Jude Deveraux

Première fois que je lis a priori cette autrice. Lecture sympathique, le style me paraît un peu daté, on a des situations un peu décalées par rapport à ce qu'on peut trouver maintenant.



Une Française qui a fui les atrocités de la révolution pour l'Angleterre. Elle est obligée d'être la bonne d'une anglaise égoïste, Bianca qui n'hésite pas à la désigner quand des malfrats viennent enlever Bianca. Clay est américain et on ne sait pourquoi il est fou de cette dernière. Il la fait enlever pour pouvoir se marier avec. Quelle ne sera pas sa surprise lorsqu'il verra débarquer Nicole et non Bianca !

Comment un homme amoureux peut avoir l'idée d'enlever une femme sensée l'aimer également par une bande de truands par la force?

Nicole est kidnappée à la place de Bianca qui a pris peur devant les malfrats, mariée par procuration sous la contrainte. Elle tombe amoureuse de Clay on ne sait comment. Il est indécis, amoureux transi de Bianca mais s'intéresse à Nicole jusqu'à ce que cette anglaise égocentrique débarque et là il n'y a plus personne. Un parfait toutou face à Bianca. Clay paraît un peu inconsequent, un caractère pas très fort à se faire avoir aussi facilement par cette pimbeche.

Autant Nicole apparaît comme un ange, à supporter beaucoup de choses que lui est à baffer. L'histoire aurait pu être sympa s'il avait eu un peu plus de caractère.

Ce n'est pas un roman qu'on se réjouit d'avoir lu pour la profondeur des idées, la richesse du style, la pertinence des personnages ou la profusion de données culturelles.

Ce n'est pas non plus un roman qui marque et qui bouleversera quoique ce soit de notre existence.

Mais c'est plutôt bien construit, amusant et pourra contenter un lecteur (plutôt une) qui, sans aucune honte, aura envie en passant, d'une chaleureuse histoire à l'eau de rose entre une nouillette et un beau et grand chevalier au regard ténébreux!

Ca peut ressembler à une histoire d'amour de Juliette BENZONI (saga des Catherine), mixé avec un livre fantastique de Mickael CRICHTON (prisonnier du temps). Et on peut y voir aussi le remaniement en version accéléré genre téléfilm, de la très longue série de livres de Diana GABALDON (Outlander).

Un roman lu pour la détente, sur ce point je suis comblée. Un récit sans prétention, au propos certes connu mais toujours intéressant ; un chevalier du 16ème siècle atterrit au 20ème siècle pour secourir une demoiselle en détresse.

Si j'ai adoré le personnage de Nicolas et son parler rafraîchissant, sa façon de dézinguer les clichés tenaces sur la fin du Moyen-Âge (même si historiquement, on est plus dans la Renaissance depuis au moins un siècle... mais passons), comme le statut des femmes, le comportement des hommes, la propreté...

J'ai néanmoins détesté Marian d'où la note de 3. Elle est insupportable. Pourvue de 5 de QI, elle oublie constamment les acquis des précédents chapitres ; par exemple Nicolas meurt en écrivant une lettre à sa mère, elle l'apprend, mais elle se demande s'il sait lire... bref, des cas similaires, je les ai trouvés à la pelle. de plus, elle passe son temps à jouer les nunuches, la pire des cruches possible, toujours à geindre, à pleurer, à repenser à son Robert (autre personnage aussi insupportable que sa fille, tous les 3 méritent la médaille d'or des clichés) qui pourtant lui démontre par A + B, toutes les 20 pages, que c'est un s**** fini.

Heureusement, le personnage de Nicolas et l'intrigue autour de sa mort et de sa famille viennent rehausser l'intérêt du récit, qui se lit facilement. La deuxième partie, où Marian est envoyée au 16ème siècle, est également plus intéressante (même si je transpirais sous les clichés véhiculés par le roman, comme les vêtements des paysans, leurs dents, bref la palette des stéréotypes habituels portés par le cinéma).

Waoh, première critique, sérieusement ? C'est bien une première !

