Julia Quinn

Je ne connaissais pas la série avant de lire quelques critiques sur Babelio. Et Julia Quinn étant l'auteur du mois sur le challenge A travers l'histoire, je me suis lancée.

La lecture n'a pas été désagréable, mais je suis mitigée. L'histoire est un peu gnangnan. Cela ne veut pas dire que je n'étais pas tentée de poursuivre pour connaître la suite.

Après 2 saisons à Londres, Daphné n'a toujours pas trouvé de mari. Plusieurs prétendants se sont manifestés, mais aucun n'a eu le plaisir de recevoir une réponse favorable. Elle souhaite fonder une famille et avoir de nombreux enfants, mais pas avec n'importe qui. Violet, la mère de Daphné et de 7 autres enfants désespère que sa fille trouve enfin quelqu'un qui lui convienne. Au cours d'un bal, Daphné fera la connaissance du duc de Hastings. Afin d'échapper aux "mères de la bonne société et à leurs débutantes à marier", il passera un accord avec Daphné. Ils vont former une union de façade pour que le duc ait la paix et pour que les bons partis qui ne voyaient en Daphné qu'une bonne camarade s'intéressent plus à elle, puisque courtisée par le duc. Bien sûr, ils vont tomber amoureux l'un de l'autre. Mais le duc ne peut pas épouser Daphné et il ne veut absolument aucun enfant...

J'étais curieuse de lire la chronique des Bridgerton. Je ne connais pas la série sur Netflix.

J'ai été un peu déçue. C'est léger, plein d'humour mais il s'agit juste d'une romance, sans surprise.

Je n'ai lu que le premier tome et vais m'arrêter là. Des le début du roman, on devine la fin. Tout est prévisible et cousu de fil blanc.

Il s'agit d'une histoire d'amour classique entre Daphné Bridgerton, issue d'une fratrie de 8 enfants et Simon Hastings, duc, n'ayant pas été aimé par son père. Celui-ci a renoncé à se marier et avoir des enfants mais, bien sûr, Daphné le fera changer d'avis.

Moi, je n'ai pas accroché plus que cela, faites-vous votre avis !

Tous les commentaires sont dithyrambiques concernant ce roman, à un point tel que j'ai presque peur de dire que je n'ai pas apprécié ce livre.

Ce roman est un harlequin pur et dur, avec tous les clichés du genre.

Le fait d'avoir d'abord vu la série ne m'a pas aidée à aimer cette œuvre. Le point faible est cette volonté de vouloir à tout prix trouver un mari. Cela m'avait tellement exaspérée dans la série que le sentiment s'est répété dans le livre.

Pour moi, une romance doit être remplie de profondeur (ça doit claquer, secouer,…)

La romance doit nous secouer le cœur. On doit encore y penser après avoir lu le livre.

Ici, c'est un petit roman gentillet qui ne casse pas des briques. Trop simple pour moi, trop gnangnan et casse-bonbons, d'ailleurs je ne l'ai pas fini. J'en pouvais plus.

Désolée pour la majorité des fans qui l'ont adoré. Je n'ai pas trouvé le même feeling que vous.

Sophie, fille illégitime du comte de Penwood, vit avec son père qui l'a fait passer pour sa pupille (même si personne n'est dupe). Lorsque son père se remarie, le cauchemar de Sophie commence... Sa belle-mère, Araminta et une de ses demi-sœurs se montrent horribles et à la mort du comte la relèguent au rang de simple domestique. Lors d'un bal masqué chez Lady Bridgerton, Sophie, bien apprêtée grâce à la gouvernante, rencontre Benedict. Mais à minuit, elle s'enfuit laissant derrière elle un gant (tout ceci vous dit quelque chose maintenant, non? :p). Benedict fera tout pour la retrouver sans succès. De son côté, Sophie se retrouvera obligée de quitter sa maison quand Araminta se rend compte de son escapade. Lorsque Benedict croise de nouveau Sophie, elle est une simple domestique. Saura-t-il reconnaître sa mystérieuse inconnue? Leur amour parviendra-t-il à triompher des conventions sociales de l'époque?



