Julia Quinn

Pas mal du tout.



Daphné : une révélation libératrice ; Anthony : un jeu sans fin ; Benedict : quand Cendrillon s’en mêle ; Colin : un secret bien gardé ;-) ; Eloïse : une belle-fille charmante ; Francesca : une libération émouvante ; Hyacinthe : la fin d’une énigme ! ; Gregory : une apothéose poignante ; Violet : une surprise :-).



N’empêche que l’auteure n’a pas fait attention aux seconds épilogues que l’éditeur allait mettre dans les intégrales car pour le coup, en ce qui concerne Eloïse et Hyacinthe, ce n’est qu’un copier-coller et c’est bien triste. Soit l’éditeur les supprimait des opus, soit il en demandait d’autres à l’auteure mais là, je me sens un tantinet flouée.



Par contre, pour les autres, rien à redire. Une plume toujours aussi vivante, de l’humour et de la tendresse à revendre, toujours un soupçon d’érotisme même après autant d’années et des personnages tellement attachants qu’on n’a juste pas envie de s’en libérer.



Allez, je vous le dis, l’épilogue le plus émouvant est celui de Gregory et le plus attendrissant pour moi c’est la micro nouvelle concernant Violet :-)



Même si ça ne sera pas vraiment pareil, je me plonge dans le tome 10 où l’on retrouvera Lady Whisthedown et je m’en réjouis car elle m’a manqué ;-)

J'ai bien ri !



Et je ris encore tant les situations sont parfois bien cocasses même si certaines ne prêtent clairement pas à rire.



Début du XIXème siècle, pas simple d'être enfant unique dans une famille aristocratique ; les règles sont là, la nursery d'abord avec une nounou compétente et stricte si possible ; à partir de trois ans, on passe aux choses sérieuses, équitation et interventions de multiples percepteurs pour remplir cette tête encore bien vide ; et à douze ans, le moment clé de cette belle éducation, l'inscription dans une institution renommée et reconnue dans la famille depuis toujours à savoir Eton. Dieu, quelle enfance solitaire et quel changement de se retrouver brutalement dans un environnement bruyant, turbulent et remplis de jeunes garçons assez effrayant il faut le dire ! Et c'est là que notre héro va découvrir l'amitié, la vie de famille via celle de son ami et l'amour suite à une succession d'événements assez rocambolesques il faut le dire :-p



Une plume légère, beaucoup d'humour, beaucoup de tendresse aussi entre les différents personnages et un moment incongru et magistral aussi avec le fameux concert annuel du quartet des Smythe-Smith, encore une tradition familiale particulière qui m'a bien fait sourire :-)



Pas besoin d'attendre, j'ai encore envie de rire, je passe directement au suivant :-p

Je vous avoue que j'ai été tentée par cette saga suite aux nombreux retours que j'ai vus passer sur les différents réseaux ainsi qu'au succès de la série Netflix.



Au début, j'étais un peu hésitante étant donné que la romance historique ne fait pas partie de mon style de lecture habituel mais cette lecture m'a vraiment surprise en bien.



J'ai tout d'abord été subjuguée par la plume de l'autrice qui reste simple mais qui est très en accord avec l'Angleterre du 19ème siècle. En plus, son style est addictif et vous voudrez à tout prix connaître la suite du récit.



L'histoire est effectivement très intéressante et je me suis laissée embarquer dès les premières pages. Chaque personnage est haut en couleur et a une sacrée personnalité. Daphné est un vrai rayon de soleil et elle n'a pas la langue dans sa poche alors que Simon a un côté assez sombre suite à une enfance qui n'était pas des plus heureuses.



J'ai beaucoup aimé les dialogues entre les personnages qui sont à la fois perçants et drôles. La famille Bridgerton est décidément une sacrée famille et je me réjouis déjà de découvrir l'histoire réservée à chacun de ses membres.



La notion de famille est bien entendu mise en avant dans ce tome, comment pourrait-il en être autrement avec une famille soudée de huit enfants.



Naturellement, je ne vous apprend rien en vous disant que la fin est prévisible depuis le début. Cependant, vous ne devinerez pas les péripéties par lesquelles vont passer nos deux protagonistes.



