Joseph Agostini

Cathy a 19 ans et elle est totalement fan d'une présentatrice télé. Elle croit la reconnaître lorsqu'elle croise un jour son sosie. Démarre alors une étrange relation entre les deux femmes. L'une pense fréquenter son idole, l'autre joue avec sa ressemblance physique. C'est un livre sur l'admiration, le manque, le rêve, le déni. Jusqu'où iriez-vous pour combler les vides dans votre vie ?

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Ma pensée en terminant le livre :

"Mince frontière entre admiration et obsession..."

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Bonne lecture... 🌻

Claude, le père, est mort, vaincu par le cancer et cette opération de la dernière chance. Il est mort à Marseille mais il est corse… la famille se retrouve donc pour accompagner le défunt dans cette dernière traversée de la Méditerrannée.

Une famille… des vérités, des mensonges… de l'amour, de la haine… des remords, des regrets… de la sincérité, de l'hypocrisie…

Joseph Agostini joue avec les personnages, les rendant aussi complexes que dans la vie… on est tantôt plein d'empathie pour un des personnages quand un autre nous le montre sous une autre facette… et alors, on n'est plus sûr de savoir qui dit vrai !

Un roman qui nous rappelle à quel point les relations familiales sont complexes et que rien n'est jamais ni tout noir, ni tout blanc...

J'ai adoré ce livre ! Pour plusieurs raisons. Joseph Agostini a réussi le pari de lier la psychanalyse et le populaire, en passant par la poésie et toute une palette d'émotions qui m'ont fait revivre mes années adolescentes sous la lumière des paillettes de cette femme extraordinaire, qui faisait indéniablement partie de notre famille. J'ai beaucoup apprécié la simplicité d'expression, accessible à tous, sous couvert d'une maîtrise parfaite du discours freudien. Bercée entre l'aventure féminine et sa quête de l'inaccessible, la psychanalyse y est parsemée de ci de là, comme un élixir à déguster, nécessaire au déroulement d'une trame de vie finalement très proche de chacun de nous. Là, est le pari réussi, dans l'identification du lecteur à chacune des lignes et des entre lignes. Une grande Dame, tant elle nous ressemble. Et le liant interprétatif freudien est un pur délice. Bravo et ... merci !

C'est une lecture forte intéressante que nous propose Joseph Agostini dans son ouvrage qui s'intitule "Dalida sur le divan".

La perspective mettant en lien psychanalyse et Dalida est forte enrichissante passionnante et surtout réussie. Jusqu'à présent personne n'avait tenter une telle expérience.

L'auteur nous invite à voir une toute autre Dalida. Il donne l'impression d’être au cœur même de l'inconscient de Dalida et c'est ça qui est formidable dans cette lecture.

Joseph Agostini a su décrire Dalida entre sublimation et mélancolie. Toute mes félicitations à l'auteur pour ce beau travail analytique.

Merci à Masse Critique de m'avoir permis de lire cet ouvrage.

La chanson est ce "fredon surgissant" cher à Pascal Quignard, dont j'avais particulièrement aimé La haine de la musique.

De façon populaire, accessible et exigeante à la fois, Daniela Lombroso et Joseph Agostini (dont j'avais apprécié Gainsbourg sur le divan) signent un très beau livre très évocateur. Je recommande.

Seul bémol: les playlists sont à la fin du livre et pas au début, c'est dommage, j'ai lu le livre et j'ai écouté les musiques après. Mais ce n'est pas bien grave

Conquis par cette lecture à quatre mains. Je ne suis pas un habitué de ce type de lectures et préfère romans et polars. Ma femme m'a offert cet ouvrage pour la saint Valentin, fête commerciale que j'ai en horreur. Et... j'ai vraiment beaucoup aimé. Je suis un grand fan de chansons, de Brassens à Biolay. Et les paroles sont décryptées de façon psychanalytique. Beaucoup d'intérêt historique et psychologique

C'est une amie qui est dedans, alors c'est forcément bien !!!

