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Critiques de Juhani Karila (27)
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La pêche au petit brochet

Ce n'est pas un polar ni un livre fantastique. C'est un peu des deux et aussi autre chose. Une fois que l'on a compris qu'on n'est pas vraiment en Laponie mais dans une Laponie de légende, avec ses mythes bien vivants, on prend plaisir à suivre cette histoire de recherche de la vérité ? D'amour ? De résolution de crime ? De pardon de soi et d'espérance !
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La pêche au petit brochet

A classer dans les policiers, car il y à une enquêtrice et peut-être un meurtre, ce roman étrange, étonnant, foisonnant de rencontres improbables se déroule très loin au nord de la Laponie. Des personnages un peu maboule, une ambiance supra naturel, la musique lancinante des moustiques, l'humidité et un brochet problématique nous accompagnent tout au long de ce récit. Que cherche t-elle et pourquoi?, que va t-il se passer? Comment en est on arriver la? Le suspense est bien présent et l'histoire surprenante.
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La pêche au petit brochet

« L’eau est aussi épaisse qu’une soupe de pois, et quelque part au milieu de ce bouillon, un brochet fait la gueule. »



Intriguant, étrange, farfelu, et surtout très déroutant ce roman finlandais a été pour moi une déception.



Elina ne dispose que de trois jours pour pêcher le seul et unique brochet d’un étang avant d’être condamnée par une mystérieuse malédiction. Une idée de départ originale qui a piqué ma curiosité et m’a donné envie de découvrir ce livre.



Le roman baigne dans une ambiance étrange et fantasmagorique. Ondins, grabuges, pattes-rayées, teignons, croquemitaines, floches, toutes ces créatures peuplent l’étang et ses abords, et cohabitent plus ou moins bien avec les habitants de la région.



Les personnages sont loufoques, les situations cocasses, trop. Si au départ, j’ai aimé ce style décalé, il m’a rapidement semblé répétitif et lassant.



L’intrigue est quant à elle réduite au minimum. On a pourtant un meurtre inexpliqué sur lequel une inspectrice de police enquête, une obscure malédiction, des personnages énigmatiques mais au final un dénouement un peu abrupte et décevant.



Sans doute un peu trop absurde et décalé pour moi.
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La pêche au petit brochet

J'avoue avoir beaucoup de mal à me mettre dans ce livre, on a l'impression de débarquer sur une autre planète dès la première page. Les personnages sont difficile à cerner car complètement décalés et loufoques. On se retrouve dans un univers empreint de légendes et de superstitions et on se sait pas ce qui est réel ou non. Une fois que l'histoire est lancée, que l'on s'attache aux personnages et que l'on accepte d'être dans un monde fantastique, c'est épatant. Si vous voulez une lecture différente, un peu barrée mais très touchante, je vous le recommande!
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La pêche au petit brochet

Pourquoi avoir acheté ce livre? La couverture m’a intrigué. La Laponie m’a attiré. L’engagement d’un moment de drôlerie m’a plu. La promesse d’une enquête policière étrange…

Et bien je dirais que ce livre m’a fait passé un très bon moment d’évasion dans un monde fantastique,pas forcément drôle, sans enquête policière, mais avec des êtres très attachants.
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La pêche au petit brochet

Je me suis souvent rendue en Laponie, elle me fascine, me happe. Chaque voyage est une nouvelle découverte. Je suis littéralement happée, fascinée par cette région. Si je ne m'y rend point physiquement, c'est par le biais de la littérature que j'y voyage.