Ce tome m'a moins plu que le précédent. C'est surtout dû au comportement de Benedict que j'ai parfois eu du mal à supporter. Dans les autres tomes, je le trouvais assez fade et peu charismatique. Il n'avait pas réussi à me séduire :p. Ici, je l'ai trouvé trop insistant, trop égoïste. Il ne pense qu'à faire de Sophie sa maîtresse sans penser à son ressenti ou à ses volontés. Il la pousse dans ses retranchements et lui en veut quand elle ne cède pas. Il m'a fait penser à un enfant gâté râlant quand il n'a pas ce qu'il désire.



Sophie, de par son passé, refuse d'avoir un enfant hors mariage et essaie tant bien que mal de résister à Benedict qui représente tout ce qui lui est interdit. Elle est touchante et on ne peut que compatir devant ses difficultés.



Les autres Bridgerton sont peu présents malheureusement. Cependant, on commence à faire la connaissance d'Eloïse, Francesca et Hyacinthe.

Lady Bridgerton, de par son soutien sans faille à ses enfants, est vraiment une mère modèle même si elle essaie de les marier à chaque occasion qu'elle trouve. Je l'ai trouvée très touchante dans ce volume.



J'avoue que j'attends avec impatience le prochain tome :)! Colin me plaît depuis le premier tome avec son humour, son côté taquin et quand on sait que son duo sera avec Penelope Featherington, je n'ai que trois mots à dire: vivement la suite!!

La première partie de ce livre, "des années après", second épilogue des Bridgerton, ne présente pas grand intérêt si ce n'est le plaisir de retrouver les personnages, la plume de l'auteur avec ses dialogues amusants et percutants et à la fois pertinents et impertinents.

J'ai trouvé un plus grand intérêt aux chroniques le Lady Whistledown qui consistent en deux petits romans dans la lignée des Bridgerton avec une bonne satire de la société anglaise de l'époque et de nouveaux personnages sympathiques, avec l'esprit de devoir et de droiture et des femmes qui secouent le carcan et qui essaient avec leurs moyens de se libérer.

Un bon moment de détente!

Ce tome parle de Benedict et Colin.

J'ai adoré la partie sur Benedict, le puiné des enfants Bridgerton, son histoire est fortement influencé par celle de Cendrillon, on y retrouve tous les éléments, la chaussure est même remplacée par le gant. Sophie est un personnage fort et sensible qui a vécu de lourdes injustices dans sa vie. J'avais envie d'étrangler sa belle mère, plus mauvaise que la peste !

Concernant la partie sur Colin... je n'ai pas aimé du tout. Niveau toxicité le gars en connait un rayon. Le personnage est colérique voire même violent, les excuses il ne connait pas, tout doit tourner autour de lui. Pénélope subit la plupart du temps ! Je n'ai jamais vraiment aimé le cadet de la famille , mais alors je le trouve très antipathique, et j'espère le voir beaucoup moins dans les autres tomes.

J'avais englouti le 1er tome en quelques jours tellement j'étais prise dans les récits, et surtout je pensais avoir trouvé mon personnage préféré. Que nenni !

J'ai enchaîné directement sur le deuxième volume de cette intégrale, qui contient les tomes 3 et 4 de la saga, c'est-à-dire Benedict et Colin.

A la lecture de Benedict, je pensais avoir trouvé mon nouveau personnage préféré, et a la lecture de Colin je me rends compte qu'en fait... Il est tout bonnement impossible de choisir.



Les récits sont tous aussi bien montés les uns que les autres. Je n'y ai pas trouvé de longueur. Les personnages féminins sont mis à l'honneur, que ce soit Lady Whistledown, sorte de Gossip Girl de l'époque Regency, Sophie ou encore Pénélope Featherington. Et dire que dans les 2 premiers livres celle-ci m'avait paru d'une platitude extrême, j'avoue avoir eu quelques inquiétudes en voyant que l'histoire du 4e roman allait tourner autour d'elle. Mais quelle surprise et quel récit ! J'ai tout simplement adoré.



Les personnages masculins ont des préoccupations toutes masculines, que l'on arrive pourtant à comprendre sans trop de difficultés. J'aime beaucoup aussi le traitement des sentiments masculins qui est fait par Julia Quinn.



La plume de l'autrice est légère et fluide, ça se lit de façon très agréable, avec beaucoup d'humour tout du long. J'avoue avoir lu avec un sourire aux lèvres presque tout du long, c'est vraiment très agréable.



J'ai d'ores et déjà hâte de lire la suite qui m'attend précieusement sur ma liseuse et j'avoue attendre avec impatience les jolies éditions collector que J'ai Lu doit rééditer à l'automne !