(je modifierais cette critique quand j'aurais acheté et lu le bouquin, et désolée, c'est une critique de remplissage, un mémo, c'est un détournement de Babelio pour un usage personnel, c'est mal, je le sais, mais promis, c'est exceptionnel XD )

On a tous un rapport différent face à l’argent. Parfois même, c’est un sujet tabou. On ne parle pas d’argent, de salaire, d’impôts ou on ne chiffre pas ses dépenses dans les conversations. Néanmoins, on a tous plus ou moins cette perception que plus une personne gagne d’argent, plus elle a réussi sa vie et est à l’abri des soucis. Mais à quel seuil, nous considérons-nous à l’abri ? Plus on en gagne, plus on en veut, nous n’en avons jamais assez !



Dans Je dépense comme je suis, Joseph Agostini permet de nous déculpabiliser face à cette thématique secrète, taboue. Après une courte introduction, Joseph Agostini nous propose un test afin de connaître notre rapport à l’argent. Puis à chaque chapitres, nous avons une partie explicative, théorique, déculpabilisante, pour terminer avec un court exercice (écriture, méditation…).



Je dépense comme je suis est un livre thématique de développement personnel car notre perception change au fil de sa lecture. A travers les exercices d’écriture, nous nous plongeons en notre nous profond, nous nous questionnons. Et comme nous sommes seuls face à notre feuille, nous sommes les plus sincères possibles. Pas de jugement.



Un livre qui fait réfléchir, des exercices pertinents, Je dépense comme je suis n’est pas une lecture que j’aurais faite de moi-même mais elle m’a fait du bien. Elle m’a permis de confirmer des choses que je savais déjà (mais sans les dire puisque je rappelle que comme pour beaucoup de personnes, c’est un sujet plutôt tabou) mais aussi de m’interroger sur d’autres notions plus particulières.
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Michel Fourniret, Guy Georges, Thierry Paulin et Marcel Petiot sur le divan... Deux psychanalystes nous donnent un nouvel éclairage sur les mécanismes psychologiques de ces 4 tueurs en série aux personnalités très différentes.

Comment ces êtres humains, autrefois enfants et eux-mêmes victimes d'adultes négligents ou malfaisants, ont-ils pu sombrer dans une telle abomination ? Que révèle le tueur en série du malaise de nos sociétés ? Les auteurs tentent de retracer les itinéraires du crime de ceux que l'on qualifie de "monstres". A travers rencontres, témoignages et réflexions personnelles, ils sont partis à la rencontre de leur perversion.

Le travail de ces deux psychanalystes est d'émettre des hypothèses de compréhension alimentées par des recherches à la fois historiques, juridiques mais surtout psychologiques.



Ce livre est censé s'adresser à tous les lecteurs dans un style accessible mais le jargon psy est quand même présent. Divisé en 4 parties, chacune consacrée à un tueur en série, cet essai nous permet de découvrir l'enfance de ces 4 hommes et les conséquences sur leur vie d'adulte, sans pour autant les dédouaner de leurs actes monstrueux.

Un ouvrage très intéressant, mais qui m'a laissé un peu sur ma faim car trop court ! Le choix des auteurs s'est porté sur 4 hommes et j'aurais aimé qu'il y ait une femme.

Ce livre retrace les histoires de vie de quatre tueurs en série : Guy Georges, Thierry Paulin, Michel Fourniret et Marcel Petiot.

J'ai beaucoup apprécié ce livre, si on peut le dire de cette manière. L'analyse faite par les deux auteurs, tous deux psychanalystes, permet de "cerner" un peu plus les individus, d'avoir de nouvelles pistes de compréhension et de réflexion.

Le travail de recherche qui a été effectué a du être colossal. Plein de détails sont présents sur leur histoire de vie, en passant de leur enfance, adolescence à l'âge adulte. J'ai appris beaucoup de choses que les médias ne disent pas forcément au grand public.

Évidemment, ce livre ne tente absolument pas de minimiser les actes commis par ces individus. Le style d'écriture est accessible au plus grand nombre. Le vocabulaire est adapté pour des personnes, comme moi, qui ne sont pas calés niveau juridique ou encore psychologique.

Un livre qui mérite d'être lu et qui nous donne un autre aspect sur ces faits divers qui ont marqués toute une population.

La première chose que j'aurais à dire est : faire des références à Disney, c'est bien. Mais dire que Sher Khan est un lion, c'est mal!



L'approche psychanalytique n'est pas mon point de vue favori en psychologie mais dans le domaine de la criminalité, où elle est la plus appropriée, ce courant est presque appréciable.



