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Citations de John Bellairs (16)


- Tu sais à qui tu me fais penser, Kévin ? À ces gens qui n'arrêtent pas de nous dire que la bombe atomique est une invention merveilleuse et qu'elle n'est pas foncièrement mauvaise, même si elle a été utilisée à de mauvaises fins.
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Il croyait au pouvoir de la réflexion et disait toujours à ses élèves que l'on peut connaitre ce que l'on ne sait pas en utilisant ce que l'on sait.
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Elle ne la connaissait pas depuis longtemps mais avait tout de suite compris qu'elle était du genre inquiet, et les éternels inquiets croient toujours que des trucs affreux vont se produire. Ils voient le danger là où il n'y en a pas.
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Kévin et Jonathan la regardèrent, bouche bée. Emily avait un peu enjolivé les choses. C'était un de ses défauts. Elle disait généralement la vérité, mais quand l'occasion était trop tentante, elle pouvait inventer des trucs complètement stupéfiants.
Mme Zimmermann lui lança un regard sévère.
- Tu devrais écrire des romans, lui dit-elle sèchement.
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Alors, tout était vrai. Cette femme était sa femme, et elle était sortit de sa tombe pour... pour faire quoi ? Lewis sentit son cœur cogner dans sa poitrine.
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- Vous êtes sûre que ce qu'il dit sur l'anneau n'est pas vrai ? Les fous disent parfois la vérité, vous savez ! Cela arrive, je vous assure.
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Il s'interrompit. Accroupi à côté de lui, Tarby lui avait saisi le bras et le serrait très fort. On entendait un bruit venant du fond du tombeau. BAOUM ! Un son grave et caverneux. Les portes métalliques bringuebalèrent, comme si on leur avait donné un coup de l'intérieur. La chaîne cliqueta et on entendit un bruit métallique sur la dalle. Le cadenas était tombé.
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Lewis plaignait le pauvre duc. La veille au soir, quand il lisait dans son lit le livre de John L.Stoddart, il aurait aimé commander un robuste galion anglais et lâcher bordée après bordée sur le vaisseau amiral jusqu'à ce qu'il coule.
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Partout dans la maison, la canne avait émis une lumière pâle et régulière. Mais, dès les premiers mots de Mme Izard, elle s'éteignit comme une ampoule grillée.
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Lewis Barnavelt avait dix ans. Il avait jusqu’alors vécu avec ses parents dans une petite ville près de Milwaukee. Mais ceux-ci venaient de mourir dans un accident de voiture, et il faisait route à présent vers New Zebedee, le chef-lieu du comté de Capharnaum, dans le Michigan. Il allait habiter chez son oncle Jonathan, un oncle qu’il n’avait jamais vu et dont il avait seulement entendu parler. On disait dans sa famille que Jonathan fumait, buvait et jouait au poker. Ce n’était pas trop choquant, mais Lewis avait deux tantes célibataires qui l’avaient mis en garde contre les mœurs de Jonathan. Il espérait que tous leurs conseils se révéleraient inutiles.
Le car prit un virage et, en s’agrippant au siège, Lewis vit son visage se refléter dans la vitre –un visage rond et joufflu dont les lèvres remuaient. Il récitait une prière, avec l’espoir qu’elle l’aiderait à se faire aimer de son oncle.
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Il se sentir défaillir. Le mot ondulait, se tordait sous ses yeux. Il restait là, immobile, tremblant, quand une soudaine rafale de vent lui arracha le papier des mans, l'emportant sur l'autre trottoir. Il se mit à courir, mais le vent soufflait si fort que, le temps qu'il traverse la rue pour saisir le papier, ce dernier s'était envolé.
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- Merci d'être venue, Florence. Et vous, les enfants, vous pouvez rester ici si vous voulez écouter ce que je vais dire, dit Jonathan Barnavelt.
C'était un samedi matin, au début des années cinquante. L'hiver touchait à sa fin, mais il faisait encore très froid.
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Le jeune policier aux yeux bleus haussa les sourcils d'un air surpris. Puis il sourit et porta la main à l'étroit rebord de son casque pour saluer respectueusement l'arrivant.
- Bonjour, monsieur Holmes, dit-il d'une voix forte et enjouée. Je suis ravi de vous voir de retour à Londres, si je puis me permettre.
Kévin Barnavelt, un jeune garçon de treize ans blond et joufflu, se sentir rougir. Il marchait avec son oncle Jonathan sur le trottoir d'une rue animée de la capitale et se sentir brusquement complètement ridicule avec son anorak bleu, son pantalon de velours côtelé marron et sa casquette de Sherlock Holmes à carreaux.
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Hé, attention ! Tu ne vas tout de même pas te tuer avant que fassions connaissance !
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Lewis leva le poing, mais s'arrêta. On lui avait toujours dit que c'était mal de frapper quelqu'un à terre. Peut-être pouvait-il se contenter de rester assis sur son adversaire jusqu'à ce qu'il cède. Mais soudain, une force irrépressible saisit sa main et l'abaissa violemment sue le nez de Woody. Le sang jaillit des narines du garçon, ruissela sur sa bouche et son menton. Lewis retira sa main et la tint serrée contre sa poitrine, comme effrayé de ce qu'il pourrait se passer s'il la laissait aller de nouveau...
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- Oncle Jonathan, tu es bien sûr que cette pièce n'est pas magique ?
- Certain, mais est-on jamais sûr de quoi que ce soit, Lewis? ...
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