Cette fois ci, en compagnie d'Elina, Hibou, Asko, accompagnés par Olli Mangeclous, les teignons et autres trolls qui peuplent cette région, en leur compagnie je me promène dans ce monde ou la réalité côtoie la fiction sans pour cela que ce soit déplacé. Dans cette Laponie, ces deux mondes sont tout aussi réel que notre quotidien. Ils vivent cote à cote..
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La pêche au petit brochet

Je n'ai pas du tout accroché, je me suis même ennuyée, le fil conducteur est flou, c'est une sorte de bestiaire des mythes et légendes de Laponie, ça part dans tous les sens, je m'attendais à quelque chose d'un peu barré, et à rire....en fait j'ai trouvé ça tellement brouillon que je n'ai pas compris où l'auteur voulait en venir, "l'intrigue" est fade et il y a tellement de personnages de légende qu'on finit par se demander si on est dans un conte pour enfants parce que "l'enquête policière" est finalement inexistante, j'ai été déçue, dommage, le résumé était prometteur...
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La pêche au petit brochet

1er roman de cet auteur Lapon qui a été très primé en Finlande.

Magique, qui m'a fait croire le temps de ce livre que les humains vivaient et interagissaient avec toutes sortes de créatures qui tissaient et détruisaient le fil de nos vies en Laponie.

Puissant, attachant avec de très belles descriptions de la nature Laponne orientale.
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La pêche au petit brochet

« C’est l’idée même de la Laponie : l’alliance de la vastité [sic] et de la vacuité. Un horizon crevé par des épicéas miteux, dont le vide horrifiant tient les gens au silence et les mythes en puissance. »

Dans une contrée où les habitants communient aux sortilèges lancés par les sorciers et où, certaines nuits de gent redoutable, apparaissent démons des bois, fils de l’hiver sans fin, flocons d’esprits défunts, servantes des sous-bois, farfadets narquois, noircisseurs de lune et ombres d’âmes, trois jours intenses attendent Elina Ylijaako, native de l’endroit, qui doit impérativement mettre fin à une malédiction lancée par son ancien amoureux au bord d’un étang maudit. Seul un brochet hante les lieux et par sa bouche vorace, avale les mauvais sorts, permettant à ceux-ci de voyager entre l’ici et l’au-delà.

Un conte fantastique peuplé d’êtres étranges côtoyant le réel dans un univers où, bizarrement, les scènes macabres sont absentes. On assiste plutôt à des événements surnaturels que l’on finit par intégrer à une certaine normalité, à l’instar des personnages du roman dont l’existence tranquille est à peine effleurée par toute cette magie ambiante.

Une pêche au petit brochet que je n’oublierai pas de sitôt.

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La pêche au petit brochet

Sorcières et créatures fantastiques dans la nature de la Laponie.



À vrai dire je ne m’attendais pas vraiment à cela. J’avais lu un extrait, le début du roman où Elina pêche le brochet dans un étang entouré de moustiques. Cela semblait un « nature-writing » sympathique.



Mais l’histoire bascule lorsqu’on voit apparaitre un « ondin » dans la mare, qu’un « teignon » hante la cuisine d’un commerçant, que le maire est possédé par un « floche » et qu’un certain « Olli-Mangeclous » fait des siennes. Tout un répertoire de créatures fantastiques! Un peu comme « Des groseilles de novembre » de l’Estonien Andrus Kivirähk, que j’ai lu récemment, sauf que l’histoire de pêche n’est pas une fable du moyen-âge. Élina arrive au village en auto, c’est aussi une universitaire qui fait la cueillette d’échantillons scientifiques.



Au final, un roman surprenant, mélange inédit de nature, de loufoque, de rebondissements inattendus et de contes merveilleux, où des formules magiques peuvent ensorceler et où il faudra la force de la solidarité des amis pour s’en sortir.