J'ai beaucoup apprécié que les faits soient narrés comme si c'était une histoire et non la réalité. Ça permet, d'une part, de prendre de la distance par rapport aux actes passés des tueurs en série présentés, et d'autre part, ça rajoute une emphase quasi hypnotisante au récit.

Dans cet essai, deux psychanalystes ouvrent la voie des pistes de réflexion et de compréhension face à la question que tout le monde se pose sur les crimes abjectes commis par ces personnalités à part : pourquoi ?

Nous suivons tour à tour la fine fleur des serial killers : Guy Georges, Thierry Paulin, Michel Fourniret et Marcel Petiot. Au travers d'un langage accessible et d'explications claires, Jean-Benoît Dumonteix et Joseph Agostini nous éclairent sur les similitudes et les différences de comportement des tueurs vis à vis des crimes commis, de leur façon d'en parler au procès ou dans ces regrets qu'ils n'expriment pas. Nous explorons alors le caractère et le vécu de chacun pour tenter de comprendre l'incompréhensible. C'est souvent horrible à lire, bien pire à s'imaginer mais c'est un travail passionnant et impressionnant de recherche qui a été fait dans cet ouvrage. À la fin de l'essai se trouve un petit précis de la perversion, très instructif.

J'ai été happée par ma lecture et je la recommande vivement à ceux qui s'intéressent à la psychologie des déviants, aux lecteurs de thrillers tout comme aux fans de la série Mind hunter.

Dans cet ouvrage, les deux psychanalystes que sont Jean-Benoît Dumonteix et Joseph Agostini, vulgarisent les sous-branches de la perversion en analysant quatre tueurs en série et le contexte dans lesquels ils ont sévi. Ils détaillent et analysent ce qui fait un serial killer. Au-delà des crimes effrayant, atroces, la question que les deux auteurs posent et tentent de répondre est « Pourquoi ? ». Pourquoi de tels actes ? Comment en sont-ils arrivés là ?



Cet essai développe donc les dessous des crimes de quatre tueurs en série : Michel Fourniret, Marcel Petiot, Guy Georges et Thierry Paulin. Jean-Benoît Dumonteix et Joseph Agostini décrivent avec précision les personnalités atypiques de ces criminels. On notera cependant une trop grande citation de Freud de manière trop récurrente… Néanmoins cela n’enlève en rien aux connaissances sur ces sinistres personnages qu’apporte cet ouvrage.



On y découvre des choses glaçantes et effrayantes… A découvrir !
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Cathy 19 ans, dépressive et perdue, a une passion pour Daniela Lumbroso, une journaliste, elle ne pense et vit que par celle-ci.



Un jour elle croise dans la rue son sosie , pensant qu'il s'agit vraiment de son idole Daniela , elle va tout faire pour obtenir de cette personne ( Ludivine) un peu d'attention et d'amour, et celle-ci jouera le jeu et se fera passer pour elle .



Un roman qui nous entraine dans d'étranges malentendus avec une réflexion sur les ressemblances mystérieuses.



Ma lecture a été fortement intéressante, et la plume de l'auteur est fluide avec une histoire rythmée sur la fascination qui nous tient tout au long de ce roman.



Un bel ouvrage avec une couverture originale.

Guy Georges, Thierry Paulin, Michel Fourniret et Marcel Petiot. Ils sont quatre cas que les deux auteurs étudient au fil des pages. On y trouve des détails sur le passé des hommes, des traumatismes, des histoires tragiques, des méthodes d'agissement pour des finalités désastreuses. Même si les explications sont toujours les bienvenues pour comprendre les actes, toutes ces atrocités n'en glacent pas moins le sang. Pour connaître la folie qui envahit un être, ce livre est pour vous.

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Ma pensée en terminant le livre :

"Ce n'est pas toujours plaisant de vouloir comprendre les autres"

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Bonne lecture... 🌻

J’avoue avoir un attrait pour la psychologie et quand j’ai découvert ce livre, j’ai eu envie d’en apprendre un peu plus sur la psychologie des tueurs en série, et ici, c’est au travers de 4 cas (plus ou moins connus = Michel Fourniret qui est mort il y a peu).