Je suis tout simplement addict à cette série.

J'ai cette série dans ma pal depuis bien avant la sortie de la série qur Netflix. Ils sont d'ailleurs tous issus de l'ancienne édition J'ai Lu, Aventures et Passion avec ses jolies couvertures rouges. J'ai donc mis du temps à me lancer et j'ai eu l'occasion de découvrir la série entre temps.

Si les différences entre la première saison et ce premier tome sont nombreuses, je n'en ai pas moins apprécié les deux versions. L'histoire reste relativement la même avec beaucoup moins d'importance pour Lady Wistledown dans le livre (je me suis d'ailleurs posé la question de son utilité... Je pourrai en juger avec la suite j'imagine).

J'ai aimé retrouver les différents personnages mais il m'a été impossible d'imaginer Simon avec des cheveux bruns et des yeux bleu glacier... Regé Jean étant trop charismatique pour être oublié !

Ce n'était certe pas la lecture de l'année, mais j'ai apprécié l'ambiance au sein de la famille Bridgerton et la jolie histoire d'amour entre Simon et Daphné, avec ses subtilités et sa profondeur bien mieux rendues qu'à l'écran selon moi.

J'ai hâte de découvrir l'histoire d'Anthony et je pense lire les autres tomes avant de regarder les prochaines saisons afin de m'éviter des déceptions au vu des grandes différences que j'ai pu constater entre les deux, ne fut ce qu'au niveau du caractère des personnages.

Une agréable lecture que je poursuivrai !

Cela faisait un moment que je n’avais pas lu une romance historique aussi plaisante à lire. J’ai pris un grand plaisir à découvrir la famille Bridgerton.



Je suis totalement tombée sous le charme de Daphné. Elle est tout à fait rafraîchissante et si déterminée. Nous sommes loin des jeunes femmes naïves de l’époque et qui ne cessent de rire pour un rien. Daphné a du caractère et j’ai adoré sa personnalité. C’est peut-être en raison de ses frères si elle a une personnalité aussi singulière en fonction de l’époque où se situe l’intrigue.



Quant à Simon, notre cher duc, j’ai ressenti par moment les mêmes émotions que ce dernier. Il a su me faire passer du chaud au froid. En fait, l’auteure a su lui donner une personnalité sombre et intéressante. Quel homme déterminé!



Il est vrai que la finale est toujours prévisible en ce qui concerne les romances historiques, mais ce qui m’intéresse c’est l’intrigue au centre du roman. Cette fois-ci, je suis vraiment choyée. Plusieurs éléments m’ont pris par surprise et chaque soir j’avais hâte de me replonger au sein du roman. Quelles aventures allaient encore vivre nos deux protagonistes?



Ce fut vraiment une lecture agréable. Quelques événements et rebondissements surprenants, deux protagonistes qui ont su me faire sourire et une époque qui me fait rêver. Alors que demander de mieux?


Lien : http://alapagedesuzie.blogsp..

2ème tome de la série, toujours pour lire l'auteur du mois pour le Challenge A travers l'histoire.

Dans ce tome, c'est au tour d'Anthony, le frère aîné de Daphné de rechercher une femme. Il a des souhaits : il veut avoir une descendance mais il veut se marier à une jeune femme dont il est sûr de ne jamais tomber amoureux. En effet, il est persuadé de mourir jeune comme son père et ne veut surtout pas que sa femme souffre après son décès. Il jettera son dévolu sur la plus jeune des sœurs Sheffield, Edwina. Mais il devra faire face à l'adversité de la sœur aînée, Kate, qui ne voit pas d'un bon oeil qu'un libertin s'intéresse à sa sœur cadette. Bien sûr, rien ne se passera comme prévu et finalement, Anthony n'épousera pas celle qu'il avait prévu.

Toujours la même impression pour moi : lecture facile, pas désagréable, mais un peu gnangnan...

Avec la série sur Netflix, j'ai eu envie de me replonger dans les aventures de cette famille aristocratique atypique. Une veuve qui pleure encore son grand amour dix ans plus tard, qui adore ses huit enfants et cherche à caser ses plus grands.

