. On change, on s'adapte. On avance."
- Combien de fois je t'ai oublié ?
- Trop de fois pour les compter.
- Tu me plais ...(...)
- Ellie, a-t-il répété - et mon coeur, mon foie, mes reins, ma rate et mon lobe frontal se sont mis en grève . Tu me plais , Ellie.
Je me suis mordu la lèvre pour empêcher mon sourire de sauter de mon visage .
"_Les personnalités politiques doivent faire ce qu'elles ont à faire.
Elle grogne.
_Faites attention, Miss Sparks. Dire aux gens ce qu'ils ont envie d'entendre, ce n'est pas la même chose que gagner."
"D'après lui, je n'avais qu'un défaut. Ma capacité à me rebeller. A penser par moi-même. A ressentir et exprimer mes émotions. A remettre ma vie en question. A tomber amoureuse."
"Peut-être que certaines émotions humaines sont tout simplement plus fortes que l'ADN."
"Malgré tout ce que peut faire la nature, malgré tout son dur labeur, malgré tous ses efforts, la science trouve toujours un moyen de surpasser ce qu'elle produit de plus beau. La science ne se contente pas de produire des choses magnifiques...non, il faut que ce soit parfait."
- Merci. Tu es vraiment chou.
Tristan écarte le compliment avec espièglerie.
- Oh, ça doit être parce que je mange beaucoup de crème.
Gloup-tip-tip-gloup-gloup-tching !
Quand mon téléphone sonne pour m'annoncer l'arrivée d'un texto en ce lundi matin, je suis encore dans cet état entre la veille et le sommeil, ou tu peux te convaincre d’à peu près n'importe quoi. Par exemple qu'une version adolescente de Mick Jagger t'attend devant ta porte pour te conduire au lycée. Ou que le dernier tome de ta série préférée se conclut par une vraie bonne fin, plutôt que ce que l'auteur a essayé de faire passer comme telle. Ou qu'hier soir, ton copain et toi n'avez pas eu la pire dispute de votre histoire - je rectifie : la seule dispute de histoire.
"_Fais confiance à ton cœur, dit-elle en baissant le regard.
Ses yeux s'attardent un moment sur mon buste, et puis remontent croiser les miens à nouveau.
_C'est la seule chose qui ne te mentira jamais."
"Tu n'est pas qui tu crois."
J'ai envie d'hurler : "Je ne suis personne !" Je ne sais même pas qui je suis. Comment pourrais-je être quelqu'un que je ne suis pas ?
Chaque seconde qui passe est nouvelle. Chaque sentiment qui me traverse est inouie. Je ne peux qu'espérer vivre un moment qui soit le reflet d'un moment perdu. Une fugace familiarité.
Quelque chose qui fait de moi... ce que je suis.
Sinon, je pourrais être n'importe qui.
"Ca fait du bien de ne pas résister."
(... ) Roméo et Juliette, Antoine et Cléopâtre, Elizabeth Bennett et Mr Darcy , Taylor Swift et ... hum , son mec du moment , qui que ce soit .
- Tu savais que la phobie numéro un des Américains, c'est de parler en public ?
- Et la deuxième, c'est quoi ?
- La mort.
Il éclate de rire, ce qui lui vaut quelques regards noirs de la part des élèves qui essaient de travailler.
- Tu es en train de me dire que l'Américain moyen préférerait foncer avec sa voiture vers un précipice plutôt que faire un discours ?
- Exactement.
- Tu ne veux pas être maître de toi-même ? Penser tes propres pensées ? Vivre ta vie ?
- Quelle en est l'utilité ?
- Je suppose que je suis partie parce que je n'étais pas heureuse là-bas. Et je pensais que je pourrais être heureuse autre part.
Je vois bien à son front plissé que ma réponse le laisse encore plus perplexe.
- Heureuse ? Demande-t-il en écho. Pourquoi est-ce obligatoire ?
Je savais que j'avais le choix entre deux options : me planquer toute la soirée derrière mon menu en priant pour passer inaperçue... ou prendre mes jambes à mon cou. Comme la serveuse n'allait pas tarder à venir récupérer les menus, la décision a été vite vue.