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Critiques de Jude Deveraux (87)
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Vint un chevalier

Jude Deveraux est l’auteure qui m’a initiée aux romances historiques et si je suis une grande fan de sa saga des Montgomery dont je garde un excellent souvenir, je n’en ai en revanche que très peu de Vint un chevalier (ce livre est le tome 6 des autres Montgomery ou tome 15 de la saga des Montgomery et Tagget en VO). Pourtant je collectionne les time travel, ces livres où ce sont généralement des femmes qui voyagent dans le temps et rencontrent l’amour de façon inattendue. J’ai Lu nous livre une couverture que je trouve magnifique...



La chronique complète en cliquant sur le lien !
Lien : https://songedunenuitdete.co..
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Vint un chevalier

Un début qui m'a laissée sceptique :en 1988, en Angleterre, Marian est prête à tout accepter pour conquérir l'amour de Robert ... être sa domestique ou supporter sa gamine désagréable, tout du moment qu'elle l'épouse! Il faut bien "réussir sa vie" comme ses sœurs, elle le vilain petit canard de la famille.

Jusqu'à ce moment dans l'église où il la laisse en plan : il repart avec sa fille, emportant d'ailleurs son sac à main!

Malheureuse comme une pierre, Marian pleure (oui elle pleure beaucoup à travers tout le roman!) et prie pour qu'un preux chevalier vienne à son secours ... Vœu exaucé : Nicolas Stafford, comte de Thornwyck, débarque directement de 1564 à la rescousse.

Bon en fait c'est lui qui a besoin d'aide car il est sur le point d'être exécuté pour conspiration contre la reine Elizabeth.

Et ensuite je me suis prise au jeu : la découverte du XXème siècle par Nicolas est plutôt drôle, l'atterissage de Marian au XVIème permet de nous décrire le quotidien à cette époque.

Et mon côté fleur bleue a ressurgi à la fin pour l'histoire d'amour trop mignonne.

Bref un roman sans réelle prétention mais un bon divertissement.
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Vint un chevalier

Vint un chevalier est une lecture indémodable, qui traverse le temps sans prendre une seule ride - sa première publication datant de 1989... un roman que je ne regrette pas d’avoir parcouru.
Lien : https://www.sariahlit.com/20..
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Vint un chevalier

Un roman lu pour la détente, sur ce point je suis comblée. Un récit sans prétention, au propos certes connu mais toujours intéressant ; un chevalier du 16ème siècle atterrit au 20ème siècle pour secourir une demoiselle en détresse.

Si j'ai adoré le personnage de Nicolas et son parler rafraîchissant, sa façon de dézinguer les clichés tenaces sur la fin du Moyen-Âge (même si historiquement, on est plus dans la Renaissance depuis au moins un siècle... mais passons), comme le statut des femmes, le comportement des hommes, la propreté...

J'ai néanmoins détesté Marian d'où la note de 3. Elle est insupportable. Pourvue de 5 de QI, elle oublie constamment les acquis des précédents chapitres ; par exemple Nicolas meurt en écrivant une lettre à sa mère, elle l'apprend, mais elle se demande s'il sait lire... bref, des cas similaires, je les ai trouvés à la pelle. de plus, elle passe son temps à jouer les nunuches, la pire des cruches possible, toujours à geindre, à pleurer, à repenser à son Robert (autre personnage aussi insupportable que sa fille, tous les 3 méritent la médaille d'or des clichés) qui pourtant lui démontre par A + B, toutes les 20 pages, que c'est un s**** fini.

Heureusement, le personnage de Nicolas et l'intrigue autour de sa mort et de sa famille viennent rehausser l'intérêt du récit, qui se lit facilement. La deuxième partie, où Marian est envoyée au 16ème siècle, est également plus intéressante (même si je transpirais sous les clichés véhiculés par le roman, comme les vêtements des paysans, leurs dents, bref la palette des stéréotypes habituels portés par le cinéma).
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Vint un chevalier

Une romance qui laisse un sentiment partagé. Pour nombre d’entre-vous ce fut une révélation, personnellement un sentiment de déjà-vu m’a traversé. Le livre possède deux partie séparée pour un voyage dans le temps.