Pour ma part, j'ai trouvé la romance bien développée tout au long de l'histoire et elle n'était pas trop hâtive à mon goût. Je l'ai même trouvé réaliste par le fait que tout n'est pas tout rose pour Daphné et Simon.



J'ai cependant relevé par instant que le récit était trop rapide et contenait quelques maladresses. Mais cela ne gâchera pas votre lecture.



Ce tome a été lu à une vitesse impressionnante, je n'ai pas vu passer les 416 pages. Les chapitres sont d'une longueur moyenne (environ une quinzaine de pages) et le style d'écriture est assez petit et peu aéré mais cela ne m'a pas gêné dans ma lecture.



Pour le prix, vous pouvez vous procurer les tomes 1 et 2 de cette saga pour 14,90 euros ou pour 25,50 francs.



Je vous recommande naturellement cette saga si vous aimez la romance historique et que vous avez envie de découvrir une histoire prenante avec des rebondissements.



J'ai passé un excellent moment de lecture malgré les quelques points qui auraient pu être mieux traités à mon avis. Du coup, je donne la note de 8 sur 10 à ce tome.
Lien : http://devoreusedelivres.ekl..

Deuxième tome de cette fameuse saga des Bridgerton. Ici, le bouquin se consacre essentiellement à Anthony, le doyen de la fratrie. Doyen donc, qui a pris très jeune, trop peut-être, la responsabilité de la famille, suite au décès de son père. Ça forge forcément le caractère, mais une mort rapide et inattendue comme celle du patriarche laisse des stigmates. Ainsi, Anthony est convaincu qu’il subira le même sort, et qu’il mourra jeune. Alors, autant profiter de la vie ! Ce qu’il fait. Après le mariage de sa sœur, il décide lui aussi, qu’il serait temps de prendre épouse, et de faire des enfants. Mais en aucun cas il sera question pour lui de faire un mariage d’amour…. Mais bon…. Le destin en décidera autrement, forcément !!! Il ne faut pas s’attendre à de grands revirements de situation, ou à une fin bluffante, ce n’est pas le genre. Mais pour passer un moment de lecture agréable, la, ce bouquin rempli sa mission. La plume est toujours aussi délectable, les dialogues savoureux, et quelques pointes d’ironie. Une très bonne lecture, et un personnage que j’ai beaucoup aimé apprendre à découvrir.

J’ai beaucoup aimé :-)



J’ai beaucoup moins ri, c’est vrai et pourtant, l’humour est toujours bien présent mais beaucoup plus discret. Un roman d’introspection, de réflexions profondes, de questionnement sur l’amour et cela se fait en touches plus ou moins délicates et j’ai trouvé ça charmant. Bien oui, comment sait-on qu’on est amoureux, comment être certain que c’est la bonne personne, le coup de foudre est-il le début d’un amour qui dure toujours, pourquoi l’autre ne réagit pas comme on l’avait imaginé, l’amour n’est-il pas toujours partagé… Plein de questions sensées et plein de réponses rêveuses ou pragmatiques. J’ai apprécié ce tempo qui s’accélère au gré des découvertes personnelles et c’est ça, pour moi, qui fait de ce roman une belle réussite.



Maintenant, on connaît tous les protagonistes de cette saga, Gregory était le cadet, le dernier fils, celui qui devait pour s’en sortir trouver un but à sa vie et là, c’est fait et bien fait (voir l’épilogue). Une saga qui s’arrête est toujours un moment difficile pour le lecteur et là, miracle, l’auteure l’a bien compris et nous a concocté le tome d’après :-)



Allez, juste pour voir s’ils ont tous bien vieilli, je me plonge dans cette suite venue bien plus tard...

Ce tome m’a davantage plu que les deux ou trois précédents. Le couple fonctionne bien, avec un rapprochement "en douceur" et des dialogues piquants qui montrent bien qu’ils ne manquent pas de caractère. L’intrigue est quand même un peu bancale : le journal intime en italien à traduire pourrait être un bon prétexte à passer du temps ensemble si au moins un des deux comprenaient vraiment l’italien, et puis les expéditions nocturnes à répétition pour fouiller la maison du méchant père du héros sans que personne ne les remarque (alors que la demeure est habitée et pourvue de nombreux domestiques…) laissent dubitatif .