La saison londonienne a débuté, décortiquée sous la plume acérée et pleine d'humour de la mystérieuse Lady Whistledown qui semble très aux faits des petites manies, potins de la bonne société. Daphnée, quatrième de la fratrie et première fille, entamant sa seconde saison, est vue comme une bonne amie. Elevée avec trois frères ainés très protecteurs, elle ne rencontre que peu de succès en ce début de saison à part des propositions de mariage d'hommes pouvant être son père ou d'un parfait imbécile. En essayant de fuir les assiduités de ce dernier, elle est surprise par le duc d'Hastings, un homme aussi froid qu'elle est solaire.

Simon lui proposera un étrange marché, se faire passer par sa fiancée afin d'échapper aux mères ayant des filles à marier et pour elle, attirer l'attention des autres hommes et se faire enfin courtiser. Enfant rejeté pour son handicap, il refuse tout amour dans sa vie alors que Daphnée ne rêve que d'un mariage comme ses parents.



Une plume fluide, efficace, beaucoup d'humour et de tendresse pour cette famille aux personnages aux personnalités assez affirmées. Même si c'est une relecture, c'est toujours un plaisir de se plonger au coeur des Bridgerton qu'on a envie d'enchainer au plus vite les tomes suivants.

Chouette ! me suis-je dit quand j'ai trouvé les quatre tomes énormes dans la bibliothèque d'une amie.

Je m'étais régalée avec la série sur Netflix comme beaucoup d'entre nous.

Et me voilà plongeant dans ce premier tome avec délice. Et j'ai bu la tasse. J'ai trouvé ça long, ça ne décolle pas. J'ai abandonné. Et suis fort déçue de laisser tomber. J'espérais déguster une boîte de macarons, une gourmandise et non !

Ce n’est pas que j’ai particulièrement aimé le premier tome, mais bon, le deuxième tome était dans le même volume, et puis j’avais le cerveau en compote, alors je me suis laissée tenter par le deuxième tome. Ça ne pouvait pas être pire de toute façon, et j’étais curieuse de voir ce que donnerait une romance écrite du point de vue de l’homme, puisqu’effectivement, le principe de cette série est que chacun des huit tomes est consacré à l’histoire d’amour d’un des enfants de la grande famille Bridgerton, nommés par ordre alphabétique, c’est plus commode pour s’y retrouver… Le premier volume était consacré à Daphné, quatrième enfant donc mais première fille de la fratrie, et je suspecte que les autres tomes n’étaient pas tout à fait prévus, puisqu’on retourne ici à l’aîné (et surtout que les quatre derniers enfants sont assez absents ici, même s’ils auront droit à leur livre bien à eux plus tard. On peut me rétorquer que ce sont les différences d’âge qui font cela, fort bien, mais je ne peux m’enlever de la tête que cette série est le fruit d’un succès éditorial plus qu’une volonté d’auteur…). Ce second tome, donc, est consacré à Anthony, héritier du titre. Mais la narration ne change pas, le ton est toujours le même, et c’est toujours la femme qui est le centre de la narration.

Mais si les similitudes s’arrêtaient là, cela irait encore. Mais non, j’ai vraiment eu l’impression de lire deux fois le même livre, et là je risque de dévoiler quelques moments clefs de l’intrigue, donc futurs lecteurs s’abstenir… Dans les deux livres, les femmes sont saines et équilibrées (souvent belles mais pas selon les canons, et surtout plus intelligentes que les autres. Elles se plient aux conventions, mais elles ne sont pas dupes, elles, et elles sauront bien tirer leur épingle du jeu) et les hommes sont mauvais garçons mais attirants en diable et ils cachent une part d’ombre (un problème somme toute assez bénin, mais dont ils se font une montagne et qui semble guider leur vie au-delà de toute proportion). Voilà pour la psychologie des personnages. Pour l’intrigue, c’est pareil. Même mariage inévitable pour éviter une désapprobation sociale inévitable, même scène, ô combien burlesque, de l’explication des devoirs de l’épouse par la mère à la veille du mariage, même mise en scène de la première nuit d’amour (avec exactement les mêmes gestes de la part de l’homme. Je me suis demandé comment un tel mimétisme s’était opéré entre ces deux hommes qui par ailleurs ont fait les quatre cents coups ensemble)…