La première partie concerne le voyage dans le futur que fait notre chevalier Nicolas Stafford. La façon dont apparaît ce bel homme d’un autre temps laisse perplexe et surtout nous renvoie à un chef d’œuvre du genre, la série McKeltar. Mis à part les questions, les interrogations et l’air circonspect de cet étranger pour toutes ces nouveautés, le rapprochement s’arrête là, mais on y pense et c’est perturbant !



Une fois passé le cap, on plonge facilement et avec délice, il est vrai, au cœur de cette histoire pour le moins curieuse, changer le passé de Nicolas pour sauver son honneur et son histoire. Mais pas que cela… pour cela il faudra lire ce roman !



La seconde partie, où cette fois-ci c’est Marian qui fait le retour dans le passé est plus convaincant et beaucoup plus touchant. Car tout recommence et on se demande comment la jeune femme va s’en sortir face à l’oubli, l’ignorance voir l’agressivité qu’a Nicolas vis-à-vis d’elle.



Les personnages sont superbes, même si souvent on a envie de secouer ou de bousculer Marian quand elle se retrouve face à Robert, ce lâche qui l’a abandonné. Mais là aussi se trouve la force de l’auteur de faire de cette jeune femme une tête à claques souvent mais parfois si forte et résolue. Marian est passionnante dans la diversité de son caractère. Et que dire de Nicolas pour qui nous succombons forcément, mais là encore plus facilement dans son élément et époque que parmi nous au présent.



Jude Deveraux sait narrer et le fait à la perfection. Chaque passage sulfureux est un délice éveillant en nous un feu délicieux. Les décors, l’époque quelle qu’elle soit sont bien décrits on s’y croirait. Bref une romance historique peu banale à découvrir. Comptez bien y laisser quelques larmes !
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Vint un chevalier

avec ce livre j'ai passé un très bon moment comme avec une comédie romantique avec meg Ryan ou Julia roberts, le personnage de Dougless est très attachant et cette histoire rocambolesque d'un chevalier servant qui revient du passé pour la sauver du cahos de sa vie est adorable.



Rien de culturel ni de nouveau , juste un bon moment
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Vint un chevalier

On m'a prêté ce roman relié sans jaquette, je ne savais donc pas à quoi m'attendre en l'ouvrant même si le nom de l'auteur m'incitait plus à imaginer une romance qu'un traité de psychanalyse. Bilan : le seul élément qui retient ce roman au bord de la fosse Harlequin est le fantastique introduit par le thème du voyage dans le temps.



Fin des années 80, une jeune femme belle et ingénue (voire naïve et naïve) vient de se faire larguer par son copain et on se dit que c'est tant mieux pour elle car le copain en question avait l'air d'être un gros débile. Passons. Sa rencontre avec un chevalier sorti tout droit de son XVIème siècle va forcément venir bouleverser son existence !



Côté style, pas grand chose à sauver mais ma foi, par une journée froide, ça se laisse lire comme sur le sable chaud d'une plage.



Côté histoire, rien de crédible, on se croirait un peu dans "Retour vers le futur" à la sauce Renaissance. Alors, oui, chère Jude, à ce propos, il faut que je vous précise qu'à la fin du XVIème siècle, on parle davantage de soldats que de chevaliers car les temps ont légèrement changé depuis le Moyen-Age. Enfin, bon, je vous pardonne, vous êtes américaine, une approximation d'un siècle ne vous effarouche pas alors je ne vais pas, moi, jouer mon effarouchée.



Reprenons. La romance entre Marian et Nicholas reste assez touchante dans son genre mais c'est quand même très très "eau de rose". Vous voilà prévenus.



Ce roman commençant à dater, je veux bien croire qu'il ait fait son petit effet en un temps où les Musso et les Levy ne sévissaient pas et ne mêlaient pas encore le surnaturel et le miel pour produire leurs trucs aussi englués que des rubans à mouches. Aujourd'hui, je dirais que ce roman est à réserver pour une envie de détente romanesque un brin rétro.
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