J’ai aussi été un peu gênée par le comportement du héros. Alors qu’il est dans une situation difficile qui pourrait mettre en péril ses fiançailles avec sa dulcinée, il choisit de lui dissimuler la vérité et de la piéger afin qu’elle ne puisse plus annuler le mariage...



Ce septième tome s’avère donc encore une lecture pas tout à fait convaincante…

J'ai choisi cette édition sur Babelio qui sépare les histoires des Bridgerton alors que j'ai l'intégrale, car je ne souhaitais pas enchainer de suite avec celle d'Anthony. La raison est simple : je ressors mitigée de cette lecture, la moitié du roman a été très agréable mais l'autre moitié m'a refroidie.



Commençons par ce que j'ai le plus apprécié : la plume. Si certains l'ont jugé trop simpliste, pour ma part, j'ai trouvé qu'elle était fluide et le vocabulaire employé correspondait globalement bien au XIXe, sans qu'il n'y ait de longueurs. Les nombreuses joutes verbales m'ont fait sourire, et la pointe d'humour m'a définitivement séduite. J'ai souvent ri, les situations sont cocasses et les relations entre certains membres de la famille Bridgerton prêtent à sourire. Sans oublier, les articles du journal à scandale de la mystérieuse Miss Whistledown, présents à chaque début de chapitre contribuent à cette ambiance légère, tout en subtilité. Il me tarde de connaitre son identité, qui à mon humble avis, réserve bien des surprises.



Il est vrai que j'ai pu apercevoir quelques anachronismes, notamment avec Colin qui s'ennuyait à Paris, alors qu'il y était en vacances, on peut difficilement croire que Paris en pleine guerre napoléonienne soit un lieu de vacances ou d'ennuis. Il en est de même avec les phrases répétitives du genre « je vais t'étrangler » « je vais te tuer » qui sonnent trop modernes et peu cohérentes à la haute société britannique, certes les Bridgerton se veulent modernes, mais il ne faut pas non plus en abuser au risque de paraitre incohérent. Cela dit, ça ne m'a pas dérangée au point que mon appréciation en soit impactée. J'ai également beaucoup aimé les Bridgerton, surtout Violet, la matriarche et Colin, ce sont les deux personnages qui m'ont le plus plu. Même si tout n'est pas parfait, je pense à Anthony que je trouvais excessif dans son comportement envers sa soeur, je reste impatiente de découvrir les histoires de chaque membre de cette famille.



En ce qui concerne la romance, je suis un peu plus réservée. Au départ, j'ai été absorbée par Simon – le Duc de Hastings – son histoire m'a touchée, il a un passé difficile qui a laissé en lui des traumatismes, son évolution est donc intéressante. Quant à Daphné, son côté espiègle et naïf la rendait attachante. J'ai trouvé la dynamique du couple, certes un peu prévisible, mais divertissante. J'aimais suivre cette romance parsemée d'embuches, puisque Simon est le meilleur ami du frère ainé de Daphné et surtout, Simon refuse mariage et enfants alors que c'est le rêve de Daphné. En bref, rien n'est simple et c'est très addictif, il m'était impossible de lâcher le livre. Seulement, à mesure que l'histoire progressait, certaines scènes ont terni mon engouement. La volonté de Daphné à vouloir à tout prix un enfant, lui fait adopter un comportement détestable et problématique. le consentement est ici piétiné, impossible pour moi d'y faire abstraction, ça m'a gâché la lecture. Ce n'est pas tant l'acte qui me pose problème, enfin si, il m'a dégoutée, mais l'autrice a le droit de vouloir que certaines scènes se déroulent ainsi dans son histoire. En revanche, c'est le fait que ça ne soit pas remis en cause qui me pose un souci. A aucun moment, ce que fait Daphné n'est condamné, pire encore, elle est décrite comme la victime et c'est Simon qui passe pour le méchant et se remet en question. Ce choix de la part de l'autrice m'est incompréhensible. C'est pourtant lui la victime, rappelons que Daphné a abusé de lui alors qu'il était à moitié endormi et ivre, dans le seul but d'obtenir un enfant, malgré son refus d'en avoir. Certes, Daphné opère une sorte de remise en question à la fin, mais ça arrive bien trop tard pour que ça soit crédible et « pardonnable ». Son attitude a juste été écœurante et immorale, rien ne peut l'effacer. Et comme si cela ne suffisait pas, l'épilogue conclu la romance avec trop de facilité, de rapidité et de niaiserie. C'est typiquement le genre de d'épilogue que je n'aime pas. Je n'ai pas compris encore une fois ce choix. J'ai eu cette sensation que Daphné avait eue ce qu'elle voulait et que les traumatismes de Simon ont été balayés d'un revers de la main, ça ne collait pas avec la construction de son personnage.Je ne dis pas qu'une évolution était impossible, mais l'on passe d'un extrême à l'autre, ça manquait à mes yeux de réalisme.