Impressionnant de voir à quel point l’autrice manque d’imagination, ou bien à quel point les standards du genre sont sclérosés. Je passe sur l’idée d’amour unique et éternel, c’est une obligation dans ce genre de livre. Mais c’est aussi la demoiselle forte mais qui au fond aime bien se soumettre à la force d’un homme et sentir sa propre vulnérabilité. C’est aussi un curieux mélange entre désir et amour : les femmes ressentent une curieuse chaleur qui les envahit, les hommes comprennent très vite qu’ils sont sexuellement attirés mais pensent que cela n’ira pas plus loin que le simple attrait physique. Enfin, une fois que tout est dit et tout est consommé, il y a l’injonction à l’obligation de copuler (car il semble que les personnages, en particulier les hommes, ne soient pas dotés de beaucoup de qualités oratoires lorsque l’on en vient à parler de sentiments. Il n’y a donc qu’au lit que l’on peut exprimer son amour, que l’on soit un homme ou une femme) et à la jouissance, toujours et encore, sont atterrantes. On parle beaucoup des injonctions des magasines et autres média qui nous donnent une vision un brin irréaliste de ce qu’est une vie sexuelle épanouie (tout simplement parce que cet épanouissement n’est pas le même pour tous…), et je m’aperçois que ce type de roman participe au problème. Si ces jeunes filles si pures s’épanouissent tellement dans le sexe, tout le monde doit s’y épanouir, n’est-ce pas.

Bref, j’arrête ici mon analyse à trois francs six sous, qui n’a d’original que le fait qu’elle montre à quel point j’ignorais tout de ce genre et de ses standards. Je suis atterrée, je crois que c’est le meilleur mot. Mais le pire, c’est que j’étais atterrée au moment où j’ai refermé le livre et que pourtant, je n’avais qu’une envie, c’était de lire le troisième tome. Qu’est-ce que cela dit de moi ?

Je n’avais pas le troisième tome sous la main et je ne pouvais pas me précipiter à la bibliothèque municipale, si bien que je me suis mise à lire de vrais romans et que cette envie m’est (fort heureusement) passée. Il ne me restera de ces deux premiers tomes de cette saga que la sensation de découvrir un genre qui m’était étranger, bourré de stéréotypes et de valeurs rétrogrades. Au moins, cette expérience m’aura appris quelque chose, mais ce que j’ai découvert, dans ma grande naïveté, ne me donne pas envie d’aller plus loin, et j’espère que les lecteurs de ce genre de livres lisent d’autres choses ou regardent d’autres films ou séries, pour ne pas se laisser emberlificoter dans toutes ces dangereuses niaiseries.

Je n'ai pas vu la série. Donc je ne suis pas influencée.

Cette romance, saga familiale en 8 temps, le nombre d'enfants que comprend la famille Bridgerton se passe en Angleterre et surtout à Londres où se passe la saison mondaine. Les filles à marier enchaînent bals et autres réjouissances, en 1813 période on ne peut plus romantique que connaissent bien les fans de Jane Austen.

Tome 1: Daphné et le duc. Daphné la 4ème (dans l'ordre alphabétique et donc dans l'ordre des naissances), élevée au milieu de garçons n'est pas pressée de se marier. Elle rencontre le duc, enfant rejeté par son père qui ne veut pas non plus se marier. On devine ce qui va arriver mais peu importe, c'est l'enchaînement et les rencontres des 2 protagonistes qui sont savoureuses.

Tome 2 : Anthony, le frère aîné de Daphné ne veut pas tomber amoureux. Il décide néanmoins de se marier. Il rencontre les soeurs Sheffield Edwina, jolie comme un coeur et Kate sa grande soeur, "vieille fille" de 21 ans. Nous découvrons les fêlures des personnages et comment ils vont les surmonter.

Mais n'oublions pas le personnage principal, mystérieux et récurrent : Lady Whistledown qui écrit une chronique sur tout ce beau monde de façon très perspicace.

Des romances bien ficelées pour les amatrices du genre, avec les valeurs et les moeurs de l'époque ( la famille, l'honneur...) et avec le plus du romantisme anglais.

Quand le déferlement de la Chronique des Bridgerton a eu lieu sur les réseaux à cause de son adaptation TV, ma première pensée a été que je ne lirai pas cette série, aucun livre ! Il en était hors de question !



Je ne pouvais pas savoir qu'on finirait par m'envoyer le premier tome !



Mon destin était donc scellé, je devais lire Daphné et le Duc !



C'est sans grande convictions que j'ai fini par plonger dedans et quelle n'a pas été ma surprise quand je me suis aperçue que je ne pouvais plus le lâcher, en une soirée je venais de lire 160 pages !



