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Citations de Julie Garwood (176)


- Vous m'avez brisé le coeur.
- Je le réparerai plus tard.
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- Elle est Anglaise, Ian. Ne l'oublie pas.
Ian lui lança un regard lourd.
- Ce qui veut dire...?
- Tu as envie d'elle.
- Bon Dieu, comment peux-tu savoir ce dont j'ai envie?
Brodick ne se laissa pas impressionner par le ton de Ian, ils étaient amis depuis si longtemps! De plus, Brodick avait les intérêts de Ian à coeur, et Ian le savait.
- Si tu n'y prêtes garde, Alex et Gowrie ne tarderont pas à s'en apercevoir.
- Bon sang, Brodick...
- J'ai envie d'elle aussi!
- Tu ne peux pas l'avoir! s'écria Ian sans réfléchir.
- Je te trouve bien possessif!
Ian resta silencieux, et Brodick soupira.
- Je croyait que tu haïssais les anglais, reprit Ian au bout d'un moment.
- C'est le cas. Mais quand je la regarde... Ses yeux... C'est une calamité!
- Oublie ça! rétorqua Ian d'une voix dure.
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- J'ai un problème, commença Johanna.
- Je t'aiderai si je le peux, promit le prêtre.
Johanna fixa Gabriel droit dans les yeux pour répondre :
- J'ai deux maris.
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- Tu vas la protéger, hein, oncle Brodick? Parce que c'est une faible femme.
Brodick éclata de rire.
- Ça reste à prouver.
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Les histoires de Johanna n'avaient qu'un seul défaut : en général, c'étaient les belles dames qui sauvaient les preux chevaliers.
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- Combien avez-vous de ces maudits engins?
- Cet engin s'appelle une ombrelle, répondit-elle sur un ton pincé. Il m'en reste trois.
- Donnez-les moi tout de suite!
- Que voulez-vous en faire? s'écria-t-elle en se précipitant vers sa malle.
- Je vais les jeter à la mer! Avec un peu de chance, nous éborgnerons peut-être un ou deux requins.
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Entre femmes, nous devons nous soutenir... comme des sœurs et quand nous sommes témoins d'une injustice, nous avons le devoir d'intervenir. Unies, ensemble... si nous sommes ensemble, nous parviendrons à faire changer les gens. Oui, c'est cela : ensemble.
- Et comment faire ? Par où commencer ?
- Commençons par nous aider les unes les autres, expliqua Johanna. Plus tard, quand nous aurons des filles et des fils, nous leur apprendrons à s'aimer et à se respecter. Dieu nous a tous faits à son image, hommes ou femmes.
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Pourquoi se soucier de se ridiculiser alors qu'elle allait se faire piétiner à mort ? Qu'on le prenne pour une poltronne n'aurait aucune importance vu qu'elle serait morte.
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Ian prit les deux mains de la jeune fille et respira longuement. Même sous le regard de ses hommes, il voulait choisir soigneusement ses mots pour qu'elle se souvienne à jamais de sa déclaration. C'était diablement difficile de parler d'amour, et il manquait totalement d'expérience dans ce domaine, mais il était déterminé à s'exprimer le mieux possible.
Il fallait que l'instant soit parfait pour elle.
- Judith, commença-t-il.
- Oui, Ian ?
- Je vous garde.
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Un grommellement irrité lui répondit. Sara sourit tout bas. Elle se sentait beaucoup mieux. Elle bâilla, se colla d'avantage contre son mari pour que les frissons disparaissent totalement....
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Alec et Edgar s"esclaffèrent.
-Nous n'aurons sans doute pas longtemps à attendre pour le savoir ,prédit Alec. Ma femme aura probablement déclenché une guerre contre l'Angleterre d'ici une semaine ou deux. A un moment donné j'ai même pensé qu'elle était à la solde d'Henry ,avoua-t-il.
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Celui-ci était de trop bonne humeur pour avoir envie de blesser qui que ce soit. Lorsqu'il cassa accidentellement le nez d'un MacPherson, il s'empressa de le remettre en place avant que l'autre ait eu le temps de réagir. Puis il lui jura qu'il n'y paraîtrait rien, une fois que l'hémorragie serait stoppée. Ce n'était pas une excuse, mais cela y ressemblait presque, et Brodick commença à se demander si le mariage ne l'avait pas déjà dangereusement amolli.
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- Ne regardez pas en arrière, Jamie. Et ne tremblez pas comme ça. Pensez plutôt à votre avenir.
- C'est justement mon avenir qui me fait trembler, avoua la jeune femme. Je ne sais rien de cet homme qui est mon mari. Et toutes les rumeurs qui courent à son sujet ne sont pas de nature à me rassurer. Je voudrais ne l'avoir jamais rencontré. (page 80)
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Si je veux transformer une brute en bon mari, il faut que je le traite comme un cheval. Une poigne sûre et ferme, ne jamais montrer sa peur et ne faire preuve de tendresse qu'exceptionnellement. Ainsi oncle Andrew prétend qu'en six mois mon mari me mangera dans la main. Il aura appris à me considérer et à me traiter comme une princesse.
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Quand on est marié, le papa crache dans son gobelet de vin et il le donne à la maman. Dès qu'elle en a bu une gorgée, elle a un bébé dans son ventre.
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Il savait qu'elle avait besoin de temps pour retourner le problème dans sa tête. Et comme c'était un homme patient, il décida de lui donner une heure ou deux pour se ranger à son avis.
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Nicholaa avait transformé la carte bien tracée de sa vie en un délicieux chaos.
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- Justin ?
- Oui ?
- J'aime Royce.
- Je le savais déjà, Nicholaa, déclara-t-il avec une petite grimace.
- Comment cela ?
- à la manière dont tu le regardes.
Elle tenta de déchiffrer les réactions de Royce devant cet échange édifiant. Penché sur sa tâche, il souriait.
- Je veux que tu sache autre chose, Justin, continua alors Nicholaa. Royce m'aime.
- Je le savais aussi, annonça Justin en riant.
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- Je vous aime.
C'est seulement en entendant ces mots qu'il réalisa toute leur importance à ses yeux. C'était un miracle, un don précieux. Comment diable pouvait-elle l'aimer ?
Elle était son miracle à lui. Alors qu'il avait le visage couturé de cicatrices, elle notait seulement les étincelles dans son regard. Sa silhouette, par exemple, qu'il considérait comme massive, devenait sous son regard délicieusement puissante. Et tout à l'avenant ! Dés qu'il s'agissait de lui, Nicholaa était aveugle, et il n'aurait pas assez de toute sa vie pour remercier Dieu de cette incompréhensible cécité.
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- Mais vous ne m'avez toujours pas donné de réponse. Voulez-vous que je vous aime ?
- Je dois vous avouer mon ignorance de ces choses, reconnut-il d'une voix hésitante. Voulez-vous m'aimer ?
Elle aurait surtout voulu l'étrangler.
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