Interview de l''auteure Julie-Anne Bastard
Mon joli bébé, tu feras bientôt partie de cette aventure et tu seras initié aux joies indispensables de la survie dans ce monde moderne: le sucre pour les papilles et les écrits pour les pupilles.
Tout d’abord je voudrais vous préciser que j’écris cette chronique quelques jours à peine après avoir terminé le précédent tome : de miroir et d’amour. Hé oui, ma curiosité m’a poussée à lire la suite de l’histoire, mais qui concerne Blanche, la sœur de Tristan qui a traversé le miroir pour se retrouver dans le présent. Changement d'époque et d'habitudes. Va-t-elle réussir à trouver sa place?
Cette histoire est à l’opposé du précédent. Nous découvrons la façon dont Blanche s’adapte à ce monde qu’elle ne connaît pas et ses réactions face aux gens qu’elle rencontre. Bien entendu, il y a d’autres personnages qui gravitent autour d’elle et qui jouent un rôle important dans son évolution.
Ce que j’avais déjà beaucoup aimé dans le précédent tome, c’est la manière dont les 2 auteures décrivent les personnages et leur environnement. Elles mettent un point d’honneur à ce que le lecteur s’immerge dans leur histoire et la vivent avec autant d’intensité que les protagonistes.
L’amour est bien sûr au centre du récit, mais pas juste l’amour avec un grand « A », mais aussi l’amour fraternel et amical, mais aussi la haine et l’envie. L’amour suscite toujours la jalousie et cela cause toujours des ennuis. Ces sentiments négatifs vont donner lieu à des rebondissements qui donnent du relief à ce roman. Un duo gagnant.
J’ai été subjuguée du début à la fin du récit. Même si c’est le schéma classique d’une histoire d’amour, ce qui fait la différence c’est la manière de l’écrire, les détails et les descriptions des divers sentiments de chacun des personnages.
En résumé, ce deuxième tome est tout aussi excitant que le premier. Le duo pailleté a su conquérir mon attention et surtout le garder., ce qui n’est pas chose facile quand c’est une romance. 2 plumes qui ont travaillé en symbiose et qui j’espère le fera encore à l avenir. Deux romans au top. Comme le dit le proverbe : « jamais 2 sans 3"... Alors y aurait-il un troisième tome qui parlera de Rose ? Qui sait ? En tout cas, je vous souhaite bon vent et que votre roman trouve son public (ce dont je ne doute pas).
Le vouvoiement s'est à nouveau immiscé entre nous. Comme une barrière invisible. Comme un retour en arrière. Mon coeur se serre. il veut prendreses distances avec moi, tirer un trait sur ce qui s'est passé. Faire comme si de rien n'était...
Comme je n’ai toujours pas la silhouette de Jennifer Lopez et que je n’ai pas dépassé un troisième rang de mailles, il est facile de deviner laquelle de ces trois activités est ma distraction favorite. Depuis quelques mois, mon vieux canapé rouge Backabro d’Ikea est même devenu mon meilleur ami. C’est avec lui que je passe le plus clair de mon temps libre. Il a le mérite d’être à la fois fidèle et présent, qualités dont mon dernier petit ami était foncièrement dépourvu.
Porte-bonheur et tablettes de chocolat de Julie-Anne Bastard :
"Ce bonbon, je l'ai voulu comme un coup de foudre. Intense, violent, puissant. Et en même temps avec une saveur qui s'installe en bouche après avoir explosé, car l'amour vrai dure toute une vie et c'est aussi cela qu'on célèbre le jour de la Saint-Valentin."
- Je cultive des sapins.
Ah bah oui, que je suis bête ! Nous sommes dans un téléfilm de Noël. Le mec, c'est logique, il a un métier de saison. Vendeur de pains d'épices, de guirlandes ou de jouets. S'il était huissier ou éboueur, cela ferait clairement moins rêver la ménagère de cinquante ans.
« Blanche plongea les yeux dans ceux de son cavalier. Soudain, elle sursauta. Il lui semblait reconnaître la douceur de ce regard.
— Nous sommes-nous déjà rencontrés ? Je suis persuadée que oui.
— Peut-être dans vos rêves, belle inconnue.
Il parlait bas, mais même l’intonation de sa voix lui paraissait familière. Elle aurait juré qu’il s’agissait de celle de Sébastien. Impossible, lorsqu’il avait refusé de les accompagner, il avait prétexté se rendre au restaurant avec son ami Jules.
Après tout, d’autres descendants de familles nobiliaires devaient fréquenter cette réception. Peut-être celui-ci ressemblait-il à l’un d’eux.
— Comment appelle-t-on cette danse ? interrogea-t-elle.
— Un slow.
Dès que la musique s’arrêta, il invita Blanche à goûter les petits fours disposés sur une table. Avec une patience infinie, il lui énonça le nom de chaque mets : blinis au caviar, mini opéra de foie gras au pain d’épices, bouchées de vol-au-vent et d’escargot bourguignon, noix de Saint-Jacques en médaillon et polenta de homard, brochettes de magret de canard. Blanche se régala de tout. Pour accompagner sa dégustation, elle réclamait chaque fois une nouvelle coupe de champagne. À la longue, la tête lui tournait, mais elle se sentait si bien qu’elle se moquait de terminer la soirée ivre morte. Cet homme lui donnait l’impression d’être libre. Il n’exigeait rien d’elle si ce n’était de lui tenir compagnie. Elle lui proposa de prendre l’air et, sans attendre sa réponse, elle glissa le bras sous le sien. Tous deux quittèrent la salle de direction du jardin. L’allée était illuminée, mais au loin seule la lune éclairait la pelouse de son auréole blanchâtre.
— Vous n’avez pas froid ? s’inquiéta l’inconnu.
— Non, au contraire.
Blanche se mit à tournoyer et à rire si vite et si fort que, tout à coup, elle se sentit basculer vers le sol. L’homme l’attrapa juste à temps avant qu’elle ne pique du nez dans l’herbe. Elle respira son parfum, toucha son menton du bout des doigts, s’enhardit à tenter d’enlever son masque. Il retint sa main de justesse, sans brusquerie, mais avec fermeté.
— Non ! Vous pourriez être déçue… »
Retour à Pittenweem de Ludivine Delaune :
"Nous sommes ici et maintenant, ensemble, tremblant de passion, brûlant de désir, à se toucher avec ardeur. L'espace-temps n'existe plus. Plus rien n'a autant de valeur que les battements de nos cœurs qui pulsent à l'unisson."
Dire les choses, c'est aussi reconnaître qu'elles sont vraies. Et la vérité fait mal.
Not a game de Vanessa Furchert :
"Comme disait l'autre naze, cette graine représente un morceau de moi.... Il n'y avait rien au départ, mais la plante a fini par éclore."