Quelle aubaine d’avoir trouvé une bibliothèque qui possédait encore cette «relique» de 1994 car je crois qu’aucune maison d’édition ne l’a réédité depuis ! Les feuilles brunâtres se détachaient sous mes doigts mais rien n’aurait pu m’empêcher de lire cette romance entre un homme plus jeune que l’amour de sa vie. L’auteure ne se perd pas en élucubrations, les descriptions ne prennent pas dix pages, les scènes d’amour sont sobres (beaucoup plus que celles actuelles, hommage au bon vieux temps, hein). Ça se lit comme du pain trempé d’huile d’olive. Jackie, 38 ans, ancienne pilote de haut niveau qui retourne dans sa ville natale retrouve Bobby l’enfant qu’elle surveillait quand elle était adolescente. Sauf que le petit garçon est désormais un jeune homme de 28 ans accomplis, séduisant et surtout, très amoureux d’elle. Il n’a jamais cessé de l’attendre et est encore vierge (je le précise parce que c’est tellement rare). La plume est légère, drôle, touche le vrai, attendrit le cœur et souhaite à tous les éperdus qui se languissent de leur amour d’enfance : la patience, les attentions, le respect et les moyens qu’on se donne peuvent être récompensés… Parole de Bobby !

Pas mal du tout !



Si le début est rapide et limpide comme de l’eau de rose, on se retrouve vite dans une situation inextricable où les sentiments, les vrais qui viennent du cœur ont bien du mal à s’exprimer. Et alors commence une aventure où nos héros vont tout faire pour arriver à leur fin même si pour cela il faut se déguiser et assumer des tâches bien loin de celles auxquelles ils sont habitués.



Une belle plume bien documentée sur la cour du roi Edouard Ier d’Angleterre et de son épouse Eleonore de Castille et sur les us et coutumes de cette Angleterre où les Comtes sont presque aussi puissants que le roi. Un rythme bien soutenu et un enlèvement qui aurait pu bien mal tourner, un peu d’humour pour alléger les situations les plus glauques et un chouïa de rouge pour remettre l’amour au centre du récit, tout ce qu’il faut pour une lecture plaisir un jour de pluie ;-)



Super contente d’avoir trouvé cet introuvable qui est en fait le premier tome de la saga des Montgomery, saga que j’ai lu il y a deux ans déjà et qui m’avait beaucoup plu :-)

Autant être clair dès le départ, si j’ai pris plaisir à découvrir la « genèse » de la saga des Montgomery avec Ranulf et Lyonine, les situations redondantes et le caractère des protagonistes m’ont parfois agacée. Sans parler du style encore maladroit de son autrice.



Leur histoire se déroule au Moyen-Âge et commence par un coup de foudre, ce qui parait presque improbable lorsque l’on découvre le caractère du héros. Ranulf garde un très mauvais souvenir de son premier mariage et Lyonine est, disons-le, assez crédule et naïve.



Cela tombe bien puisque leur histoire, sur fond de guerre moyenâgeuse, sera une succession de « je t’aime, moi non plus ». Entre jalousie, quiproquos, haine et amour. Dans le premier quart, c’est l’amour fou entre eux puis le second, Ranulf, en proie à une jalousie noire, désavoue celle dont il est tombé amoureux. Qu’à cela ne tienne, Lyonine est bien décidée à prouver qu’elle est digne de son beau chevalier que tous surnomment le Lion noir.



L’intrigue est prévisible, le style assez simpliste et pas encore affirmé. On sent que c’est un premier tome d’une nouvelle saga. Les héros, s’ils sont sympathiques de prime abord, n’ont rien d’extraordinaire n’ont plus. Les différentes interactions entre Ranulf et Lyonine sont prévisibles et téléphonées. Quant à l’élément perturbateur de leur romance (hormis les héros eux-mêmes), je l’ai trouvé mal amené. Il ne sert à rien hormis faire douter notre belle et jeune jouvencelle et nous la rendre moins sympathique par moment. Pareil pour le héros qui, sur ce coup-là, semble avoir des œillères devant les yeux et ne fait pas grand cas des sentiments de sa chère et tendre.



En toute franchise, c’est un roman oubliable. Étant fan de Jude Deveraux, je suis contente de l’avoir enfin dans ma bibliothèque, mais soyons honnête, c’est loin d’être son meilleur !
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En résumé : une romance dans laquelle un preux chevalier débarque au XXe siècle et où l'héroïne va devoir l'aider à déjouer un complot qui l'a mené devant le bourreau il y a plus de 400 ans.



En détail :

Nous sommes dans le genre de romance qui commence au plus bas : l'héroïne a enchainé toute sa vie les relations toxiques, mais là c'est le pompon. Elle se retrouve dans une impasse affective mais aussi dans une situation compliquée matériellement. Ses pleurs au pied du tombeau de Nicholas Stafford, comte de Thornwyck, vont faire apparaître ce dernier auprès d'elle.