En bref, la romance se voulait divertissante et addictive (du moins jusqu'à la moitié du roman), j'ai apprécié la plupart des personnages et la plume pleine d'humour. Cependant, la problématique autour du consentement et les actes de Daphné ont gâché mon plaisir. Je suis la première déçue, car si l'histoire n'avait pas pris ce tournant, j'aurais passé un excellent moment. Je vais attendre avant de poursuivre avec l'histoire d'Anthony, j'espère ne pas y retrouver les mêmes défauts, sans cela, je pense que mon aventure s'arrêtera avec les Bridgerton, malgré les qualités que j'ai pu y relever.

Ce n'est pas tout à fait ce à quoi je m'attendais... Selon le titre, la quatrième de couverture et même le début du livre, je m'attendais à beaucoup plus d'espions, d'enquêtes, mais la romance a beaucoup plus de place que je ne m'y serais attendue.

Sinon le livre est sympathique, l'histoire très humoristique et agréable et les personnages attachants.

Francesca file le parfait bonheur avec son mari. Mais voilà que subitement ce dernier décède. Elle trouve refuge dans les bras de son ami et cousin de son défunt mari, Michael. Mais ce dernier est éperdument amoureux d’elle et s’est trop pour lui. Il décide donc de fuir pour les Indes, pensant ainsi chasser ses sentiments pour Francesca. Lorsqu’il est de retour quelques années plus tard, il suffit d’un regard sur Francesca pour que ses sentiments refassent surface. Sans grande surprise, nous savons tous comment tout ça va se terminer. Mais bon, l’idée de cette série, c’est beaucoup plus de se retrouver dans cette ambiance du Londres des nantis, à l’époque victorienne. Et pour ça, Quinn nous sert bien. Une lecture facile, sans prise de tête, qui regorge de bons sentiments. Une lecture détente, qui fait le boulot !

Mon plus que préféré car j’ai vraiment éclaté de rire :-)



«  - Combien de grands mystères y a-t-il dans la vie, en vérité ?

Comme personne ne répondait, Colin suggéra :

- Quarante-deux ? »



Une référence à la réponse universel (« Hitchhiker’s Guide to the Galaxy » de Douglas Adams), c’est vraiment le top ! Je ne m’y attendait pas, surtout dans un roman rouge, et ma foi, ça a fait ma journée, ma nuit et je me suis réveillée le sourire aux lèvres. Comme quoi, il suffit d’un rien pour être super heureux parfois :-p



Autrement, un roman parfait, bien écrit, plein de sensibilité, de l’humour à volonté, des personnages attachants que l’on suit et j’adore ça, un soupçon d’érotisme, un rien de mystère et une fin par toujours attendue ;-) Ici l’auteure pose la question de la raison d’être des cadets car si l’aîné connaît son rôle pour lequel il sera d’ailleurs élevé, quid des cadets qui doivent trouver leur propre voie pour se réaliser.