J’avoue que je plaçais beaucoup d’espoirs dans ce livre, et sûrement que j’avais envie d’y lire du sordide, ce qui ne fut pas vraiment le cas mais c’était annoncé. La maison d’édition et les auteurs se veulent accessibles pour tous les lecteurs, mais j’ai trouvé que parfois, on était sur un vocabulaire psychologique assez poussé ou du moins, il y avait des phrases où il fallait se concentrer pour saisir le sens du début à la fin. Cela ne m’a pas trop dérangée car j’ai déjà rencontré certains termes ainsi que certains auteurs cités, mais je peux facilement me placer du point de vue de quelqu’un qui n’a aucun rapport à cela, et on peut parfois être déroutés.



J’ai trouvé le concept du livre intéressant, très riche d’informations sur le domaine psychologique, intéressant pour comprendre la genèse de ces tueurs en série, leur passé, leur enfance. En effet, pour chacun des cas, on retrouve le point commun qu’ils ont tous eu une enfance difficile, manque d’affection etc. On se questionne donc sur l’existence d’un schéma type du tueur en série, on réfléchit, on se demande si au fond, c’est seulement leur faute ? S’ils auraient agi différemment s’ils avaient eu une enfance différente?



Ce livre est très court et se lit plutôt vite, si vous aimez la psychologie ainsi que les questionnements de société, je vous invite à découvrir ce livre.
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La traversée des mensonges •

Là tout de suite j’ai envie de vous chanter « Elle a toujours un peu de vin

Quelques fruits un peu de pain

Pour les amis qui ont faim

Mama Corsica.... » Rassurez-moi vous la connaissez hein ? 😂





J’ai été agréablement surprise avec ce roman de part le fond, sa construction, et la plume de l’auteur, tout en étant mal à l’aise en le lisant. Pourquoi ? Car je pensais retrouver l’esprit familial corse ( l’étant pour une partie ) avec certes son lot de tragédies et histoires compliquées mais c’est un récit franchement noir que j’ai découvert. Chez les Santini, il y a des mensonges, des rancœurs, des non-dits, des jalousies. Une atmosphère pesante dans un contexte loin d’être joyeux : le décès du père. La famille se retrouve à Marseille pour rapatrier le corps sur l’île. J’ai été remuée. Cherchant désespérément des marques d’amour et d’affections entre frères et sœurs. Un panel de personnages auquel je ne me suis pas spécialement attaché mais je voulais tout de même savoir le pourquoi du comment ... Oui c’est paradoxal !

Ils sont quatre, Thomas, Nina, Georges et Francescu et ils viennent soutenir leur mère à leur manière..
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Quel bonheur. Tous ces maux en nous qui rentrent en raisonnance avec les mots de Joseph Agostini. Tout s’illumine et tout s'allège. Une belle plume qui vous ouvre avec un subtile humour les clés de l’apaisement. Un très beau dessin de l’humain.

J'ai pu lire La traversée des mensonges de Joseph Agostini grâce aux Editions Envolume, par le biais de la Masse Critique de Babelio.



Claude Santini vient de mourir à Marseille. Fabienne, son épouse, ainsi que ses enfants accompagnent le patriarche dans sa dernière traversée vers son île natale, la Corse. Mais c'était sans compter sur les non-dits, les mensonges, les rancoeurs que chaque membre de la famille a gardé au plus profond de leur être. Cet ultime voyage du mort est l'occasion pour les vivants de se confronter à ce qu'a été leur vie aux côtés du défunt.



Je n'ai pas pu lâcher La traversée des mensonges avant de lire le fin mot de l'histoire. A peine commencé, je n'ai pu arrêter ma lecture qu'en tournant la dernière page.



La plume de Joseph Agostini, que je ne connaissais pas du tout, m'a totalement envoûtée et je me suis sentie aux côtés des personnages de son premier roman. L'un des personnages est la Corse en elle-même. L'île de Beauté est au centre de la vie des personnages. Elle est une identité, une terre, un nationalisme pour certains d'entre eux.



Pour un premier roman, Joseph Agostini m'a convaincue en m'impliquant dans cette histoire familiale où les non-dits des Santini rappellent les non-dits et les secrets enfouis dans n'importe quelle famille y compris la nôtre.
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Une histoire inoubliable de deuils et de malentendus . Les personnages sont attachants car ils se distinguent des clichés habituels. Ils ont tous une originalité qui les rend extrêmement piquants lorsqu’ils évoquent leur vie et leurs douleurs. Je ne connaissais pas Joseph AGOSTINI et je vous le recommande car il sait vraiment pointer la vérité des familles. Corses ou non.