Notre duo va essayer de comprendre pourquoi Nicholas a traversé le temps, pourquoi il a fini exécuté comme traitre à la couronne et comment remédier à ce fâcheux incident qui a terni la réputation et l'honneur du chevalier (en plus de lui avoir coûter la tête). Ils vont aussi développer des sentiments l'un pour l'autre, mais comment se projeter dans une relation quand l'être aimé est censé vivre à 400 ans de différence ?



Le roman est assez bien équilibré entre l'intrigue amoureuse, les péripéties dû à la découverte d'une nouvelle époque et l'enquête pour sauver la charmante tête de notre chevalier. Pas trop non plus de "je t'aime / moi non plus", bien que l'impossibilité de leur relation soit un levier pour leur passion. Et les ficelles de l'intrigue ne sont pas trop "grosses", les réactions des personnages restent crédibles face à ce qui leur arrive.



L'héroïne évolue de manière positive, il y a une réflexion sur pourquoi / pour qui elle fait les choses, cette histoire va la faire grandir en tant que personne.



Donc une romance feel good et détente.

Oui c'est une jolie romance … mais pas vraiment captivante.

Puisque l''intrigue principale était de découvrir ce qui est arrivé à Valentina… le fantôme de Caleb aurait pu être bien plus présent. Et ce qui m'a perturbée c'est de découvrir la personnalité d'un vieux grand-père alors qu'il s'agit du fantôme d'un homme jeune et séduisant, impossible de faire "coller" les deux images.

Assez fan des romances de Jude Deveraux, qu'il s'agisse d'une histoire contemporaine ou historique, j'ai été assez déçue par cette lecture.

Une édition avec des fautes et des coquilles, une romance sans beaucoup d'étincelles, c'est loin d'être le roman idéal pour découvrir Jude Deveraux…

Il est possible que je décide finalement de lire le tome suivant pour le seul plaisir de retrouver les Montgomery et les Taggert mais je ne conseille pas celui-ci.

Le titre est vraiment juste, rogan est vraiment à part . J’ai bien ri a certaines scènes entre lui et liana. Une bonne lecture que j’ai beaucoup aimer lire. Il me manque juste quelque chose. L’histoire s’arrête d’un coup sans épilogue ou de suite dommage car il n’y a pas de conclusion.

Un début qui m'a laissée sceptique :en 1988, en Angleterre, Marian est prête à tout accepter pour conquérir l'amour de Robert ... être sa domestique ou supporter sa gamine désagréable, tout du moment qu'elle l'épouse! Il faut bien "réussir sa vie" comme ses sœurs, elle le vilain petit canard de la famille.

Jusqu'à ce moment dans l'église où il la laisse en plan : il repart avec sa fille, emportant d'ailleurs son sac à main!

Malheureuse comme une pierre, Marian pleure (oui elle pleure beaucoup à travers tout le roman!) et prie pour qu'un preux chevalier vienne à son secours ... Vœu exaucé : Nicolas Stafford, comte de Thornwyck, débarque directement de 1564 à la rescousse.

Bon en fait c'est lui qui a besoin d'aide car il est sur le point d'être exécuté pour conspiration contre la reine Elizabeth.

Et ensuite je me suis prise au jeu : la découverte du XXème siècle par Nicolas est plutôt drôle, l'atterissage de Marian au XVIème permet de nous décrire le quotidien à cette époque.

Et mon côté fleur bleue a ressurgi à la fin pour l'histoire d'amour trop mignonne.

Bref un roman sans réelle prétention mais un bon divertissement.

Je n’ai pas apprécié ma lecture. Judith est attachante au début du récit puis elle a fini par m’agacer. Elle hait son mari, Gavin, et c’est normal vu comment il la traite mais elle ne peut s’empêcher de coucher avec dés qu’il la touche. Et puis, elle s’est quand même fait violer dés la nuit de noces. Je sais bien qu’à cette époque c’était courant mais là pour le roman, elle aurait pu réagir autrement. Surtout vu son tempérament…

Gavin est un vrai goujat (en restant poli car ce n’est pas ce mot qui me vient à la bouche). Il traite sa femme avec beaucoup de mépris, il ne la respecte pas et l’humilie. Il se laisse totalement manipulé et mené par le bout du nez par cette garce d’Alice !