Ce n'est pas le grand roman historique avec un grand H. Il y a même très peu d'Histoire ici et la Romance est très présente.



Je l'ai trouvé frais et divertissant avec une dose de Gossip Girl version 1813, j'ai quand même levé plusieurs fois les yeux au ciel sur quelques répliques, il se lit tout seul malgré des scènes assez longues !



J'ai adoré la famille Bridgerton surtout Anthony, Colin, Simon et son histoire.



J'aime tellement cette famille que je compte passer mon été avec elle, je trouve original que chaque tome mette en avant un des enfants Bridgerton, je ne sais pas si les autres tomes sont aussi bien, s'ils se passent en même temps ou après, j'espère juste que ce n'est pas à chaque fois une répétition du tome 1, ce sera la grande surprise !



Parfois il faut savoir prendre des risques !


Lien : https://deslivresmonunivers...

Qu'est-ce que l'on peut s'attacher à cette famille !

J'aime vraiment bezucoup le concept qui consiste à découvrir plus en détails un membre de la fratrie par tome.



Ici, l'histoire est centrée sur Benedict, puis Colin. Concernant le premier, l'auteure nous a fait une agréable revisite du conte de Cendrillon. J'ai tout de même un petit bémol ppur Benedict que je pensais être chevaleresque et m'a donc déçue en insistant grossierement pour avoir une maîtresse.

Par contre, j'aimais déjà beaucoup Violet Bridgerton, mais là c'était l'apothéose !



Colin et Pénelope, ah Colin et Pénelope. Autant vous dire que le couple de ce tome est pour le moment mon préféré de la série. Je les ai trouvés tous les deux très purs, attendrissants et j'ai beaucoup aimé le chemin qu'ils ont parcouru. Pénelope est une jeune femme remarquable, qui foece le respect, et je dois avouer être contente qu'il y ait enfin quelqu'un d'un peu moins stéréotypé. Elle est vraiment très attachante dans ses craintes, dans ses espoirs, et même dans sa maladresse.



Même si certaines choses me chiffonnent dans la série (les stéréotypes, la vision de la femme aussi parfois, même si finalemg ce n'est peut-ètre que le reflet de l'époque), je ne peux m'empêcher de continuer et de découvrir les autres membres de cette famille à laquelle je me suis attachée. Vivement les prochains tomes ! (J'ai hâte de suivre Eloîse !)

Julia Quinn nous propose ici toud les ingrédients pour une lecture agréable : de l'humour, de la romance, des personnages pétillants et plein de réparties, des scènes drôles et un bon rythme.



Je suis une grande fan de sagas familiale et de l'Angleterre du XIXème siècle, je ne pouvais donc absolument pas passer à côté de la chronique des Bridgerton (huit tomes, cela promet d'être passionnant !)



Nous découvrons ici plus en détails deux membres de la famille : Daphné dans le tome 1 (quatrième de la fratrie mais l'ainée des filles) et Anthony dans le tome 2 (l'aîné). J'ai vraiment beaucoup aimé l'humour qui se dégageait des dialogues, la repartie des personnages, et la plume croustillante de Lady Whistledown dans ses petites chroniques acérées sur les membres de la bonne société anglaise de l'époque.



Les histoires d'amour étaient (avouons-le) on ne peut plus prévisibles, mais il y a tout de même des à-côtés un peu plus originaux : certaines blessures psychologiques, des faiblesses à surmonter, des thèmes intéressants comme la perte d'un être cher etc.



Je me suis beaucoup attachée à cette famille haute en couleurs, à leur solidarité, à leur amour les uns pour les autres. Leur maison semble toujours être emplie de joie et d'effervesence, très loin de l'idée que nous pouvons avoir d'une famille aristocratique "un peu guindée".



Petits bémols : certains problèmes semblant complexes finissent par se résoudre finalement très rapidement et j'ai trouvé que les personnages féminins se ressemblaient quand même beaucoup (Daphné et Kate ont la même répartie, les mêmes réactions par exemple). J'ai aussi trouvé qu'il y avait certaines similitudes dans les deux tomes, comme par exemple les raisons du mariage.



Mais cela reste malgré tout une lecture agréable, qui change les idées et à laquelle nous pouvons vite devenir accro ! La chronique des Bridgerton est ce que j'appelle ma lecture "péché(e)"



Petit mot de la fin : heureusement qu'ils ont réédité les livres, parce que je pense que j'aurais eu du mal à assumer mes lectures en voyant les couvertures, notamment celle d'Anthony !