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La pêche au petit brochet

Une fable dans les marais de Laponie parmi les croyances locales ancestrales et les êtres fantastiques… Je n’ai pas été envouté par la recette magique de cette potion, mêlant mythologie, humour et fantastique. L'intrigue m'a fait l'effet d'un soufflé au fromage de rennes qui s'est malheureusement trop vite dégonflé en sortant du sauna.
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La pêche au petit brochet

Les romans dits de l'imaginaire ne sont pas focément mon fond de commerce et pourtant... Quelle lecture étonnante, rafraîchissante et tonique ! Le genre de livre dont on retarde la fin et qui nous laisse un peu désemparé la dernière page tournée... C'est à regret que j'ai quitté la Laponie, Elina, la flic Janatuinen, Asko, le Hibou, sans oublier les mystérieux teignon, ondin, Ollie-Mangeclous et les autres êtres fantastiques et redoutables qui peuplent ce roman inclassable.

Tout se passe au fin fond de la Laponie, autour d'un lac désséché dont Elina essaie de pêcher l'unique brochet. On comprend vite qu'il s'agit là d'un rituel annuel, et qu'elle n'a que trois jours et trois nuits pour l'accomplir, cette obligation étant liée à une malédiction et à son amour de jeunesse. Original, cocasse et malicieux, mais aussi touchant, profondément séduisant, mené d'une écriture simple, légère, et précise, un roman comme une bouffée d'oxygène, qui vous entraîne irrésistiblement dans sa fantaisie. Cette lecture m'a rappelé l'univers de Miyazaki, le roman American Gods (pour l'omniprésence de créatures fantastiques qui ne surprend personne) et (toutes proportions gardées) le Maître et Marguerite. J'ai adoré.
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La pêche au petit brochet

Elina, jeune chercheuse en biologie, revient chaque année dans sa Laponie natale, au-delà du cercle polaire, pour accomplir un rituel. Une pêche au brochet dans un petit étang marécageux, infesté de moustiques, taons et autres insectes suceurs, et défendu par un ondin ergoteur. La raison de cette inlassable pêche au brochet, il va falloir bien des pages et des péripéties pour la connaître. Parallèlement, Janatuinen, une jeune policière, arrivée du sud elle aussi, est à la poursuite d’Elina, et va se trouver confrontée à des phénomènes pour elle totalement inexplicables et irrationnels. D’autres personnages haut en couleurs vont venir se mêler à leurs deux quêtes, avec plus ou moins de bonheur.



Attention, lecture atypique ! Je connaissais un peu la littérature finlandaise, avec Arto Paasilinna ou Johanna Sinisalo, et j’avais déjà rencontré dans leurs romans, dans un contexte par ailleurs tout ce qu’il y a de plus contemporain, des créatures issues de la mythologie nordique. Je n’ai donc pas été étonnée de voir apparaître un ondin dans les eaux d’un paisible étang, mais un peu plus ensuite lorsque un grabuge a été évoqué, puis lors de l’apparition d’un teignon.

Et ce n’est pas tout ! C’est tout un bestiaire fantastique, suscité peut-être par les longues nuits d’hiver ou par des imaginations très fertiles, qui se plaît à mettre des bâtons dans les roues des deux héroïnes. Je laisse aux futurs lecteurs la surprise de les découvrir…

C’est pour le moins décoiffant, et un peu déstabilisant. Attirée vers ce livre dès sa sortie, puis de nouveau intriguée par l’argumentaire du responsable du stand de La Peuplade du festival Étonnants voyageurs, je me suis laissé tenter, mais ai mis un peu de temps à être convaincue. Légèrement débordée par le nombre de créatures étranges, j’ai trouvé que l’histoire aurait gagné à être un soupçon moins loufoque.

Toutefois j’ai fini par me laisser faire, et en retire au final une impression de lecture plaisante, souvent très drôle, avec des personnages entraînants, et qui s’avère recommandable tant comme lecture d’été que pour découvrir la jeune littérature finnoise.
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La pêche au petit brochet

La canicule arrive à l’heure où j’écris ces lignes et vous aurez peut-être envie, comme moi, d’une petite escale boréale du côté de la Laponie finlandaise pour une partie de pêche au petit brochet… Lecture rafraichissante que je recommande pour se dépayser en Finlande.