J’ai cru qu’au fil des pages cela allait s’améliorer mais non. Judith et Gavin ne s’aiment pas, il continue de la traiter comme un chien. Il ne lui fait pas confiance et va même jusqu’à croire Demari quand il lui dit que l’enfant est le sien alors que c’est totalement impossible. Judith perd son tempérament et finit presque par abdiquer devant son mari, elle devient lasse. Il n’y a que dans les dernières pages que ça s’améliore mais malheureusement, c’est trop tard. Dommage...

Je me suis éclatée !



Ce n'est pas, loin de là, le meilleur livre rouge de ma bibliothèque, pas non plus le plus amusant, c'est clairement le plus charmant et peut-être le plus émouvant tout en restant très simple et plutôt court. Quand la haine entraîne en trois générations le génocide de deux familles liées par le sang, c'est l'horreur ! Surtout quand le dernier enfant d'une lignée est une fille et que pour la protéger, ses deux derniers frères, brutes attentionnées, l'éduque en garçon. Si elle maîtrise la course, l'aiguisage des épées, la stratégie de guerre, la protection d'un château et surtout la haine, elle ne s'attend pas en rencontrant le petit frère de l'autre lignée chevalier érudit, élevé en France par sa mère, poète et musicien à découvrir l'amour et là, c'est juste un régal :-)



Très bien mené, un rythme soutenu, une plume légère et légèrement piquante, des personnages des plus contrastés et super attachants, tout un roman quoi ;-)

Toujours aussi bien, une saga qui vaut le détour !



Quatre jeunes hommes dans le vent : le premier, le plus sérieux tombe follement amoureux et confond pendant longtemps désir et amour ; le second, plus réfléchi, parlant d'amour je veux dire, suit les ordres du Roi ; le troisième, fougueux chevalier, ne jure que par l'honneur et la justice et enfin, le quatrième, le plus jeune, adore les femmes et ne supporte pas d'en voir une mal-traitée. Quatre jeunes hommes dans le vent qui dénotent un peu des us et coutumes de leur temps même si la chevalerie imposait le respect aux dames.



Quatre jeunes filles, intrépides et courageuses : la première, une héritière, éduquée et surtout maîtresse en gestion et en organisation ; la deuxième, fidèle à son clan dont elle se sent responsable et qui applique les règles à la lettre ; la troisième, douée en musique, gâtée par son père et son village vit clairement dans une bulle et enfin, la quatrième, la sœur de l'ennemi juré, la plus jeune, la plus innocente, la plus meurtrie aussi et peut-être la plus vaillante car elle doit combattre et sa peur des hommes et sa famille.



Quand ils se rencontrent, le choc est puissant et les rebondissements nombreux et comme on les retrouve dans les quatre tomes, on a vraiment l'impression de vivre dans une belle famille nombreuse où l'humour et l'amour finissent toujours par venir à bout des heurts inévitables liés à des caractères entiers.



Une plume toujours aussi colorée pour ce quatrième opus qui clôture en beauté une haine destructrice entre deux familles et qui promet peut-être une suite inattendue qui me ferait encore vivre un peu avec ces personnages si merveilleux :-)

J'ai adoré, c'est simple :-)



Une fée qui vit la musique et un chevalier qui ne vit que par l'honneur et bien, les deux ensemble, ça donne une symphonie parfois tapageuse ;-) Beaucoup de mélodies donc dans ce roman qui a un petit air de Robin des Bois et qui nous plonge réellement dans la forêt de Sherwood où les problèmes se résolvent par une harmonie même s'il s'agit d'échanges de coups de poings. Néanmoins, ce n'est pas toujours le cas car parfois la cacophonie triomphe et là, c'est un véritable tintamarre :-p



Et le rythme est toujours bien présent, les sentiments aussi, une plume toujours aussi colorée, des situations parfois bien cocasses et le plus dans cette saga, c'est que l'on retrouve au fil des tomes les différents personnages déjà rencontrés. Gentils ou méchants, beaux ou hideux, chevaliers ou paysans, ils se croisent, se découvrent, se fuient, reviennent l'un vers l'autre avec plus d'amour ou plus de haine et j'adore ça.