Et je suis toujours partante pour le suivant qui m’attend déjà sur l’accoudoir de mon fauteuil avec une tasse de thé :-)

Mon préféré jusque là :-)



Faut dire que j’adore l’histoire de Cendrillon et notre héroïne est une Cendrillon malgré elle. Une nuit magique qui changera tout et qui ne changera rien si ce n’est un souvenir merveilleux pour survivre encore et toujours à une existence misérable pour elle et insipide pour lui. Et là, il faudra attendre et surtout se méfier de la marâtre qui est toujours à l’affût malgré les années qui passent…



Pour l’analyse : un rythme enjoué soutenu par des dialogues intenses et amusants, des personnages attachants et bien campés, des situations parfois assez cocasses et toujours pleine de vie, une plume colorée et truffée d'humour, un soupçon de rouge pour corser un peu l'affaire et la mise en avant de la situation des enfants illégitimes de la haute société comme fil conducteur.



« Elle était une bâtarde, l’enfant illégitime d’un aristocrate. Elle n’appartenait pas à la bonne société et n’en ferait jamais partie. Pourquoi aurait-elle dû se plier à ses règles ? »



Une lecture plaisir toute en tendresse pour l’artiste de la famille Bridgerton et bien sûr, je me plonge dans le suivant pour rester dans l’ambiance :-)

Un tome 3 que j'ai adoré! L'histoire commence comme Cendrillon mais on n'est pas dans un conte de fées! Comment l'auteur va-t-elle s'en sortir avec les dictats de la "bonne" société londonienne du début du XIXè siècle?

Tome 4, une histoire d'amour encore plus improbable et dans ce tome, il est beaucoup question de Lady Whistledown. Je n'en dirai pas plus.

Par contre, le correcteur/trice était être fatigué, parce que, combien de fautes d'orthographes et d'impressions, le j' remplaçant le l'. Ce n'est pas parce que c'est une romance que l'éditeur doit être moins exigeant!!

Deux belles histoires avec une recette qui fonctionne : de l'amour, de l'humour, du suspens et encore de l'amour! Je vais attendre un peu pour lire la suite, je ne voudrais pas me lasser.

Ce huitième tome de La Chronique des Bridgerton m’a beaucoup plu.



Les personnages semblent plus jeunes que dans les précédents tomes. Ils se montrent moins blasés par la société, moins tourmentés, ce qui apporte une certaine fraîcheur au récit. On voit les deux héros s’interroger sur l’amour alors qu’ils se rendent compte que leurs intimes convictions étaient erronées. Pour l’un, le coup de foudre qu’il attendait depuis toujours s’avère un feu de paille décevant, alors que la seconde attendait sereinement un mariage de raison qui se révèle insatisfaisant lorsqu’elle se découvre des sentiments passionnés pour un autre.



J'ai aussi apprécié que le héros, pour une fois, assume ses sentiments. Il en fait peut-être un peu trop, mais au moins il ne va pas utiliser un prétexte fallacieux pour piéger celle qu’il aime (cela avait vraiment fini par me déranger dans les précédents tomes).



En plus, l’auteur parvient à maintenir un suspense sans faille jusqu’au dernier chapitre. L'intrigue devient peut-être un peu trop rocambolesque, mais elle reste vraiment surprenante et haletante. Même si on sait bien que dans ces romances le happy-end est inévitable, les personnages se retrouvent dans des situations tellement inextricables qu’on se demande comment il vont arriver au "Ils se marièrent et eurent beaucoup d’enfants" de rigueur (et qui est encore plus vrai dans ce tome vu ce qu'on découvre dans l’épilogue…).



J'ai passé un très bon moment avec ce dernier tome et je suis contente de terminer La Chronique des Bridgerton sur une note très positive...







P.S. : Il existe un neuvième tome "Des Années Plus Tard", mais je ne pense pas le lire. Il a été rédigé bien après la série initiale pour donner des nouvelles des personnages, chaque chapitre constituant une sorte d'épilogue pour les différents membres de la famille Bridgerton.

Décidément, les deux premiers tomes de la série restent difficiles à égaler... Pourtant le début du roman m'a beaucoup plu, avec un triangle amoureux où notre héros est secrètement amoureux de l'épouse de son cousin et meilleur ami qui décède bientôt, le laissant déchiré entre son amour pour la jeune femme enfin libre et la fidélité à la mémoire de son ami qu'il a l'impression de trahir après avoir déjà hérité de ses biens et de son titre.