L’histoire : Elina, jeune femme travaillant dans une institution pour l’environnement dans la ville du Sud (on devine Helsinki, mais la ville n’est jamais nommée) revient, comme chaque année en juin, dans son village natal, en Laponie orientale, pour y accomplir l’obligation annuelle qui lui incombe : pêcher le brochet du Seiväslampi, un des nombreux marais qui ponctuent la région. C’est une question de vie ou de mort. Si la mission n’avait, jusqu’ici, n’été qu’une formalité (remonter dans le nord, sortir la canne à pêche, patauger dans les marécages et pêcher le brochet), les choses vont s’avérer plus ardues cette année-là, et on va suivre Elina dans ses péripéties… L’occasion de découvrir le monde magique de la Laponie finlandaise. Ses taiseux aux dialogues frôlant l’absurdité (les amateurs d’Aki Kaurismäki, comme moi, retrouveront un peu de son univers : dialogues minimalistes mais drôles, personnages taiseux mais poétiques, univers matériel hors du temps), son monde magique fait de teignons, d’ondins de floches et autres malédictions (qui m’ont rappelé l’Estonien Andrus Kivirähk de l’Homme qui parlait la langue des serpents). Mais aussi d’en apprendre plus sur l’histoire d’Elina, sur sa famille et la jolie histoire d’amour qui l’a conduit chaque année à la pêche au brochet.

J’ai passé un super moment. Deux bémols : un poil déçue par la chute sur la malédiction, et puis je conseille de ne pas laisser passer trop de temps entre deux sessions de lecture, sous peine d’oublier des détails qui pourraient faire passer à côté de ce qui fait le sel de ce roman.

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La pêche au petit brochet

Je l'ai lu tout de suite après L'homme qui savait la langue des serpent. J'étais heureuse de me trouver encore dans un monde fantastique, mais cette fois très moderne. On se trouve en Laponie, région éloignée de la Finlande, où les génies et autres créatures mystiques font encore partie du quotidien, bien que le reste du pays n'y croient plus. Une enquête mène une policière du sud du pays dans la région. Elle y découvre un monde fantastique où la vie de l'accusée qu'elle pourchasse ne tient qu'à un fil, un fil de pêche. La fin m'a déçue, mais la lecture était néanmoins excellente (mais pas autant que L'homme qui savait la langue de serpent!)
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La pêche au petit brochet

J’apprécie particulièrement les fictions du nord et je dois dire que je n’ai pas été déçue ! On retrouve tout au long de ce roman, les mythes et légendes nordiques qui nous font rêver. Bien écrit, prenant, particulier, inclassable. Vraiment un super moment! Sans parler de la couverture qui est juste sublime. Bref 10/10 !
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La pêche au petit brochet

Un livre que j ai découvert grâce à ma libraire

J ai ete conquise par son enthousiasme et la couverture m a décidée

je n ai pas lu c est très rare le quatrième de couverture

L histoire n est pas courante

A la fois policier sans violence histoire d amour et histoire d une adolescente histoire de personnages de la mythologie tout ces êtres se mélangent pour donner un roman que l on a du mal à lâcher.

Un gros bémol à mon enthousiasme trop de personnages avec des noms peu communs ou irréels ce qui fait qu au début je me suis un peu perdue.

Les paysages de Laponie ont l air magnifique même si ils sont peuples de trolls



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La pêche au petit brochet





Tous les ans, Elina doit revenir dans son village natal, un coin perdu du fond de la laponie, à une date bien précise pour pêcher le dernier brochet d'un lac en cours d'assèchement lorsque les chaleurs de l'été reviennent. Mais cette année, rien ne va : le lac est protégé par une créature aussi belle que malfaisante : un ondin, l'esprit des eaux. Et pour ne rien arranger, Elina est poursuivie par l'inspectrice Jananuiten qui la suspecte d'un meurtre.