Ne reste qu'un frère dans cette famille turbulente, je ne résiste pas, je m'y plonge de suite :-p

Un livre rouge comme je les aime, ça rafraîchit en cette période de canicule :-p



Si le début semble un peu gnangnan suite au comportement un peu immature de l'héroïne, la suite et la fin surtout sont vraiment bien ficelées. Pas facile d'accepter un mariage imposé par le roi d'Angleterre quand on est chef de clan et jeune et femme et que le futur époux est clairement trop anglais.



Une plume colorée, un rythme bien soutenu par des rebondissements sans fin et des personnages riches et attachants, même le méchant finalement. Beaucoup d'humour, j'ai adoré Rab le chien qui ne ressemble clairement pas aux deux miens et Morag, la servante, qui n'a pas sa langue dans la poche. Beaucoup de tendresse aussi dans l'analyse de l'amour qui prend parfois bien des détours.



Il reste deux frères à marier et comme j'ai maintenant la série complète et bien, je me lance :-)

Deuxième opus de la série et un plaisir renouvelé même si le début est un peu gnangnan mais c'est voulu !



Une héroïne attachante et combien différente que celle du tome précédent. Dans ce roman, la jeune, très jeune fille, prisonnière depuis toujours va devoir se battre contre elle-même, contre sa peur et sa naïveté pour devenir une femme forte et indépendante. Femme éblouissante qui surprendra tout le monde sauf son unique amour qui a toujours eu foi en elle.



Une aventure pleine de rebondissements, des personnages travaillés, une plume chargée d'humour, des descriptions détaillées des plantations de la Virginie au XVIIIème siècle ainsi que de certains villages en bout de ligne des diligences, un tout bon divertissement quoi :-p



Toujours aussi contente de faire des découvertes dans ma bibliothèque, faut dire qu'elle contient des ressources insoupçonnées et ma foi, assez inépuisables :-p Il est vrai que je continue à l'alimenter au fil du temps et ça n'aide pas à en venir à bout ;-) Bon, n'empêche, je n'ai pas le troisième et dernier tome de cette saga, je vais donc devoir faire des recherches :-p

Pas mal du tout ; un roman qui a déjà bien vécu, trouvé dans une boîte à livre et qui trouve directement sa place dans mes séries « rouges ».



Un quiproquo amusant, des personnages assez torturés, des situations parfois hilarantes mais souvent dramatiques, un rythme soutenu, des retrouvailles improbables et une fin prévisible mais ça, c'est normal ;-)



Une auteure que je ne connais pas bien et qui m'enchante par ses descriptions et sa perception des caractères humains, chaleureux, généreux ainsi que violents et pervers. Un livre rouge pas si rouge que cela et où l'intrigue est plus complexe que prévu vu le contexte historique qui m'a vraiment bien accroché :-p



J'ai de nouveau beaucoup de chance, le deuxième opus de la trilogie « Les dames de Virginie » est dans la bibliothèque et donc…, je m'y plonge de suite :-p

J'ai été scotchée, une auteure perdue de vue depuis longtemps et qui m'a beaucoup fait penser à Rosemary Rogers que j'adore bien sûr :-)



Une plume vive et colorée pour raconter les quiproquos qui peuvent naître dans un couple quand le mari confond amour fantasmé et amour réel. Sans jamais être mièvres, les situations sont pour le moins embarrassantes, parfois dramatiques et souvent désopilantes pour le lecteur. Un régal quand on a juste un gros rhume et qu'on est en dessous de tout :-p



L'auteure, super bien documentée sur cette période de l'histoire, fait de la description des vêtements féminins un tableau vivant et chatoyant et rien que pour cela, le roman vaut le détour.



Bon, je n'ai plus qu'à trouver les trois tomes suivants maintenant ! Je suis accro à cette famille Montgomery qui je pense va me réserver de belles surprises :-)

Intéressant

De la romance Harlequin, mais avec des personnages qui voyagent dans le temps, avec le choc des cultures qui va bien, comme proposer un doliprane au moyen âge et faire de l'ombre au sorcier ou s'offusquer des jeans moulants des années 80. Dommage pour l'héroïne naïve et creuse (presque une victime), mais ça colle avec le thème de la demoiselle en détresse qui doit être sauvée par un chevalier. Et heureusement que "Vint un chevalier" parce que je ne sais pas ce qu'elle aurait fait de sa vie, vraiment c'est une cruche inutile... Ca se lit vite, et ça reste agréable. On a lu pire, hein, mais aussi beaucoup mieux.