J'ai bien aimé aussi la personnalité de l'héroïne, plus posée que les autres sœurs Bridgerton et assez indépendante du clan familial. Ainsi la famille Bridgerton est moins présente dans ce tome, même si c'est Colin qui donne au héros le coup de pouce qui le fera passer outre ses hésitations.



D'ailleurs, c'est là que ça que l'intrigue se gâte à mon avis : lorsque le héros finit par surmonter ses scrupules à épouser la veuve de son cousin. Au lieu de tenter de séduire subtilement (et pourquoi pas sensuellement) celle qu'il aime depuis des années, il se lance dans une conquête qui m'a semblé assez agressive tant il s'impose à la jeune femme. C'est alors une bataille qui s'engage entre leurs volontés, leurs désirs...



Cette fois encore, je ressors de ma lecture de La Chronique des Bridgerton un peu déçue et je commence à avoir hâte d'arriver au bout de la série...

Je ne m'attendais pas à ce que les choses se déroulent de cette manière dans le roman !

Contre toutes attentes, nous découvrons qui est la mystérieuse Lady Whistledown ! J'avoue que je ne m'y attendais absolument pas. Pour moi, rien ne laisser présager cette personne. Bon, j'avoue être un peu déçue de le découvrir dans ce tome et non dans le dernier. Mais quand on y pense, cela constitue une bonne intrigue entre Colin et Penelope.

D'ailleurs, cette dernière m'a beaucoup étonné par sa maturité face à sa relation avec Colin. Elle est consciente d'avoir toujours aimé la version de Colin qu'elle avait toujours imaginé dans ses rêves et que la réalité peut être différente. On va aussi nous montrer un Colin qui n'est pas parfait ; il a des défauts, même si lui-même ne veut pas l'accepter.

L'univers un peu littéraire dans le roman est exquis. J'ai adoré.

Le retournement de situation vers la fin est bien pensé, même si on peut s’y attendre. La révélation de l'identité de Lady Whistledown était parfaite pour le coup. Je n'ai rien à redire, car c'est une belle manière de lui rendre hommage.

J'ai lu ce lire par curiosité après en avoir tant entendu parler.

Il se lit facilement, agréablement, mais il ne faut surtout pas y chercher autre chose que de la superficialité. Les personnages sont assez peu crédibles, ils représentent certes la haute société anglaise du début du 19ème siècle, mais ils semblent vivre hors du temps, avoir pour seul but de se marier (le mieux possible bien sûr), et de vivre de leurs rentes. Aucune référence n'est faite au contexte national et international de l'époque.

C'est léger, cela ne prend pas la tête.

Mais pour moi, un tome suffira !

Que quelqu'un me dise pourquoi je n'ai pas sauté le pas et débuté la lecture de cette saga avant ?!



J'avais repéré les livres il y a déjà un bon moment, sans oser me lancer. J'avais peur que cela soit trop mièvre, trop olé olé mode harlequin ras les pâquerettes...



Je me suis donc lancée cet été, au bord de la piscine. Et je dois bien avouer que je suis vite devenue accro.



J'ai aimé les introductions à chaque chapitre par lady Whistledown, mode Gossip Girl à l'époque de Jane Austen. J'ai aimé l'humour des personnages, la rédaction fluide et vraiment agréable. Les chapitres font une 20aine de pages (sur liseuse) et s'enchaînent très vite.



On retrouve l'époque Régence de l'Angleterre, si chère à Jane Austen. Les personnages féminins et les histoires d'amour ne sont d'ailleurs pas sans rappeler la maîtresse du genre, en un brin plus osé et olé olé mais on est loin du too much dont j'avais peur. C'est savamment dosé et orchestré de manière à nous donner tout simplement envie de lire encore plus et encore plus vite.



Si les romances sont plutôt cousues de fil blanc et assez prévisibles, il n'en reste pas moins que les personnages sont travaillés et les histoires assez étoffées et développées pour réserver tout de même quelques surprises.