On est habitué depuis quelques années aux romans de Johanna Sinisalo et à ce genre bien particulier qu'elle appelle elle-même le Finnish Weird, où des récits à priori réalistes basculent dans le fantastique et la science-fiction, utilisant notamment le folklore nordique. L'oeuvre emblématique de ce courant est certainement Jamais avant le coucher du soleil (actes sud) de la même autrice, où un journaliste d'Helsinki, en rentrant chez lui, sauve une créature qu'un groupe de jeunes frappait à terre. S'attendant à un pauvre animal, il recueille un troll qu'il héberge chez lui et avec lequel il développe une relation étonnante.



La pêche au petit brochet est dans le même esprit : ce qui semble commencer comme une simple partie de pêche est la conséquence d'une malédiction contractée par Elina plusieurs années avant. Car dans ce village, la magie existe vraiment et la présence de créatures fantastiques est parfaitement acceptée par la population locale. Mais à l'opposé de Sinisalo qui se sert de ses romans pour explorer les cotés les plus sombres de la société finlandaise et qui n'hésite pas à créer le malaise et secouer le lecteur, Juhani Karila reste dans l'humour et le merveilleux. Il compose un récit léger où rien n'est vraiment grave, déploie un comique de situation composé de quiproquos, de décalages entre la citadine rationelle qu'est l'inspectrice Janatuinen et les villageois adeptes d'explications magiques; il nous plonge avec douceur chez ces gens au parler et à la vie différente sans pour autant se moquer d'eux.



La pêche au petit brochet est un roman réjouissant qui nous emmène dans un monde où la réalité a fait un pas de coté, cédant la place au merveilleux pour le plus grand plaisir du lecteur. Juhani Karila a déjà publié deux recueils de nouvelles en Finlande; après la lecture de ce roman on ne peut qu'espérer que les excellentes éditions La Peuplade s'y interesse...
Lien : https://www.noosfere.org/liv..
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La pêche au petit brochet

J’avoue, j’avoue, vous parler d’un livre qui se passe en Laponie en décembre, ce n’est pas vraiment original.  Sauf que « La pêche au petit brochet » est tout sauf ce à quoi l’on pourrait s’attendre. Pas de neige - d’ailleurs ça se passe en été - pas de rennes ou de père Noël.



Elina a déménagé dans le sud après ses études, elle retourne chaque été dans son village natal, un patelin en Laponie orientale. Depuis 5 ans elle rentre pour pêcher un vieux brochet rusé dans un étang marécageux au milieu de la nature sauvage. Même si on ne comprend pas trop pourquoi au début, cette pêche au brochet est une histoire de vie ou de mort. Jusqu’à maintenant ça n’a été qu’une formalité mais cette année tout va se compliquer.



Une histoire farfelue et débridée où les personnages vont se retrouver confrontés aux légendes et mythes lapons.

Dans un atmosphère totalement absurde pour tout bon cartésien, le lecteur va croiser une policière venue de la ville, des locaux excentriques, un ondin, un teignon, de la magie, des malédictions, des esprits farceurs et beaucoup de moustiques.



Une surprise rafraîchissante, un livre un peu fou dans lequel il fait bon se perdre.



Traduit du finnois par Claire Saint-Germain
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La pêche au petit brochet

Dans cette histoire où la réalité se mélange aux croyances populaires et à la magie, Elina, l'un des personnages principaux, revient dans sa Laponie natale pour y pêcher le fameux petit brochet. Mais quelle est la raison de ce pèlerinage annuel qui dure désormais depuis plusieurs années? C'est ce que le lecteur est amené à découvrir au fur et à mesure de sa lecture.

Nous sommes plongés dans un univers coloré, mettant en scène différents personnages qui sont tous liés d'une manière ou d'une autre à Elina.

L'histoire est bien écrite, et il est difficile de s'arrêter de lire.

Je le recommande chaudement!



Merci à Babelio pour m'avoir permis de lire ce livre lors de la première Masse Critique au Québec.

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