Je me suis lu les deux premiers tomes de La chronique des bridgerton et et et... j'ai adoré !

Cette première intégrale que nous propose "J'ai lu" regroupe les deux premiers tomes de la saga, donc on retrouve l'histoire de Daphné que vous connaissez déjà si vous avez vu la série sur Netflix, et de manière totalement inédite vous découvrez l'histoire d'Anthony, l'aîné de la fratrie. J'ai vraiment passé un super moment de lecture.



Autant avec Daphné et Simon c'était assez sympa mais sans surprise étant donné qu'on connait déjà les rebondissements et la finalité de leur romance autant avec Anthony c'était une vraie surprise du début à la fin.





Je vais du coup me concentrer vraiment sur Anthony. Soyons clairs dans la série ce n'était pas forcément un personnage que j'ai apprécié. Dans le roman, c'est un peu pareil il m'a fait éprouver les même sensations, je l'ai pas forcément adoré tout en m'étant tout de même un peu plus sympathique que dans la série, je comprends mieux son côté protecteur et son besoin de bien faire. Par moment il était même un peu limite mais c'est aussi dut à l'époque et aux mœurs de cette dernière. Donc j'ai essayer de ne pas laisser cet aspect prendre le dessus.





Mais alors par contre Kate je l'ai adoré. Elle est absolument géniale. À la fois têtue, sauvage et impulsive. C'est un vrai ennemies to lovers. Ils se détestent se chamaillent puis finissent par s'apprécier. J'ai adoré leur piques, leur petits coups bas. Certains passages sont vraiment loufoque et m'ont fait sourire. C'est vraiment une lecture qui vous fera passer un bon moment. Sans prise de tête. C'est un petit coup de cœur pour moi j'ai vraiment qu'une hâte c'est de me plonger dans les prochains tomes qui se concentreront eux sur Benedict et Colin les prochains gentlemens de la famille Bridgerton.

C'est un grand oui pour moi. Autant le premier tome n'est pas une vraie découverte autant par la suite vous y gagnez à vous pencher dessus !


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Je n'ai pas vu la série TV mais je n'ai pu échapper au lavage de cerveau "Bridgerton" sur les réseaux sociaux, donc oui , moi aussi , faible âme , j'ai voulu savoir et, PAF , me voilà ...



Du sous-sous-sous-sous-Jane-Austen revisité façon film-de-Noël croisé avec un film-érotique (voire porno-soft: après le mariage c'est la fête-du-slip les amis ...).



Selon moi ça ne vaut pas du tout 4 étoiles ( je suis même gentille avec mon 3 étoiles) car il y a peu de subtilités et beauuuuuucouuuup de longueurs (genre au début on passe plus de 5 pages à hésiter pour savoir si on ramasse ou pas Nigel qui s'est vautré la tronche par terre après avoir essayé de tripoter Daphné ... On le ramasse ? oui ... non ... euh... peut-être ... ah il se relève ... on l'aide... non ...ah il retombe ..on fait quoi etc... )(franchement pfffff) mais ça se lit (et pour ma part je me suis couchée à 3H du mat avec toutes ces bêtises, parce que je ne pouvais pas lâcher ce maudit bouquin)(malgré les grosses ficelles ça émoustille Mémé toutes ces bêtises, ah ! ).



En route pour le tome 2 bien sûr !

Ce roman n'est pas un coup de coeur, mais j'ai adoré à 100% ce deuxième tome! Je pense pouvoir dire qu'il était encore mieux que le tome 1 !

Les personnages sont encore plus travaillés ; ils sont drôles, mais aussi profonds. J'ai énormément ressenti l'alchimie qu'il y avait entre nos deux protagonistes.

On en découvre toujours un peu plus sur la famille des Bridgerton. De cette façon, on en apprend juste ce qu'il faut pour pouvoir apprécier par la suite le tome qui leur sera consacré.

Encore une fois, un a un indice sur notre chroniqueuse à la fin de l'épilogue. J'ai de plus en plus envie de savoir qui est cette personne, même si je me doute que je vais devoir attendre la fin de la saga pour le savoir !

Je ne peux que vous recommander ce tome, car il est génial ! Je n'ai pas pu le lâcher, j'ai presque fait une nuit blanche pour le terminer, c'est vous dire à quel point il était addictif.