J'ai dévoré la partie concernant Simon et Daphné d'une traite, et enchaîné rapidement avec Anthony. J'ai peut être un tout petit peu moins aimé ce personnage au départ, mais j'ai fini par m'y attacher tout de même et j'ai été ravie du déroulé de l'histoire.



Bref, je recommande vivement aux amateurs de lectures de ce genre, aux amateurs de romans historiques qui parlent de l'Angleterre à la régence, et aux amateurs de lectures un peu fleur bleue, sans prise de tête.



J'ai déjà enchaîné sur la lecture du tome suivant.

Me revoici plonger dans la lecture des aventures des Bridgerton. Ici, Quinn nous dévoile la destinée d’Éloïse, la fille du milieu de fratrie. A 28 ans, elle a, à de nombreuses reprises, éconduites des prétendants. Mais le mariage récent de sa meilleure amie lui laisse un goût amer dans la bouche ; va-t-elle finir seule et vieille fille ? A la mort d’une cousine éloignée, elle envoi des mots réconfortants au veuf. Une correspondance d’une année entière s’établira entre eux deux. Si bien que l’homme la convie à son manoir pour voir le ‘’courant’’ passe. Ce qui donnera lieu à des situations rocambolesques, des scènes très tendres et très touchantes… J’adore lire le clan des frères Bridgerton en action. Un tome qui passe vite, et que j’ai trouvé très émouvant. Un de ceux qui m’a le plus plu jusqu’à maintenant.

Dieu qu’elle est amusante la famille Bridgerton ;-)



Pas facile d’être pleinement heureux quand on sait que l’on va mourir jeune alors puisqu’il faut un héritier pour le titre, on gère le mariage qui devient urgent comme une campagne militaire. Pour aller au plus simple, on prend la Reine de la saison, une petite chose magnifique, pas trop bête, pas trop intelligente non plus et surtout dont on ne risque pas de tomber amoureux et on se lance dans une conquête qui aurait dû être facile ;-)



Bien sûr, c’est quand on le cherche le moins que l’amour vous tombe dessus et là, tout s’enchaîne dans une série de quiproquos désopilants avec l’aide d’un petit Newton qui pour moi mérite le titre de personnage principal ! Avec une plume acérée et pourtant pleine de tendresse, l’auteure nous dresse avec beaucoup d’humour ce moment cruciale pour la société aristocratique qu’est la saison mondaine et la chasse au mariage.



Un volume bien réussi où l’on retrouve avec plaisir tous les membres de la famille Bridgerton, la très secrète chroniqueuse Lady Whisledown ainsi que les soirées musicales discordantes des Smythe-Smith. Vite le tome suivant pour ne pas perdre le fil ;-)

J’adore :-)



Le contexte : la première fille de la maison à marier et c’est déjà sa seconde saison… Elle n’est pas l’aînée, trois grands frères la précèdent et surtout la protègent ; voilà le nœud du problème ;-)

Une solution : trouver une stratégie et pourquoi pas avec un jeune duc tout frais juste revenu d’un tour du monde qui a duré de longues années et les voilà fiancés pour du faux ;-)

Le résultat : notre jeune fille est assaillie de prétendants qui n’osaient l’approcher avant et notre fringant duc ne doit plus fuir la horde de mères sauvages en quête de maris pour leurs progénitures, tout est parfait mais...

Le problème : l’amour ne peut pas tout résoudre ! Quand la tendresse, la joie et la générosité ont toujours été présents c’est difficile de comprendre l’autre qui a été élevé dans la solitude, l’indifférence, la froideur et la haine et là, il faut vraiment beaucoup de doigté, de compréhension et d’amour pour surmonter ces terribles blessures.

La finale : c’est un roman rouge, tout est bien qui finit bien :-)



C’est bien écrit, bien décrit, il y a un rythme soutenu et de l’humour à n’en plus finir et franchement, j’en redemande et je passe au suivant sans marquer de pause :-)



Franchement qui préfère les roses aux tulipes ? Moi, j’adore les tulipes et je les attends chaque année avec impatience :-)